Dépucelages et trahisons
Récit érotique écrit par Christiankiki6 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Dépucelages et trahisons
Philippe et moi filions des amours parfaites depuis plus de deux ans et demi,
maintenant, et tout comme pour un couple hétéro, nous commencions à échafauder des
projets pour notre vie future. C'est à l'automne, trois mois plus tôt, que nous avions
fait notre "Coming-out", Philippe et moi, au travers d'une invitation commune de nos
deux familles respectives au restaurant, et dès le début du repas, à l'heure de
m'apéritif, je pris la main de Philippe, en déclarant: "Bon, ben, voilà, on voulait
vous dire quelque chose de très important, pour nous du moins, Philippe et moi, on est
amoureux depuis plus de deux ans, et je suis sûr que vous vous en doutiez à moitié. On
espère que cela ne vous sera pas trop difficile à accepter, on s'aime, voilà tout", et
joignant le geste à la parole, on échangea, Philippe et moi, un gros bécot d'amoureux,
devant nos familles.
Tout se passa finalement très bien, Philippe en ayant déjà parlé à sa mère,
et moi à la mienne (ah, comme c'est bon d'avoir une maman compréhensive pour
confidente), et nos pères semblaient être circonvenus en la matière, car ce fut celui
de mon amoureux qui résuma simplement la situation par ces mots: "Vous savez, çà nous
fait un peu tout drôle, mais c'est votre vie, et tant que vous êtes heureux ensemble,
c'est tout ce qui compte pour nous". Ouf, l'orage était passé, et la vie était
belle... Mon père crut bon d'ajouter, cependant: "C'est très bien pour vous, je le
crois aussi, mais vous savez, il faudra vous battre pour le faire accepter à tout le
monde. On vit dans un monde de brutes, et nous vous souhaitons bien du courage". Nous
tenant maintenant par le cou, nous les remerciâmes, avec un brin d'émotion dans la
voix.
Quelques semaines plus tard, Philippe dut partir deux semaines en stage
professionnel dans l'est de la France, comme çà avait été le cas pour moi, deux ans
auparavant. L'usine prenait en charge cette formation pour quelques uns de ses
meilleurs éléments, titulaires du seul BEPC, comme lui et moi, afin de nous permettre
de prendre ensuite des responsabilités plus importantes. "Deux semaines" dis-je à mon
chéri, au moment de son départ, à la gare "ce n'est pas le bout du monde, et puis on
se téléphonera de temps en temps". Après l'avoir embrassé longuement, j'attendis le
départ du train, avant de rentrer chez nous. Je finissais de déjeuner, ce lundi midi,
fatigué d'une dure matinée où j'avais pris le travail à quatre heures, lorsque l'on
sonna à la porte. C'était Emilie, accompagnée de sa petite sœur Corinne, toutes
souriantes, que je laissai rentrer, bien sûr, un peu étonné toutefois de les voir
ensemble chez moi à cette heure de la journée. "Tu te souviens, mon chéri", me dit-
elle brusquement, "de ce que tu m'as juré il y a quelques mois, que tu serais à mes
pieds quand je te le demanderai, eh bien, le moment est venu. Philippe n'est pas là
pour quelques temps, alors je te veux à moi maintenant".
Leur coup était bien monté, à toutes les deux, car lorsque je déclarai à
Emilie: "Je peux pas faire çà devant ta petite sœur, quand même", elle me répondit que
ce n'était plus une gamine, qu'elle venait d'avoir dix-huit ans, (ce qui était faux,
elle venait d'en prendre seulement 16, mais je ne le sus que bien plus tard), et
qu'elle n'avait pas envie de rester pucelle plus longtemps, ce que le large sourire
enjôleur de Corinne me confirma aussitôt. Déjà, cette dernière passa dans ma chambre
se changer, avant d'en ressortir entièrement nue sous une nuisette bleu pâle. Elle
était merveilleusement alléchante, toute fraiche de son jeune âge, et c'est elle qui
me déshabilla, me déposant des petits baisers partout au fur et à mesure du strip-
tease auquel elle me soumettait. "tu sais, chéri", me cria Emilie depuis la salle de
bains, "sois patient avec elle, elle n'a jamais fait çà, tout comme toi d'ailleurs, à
ce qu'il me semble, tu n'as jamais caressé une femme, ni couché avec".
Cette attaque perfide eut en tout cas le don de détendre complètement
Corinne. Je n'avais vu des femmes nues que sur des photos, rarement dans des films, et
je ne parvenais pas généralement à m'exciter, mais de les voir toutes deux, Emilie
toute nue, et Corinne dans la pudeur de sa simple nuisette me fit tout-à-coup bander
comme un mort. "Regarde, Milie" indiqua Corinne, comment son sexe est tout dur, et
tout long, tu crois que je pourrai rentrer tout dans mon ventre". C'est vrai que mon
sexe n'avait pas à rougir de comparaisons éventuelles, mais c'est vrai, également que
Corinne était encore vierge, car elle n'aurait pas posé cette question autrement. "Ne
t'inquiète pas, ma chérie, tu verras que çà ira bien, fais moi confiance, j'ai déjà
connu la même chose, tu le sais", et s'adressant à moi, elle ajouta "Tu m'avais juré
d'être à mes pieds, mon amour, comme un bon toutou que tu es, alors, vas-y maintenant,
à genoux", et, tandis que je m'exécutai, elle approcha son minou de mes lèvres et je
n'eus plus qu'à lui faire un cunnilingus. Ma langue s'enfonçait de plus en plus
profond dans sa chatte humide, elle allait et venait lentement dans sa bouche, la tête
bien calée entre ses cuisses, et j'aimais ce goût salé et tiède de son sexe, que je
découvrais. De toute évidence, elle n'était plus vierge depuis longtemps, car elle
avait l'air de s'y connaître. Pendant ce temps, Corinne, ne sachant que faire pour
s'occuper, obéit à sa sœur, et se coucha sur le tapis, la tête près de ma queue, pour
commencer à la sucer, un peu maladroitement peut-être, mais juste comme il faut pour
que je ne puisse pas débander.
J'étais finalement assez content de ce qui m'arrivait, oubliant pour
l'instant mon amoureux. Je n'avais même pas l'impression de le tromper, puisque
c'était avec ses sœurs que je baisais, croyant que nous arrêterions nos jeux sur le
tapis. Mais Corinne , toute émoustillée par la situation, était bien décidée à devenir
femme, et Emilie bien décidée à nous voir dépucelés tous les deux. Le lit douillet,
notre lit commun à Philippe et à moi, nous accueillit alors, sur lequel elle avait
disposé une alèse, sortie de l'armoire. C'est elle d'ailleurs, après sa "pseudo
découverte" de nos ébats sexuels de garçons, qui nous l'avait faite acheter, soi-
disant pour ne pas tacher le matelas. Elle avait eu raison, une fois de plus, mais çà
arrivait bien tard, car depuis deux ans que ce matelas subissait nos assauts répétés,
le mal était déjà fait.
Elle fit allonger sa petite sœur sur le dos, glissant un oreiller sous ses
reins, pour faciliter la pénétration, me fit mettre face à elle, lubrifia elle-même
nos sexes avec de l'huile d'amande douce, tandis que j'effleurais la petite pointe
ferme de ses seins minuscules. "Vas très doucement, au début, Chris, pour ne pas la
déchirer brusquement, et surtout, essaie de te retenir, tant que tu n'es pas au fond
de son corps" m'indiqua Emilie, qui ajouta à sa sœur "Ne t'inquiète pas, ma Ninine, je
t'ai déjà tout dit, avec Chris, je suis certaine que çà ira très bien". De fait, je
poussai de nombreux petits à-coups, peu profonds, m'arrêtant dès que çà buttait un
peu, cela dura bien cinq ou six minutes, et puis mon envie fut trop forte, je
commençais à perdre le contrôle de moi-même, lorsque je sentis brusquement s'enfoncer
tout seul mon dard jusqu'au plus profond de son vagin, et surpris, ma queue redevenait
un peu molle. Entamant alors un mouvement de va -et -vient rapide, n'ayant plus aucune
contrainte, je me mis très vite à bander de nouveau, lâchant ma semence saccadée dans
une intense sensation de plaisir.. C'est à peine si Corinne émit un petit cri que
déjà, tout son corps se détendit, recevant mon jus d'un air béat, comme si elle était
en extase. Elle vivait sa première "petite mort", et lorsque je me retirai, quelques
gouttes de sang perlèrent de son vagin.
Emilie nous rejoignit alors sur le lit d'amour, essuya ses quelques gouttes
de sang, et s'allongea près de Corinne, avant de l'embrasser longuement d'un beau
baiser d'amour. Puis elle lui enfila une culote en coton, remonta les draps sur nous,
et resta allongée en silence quelques minutes, tandis que Corinne, se tournant vers
moi, m'embrassa à son tour, avant de me dire d'un air de femme épanouie: "C'était
merveilleux, Chris, c'était trop bon, grâce à toi, et en plus, j'ai même pas eu mal.
Tu sais, maintenant, je me sens vraiment une femme". Au bout d'une demi-heure, Emilie
nous conduisit à la salle de bain, lui fit une petite toilette vaginale, et me lava
aussi tout mon membre, avant de nous embrasser tous les deux. Alors, à mon tour,
j'embrassai ma partenaire, toute souriante et heureuse d'être devenue femme, lui
avouant que finalement, j'étais bien content d'avoir été dépucelé grâce à elle, que je
l'avais trouvé très agréable et très douce, très amoureuse en somme. "Merci mon
amour", me répondit-elle, "tu es gentil, dommage que tu préfères Philippe, mais çà te
passera surement un jour. Bon, maintenant, je vais me reposer dans la chambre d'à
côté, je vais te laisser avec Emilie, la pauvre a eu beaucoup de patience, à nous
observer". Je lui répondis que la perte de notre pucelage ensemble serait un moment
inoubliable, et que sa sœur était pour nous, en quelque sorte, notre "marraine de
sexe".
Quand je rejoignis Emilie dans la chambre, elle avait ôté l'alèse, et
m'attendait toute nue, jambes écartées, prête à me recevoir. "Mon toutou est beau, il
bande déjà de nouveau, viens saillir ta maîtresse, et lui donner tout ton jus, et ne
me dis pas que tu as tout donné à Ninine". Je m'attendais à un long moment de
tranquillité, au lit avec elle mais elle avait du retard à rattraper, de la vengeance
également à satisfaire car, sautant brusquement du lit, elle me fit mettre à quatre
pattes sur le tapis, se mit à me chevaucher, la tête regardant mes fesses, et commença
à me fesser de très longues minutes, en me traitant comme un chien, m'insultant, me
traitant de dégénéré, de bâtard, de petit enculé, et autres noms d'oiseaux, tout en me
demandant par trois fois si je voulais me marier avec elle. Bien qu'ayant de plus en
plus mal, je lui répondis à chaque fois négativement, et lui faisant remarquer, la
première fois, que Corinne allait tout entendre. "T'inquiète pas, elle est au courant,
on ne se cache rien, toutes les deux, en plus, elle t'a entendu crier, comme çà, elle
saura au moins le froussard que tu es".
Revenue à de meilleurs sentiments, apparemment, elle cessa son manège, me
conduisit à nouveau sur le lit, en frottant doucement mes fesses, comme pour les
calmer, tandis qu'elle m'embrassait. "Bon, pour aujourd'hui, je t'ai assez dressé,
mais n'oublie jamais que toute ta vie dépend de moi, c'est moi ta vraie maîtresse, et
tu devras m'obéir, sinon... ". Alors, brusquement, ne pouvant plus attendre, elle
voulut s'empaler sur mon chibre, qui avait retrouvé toute la vigueur de mon
dépucelage, et ma pénétration se fit comme dans du beurre, puis je voulus à mon tour
la saillir comme une chienne, et on aurait dit qu'elle n'attendait que çà pour se
libérer complètement. De ce fait, me laissant aller, je vidai totalement mes bourses,
de nouveau bien pleines, au fond de son ventre, jusqu'à butter sur son "museau de
tanche.
Elle n'exprima pas même un sourire, mais lorsque je lui demandai, une fois
mes ardeurs calmées: "J'espère que Ninine prend la pilule", elle me répondit: "Elle
oui, depuis deux mois, mais moi, non ! Si un jour j'ai un bébé de toi, et peut-être
que tu viens de m'en faire un, je ne te le dirai jamais, çà t'apprendra à pas vouloir
de moi. Au fait, je te l'ai pas dit, Corinne n'a que 16 ans, pas 18, elle est mineure,
tu vois ce que çà veut dire...". Je voyais trop bien en effet comme j'étais à sa
merci, et de plus, six semaines après, elle m' apprit qu'elle était enceinte, et ne
savait pas qui était le père !.
maintenant, et tout comme pour un couple hétéro, nous commencions à échafauder des
projets pour notre vie future. C'est à l'automne, trois mois plus tôt, que nous avions
fait notre "Coming-out", Philippe et moi, au travers d'une invitation commune de nos
deux familles respectives au restaurant, et dès le début du repas, à l'heure de
m'apéritif, je pris la main de Philippe, en déclarant: "Bon, ben, voilà, on voulait
vous dire quelque chose de très important, pour nous du moins, Philippe et moi, on est
amoureux depuis plus de deux ans, et je suis sûr que vous vous en doutiez à moitié. On
espère que cela ne vous sera pas trop difficile à accepter, on s'aime, voilà tout", et
joignant le geste à la parole, on échangea, Philippe et moi, un gros bécot d'amoureux,
devant nos familles.
Tout se passa finalement très bien, Philippe en ayant déjà parlé à sa mère,
et moi à la mienne (ah, comme c'est bon d'avoir une maman compréhensive pour
confidente), et nos pères semblaient être circonvenus en la matière, car ce fut celui
de mon amoureux qui résuma simplement la situation par ces mots: "Vous savez, çà nous
fait un peu tout drôle, mais c'est votre vie, et tant que vous êtes heureux ensemble,
c'est tout ce qui compte pour nous". Ouf, l'orage était passé, et la vie était
belle... Mon père crut bon d'ajouter, cependant: "C'est très bien pour vous, je le
crois aussi, mais vous savez, il faudra vous battre pour le faire accepter à tout le
monde. On vit dans un monde de brutes, et nous vous souhaitons bien du courage". Nous
tenant maintenant par le cou, nous les remerciâmes, avec un brin d'émotion dans la
voix.
Quelques semaines plus tard, Philippe dut partir deux semaines en stage
professionnel dans l'est de la France, comme çà avait été le cas pour moi, deux ans
auparavant. L'usine prenait en charge cette formation pour quelques uns de ses
meilleurs éléments, titulaires du seul BEPC, comme lui et moi, afin de nous permettre
de prendre ensuite des responsabilités plus importantes. "Deux semaines" dis-je à mon
chéri, au moment de son départ, à la gare "ce n'est pas le bout du monde, et puis on
se téléphonera de temps en temps". Après l'avoir embrassé longuement, j'attendis le
départ du train, avant de rentrer chez nous. Je finissais de déjeuner, ce lundi midi,
fatigué d'une dure matinée où j'avais pris le travail à quatre heures, lorsque l'on
sonna à la porte. C'était Emilie, accompagnée de sa petite sœur Corinne, toutes
souriantes, que je laissai rentrer, bien sûr, un peu étonné toutefois de les voir
ensemble chez moi à cette heure de la journée. "Tu te souviens, mon chéri", me dit-
elle brusquement, "de ce que tu m'as juré il y a quelques mois, que tu serais à mes
pieds quand je te le demanderai, eh bien, le moment est venu. Philippe n'est pas là
pour quelques temps, alors je te veux à moi maintenant".
Leur coup était bien monté, à toutes les deux, car lorsque je déclarai à
Emilie: "Je peux pas faire çà devant ta petite sœur, quand même", elle me répondit que
ce n'était plus une gamine, qu'elle venait d'avoir dix-huit ans, (ce qui était faux,
elle venait d'en prendre seulement 16, mais je ne le sus que bien plus tard), et
qu'elle n'avait pas envie de rester pucelle plus longtemps, ce que le large sourire
enjôleur de Corinne me confirma aussitôt. Déjà, cette dernière passa dans ma chambre
se changer, avant d'en ressortir entièrement nue sous une nuisette bleu pâle. Elle
était merveilleusement alléchante, toute fraiche de son jeune âge, et c'est elle qui
me déshabilla, me déposant des petits baisers partout au fur et à mesure du strip-
tease auquel elle me soumettait. "tu sais, chéri", me cria Emilie depuis la salle de
bains, "sois patient avec elle, elle n'a jamais fait çà, tout comme toi d'ailleurs, à
ce qu'il me semble, tu n'as jamais caressé une femme, ni couché avec".
Cette attaque perfide eut en tout cas le don de détendre complètement
Corinne. Je n'avais vu des femmes nues que sur des photos, rarement dans des films, et
je ne parvenais pas généralement à m'exciter, mais de les voir toutes deux, Emilie
toute nue, et Corinne dans la pudeur de sa simple nuisette me fit tout-à-coup bander
comme un mort. "Regarde, Milie" indiqua Corinne, comment son sexe est tout dur, et
tout long, tu crois que je pourrai rentrer tout dans mon ventre". C'est vrai que mon
sexe n'avait pas à rougir de comparaisons éventuelles, mais c'est vrai, également que
Corinne était encore vierge, car elle n'aurait pas posé cette question autrement. "Ne
t'inquiète pas, ma chérie, tu verras que çà ira bien, fais moi confiance, j'ai déjà
connu la même chose, tu le sais", et s'adressant à moi, elle ajouta "Tu m'avais juré
d'être à mes pieds, mon amour, comme un bon toutou que tu es, alors, vas-y maintenant,
à genoux", et, tandis que je m'exécutai, elle approcha son minou de mes lèvres et je
n'eus plus qu'à lui faire un cunnilingus. Ma langue s'enfonçait de plus en plus
profond dans sa chatte humide, elle allait et venait lentement dans sa bouche, la tête
bien calée entre ses cuisses, et j'aimais ce goût salé et tiède de son sexe, que je
découvrais. De toute évidence, elle n'était plus vierge depuis longtemps, car elle
avait l'air de s'y connaître. Pendant ce temps, Corinne, ne sachant que faire pour
s'occuper, obéit à sa sœur, et se coucha sur le tapis, la tête près de ma queue, pour
commencer à la sucer, un peu maladroitement peut-être, mais juste comme il faut pour
que je ne puisse pas débander.
J'étais finalement assez content de ce qui m'arrivait, oubliant pour
l'instant mon amoureux. Je n'avais même pas l'impression de le tromper, puisque
c'était avec ses sœurs que je baisais, croyant que nous arrêterions nos jeux sur le
tapis. Mais Corinne , toute émoustillée par la situation, était bien décidée à devenir
femme, et Emilie bien décidée à nous voir dépucelés tous les deux. Le lit douillet,
notre lit commun à Philippe et à moi, nous accueillit alors, sur lequel elle avait
disposé une alèse, sortie de l'armoire. C'est elle d'ailleurs, après sa "pseudo
découverte" de nos ébats sexuels de garçons, qui nous l'avait faite acheter, soi-
disant pour ne pas tacher le matelas. Elle avait eu raison, une fois de plus, mais çà
arrivait bien tard, car depuis deux ans que ce matelas subissait nos assauts répétés,
le mal était déjà fait.
Elle fit allonger sa petite sœur sur le dos, glissant un oreiller sous ses
reins, pour faciliter la pénétration, me fit mettre face à elle, lubrifia elle-même
nos sexes avec de l'huile d'amande douce, tandis que j'effleurais la petite pointe
ferme de ses seins minuscules. "Vas très doucement, au début, Chris, pour ne pas la
déchirer brusquement, et surtout, essaie de te retenir, tant que tu n'es pas au fond
de son corps" m'indiqua Emilie, qui ajouta à sa sœur "Ne t'inquiète pas, ma Ninine, je
t'ai déjà tout dit, avec Chris, je suis certaine que çà ira très bien". De fait, je
poussai de nombreux petits à-coups, peu profonds, m'arrêtant dès que çà buttait un
peu, cela dura bien cinq ou six minutes, et puis mon envie fut trop forte, je
commençais à perdre le contrôle de moi-même, lorsque je sentis brusquement s'enfoncer
tout seul mon dard jusqu'au plus profond de son vagin, et surpris, ma queue redevenait
un peu molle. Entamant alors un mouvement de va -et -vient rapide, n'ayant plus aucune
contrainte, je me mis très vite à bander de nouveau, lâchant ma semence saccadée dans
une intense sensation de plaisir.. C'est à peine si Corinne émit un petit cri que
déjà, tout son corps se détendit, recevant mon jus d'un air béat, comme si elle était
en extase. Elle vivait sa première "petite mort", et lorsque je me retirai, quelques
gouttes de sang perlèrent de son vagin.
Emilie nous rejoignit alors sur le lit d'amour, essuya ses quelques gouttes
de sang, et s'allongea près de Corinne, avant de l'embrasser longuement d'un beau
baiser d'amour. Puis elle lui enfila une culote en coton, remonta les draps sur nous,
et resta allongée en silence quelques minutes, tandis que Corinne, se tournant vers
moi, m'embrassa à son tour, avant de me dire d'un air de femme épanouie: "C'était
merveilleux, Chris, c'était trop bon, grâce à toi, et en plus, j'ai même pas eu mal.
Tu sais, maintenant, je me sens vraiment une femme". Au bout d'une demi-heure, Emilie
nous conduisit à la salle de bain, lui fit une petite toilette vaginale, et me lava
aussi tout mon membre, avant de nous embrasser tous les deux. Alors, à mon tour,
j'embrassai ma partenaire, toute souriante et heureuse d'être devenue femme, lui
avouant que finalement, j'étais bien content d'avoir été dépucelé grâce à elle, que je
l'avais trouvé très agréable et très douce, très amoureuse en somme. "Merci mon
amour", me répondit-elle, "tu es gentil, dommage que tu préfères Philippe, mais çà te
passera surement un jour. Bon, maintenant, je vais me reposer dans la chambre d'à
côté, je vais te laisser avec Emilie, la pauvre a eu beaucoup de patience, à nous
observer". Je lui répondis que la perte de notre pucelage ensemble serait un moment
inoubliable, et que sa sœur était pour nous, en quelque sorte, notre "marraine de
sexe".
Quand je rejoignis Emilie dans la chambre, elle avait ôté l'alèse, et
m'attendait toute nue, jambes écartées, prête à me recevoir. "Mon toutou est beau, il
bande déjà de nouveau, viens saillir ta maîtresse, et lui donner tout ton jus, et ne
me dis pas que tu as tout donné à Ninine". Je m'attendais à un long moment de
tranquillité, au lit avec elle mais elle avait du retard à rattraper, de la vengeance
également à satisfaire car, sautant brusquement du lit, elle me fit mettre à quatre
pattes sur le tapis, se mit à me chevaucher, la tête regardant mes fesses, et commença
à me fesser de très longues minutes, en me traitant comme un chien, m'insultant, me
traitant de dégénéré, de bâtard, de petit enculé, et autres noms d'oiseaux, tout en me
demandant par trois fois si je voulais me marier avec elle. Bien qu'ayant de plus en
plus mal, je lui répondis à chaque fois négativement, et lui faisant remarquer, la
première fois, que Corinne allait tout entendre. "T'inquiète pas, elle est au courant,
on ne se cache rien, toutes les deux, en plus, elle t'a entendu crier, comme çà, elle
saura au moins le froussard que tu es".
Revenue à de meilleurs sentiments, apparemment, elle cessa son manège, me
conduisit à nouveau sur le lit, en frottant doucement mes fesses, comme pour les
calmer, tandis qu'elle m'embrassait. "Bon, pour aujourd'hui, je t'ai assez dressé,
mais n'oublie jamais que toute ta vie dépend de moi, c'est moi ta vraie maîtresse, et
tu devras m'obéir, sinon... ". Alors, brusquement, ne pouvant plus attendre, elle
voulut s'empaler sur mon chibre, qui avait retrouvé toute la vigueur de mon
dépucelage, et ma pénétration se fit comme dans du beurre, puis je voulus à mon tour
la saillir comme une chienne, et on aurait dit qu'elle n'attendait que çà pour se
libérer complètement. De ce fait, me laissant aller, je vidai totalement mes bourses,
de nouveau bien pleines, au fond de son ventre, jusqu'à butter sur son "museau de
tanche.
Elle n'exprima pas même un sourire, mais lorsque je lui demandai, une fois
mes ardeurs calmées: "J'espère que Ninine prend la pilule", elle me répondit: "Elle
oui, depuis deux mois, mais moi, non ! Si un jour j'ai un bébé de toi, et peut-être
que tu viens de m'en faire un, je ne te le dirai jamais, çà t'apprendra à pas vouloir
de moi. Au fait, je te l'ai pas dit, Corinne n'a que 16 ans, pas 18, elle est mineure,
tu vois ce que çà veut dire...". Je voyais trop bien en effet comme j'étais à sa
merci, et de plus, six semaines après, elle m' apprit qu'elle était enceinte, et ne
savait pas qui était le père !.
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