Dépucelé par la grande et plantureuse Marianne (2)

- Par l'auteur HDS Bgp -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Dépucelé par la grande et plantureuse Marianne (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Dépucelé par la grande et plantureuse Marianne (2)
S’accroupissant légèrement, elle passe un de ses avant bras massif sous mes fesses et me soulève comme une fillette pour m’asseoir à califourchon sur une de ses hanches. Elle finit de me positionner par une puissante impulsion du bassin qui fait sauter mon corps en l’air comme s’il ne pesait pas plus lourd qu’une plume. Je ne peux contenir mon étonnement.


- Tu es si forte ! J’adore quand tu me soulèves ! ça m’excite énormément.
- Je sais. J’ai l’habitude. Depuis que la nature m’a donné ce corps fort et puissant, je me suis bien rendu compte que la plupart des hommes fantasmaient sur moi, et se pissaient dans l’oeil dès que je les soulevais.
- C’est une vraie découverte pour moi. Ta silhouette m’a totalement hypnotisé la première fois que je t’ai vue. Tu es si belle, si grande, si forte…
- Merci mon petit chéri, tu es adorable, si petit, si léger, si mignon.


Les chromes luisants de la moto reflètent l’image bien singulière d’une petit homme pâle porté par une belle et grande femme à la peau mâte. Je parais si petit et si léger dans les bras de ma belle. Elle m'emmène un peu plus loin sous les arbres, là où pousse une mousse confortable, plus propice à des ébats torrides. Elle s’agenouille par terre puis passe sa main derrière mon dos pour m’allonger délicatement sur le sol et se positionne ensuite à quatre pattes au dessus de moi. Ses seins touchent presque mon visage et Marianne prend un air grave pour me dire:


- Je vais faire de toi un homme.


Elle se penche alors un peu plus pour caresser tout mon corps avec sa lourde poitrine, d’abord mon visage, puis mon buste, mon ventre et enfin mon sexe qui se trouve prisonnier au milieux des deux melons. La belle entreprend alors de me masturber au milieux de ses seins. Ils sont si lourds que Marianne n’a même pas besoin de se servir de ses mains pour les comprimer. La pression qu’ils exercent est suffisamment stimulante pour me donner de belles sensations. Elle m’excite depuis tellement longtemps qu’elle n’a pas beaucoup d’effort à fournir pour me faire jouir. Mon corps se cabre sous l’effet du plaisir et je jouis au milieux de l’opulente poitrine de mon amante. Marianne s’assoie alors sur ses talons et me regarde d’un air à la fois satisfait et déçu:


- Je suis contente de t’avoir fait jouir aussi rapidement, mais ce n’est pas en éjaculant sur mes seins que tu ne seras plus puceau et j’aurai bien aimé prendre un peu de plaisir aussi.
- Je suis désolé. Tu m’a tellement chauffé depuis que tu m’as soulevé pour me monter sur ta moto que je ne tenais plus. Tes seins sont si beaux et si lourds, je n’ai pas pu me retenir plus longtemps.
- Ce n’est pas grave. On a tout l’après midi devant nous mon petit amour. Si on allait se baigner ? J’ai besoin de nettoyer mes seins que tu as englué.
- Tu sais, je ne suis pas un très bon nageur, et avec ses vagues, j’ai peur de ne pas y arriver.
- Mais ce n’est rien mon petit, je vais t’aider.


Marianne se relève alors et je fais de même. Elle s’approche de moi pour m’attraper mais je recule pour tenter d’éviter le bain. Elle se penche alors un peu, passe un main sous mes fesses, puis me soulève ensuite pour me maintenir à plat ventre sur une de ses larges épaules. Je gigote les jambes pour essayer de m’échapper mais je ne peux rien faire. Elle me donne alors une petite claque sur les fesses qui me convainc que je ferais mieux de rester immobile. Elle dit alors en riant.


- Si je te dis que l’on va se baigner, c’est que l’on va baigner ton petit cul blanc de parisien.


Elle se met alors à marcher en direction de l’eau et j’ai une vue plongeante sur sa superbe chute de rein, son imposant fessier, l’arrières de ses cuisses galbées et ses mollets puissants. Elle pénètre alors dans l’océan et s’enfonce petit à petit jusqu’à ce que l’eau frôle mon visage.


- Eh ! Attention ! Tu vas me noyer !


Marianne me fait alors glisser sur son épaule pour que je repose face à elle, confortablement assis sur son avant bras, mes maigres jambes pendant de part et d’autre de son corps. Mes mains viennent machinalement se placer sur ses seins qui remontent sous son cou sous la pression de mon buste. Mon visage est face au sien. Elle ferme les yeux et m’offre ses lèvres. Je l’embrasse goulûment comme pour la remercier d’être à nouveau porté dans ses bras puissants. Son autre main vient sur ma nuque pour me caresser et soutenir ma délicate ossature, pendant que les vagues viennent frapper mon dos. Marianne continue alors à avancer et l’eau continue de monter. Elle s’arrête puis fléchit ses jambes pour que nos têtes passent sous l’eau alors que nous nous embrassons toujours. Les sons deviennent plus feutrés et le contact de l’eau tiède détend mon corps qui se relâche dans les gros bras de la lanceuse de poids. Ils n’en faut pas plus à mon sexe pour reprendre de la vigueur. Il se tend contre la poitrine de ma princesse qui se relève, et nous émergeons. Nous nous regardons alors l’un l’autre. Marianne esquisse un sourire quand elle sent que je suis à nouveau prêt à la satisfaire.


- Je vois que mon petit homme est à nouveau heureux.


Elle me porte alors sur la plage, s’agenouille, puis me dépose à nouveau sur le sol, dos sur le sable tiède. Elle s’allonge sur moi et frotte son corps immense sur le mien qui s’enfonce un peu plus dans le sable. Elle se redresse un peu, puis positionne son bassin de manière à ce que son sexe soit au dessus du mien. Elle frotte mon pénis turgescent contre ses lèvres humides puis laisse enfin ma petit aiguille la pénétrer. Je viens d’atteindre le but de mes désirs adolescents. Je suis en elle ! Marianne est une vraie experte. Les muscles de son vagin stimulent habilement mon sexe. Elle agite son bassin doucement, consciente que si elle va trop vite, mon inexpérience va me faire venir trop vite. Ses seins volumineux oscillent au dessus de mon visage et j’ai juste à tendre la langue pour goûter aux fruits juteux. Bien qu’elle dose sa force colossale, chacun de ses coups de reins secoue mon petit corps léger. A mesure que son niveau de son plaisir s'accroît, Marianne augmente inconsciemment l’amplitude et la force de ses mouvement, si bien que sa lourde poitrine s’écrase de plus en plus souvent sur mon visage. J’ai beau tenté de me contrôler, mais c’est peine perdu face à cette montagne de sensualité. Je sens déjà des fourmillements dans mon bas ventre et j’explose à l’intérieur de l’amazone qui me stimule d’autant plus quand elle sent que je suis au bord de l’orgasme. Mon plaisir est si intense qu’il me pousse à tenter d’enfoncer l’arrière de ma tête dans le sable et j’ouvre la bouche pour pousser un gémissement de bonheur. Marianne toujours à califourchon sur moi me regarde d’un air amusé.


- Tu es encore venu trop vite pour moi ! Il va falloir que je t’apprenne à être plus résistant mon petit puceau.


Je regarde la belle dont la silhouette me domine. Elle croise ses bras sur son buste, comprimant sa poitrine qui n’a d’autre solution que de remonter sous sa gorge.


- Je suis désolé. Tu es si belle, si sensuelle, et avec ta lourde poitrine qui n’en finissait pas de s’écraser sur mon visage. C’est plus fort que moi.


- Vous êtes tous les mêmes. Une grosse paire de nibbards vous caressent les nez, et vous balancez la purée sans contrôler quoi que ce soit. On n’a pas fini de jouer mon mignon. Je vais t’apprendre à satisfaire une femme autrement...


Marianne se met sur ses genoux pour libérer mon sexe, puis roule sur le coté pour s’asseoir dos à un arbre. Elle relève ses jambes pour les écarter et m’offrir une vue plongeante sur son sexe.


- Approche toi, n’aie pas peur, je vais te guider.


Je pénètre dans l’enceinte formée par les jambes musclées de ma princesse et je m’assois sur mes talons au milieux de cette forteresse de sensualité. C’est la première fois que je vois un sexe de femme autrement qu’en photo. A vrai dire, je n’ai jamais trouvé ça très beau, mais celui de Marianne est proprement épilé et d’un rose éclatant. Faisant glisser sa main entre ses cuisses, elle écarte ses lèvres pour dégager son clitoris. Mes yeux ne perdent pas une miette du spectacle.


- Penche toi mon mignon, vient lécher mon bouton de plaisir.

Appuyant mes mains de part et d’autre du sexe de Marianne, je m’incline pour poser ma langue sur le petit bout de chair rose. Je suis surpris par sa douceur et son goût légèrement sucré. Ma belle réagit instantanément. Elle se cambre, faisant jaillir un peu plus sa belle poitrine et ses tétons vers le ciel.


- Oui, comme ça, c’est bien. Ne te contente pas de lécher dans le même sens. Surprends moi. C’est ce qui plaît au femme.


Je glisse une de mes mains sur lèvres de l’amazone et caresse doucement ses pétales. J’alterne le sens de rotation de ma langue, verticalement, horizontalement, provoquant des soubresauts de plaisir chez ma plantureuse amante.


- C’est très bien ! Continue comme ça, ouiiiiiiiiiiiiii


Marianne se met alors à caresser de ses grosses mains mon dos fragile, puis mes petites fesses. Ses doigts effleurent alors mon anus et je frémis de surprise, arrêtant de stimuler le clitoris de ma belle.


- Ne t’arrête pas ! Je ne vais pas te violer ! Tu vas voir, ta rondelle est aussi une zone érogène surprenante.


Je reprends consciencieusement mon travail pendant que la main de Marianne caresse mon petit trou. En effet, je me surprends à aimer ça et mon sexe se tend même de plaisir !


Les secousses du corps de Marianne sont de plus en plus violentes, je sens qu’il ne manque pas grand chose pour la faire jouir et j’augmente la pression de ma langue. Marianne pose alors ses mains autour de ma taille de guêpe et l’enserre. Au fur et à mesure de mes stimulations, le degré d’excitation de Marianne augmente tellement qu’elle finit par me décoller du sol, si bien que je suis suspendu dans les airs par la seule force de ses bras, avec ma bouche encore collée sur son sexe.


- Ouiiiiiiiiiii, mon dieu que c’est bon ! Continue, on y est presque….


J’ai l’impression d’être un sex-toy que l’amazone tient dans ses mains pour se satisfaire. Marianne se met à hurler de plaisir et son jus chaud et sucré s’écoule sur mon menton. Toujours maintenu par la taille à quelques centimètres du sol, mon corps est secoué par les ondes de plaisir qui traversent le corps de la valkyrie. Elle me pose finalement au sol et je regarde le spectacle de sa superbe poitrine qui se lève et se baisse au gré de sa respiration haletante.


Marianne me lance un regard tendre et désireux. Elle ouvre alors ses bras et m’invite à m’y jeter.


- Vient contre moi mon petit, ça vaut bien un énorme câlin.


Je me jette alors sur la poitrine de l’amazone qui me sert dans ses bras. Nous nous embrassons passionnément. Je sens ses énormes seins sous mon corps et mon sexe déjà bien excité par les stimulations anales de Marianne devient dur à nouveau. La belle me saisit alors à nouveau par la taille et me soulève jusqu’à ce que mon sexe soit au niveau de sa bouche. Elle se met alors à le sucer avec adresse, insistant sur la limite entre le gland et la hampe. J’ai l’impression d’être au paradis ! Ma belle porte tout mon poids dans ses bras et me donne la première fellation de ma vie. Je voudrais que ce moment dure pour toujours mais ma libido à grande vitesse d’adolescent ne s’encombre pas de ma volonté. J’explose dans la bouche de la belle qui avale goulûment ma semence.


A bout de force, mon corps se relâche dans ses mains puissantes. Je suis aussi flasque qu’une poupée de chiffon.


- Tu es un bon amant même s’il te manque encore un peu de résistance, et puis tu es tellement mignon que tu peux faire craquer n’importe quelle fille d’un seul regard.


Mon amazone me pose à califourchon sur ses cuisses et je m’étale sur ses seins. J’enserre son cou musculeux et pose ma joue sur son épaule. Ses mains viennent entourer mon petit corps et elle dépose délicatement un baiser sur le sommet de mon crâne. Le doux soleil de fin août enveloppe ma peau d’une chaleur relaxante. La brise joue avec mes cheveux. Marianne me berce comme un enfant et je sombre dans une douce torpeur, me délectant du contact si sensuelle de sa ferme et volumineuse poitrine sous mon buste. C’est alors qu’une voix familière me ramène brutalement à la réalité.


- Et bien ! Je vois que vous n’auriez pas pu mieux faire connaissance ?


C’est Fred ! Les amies de Marianne savaient où elle allait m’emmener, et ne nous voyant pas revenir, ils ont décidé de nous rejoindre. Ils avaient laissé leur voiture au bord de la route. Les deux couples nous regardent d’un air amusé et surpris. Je prends soudainement conscience de la situation dans laquelle je suis: Totalement nu, assis sur les cuisses musclées d’une amazone qui me berce contre sa lourde paire de seins. Marianne passe alors une main sous mes fesses et l’autre dans mon dos, puis se relève tout en me soulevant. Elle répond à Fred:


- Tout à fait, on s’est bien amusé !


Je n’ai jamais vu mes deux amis avec l’air aussi surpris. Je ne sais pas si c’est à cause de la facilité avec laquelle ma belle me tient dans ses bras, ou si c’est par la vue de son énorme poitrine qu’elle vient de leur dévoiler. En tout cas, la toile tendue de leur caleçon de bain ne laisse aucun doute sur leur état d’excitation. Marianne s’en amuse:


- Je vois que vous aussi vous êtes en forme. C’est bien, on va pouvoir faire des trucs ensemble. Qu’en dites vous les filles ?


Les deux amies répondent en enlevant rapidement leur maillot et en s’approchant de Marianne dont elles caressent maintenant le corps immense. Alors que les mâchoires de Fred et Marc sont prêtes à tomber dans le sable, Marianne les appelle.


- N’ayez pas peur, je ne vais pas vous manger. Laissez tomber vos maillots et approchez vous.


Comme hypnotisés, mes deux compères quittent leur maillot et se dirigent avec une démarche de robot vers l’immense déesse. Marianne me dépose à ses pieds pour que ses deux amies me prennent en charge. L’une d’elle se met à m’embrasser torridement pendant que l’autre frotte sa poitrine tendue contre mon dos. L’amazone accueille Fred et Marc en écartant ses larges bras. Quand mes deux amis sont assez prêts, elle passe ses mains derrière leur nuque afin de diriger leur bouche vers ses tétons qu’ils engloutissent goulûment. Je me laisse alors aller dans les bras des deux nymphes qui vont jouer de moi et avec moi toutes la nuit. Fred et Marc ne seront pas trop de deux pour satisfaire l’insatiable amazone. Ces vacances s’annoncent inoubliables...


Fin


Pour me contacter : petitskinny<@>yahoo.fr , toutes les remarques sont les bienvenues

Les avis des lecteurs

très bien écrit ! :)



Texte coquin : Dépucelé par la grande et plantureuse Marianne (2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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