Dérapage - histoire érotique

Dérapage.

Quand je suis en voyage d'affaires, il m'arrive régulièrement de faire des rencontres.
Ainsi à Montréal, je me promenais dans le quartier chaud , non loin de mon hôtel, je rentrais dans un bar à strip-tease et buvais une bière et rapidement faisais connaissance avec mes voisins. L'un était chef d'entreprise, l'autre camionneur. Particularité de ces lieux outre atlantique où se fréquentent des milieux très différents.


Je refuse la table dance et je ressorts pour la boîte voisine qui est gay. Nouvelle bière, je suis rejoint par mon camionneur qui m'avait suivi.

Il m'invite à le suivre et me roule une magnifique pelle. Dès le début, son physique m'avait plu. De beaux yeux très clairs, une belle moustache, un beau physique, bien charpenté, disons 1,85m. pour 110kg. , un bon feeling, un peu de ventre et une grosse bosse sous son jeans.

Nous sommes à l'entrée du background, il me pousse et s'ensuit une exploration réciproque : mes doigts se glissent sous sa chemise en flanelle, je caresse ses seins bien développés, pince ses tétons pendant qu'il fait tomber mon falzar et le sien sur nos chevilles, il m'empoigne mon paquet et le secoue, il se baisse, toujours en s'embrassant et dirige mon visage vers sa taille, ma bouche frotte la bosse sur son boxer. Mes lèvres courent dessus en bavant, sa main pince et étire mes tétons, de son autre main il explore ma raie et glisse son index sur mon anus prêt à s'ouvrir, son doigt s'enfonce facilement. Il le ressort et me le fait sucer et recommence.

Je baisse son boxer et prend son sexe en bouche. Il n'est pas complètement érigé mais il ne tarde pas à l'être complètement. Il me remplit la bouche et son odeur est forte. Je le sens bouger et ses poils pubiens me caressent les lèvres. Il donne des à coups, se retire pour replonger aussitôt. Il finit par me baise la bouche en me tenant par les tempes. Ses mouvements sont amples et lents. Il veut faire durer et ma langue le caresse et s'enroule autour du gland quand il recule.

Il me relève et m'embrasse passionnément , il me mange, se baisse, récupère un préservatif, déchire l'emballage aves ses dents, le déroule toujours dans un noir relatif.
De temps à autre, nous sommes bousculés par des allées et venues. Il me plaque au mur, me fait sucer ses doigts puis les insère dans mon conduit, sa queue encapuchonnée remplace ses doigts et il s'enfonce jusqu'à la garde sans peine, je suis rempli, il me baise sans difficulté et me procure beaucoup de plaisir, ma queue dégouline sans arrêt au sol et sur mon pantalon. Je jouis de la prostate, Je geins doucement pendant qu'il me pilonne sans un mot.
Autour, dans l'obscurité, des mecs se branlent et s'embrassent. Les savoir aussi près, entendre leurs souffles m'excitent encore plus.
Il accélère, ahane enfin et pousse un cri de soulagement tandis qu'il remplit sa capote.

Il me retourne et m'embrasse passionnément à nouveau puis il fait pression sur mes épaules pour que je le nettoie, ce que je m'applique à faire pour prendre toute sa sève et le retenir encore en moi.
Il me ramène au bar où nous ingurgitons un verre de bourbon.


Je vous passe les commentaires anglophones. En gros, je suis une grosse salope qui encaisse bien et qui l'a bien vidé. Il va repartir dans le Nord mais il connait d'autres mecs qui seraient très heureux de me rencontrer.

Il connait un bar sur la route où il y a des soirées cuirs et je pourrais goûter au SM gay. Il a vu que j'aimais être dominé par des mecs virils et ouvert à des pratiques extrêmes.
Le lieux est fréquenté seulement par des habitués mais il a un ami qui y va dans deux jours et peut m'inviter.

Il me donne un numéro de téléphone à appeler. Il m'a dit que cela se passait à une vingtaine de miles.



J'avais encore quelques jours à passer en célibataire puis je me suis décidé à appeler en me disant que je pouvais toujours faire marche arrière.

Grâce au GPS, j'arrive devant une grande bâtisse à l'écart de la route, près d'une station service. Plusieurs trucks rutilants sont garés ainsi que plusieurs 4X4.

A l'intérieur, un bar où la bière coule à flot sur fond de métal. Arrive une dizaine de bikers sur des harleys pétaradantes au moment où je franchis le seuil. Flotte le drapeau québécois, le drapeau arc en ciel LGBT et un drapeau noir inconnu.
Le barman est un bear tout habillé en cuir et plusieurs mecs attendent leur arrivée.


C'est un gang du coin qui vient se défouler. Ils rentrent à ma suite vêtus de leur blouson et pantalon en cuir, coiffés de casques incroyables. Ils arborent des tatouages, des moustaches, barbes et chevelures hirsutes et m'interdisent tout retour arrière. Ils me poussent vers le bar et me forcent à boire une énorme pinte de bière.

Visiblement, ma tenue de commercial fait tâche et les excite. Ils me caressent et tirent sur mes vêtements. Un, a sorti un couteau et fait mine de s'en prendre aux boutons.

Heureusement, un trucker qui revenait des toilettes s'adresse à moi et m'invite à le suivre dans son camion.


C'est Jeff, celui que j'ai eu au téléphone. Sa cabine est vaste, des photos pornos décorent l'intérieur avec des photos de grizzlys et de caribous sur la route verglacée. Il me dit de me déshabiller. Sa cabine est bien chauffée, il y a un réchaud et un frigo. De son sac, il sort une tenue complète de gogo danseuse : string, porte jarretelles, bas résilles, corset avec des prothèses mammaires, perruque et entreprend de me maquiller : fond de tain, fard, rimmel, rouge à lèvres… il me fixe un collier de chien noir assez large muni d'anneaux et des mules à talonnettes.

Il me parfume copieusement avec une bombe bon marché et son coéquipier qui vient aux nouvelles me sort et me ramènent dans le bar.


Des sifflets fusent et je suis amené sous le projecteurs du pool dance. Ils me font signe de danser, on me claque les fesses et tout le monde rigole.
Je me déhanche maladroitement et un biker en profite pour m'enlacer, Il m'impose un baiser baveux sous les rires de ses camarades.

Un autre se colle à mon dos et me lèche le cou et les oreilles. Il mime un coït sous les encouragements et glisse un doigt dans ma raie.

Sur l'air de « you can leave your heat" de Joe Cocker, je dois entamer un strip-tease sous les applaudissements.

La musique terminée, je dois m'agenouiller et défaire les boutons de la combinaison en cuir pour sortir une demi molle de bon diamètre de celui qui m'a accompagné durant le show.

Dans la salle, les mecs s'embrassent et se paluchent. Un gars seulement vêtu d'un gilet en cuir ressort des toilettes et remonte dans son véhicule.

Je vois aussi Jefff se faire sucer par un biker, il le tient par une chaîne enroulée autour de son cou, ses tétons sont percés par des anneaux et il porte des bracelets en cuir aux poignets.

On me descend de l'estrade et je suis placé au milieu d'une piscine gonflable pour enfants. J'en comprends vite la raison tant je bave, on me fait encore boire de la bière qui coule et que l'on me renverse sur le visage tandis que se succèdent les candidats à la chaîne.
Ils m'entourent, mes genoux fatiguent et l’on me donne deux coussins. Voilà plus de trente minutes que je m'active à sucer des bites de tout diamètre.

j'entends des claquements réguliers et je devine Jeff en train de fouetter un esclave les bras suspendus à une poutre de la salle.
J'ai reçu une première éjaculation en pleine face, les premiers se réservant sans doute pour la suite, celui-là n’est pas un motard mais un chasseur, il a gardé son gilet mais il ne porte qu'un jokestrap et ses rangers.
Il écrase son sexe redevenu à la normale pour en extraire les dernières gouttes puis m'urinent dessus et vise ma bouche, je ferme les yeux, une odeur de cuir remplit mes narines.
D'autres se joignent à lui et ils sont plusieurs. Deux mains musclées me prennent l'arrière de la tête et des pouces m'obligent à ouvrir la bouche en grand. Je me gargarise avec leur urine en tentant de la recracher.
Deux doigts viennent alors me pincer le nez et m'oblige à avaler. Cela suscite des rires et quolibets et c'est presque toute la salle qui est autour de moi et qui se soulage.

Je suis assis dans une mare de pisse.

Jeff me soulève et entreprend de me laver dans les douches pour les routiers. La pièce est spacieuse, il me sèche et me demande si ça va.

Je reviens dans la salle avec une grande serviette autour de la taille. Je suis assis sur un tabouret, le dos calé contre le bar.
Le coéquipier de Jess s'approche et baisse son pantalon de survêtement. Il porte une cage de chasteté et de grande traces rouges sur le buste, il se tourne et me montre son dos zébré.

Un grand tonneau trône au milieu de pièce, il appuie les mains, se recule et se penche, jambes écartées. Jess retire un plug qu'il remet aussitôt prend un paddle et assène dix coups réguliers sur chacune de ses fesses. Il frappe fort, lentement et son esclave compte. Tous sont autour et l'on entend aucun bruit.
Les fesses rougissent puis deviennent violettes. Au dixième coup, Jess le relève et l'embrasse , il se baisse, prend la clé minuscule pendue à son cou et le libère de sa cage. Un gars se précipite déplie son sexe, le prend en bouche. Quelques vas et vient et il recueille religieusement tout son sperme pour ensuite l'embrasser passionnément sous l'œil de Jeff qui maintient leurs têtes de ses bras puissants.
La piscine a disparu, remplacé par une selle de moto sur un cadre surprenant. Un des gars est allongé sur le ventre , ses mains tiennent le guidon, son cul pointe vers le ciel, l'anus bien visible. Ses bottes reposent au sol.
Le chef de la bande lui annonce sa punition, il aurait eu une conduite déloyale. On entend la sentence : cinq coups de ceinturon par chacun des membres soit trente cinq.
C'est un ceinturon large, épais, souple, le supplicié reçoit sa correction sans faiblir, son dos et son postérieur sont striés de profondes marques . Il compte les coups. Les fouetteurs change à tour de rôle, certains prennent leur temps et varient les coups, d'autres font glisser la ceinture. Ils tournent autour, glissent la main et attrapent ses attributs, beaucoup se sont dénudés partiellement et exhibent fièrement leurs pines turgescentes. Leur tour fini, je dois les sucer et ils jouissent rapidement dans ma bouche, d'ailleurs un bol a été mis à ma disposition.
Puis je suis à mon tour installé sur l'étrange machine sur le dos. Mains et pieds attachés au guidon, la serviette sous moi.
Ceux qui n'ont pas jouit et qui ont de la ressource, peuvent me sodomiser, ils seront quatre dont
Jeff et son esclave.
Ces deux derniers m'ont copieusement pénétrer avec le contenu du bol. Ils avaient des gants en latex et faisaient tourner leurs doigts. Je coulais sur la serviette et ils ont réussi à introduire chacun leur main à tour de rôle jusqu'au milieu de l'avant bras. Il m'a fallu les implorer pour arrêter.
Les motards repartis, Jeff me ramène à son camion, sur le parking désert dans l'obscurité
Il me rends mes effets et me souhaite un bon retour.

Autant dire que j'ai eu beaucoup de mal à supporter les huit heures d'avion. Maudits cousins !!!