Dérapages croisés (suite)
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Dérapages croisés (suite)
Finalement la soirée de Léopold n’avait pas fini comme il le craignait. Seul devant son écran d’ordi à mater une vidéo de sexe et à se branler. Non à cet instant il partageait la chambre de Clotilde et de sa copine Vera. Pour être précis il était à genou devant cette dernière et lui léchait la chatte depuis si longtemps qu’il en avait mal à la langue pendant que Clotilde l’enculait en le branlant. Une nuit de rêve quoi.
Bon si vous avez lu la première partie de cette histoire vous vous souvenez que Léopold a laissé sa compagne à Paris pour rejoindre Vannes où il assiste à un congrès. C’est là qu’il a revue Clotilde, une ex à laquelle il n’a pas laissé que de bons souvenirs. Après un diner assez torride Clotilde l’a laissé en plan, la bite en érection, revanche prise. Mais vers minuit elle l’a rappelé. Il n’avait pas encore eu le temps de jouir et il a littéralement couru à sa voiture et laissé son Kyriad Prestige pour la rejoindre – les rejoindre, elle sait qu’elle partage une chambre avec une copile – dans un hôtel du centre-ville.
Les deux femmes, Clotilde, 1m65, mince, chic et Vera, 1m60, gironde, avec deux seins assez curieusement de tailles différentes comme Léopold a pu tout de suite le constater. Passablement ivres les deux femmes l’attendent en effet nues, enfin Clotilde a mis un peignoir pour lui ouvrir, assises autour d’une bouteille de vodka. « Entre Léopold. On ne t’a pas attendu pour commencer. Allez, mets toi à l’aise. » Ni une ni deux elles commencent à le déshabiller. « Oh tu ne sens pas très bon. Allez à la douche. » Mi-amusé, mi-gêné, Léopold se laisse emmener sous la douche où elles le lavent comme un enfant, plaisantant un peu sur la taille de son sexe qui, même bandé, semble bien « petit » à Clotilde : « J’ai eu mieux depuis »« Viens me baiser. » Vera veut passer aux choses sérieuses. « Attends, je vais lui attacher les couilles avec un lacet, qu’il ne jouisse pas trop vite. Hein Léopold, tu n’as jamais été très endurant ? » Joignant le geste à la parole Clotilde lui entoure les couilles et le sexe avec un lacet. Gode ceinture, préservatifs, gel, laisse, elle a pensé à tout. « Je ne pars jamais en congrès sans le matériel nécessaire », rit-elle pendant que Léopold prend sa copine.
Si Clotilde semble peu apprécier Léopold, ce n’est pas le cas de Vera qui prend un pied fabuleux à se faire prendre – longuement, dans toutes les positions – par le trentenaire. Si Clotilde n’apprécie que les super musclés, elle aime beaucoup les intellos un peu féminins comme Léopold. Leurs baisers sont passionnés mais c’est Clotilde qui mène le bal. Et elle leur a dit de passer en levrette. Clotilde a toujours trouvé la position un peu animale mais apprécie le fait que l’homme ne puisse plus voir ses seins dépareillés. Mais évidemment Clotilde a une autre idée : se faire lécher pendant que Léopold la prend.
« Non tu ne me prendras pas. » Les tentatives de Léopold pour convaincre Clotilde de faire à son tour l’amour avec lui sont sans résultat. « Enlève moi au moins ce lacet. J’ai trop envie de jouir.
- Pas en moi en tout cas. Vera, tu veux ?
- Je crois qu’il l’a bien mérité. Cela te dérange si je te suce. J’ai le sexe en feu je n’ai plus trop envie que tu me prennes. » La proposition est tentante. D’autant que Chrystèle déteste qu’on lui jouisse dans la gorge. Vera défait le lacet. Se met à genou devant lui. Le suce avec application jusqu’à qu’il jouisse à grands jets dans sa bouche. Elle avale tout avec toujours la même application. Très vestale des dieux. A cet instant il a très envie de la revoir. Mais Clotilde le met vite dehors. Il est trois heures du matin. Le train de retour vers Paris part à 8 heures. La nuit a été courte mais splendide.
Du côté de Chrystèle non plus la nuit n’a pas été longue. En résumé elle a rejoint son amant de l’été, Christian, en Normandie mais ne s’attendait pas à qu’il soit accompagné de trois autres hommes, trois Allemands dont un très dominant appelé Bernhardt. Elle a beau avoir été baisée par ces deux hommes elle ne connaît pas leurs noms. Quant à Bernhardt il s’est éclipsé avec Angela, l’autre femme de la soirée dont elle n’a pas compris qu’elle était la nationalité. En résumé il est un peu plus d’une heure du matin dans la maison de Christian sur la cote normande, Chrystèle est nue dans ses bras dans un grand canapé de cuir rouge. Il est également nu. Les deux Allemands leur font face. Tous les trois boivent du champagne et discutent en anglais, même s’ils ne le parlent qu’imparfaitement.
Si elle apprécie la force brute de Christian, ses 40 ans bien conservés, Chrystèle ne peut s’empêcher de loucher sur la musculature parfaire de ceux qu’elle a désigné toute la soirée comme ses étalons. Après tout tous travaillent dans l’élevage de chevaux et elle les a plusieurs fois entendu l’appeler leur « Stutfohlen » (« Pouliche » en allemand, lui a expliqué Christian) pendant qu’ils la prenaient chacun leur tour. Elle sent qu’ils ne sont pas repus et attend impatiemment le « deuxième round » comme on l’appelle dans les soirées libertines…Deuxième round qui commence par une injonction de Christian : « Va sucer nos deux amis. Ils reprennent de la vigueur ». Les deux étalons se sont levés et elle se met à genou devant eux. Effectivement ils sont vigoureux et elle s’attache à les rendre encore plus durs en passant d’une bite à l’autre. Elle n’en peut plus de désir à les sentir ainsi dans sa bouche tout en contemplant leurs corps parfaits. 1 m 90 de muscles qui rendent Christian quelque peu jaloux même s’il ne peut qu’obéir aux indications de Bernhardt, richissime propriétaire de haras qui a amené avec lui ses deux « hengste » (« étalons » pour mieux prendre la splendide pouliche que son ami Christian lui a promis d’amener.
Splendide Chrystèle l’est effectivement : 1m75 parfaitement proportionnés, des seins de rêve que les Allemands flattent de leurs mains, un cul de déesse auquel Christian pensait régulièrement depuis plus de six mois et leurs aventures au Cap d’Agde. D’un seul coup il regrette de la partager, sent qu’il en est beaucoup plus amoureux qu’il le pensait, se demande ce qu’elle va penser de lui. Un peu tard puisque les deux Allemands l’ont maintenant positionnée par terre, à quatre pattes sur l’épais tapis, et la prennent consciencieusement de l’arrière à l’avant, en ponctuant leur pénétration de commentaires qu’elle imagine salaces.
Enfin ils jouissent en elle. La jouissance de « l’étalon de son cul » semble entrainer celle de « l’étalon de sa bouche ». Des flots de sperme sortent de leur sexe. L’étalon du dos a un préservatif mais elle sent très bien quand il jouit tout en ahanant et en lui tenant fermement les fesses. Devant l’étalon n°2 lui tient fermement la bouche pour qu’elle avale tout. Ce qu’elle déteste mais fait pour leur faire plaisir. Ils l’ont moins bien baisée que dans la soirée mais bien quand même.
Satisfaite d’elle elle est déçue de voir que Christian s’est endormi. Pas grave, les deux Allemands ont décidé de la chouchouter toute la nuit et elle les accompagne dans leur chambre. Un grand lit qu’elle partage entre eux deux. KO debout ils s’endorment vite.
Le matin il est tôt quand Christian vient la chercher. Nue entre les deux hommes toujours endormis elle les contemple une dernière fois, se demandant si elle repassera un jour une nuit aussi incroyable, avec deux hommes aussi splendides. « Viens, tu vas rater ton train. On va le prendre à Dieppe, c’est le plus près. » Il semble épuisé par la nuit. Elle est heureuse de retrouver Léopold et bien décidée à ne rien lui dire de sa soirée.
« C’était bien ton congrès ?
- Classique. Rien de bien intéressant. Et toi ta nuit ? Tu as l’air fatiguée. Tu es sortie avec des copines.
- Oui et on a bien bu.
- Seulement bu ?
- Seulement bu. »
Bon si vous avez lu la première partie de cette histoire vous vous souvenez que Léopold a laissé sa compagne à Paris pour rejoindre Vannes où il assiste à un congrès. C’est là qu’il a revue Clotilde, une ex à laquelle il n’a pas laissé que de bons souvenirs. Après un diner assez torride Clotilde l’a laissé en plan, la bite en érection, revanche prise. Mais vers minuit elle l’a rappelé. Il n’avait pas encore eu le temps de jouir et il a littéralement couru à sa voiture et laissé son Kyriad Prestige pour la rejoindre – les rejoindre, elle sait qu’elle partage une chambre avec une copile – dans un hôtel du centre-ville.
Les deux femmes, Clotilde, 1m65, mince, chic et Vera, 1m60, gironde, avec deux seins assez curieusement de tailles différentes comme Léopold a pu tout de suite le constater. Passablement ivres les deux femmes l’attendent en effet nues, enfin Clotilde a mis un peignoir pour lui ouvrir, assises autour d’une bouteille de vodka. « Entre Léopold. On ne t’a pas attendu pour commencer. Allez, mets toi à l’aise. » Ni une ni deux elles commencent à le déshabiller. « Oh tu ne sens pas très bon. Allez à la douche. » Mi-amusé, mi-gêné, Léopold se laisse emmener sous la douche où elles le lavent comme un enfant, plaisantant un peu sur la taille de son sexe qui, même bandé, semble bien « petit » à Clotilde : « J’ai eu mieux depuis »« Viens me baiser. » Vera veut passer aux choses sérieuses. « Attends, je vais lui attacher les couilles avec un lacet, qu’il ne jouisse pas trop vite. Hein Léopold, tu n’as jamais été très endurant ? » Joignant le geste à la parole Clotilde lui entoure les couilles et le sexe avec un lacet. Gode ceinture, préservatifs, gel, laisse, elle a pensé à tout. « Je ne pars jamais en congrès sans le matériel nécessaire », rit-elle pendant que Léopold prend sa copine.
Si Clotilde semble peu apprécier Léopold, ce n’est pas le cas de Vera qui prend un pied fabuleux à se faire prendre – longuement, dans toutes les positions – par le trentenaire. Si Clotilde n’apprécie que les super musclés, elle aime beaucoup les intellos un peu féminins comme Léopold. Leurs baisers sont passionnés mais c’est Clotilde qui mène le bal. Et elle leur a dit de passer en levrette. Clotilde a toujours trouvé la position un peu animale mais apprécie le fait que l’homme ne puisse plus voir ses seins dépareillés. Mais évidemment Clotilde a une autre idée : se faire lécher pendant que Léopold la prend.
« Non tu ne me prendras pas. » Les tentatives de Léopold pour convaincre Clotilde de faire à son tour l’amour avec lui sont sans résultat. « Enlève moi au moins ce lacet. J’ai trop envie de jouir.
- Pas en moi en tout cas. Vera, tu veux ?
- Je crois qu’il l’a bien mérité. Cela te dérange si je te suce. J’ai le sexe en feu je n’ai plus trop envie que tu me prennes. » La proposition est tentante. D’autant que Chrystèle déteste qu’on lui jouisse dans la gorge. Vera défait le lacet. Se met à genou devant lui. Le suce avec application jusqu’à qu’il jouisse à grands jets dans sa bouche. Elle avale tout avec toujours la même application. Très vestale des dieux. A cet instant il a très envie de la revoir. Mais Clotilde le met vite dehors. Il est trois heures du matin. Le train de retour vers Paris part à 8 heures. La nuit a été courte mais splendide.
Du côté de Chrystèle non plus la nuit n’a pas été longue. En résumé elle a rejoint son amant de l’été, Christian, en Normandie mais ne s’attendait pas à qu’il soit accompagné de trois autres hommes, trois Allemands dont un très dominant appelé Bernhardt. Elle a beau avoir été baisée par ces deux hommes elle ne connaît pas leurs noms. Quant à Bernhardt il s’est éclipsé avec Angela, l’autre femme de la soirée dont elle n’a pas compris qu’elle était la nationalité. En résumé il est un peu plus d’une heure du matin dans la maison de Christian sur la cote normande, Chrystèle est nue dans ses bras dans un grand canapé de cuir rouge. Il est également nu. Les deux Allemands leur font face. Tous les trois boivent du champagne et discutent en anglais, même s’ils ne le parlent qu’imparfaitement.
Si elle apprécie la force brute de Christian, ses 40 ans bien conservés, Chrystèle ne peut s’empêcher de loucher sur la musculature parfaire de ceux qu’elle a désigné toute la soirée comme ses étalons. Après tout tous travaillent dans l’élevage de chevaux et elle les a plusieurs fois entendu l’appeler leur « Stutfohlen » (« Pouliche » en allemand, lui a expliqué Christian) pendant qu’ils la prenaient chacun leur tour. Elle sent qu’ils ne sont pas repus et attend impatiemment le « deuxième round » comme on l’appelle dans les soirées libertines…Deuxième round qui commence par une injonction de Christian : « Va sucer nos deux amis. Ils reprennent de la vigueur ». Les deux étalons se sont levés et elle se met à genou devant eux. Effectivement ils sont vigoureux et elle s’attache à les rendre encore plus durs en passant d’une bite à l’autre. Elle n’en peut plus de désir à les sentir ainsi dans sa bouche tout en contemplant leurs corps parfaits. 1 m 90 de muscles qui rendent Christian quelque peu jaloux même s’il ne peut qu’obéir aux indications de Bernhardt, richissime propriétaire de haras qui a amené avec lui ses deux « hengste » (« étalons » pour mieux prendre la splendide pouliche que son ami Christian lui a promis d’amener.
Splendide Chrystèle l’est effectivement : 1m75 parfaitement proportionnés, des seins de rêve que les Allemands flattent de leurs mains, un cul de déesse auquel Christian pensait régulièrement depuis plus de six mois et leurs aventures au Cap d’Agde. D’un seul coup il regrette de la partager, sent qu’il en est beaucoup plus amoureux qu’il le pensait, se demande ce qu’elle va penser de lui. Un peu tard puisque les deux Allemands l’ont maintenant positionnée par terre, à quatre pattes sur l’épais tapis, et la prennent consciencieusement de l’arrière à l’avant, en ponctuant leur pénétration de commentaires qu’elle imagine salaces.
Enfin ils jouissent en elle. La jouissance de « l’étalon de son cul » semble entrainer celle de « l’étalon de sa bouche ». Des flots de sperme sortent de leur sexe. L’étalon du dos a un préservatif mais elle sent très bien quand il jouit tout en ahanant et en lui tenant fermement les fesses. Devant l’étalon n°2 lui tient fermement la bouche pour qu’elle avale tout. Ce qu’elle déteste mais fait pour leur faire plaisir. Ils l’ont moins bien baisée que dans la soirée mais bien quand même.
Satisfaite d’elle elle est déçue de voir que Christian s’est endormi. Pas grave, les deux Allemands ont décidé de la chouchouter toute la nuit et elle les accompagne dans leur chambre. Un grand lit qu’elle partage entre eux deux. KO debout ils s’endorment vite.
Le matin il est tôt quand Christian vient la chercher. Nue entre les deux hommes toujours endormis elle les contemple une dernière fois, se demandant si elle repassera un jour une nuit aussi incroyable, avec deux hommes aussi splendides. « Viens, tu vas rater ton train. On va le prendre à Dieppe, c’est le plus près. » Il semble épuisé par la nuit. Elle est heureuse de retrouver Léopold et bien décidée à ne rien lui dire de sa soirée.
« C’était bien ton congrès ?
- Classique. Rien de bien intéressant. Et toi ta nuit ? Tu as l’air fatiguée. Tu es sortie avec des copines.
- Oui et on a bien bu.
- Seulement bu ?
- Seulement bu. »
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