Dérapages presque contrôlés ( 3 )
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Dérapages presque contrôlés ( 3 )
Le lendemain je pars à sa recherche, entre dans la boulangerie, achète du pain. La mère est au comptoir, son père au fournil, il vient de remonter du pain chaud. Je fais le tour, passe par derrière, grimpe à l’étage Je frappe discrètement à la porte de sa chambre. Pas de réponse, j’ouvre doucement, passe la tête, personne. Je redescends sans faire de bruit, rentre chez moi.
- J’amène du pain frais !
Je rentre dans ma chambre, bouquine, m’allonge sur mon lit, repense à l’après midi d’hier. J’ai baisé sans capote, pas de risque de MST, il est puceau. Je préfère ne pas en utiliser, quand je suis sûr du cheval que ou qui me monte ! Le contact direct de la bite le long des parois du vagin est bien plus agréable que celui du caoutchouc. Sentir les jets de foutre qui me remplissent et se répandent dans mon ventre, c’est mieux que de le récupérer dans le réservoir de la capote. Je m’ennuie un peu, remonte ma jupe, écarte ma culotte, m’enfile un doigt, c’est bon mais ça ne vaut pas une bite ! Je décide de sortir, de me promener dans la campagne. J’arrive près d’une ferme. Des champs autour des bâtiments, des vaches au large, à l’écart un grand hangar plein de bottes de paille ou de fourrage. Il commence à pleuvoir, traverse le champ, cour vers le hangar. Je suis dessous, m’assois sur une botte de paille en attendant la fin de l’averse. La pluie cesse aussi rapidement qu’elle est survenue. J’entends des bruits étranges, des gémissements, des petits cris du genre de ceux que j’émets quand je baise. Je tends l’oreille, essaie de déterminer d’où ça vient, longe les bottes de paille. Je trouve une sorte de tunnel très étroit qui s’enfonce entre deux murs de paille d’au moins 3 m de haut. Je m’y engage, ça tourne à droite, je continue, encore un angle droit vers la gauche cette fois. J’avance prudemment, les bruits se rapprochent, la curiosité l’emporte, il faut que je sache ! J’arrive face à un espace libre dont le sol est recouvert d’une grosse couverture marron. Les bruits viennent de là. Je m’avance un peu plus, m’arrête, me penche pour passer la tête discrètement. A portée de main, je découvre une fille jeune, entièrement nue, debout, jambes écartées, mains appuyées sur le mur de paille. Derrière elle, un mec costaud, trapu, cou de taureau, musculature de rugbyman, nettement plus vieux qu’elle, assez grand, sans pantalon, slip en haut des cuisses, la tient aux hanches, la burine sauvagement. Chaque coup de butoir lui fait pousser des cris, d’où l’origine des bruits qui m’ont attiré. Je les regarde, mais la curiosité est un vilain défaut, comme je suis tout près, le mec m’aperçoit.
- Qu’est ce que tu fous là, ça t’intéresse ?
D’un coup il sort de la fille, fait un bond vers moi. Ma vue est attirée par un mandrin énorme, dressé, rouge, luisant de cyprine, supporté par une paire de roubignolles velues. Trop tard, cet instant d’hésitation m’est fatal. J’essaie de faire demi-tour pour m’enfuir, mais il m’attrape par derrière à bras le corps, me soulève. Je pédale dans le vide, agite les bras, tente de me dégager, il est beaucoup plus costaud que moi, mes efforts sont inutiles, avec mon mètre soixante et mes 45 kg, je ne fais pas le poids.
- Non, laissez-moi !
- Arrête de gigoter comme ça !
Il me ramène près de la fille, je continue à m’agiter. Il lui dit :
- Enlève-lui sa culotte !
Elle passe les mains sous ma jupe, je me débats, tente de la repousser, mais elle réussit à attraper l’élastique de la culotte, tire, peine à me la retirer, la jette par-dessus les bottes de paille. Il me pose au sol, me tire en arrière, elle l’aide à me faire perdre l’équilibre. Je me retrouve dos sur le sol, je me débats, il m’attrape par les jambes, les relèves, j’ai le cul en l’air, les épaules au sol, il dit à la fille :
- Mets-toi à califourchon sur elle !
J’essaie de l’en empêcher, la repousse, essaie de libérer mes jambes en pivotant sur les épaules, rien n’y fait. La fille passe au-dessus de moi, s’agenouille, me coince les bras, j’ai ses fesses sur ma poitrine, je la vois de dos. Elle se penche en avant, me tient les jambes, je ne peux plus bouger. Il en profite pour quitter son slip.
- Calme-toi, reste tranquille !
Il vient sur le côté, bite en main, je vois l’énorme gland d’au moins 5 cm de diamètre, peut être plus, la tige un peu moins grosse, l’ensemble faisant au moins vingt cm de long, les burnes velues pendantes entre des cuisses énormes.
- Regarde bien, tout ça c’est pour toi !
Il me reprend aux chevilles, dit à la fille :
- Remonte sa jupe !
Elle la remonte sur mon ventre, j’ai la chatte à l’air. Je n’en peux plus, je suis coincée, m’attends au pire, je sais ce qu’il va se passer maintenant.
- T’as un beau cul, je vais t’la mettre !
- Non, je ne veux pas !
- Veux ou pas, tu vas y avoir droit !
Je maintiens les jambes serrées, je résiste, tente de lui faire lâcher prise, je ne veux pas qu’il me pénètre, l’engin est trop gros, trop long.
- Allez, écarte tes cuisses !
- Non, pas question !
Comme je refuse, il me les écarte sans ménagement, se place entre elles, passe ses bras dessous, soulève mon cul, appuie les mains au sol. La fille recule. Je peux voir son sexe de femme au-dessus de moi, ouvert, mouillé, j’ai envie d’y introduire mes doigts, mais elle me tient les bras.
Pendant ce temps, il s’allonge sur moi. J’ai les pattes en l’air, les jambes écartées au max, mon sexe est exposé, les lèvres s’entrouvrent. Il place sa bite sur ma fente, l’énorme gland l’ouvre, glisse entre les nymphes, se bloque devant mon trou. Il pousse, je me contracte, remue le cul pour lui échapper, ça ne veut pas entrer, ne peut pas entrer, il me fait mal, le trou doit être trop petit, je n’ai pas envie, ne mouille pas. La fille me dit :
- Ne résiste pas, ça sert à rien, crois-moi. Il va te l’enfiler !
- Pas possible, c’est trop gros, ça ne peut pas rentrer !
- C’est dur à passer mais une fois à l’intérieur, on s’habitue !
Il se redresse, se met à genoux. Il écarte mes lèvres, pince mon clito, le roule entre deux doigts, le dégage, titille le bouton qui émerge, durcit. Je remue le bas ventre, me cambre, malgré moi un flot de mouille envahit ma fente. Il m’enfonce deux doigts dans le vagin, les fait tourner, recommence plusieurs fois, y met un troisième, force pour tout entrer, dit à la fille :
- Elle est ouverte, prends-lui les jambes, tire les bien en arrière, écarte les à fond, remonte son cul.
Elle me met dans la position demandée.
- Bien, ça devrait être bon ! Tiens la comme ça pendant que je l’emmanche !
Il prend sa queue, écarte mes grandes lèvres, glisse son gland au fond de ma fente, avec son pouce appuie sur mon clito, je sens une décharge dans le bas ventre et, malgré la situation, un nouveau flot de mouille m’envahit. Sa queue est devant mon trou, il pousse
- Aie, vous me faites mal !
- Détends-toi, ça va rentrer !
En effet l’entrée, assouplie par les doigts, bien lubrifiée, forcée par le gland, se dilate. Il pousse plus fort, c’est dur, ça résiste, mais le bout arrondi du gland s’enfonce, il va me déchirer, j’en ai les larmes aux yeux, crie.
- Aie, aie, aie, non, j’ai trop mal !
Il me fait mal, c’est vrai, mais le gland entre doucement, je le sens m’ouvrir, le muscle cède. Ca y est, le gland est passé et la bite avance inexorablement dans mon vagin, l’élargit, je sens le gland progresser le long des parois. Le voilà au fond, il pousse encore plus fort.
- Aie, ouille, vous allez me défoncer !
- J’vais t’la rentrer en entier !
- C’n’est pas possible, elle est trop longue !
J’ai chaud, ça me fait mal, ma gaine s’étire, la queue s’enfonce dans mon ventre. Il pousse de plus en plus fort pour m’introduire sa bite jusqu’aux couilles, ça y est, je les sens contre mon cul. Je sers mes muscles du vagin, .comprime cette queue monstrueuse qui me donne envie de pisser. Maintenant qu’il est bien au fond de moi, il ne bouge plus, reste en position, attend que je l’accepte en moi. Il laisse mes jambes redescendre, les fait s’étendre sur le sol. Je m’habitue progressivement à avoir un tel engin dans le ventre.
Voyant qu’il a réussi à me pénétrer, qu’il n’a plus besoin d’elle maintenant, la fille s’est relevée puis s’est allongée à côté de moi.
- Bon, t’es calmée ? J’vais pouvoir y aller ?
Je cambre le bassin pour bien l’accueillir, remonte mes cuisses, le cul, je n’ai plus mal, au contraire. Il n’attendait que ce signal pour commencer un pilonnage intensif. Je gémis à chaque coup de bite, je mouille de plus en plus, je m’habitue à la dimension de cette queue qui me ramone, je me mets à l’accompagner. Il va de plus en plus vite, soudain il se passe quelque chose en moi, je crie
- Ahaaaaaa, Oh oh ouiiiiiiiiiiiiiiii !
Je perds la tête, mon cœur s’emballe, j’halète, crie encore plus fort, me cambre, jouit, retombe, j’ai chaud, je suis anéantie, ferme les yeux..
Il m’a vu jouir, sort subitement de moi, il n’a pas éjaculé. Mon vagin se referme lentement, mes organes, horriblement distendus, reprennent doucement leur place, je ressens comme un grand vide dans mon ventre, il y manque quelque chose.
Il se relève, prends son énorme phallus dans la main, regarde la fille.
- À toi maintenant !
Elle se retourne, se met sur le ventre, écarte les cuisses, cambre les reins, relève haut le cul, le présente prêt à être emmanché.
- Tu peux venir, je suis prête !
Il se place entre ses jambes, ouvre la fente et y présente son énorme vit qu’il a toujours en main. Elle pousse un cri strident quand il s’enfourne direct dans le vagin. La bite disparaît dans son ventre du premier coup, elle couine à chaque va et vient du piston.
Il m’a abandonné sur le sol, jupe remontée, ventre à l’air, cuisses largement écartées, sexe ouvert, distendu, trempé. Je me relève vite fait, j’ai les jambes qui flageolent, rabaisse ma jupe, les regarde un instant. Ils sont soudés l’un à l’autre, elle suit la cadence, son cul va au devant des coups de butoir, elle crie de plus en plus fort. Il la pilonne hard.
Je n’attends pas la suite, en profite pour me sauver pendant qu’il la burine. Il m’a violée, c’est vrai, mais, malgré tout, j’ai eu un orgasme très fort. Ca doit être dû à la dimension du membre qui m’a ramoné. J’ai pris un risque, je l’ai payé ! Ce qui est arrivé est de ma faute, je ne peux pas me plaindre, j’ai été trop curieuse, tant pis pour moi. J’arrive à l’air libre, j’entends un grand cri suivi d’autres moins forts, la fille vient de jouir, c’est évident. Heureusement qu’il ne s’est pas vidé dans moi, mais après tout peut être que j’aurais aimé sentir son foutre m’inonder.
Je rentre chez moi, mes grands-parents ne sont pas encore rentrés du boulot, je m’allonge sur mon lit, repense à l’énorme braquemart que je viens de me faire enfiler. Je n’en ai jamais vu d’aussi gros, un gland super violacé d’au moins 5 cm de diamètre, peut être plus, se détachant bien d’une tige à peine moins grosse et très rouge, veinée, dure comme du bois, le tout faisant à peu près une bonne vingtaine de cm sans les couilles, un véritable gourdin. Et les roubignolles, quel paquet ! Je n’ai jamais vu de bite aussi importante et n’en ai jamais eu, jusqu’à présent, d’aussi grosse et longue dans moi. Et dire que je viens de me faire ramoner par un tel goupillon, je n’en reviens pas qu’un tel engin a pu me pénétrer et me faire autant de mal en entrant puis autant de bien en coulissant dans moi, d’en sentir le manque quand il m’a quitté pour entrer dans l’autre ! J’ai l’impression de le sentir encore en moi, que je suis encore ouverte, qu’il me manque quelque chose dans le ventre. J’ai encore perdu une culotte, pas de chance.
Je vais dans la cuisine, ma grand-mère vient de rentrer et est en train de préparer le repas du soir.
- Qu’as tu fais cet après-midi ?
- Je me suis promenée dans les champs. Il est tombé une averse, heureusement j’étais à proximité d’une ferme. Il y a un grand hangar plein de bottes de paille, je me suis mise à l’abri.
- Ah, oui la ferme des……. . Petite exploitation, travaillent dur, gagnent peu. Il y a le père et la mère, la soixantaine, proprios, le fils, un costaud, la quarantaine, et sa femme 38 ans je crois. Ils ont un gamin de 10/12 ans et ont avec eux une nièce qui doit avoir dans les 18 ans et qui leur donne un sérieux coup de main. Une belle jeune femme ma foi, ressemble pas à une fille de ferme, mais ?
Je ne dis rien, mais je pense que c’est elle qui se faisait sauter par son oncle tout à l’heure, avant et après que celui ci me baise ! Je comprends pourquoi ils ont choisi le hangar, loin de la ferme, personne ne peut l’entendre, car cette fille, vraiment belle par ailleurs, un peu plus grande et légèrement plus étoffée que moi, est plutôt bruyante quand elle baise.
Mes vacances continuent, il me reste encore une bonne semaine, donc à suivre...
- J’amène du pain frais !
Je rentre dans ma chambre, bouquine, m’allonge sur mon lit, repense à l’après midi d’hier. J’ai baisé sans capote, pas de risque de MST, il est puceau. Je préfère ne pas en utiliser, quand je suis sûr du cheval que ou qui me monte ! Le contact direct de la bite le long des parois du vagin est bien plus agréable que celui du caoutchouc. Sentir les jets de foutre qui me remplissent et se répandent dans mon ventre, c’est mieux que de le récupérer dans le réservoir de la capote. Je m’ennuie un peu, remonte ma jupe, écarte ma culotte, m’enfile un doigt, c’est bon mais ça ne vaut pas une bite ! Je décide de sortir, de me promener dans la campagne. J’arrive près d’une ferme. Des champs autour des bâtiments, des vaches au large, à l’écart un grand hangar plein de bottes de paille ou de fourrage. Il commence à pleuvoir, traverse le champ, cour vers le hangar. Je suis dessous, m’assois sur une botte de paille en attendant la fin de l’averse. La pluie cesse aussi rapidement qu’elle est survenue. J’entends des bruits étranges, des gémissements, des petits cris du genre de ceux que j’émets quand je baise. Je tends l’oreille, essaie de déterminer d’où ça vient, longe les bottes de paille. Je trouve une sorte de tunnel très étroit qui s’enfonce entre deux murs de paille d’au moins 3 m de haut. Je m’y engage, ça tourne à droite, je continue, encore un angle droit vers la gauche cette fois. J’avance prudemment, les bruits se rapprochent, la curiosité l’emporte, il faut que je sache ! J’arrive face à un espace libre dont le sol est recouvert d’une grosse couverture marron. Les bruits viennent de là. Je m’avance un peu plus, m’arrête, me penche pour passer la tête discrètement. A portée de main, je découvre une fille jeune, entièrement nue, debout, jambes écartées, mains appuyées sur le mur de paille. Derrière elle, un mec costaud, trapu, cou de taureau, musculature de rugbyman, nettement plus vieux qu’elle, assez grand, sans pantalon, slip en haut des cuisses, la tient aux hanches, la burine sauvagement. Chaque coup de butoir lui fait pousser des cris, d’où l’origine des bruits qui m’ont attiré. Je les regarde, mais la curiosité est un vilain défaut, comme je suis tout près, le mec m’aperçoit.
- Qu’est ce que tu fous là, ça t’intéresse ?
D’un coup il sort de la fille, fait un bond vers moi. Ma vue est attirée par un mandrin énorme, dressé, rouge, luisant de cyprine, supporté par une paire de roubignolles velues. Trop tard, cet instant d’hésitation m’est fatal. J’essaie de faire demi-tour pour m’enfuir, mais il m’attrape par derrière à bras le corps, me soulève. Je pédale dans le vide, agite les bras, tente de me dégager, il est beaucoup plus costaud que moi, mes efforts sont inutiles, avec mon mètre soixante et mes 45 kg, je ne fais pas le poids.
- Non, laissez-moi !
- Arrête de gigoter comme ça !
Il me ramène près de la fille, je continue à m’agiter. Il lui dit :
- Enlève-lui sa culotte !
Elle passe les mains sous ma jupe, je me débats, tente de la repousser, mais elle réussit à attraper l’élastique de la culotte, tire, peine à me la retirer, la jette par-dessus les bottes de paille. Il me pose au sol, me tire en arrière, elle l’aide à me faire perdre l’équilibre. Je me retrouve dos sur le sol, je me débats, il m’attrape par les jambes, les relèves, j’ai le cul en l’air, les épaules au sol, il dit à la fille :
- Mets-toi à califourchon sur elle !
J’essaie de l’en empêcher, la repousse, essaie de libérer mes jambes en pivotant sur les épaules, rien n’y fait. La fille passe au-dessus de moi, s’agenouille, me coince les bras, j’ai ses fesses sur ma poitrine, je la vois de dos. Elle se penche en avant, me tient les jambes, je ne peux plus bouger. Il en profite pour quitter son slip.
- Calme-toi, reste tranquille !
Il vient sur le côté, bite en main, je vois l’énorme gland d’au moins 5 cm de diamètre, peut être plus, la tige un peu moins grosse, l’ensemble faisant au moins vingt cm de long, les burnes velues pendantes entre des cuisses énormes.
- Regarde bien, tout ça c’est pour toi !
Il me reprend aux chevilles, dit à la fille :
- Remonte sa jupe !
Elle la remonte sur mon ventre, j’ai la chatte à l’air. Je n’en peux plus, je suis coincée, m’attends au pire, je sais ce qu’il va se passer maintenant.
- T’as un beau cul, je vais t’la mettre !
- Non, je ne veux pas !
- Veux ou pas, tu vas y avoir droit !
Je maintiens les jambes serrées, je résiste, tente de lui faire lâcher prise, je ne veux pas qu’il me pénètre, l’engin est trop gros, trop long.
- Allez, écarte tes cuisses !
- Non, pas question !
Comme je refuse, il me les écarte sans ménagement, se place entre elles, passe ses bras dessous, soulève mon cul, appuie les mains au sol. La fille recule. Je peux voir son sexe de femme au-dessus de moi, ouvert, mouillé, j’ai envie d’y introduire mes doigts, mais elle me tient les bras.
Pendant ce temps, il s’allonge sur moi. J’ai les pattes en l’air, les jambes écartées au max, mon sexe est exposé, les lèvres s’entrouvrent. Il place sa bite sur ma fente, l’énorme gland l’ouvre, glisse entre les nymphes, se bloque devant mon trou. Il pousse, je me contracte, remue le cul pour lui échapper, ça ne veut pas entrer, ne peut pas entrer, il me fait mal, le trou doit être trop petit, je n’ai pas envie, ne mouille pas. La fille me dit :
- Ne résiste pas, ça sert à rien, crois-moi. Il va te l’enfiler !
- Pas possible, c’est trop gros, ça ne peut pas rentrer !
- C’est dur à passer mais une fois à l’intérieur, on s’habitue !
Il se redresse, se met à genoux. Il écarte mes lèvres, pince mon clito, le roule entre deux doigts, le dégage, titille le bouton qui émerge, durcit. Je remue le bas ventre, me cambre, malgré moi un flot de mouille envahit ma fente. Il m’enfonce deux doigts dans le vagin, les fait tourner, recommence plusieurs fois, y met un troisième, force pour tout entrer, dit à la fille :
- Elle est ouverte, prends-lui les jambes, tire les bien en arrière, écarte les à fond, remonte son cul.
Elle me met dans la position demandée.
- Bien, ça devrait être bon ! Tiens la comme ça pendant que je l’emmanche !
Il prend sa queue, écarte mes grandes lèvres, glisse son gland au fond de ma fente, avec son pouce appuie sur mon clito, je sens une décharge dans le bas ventre et, malgré la situation, un nouveau flot de mouille m’envahit. Sa queue est devant mon trou, il pousse
- Aie, vous me faites mal !
- Détends-toi, ça va rentrer !
En effet l’entrée, assouplie par les doigts, bien lubrifiée, forcée par le gland, se dilate. Il pousse plus fort, c’est dur, ça résiste, mais le bout arrondi du gland s’enfonce, il va me déchirer, j’en ai les larmes aux yeux, crie.
- Aie, aie, aie, non, j’ai trop mal !
Il me fait mal, c’est vrai, mais le gland entre doucement, je le sens m’ouvrir, le muscle cède. Ca y est, le gland est passé et la bite avance inexorablement dans mon vagin, l’élargit, je sens le gland progresser le long des parois. Le voilà au fond, il pousse encore plus fort.
- Aie, ouille, vous allez me défoncer !
- J’vais t’la rentrer en entier !
- C’n’est pas possible, elle est trop longue !
J’ai chaud, ça me fait mal, ma gaine s’étire, la queue s’enfonce dans mon ventre. Il pousse de plus en plus fort pour m’introduire sa bite jusqu’aux couilles, ça y est, je les sens contre mon cul. Je sers mes muscles du vagin, .comprime cette queue monstrueuse qui me donne envie de pisser. Maintenant qu’il est bien au fond de moi, il ne bouge plus, reste en position, attend que je l’accepte en moi. Il laisse mes jambes redescendre, les fait s’étendre sur le sol. Je m’habitue progressivement à avoir un tel engin dans le ventre.
Voyant qu’il a réussi à me pénétrer, qu’il n’a plus besoin d’elle maintenant, la fille s’est relevée puis s’est allongée à côté de moi.
- Bon, t’es calmée ? J’vais pouvoir y aller ?
Je cambre le bassin pour bien l’accueillir, remonte mes cuisses, le cul, je n’ai plus mal, au contraire. Il n’attendait que ce signal pour commencer un pilonnage intensif. Je gémis à chaque coup de bite, je mouille de plus en plus, je m’habitue à la dimension de cette queue qui me ramone, je me mets à l’accompagner. Il va de plus en plus vite, soudain il se passe quelque chose en moi, je crie
- Ahaaaaaa, Oh oh ouiiiiiiiiiiiiiiii !
Je perds la tête, mon cœur s’emballe, j’halète, crie encore plus fort, me cambre, jouit, retombe, j’ai chaud, je suis anéantie, ferme les yeux..
Il m’a vu jouir, sort subitement de moi, il n’a pas éjaculé. Mon vagin se referme lentement, mes organes, horriblement distendus, reprennent doucement leur place, je ressens comme un grand vide dans mon ventre, il y manque quelque chose.
Il se relève, prends son énorme phallus dans la main, regarde la fille.
- À toi maintenant !
Elle se retourne, se met sur le ventre, écarte les cuisses, cambre les reins, relève haut le cul, le présente prêt à être emmanché.
- Tu peux venir, je suis prête !
Il se place entre ses jambes, ouvre la fente et y présente son énorme vit qu’il a toujours en main. Elle pousse un cri strident quand il s’enfourne direct dans le vagin. La bite disparaît dans son ventre du premier coup, elle couine à chaque va et vient du piston.
Il m’a abandonné sur le sol, jupe remontée, ventre à l’air, cuisses largement écartées, sexe ouvert, distendu, trempé. Je me relève vite fait, j’ai les jambes qui flageolent, rabaisse ma jupe, les regarde un instant. Ils sont soudés l’un à l’autre, elle suit la cadence, son cul va au devant des coups de butoir, elle crie de plus en plus fort. Il la pilonne hard.
Je n’attends pas la suite, en profite pour me sauver pendant qu’il la burine. Il m’a violée, c’est vrai, mais, malgré tout, j’ai eu un orgasme très fort. Ca doit être dû à la dimension du membre qui m’a ramoné. J’ai pris un risque, je l’ai payé ! Ce qui est arrivé est de ma faute, je ne peux pas me plaindre, j’ai été trop curieuse, tant pis pour moi. J’arrive à l’air libre, j’entends un grand cri suivi d’autres moins forts, la fille vient de jouir, c’est évident. Heureusement qu’il ne s’est pas vidé dans moi, mais après tout peut être que j’aurais aimé sentir son foutre m’inonder.
Je rentre chez moi, mes grands-parents ne sont pas encore rentrés du boulot, je m’allonge sur mon lit, repense à l’énorme braquemart que je viens de me faire enfiler. Je n’en ai jamais vu d’aussi gros, un gland super violacé d’au moins 5 cm de diamètre, peut être plus, se détachant bien d’une tige à peine moins grosse et très rouge, veinée, dure comme du bois, le tout faisant à peu près une bonne vingtaine de cm sans les couilles, un véritable gourdin. Et les roubignolles, quel paquet ! Je n’ai jamais vu de bite aussi importante et n’en ai jamais eu, jusqu’à présent, d’aussi grosse et longue dans moi. Et dire que je viens de me faire ramoner par un tel goupillon, je n’en reviens pas qu’un tel engin a pu me pénétrer et me faire autant de mal en entrant puis autant de bien en coulissant dans moi, d’en sentir le manque quand il m’a quitté pour entrer dans l’autre ! J’ai l’impression de le sentir encore en moi, que je suis encore ouverte, qu’il me manque quelque chose dans le ventre. J’ai encore perdu une culotte, pas de chance.
Je vais dans la cuisine, ma grand-mère vient de rentrer et est en train de préparer le repas du soir.
- Qu’as tu fais cet après-midi ?
- Je me suis promenée dans les champs. Il est tombé une averse, heureusement j’étais à proximité d’une ferme. Il y a un grand hangar plein de bottes de paille, je me suis mise à l’abri.
- Ah, oui la ferme des……. . Petite exploitation, travaillent dur, gagnent peu. Il y a le père et la mère, la soixantaine, proprios, le fils, un costaud, la quarantaine, et sa femme 38 ans je crois. Ils ont un gamin de 10/12 ans et ont avec eux une nièce qui doit avoir dans les 18 ans et qui leur donne un sérieux coup de main. Une belle jeune femme ma foi, ressemble pas à une fille de ferme, mais ?
Je ne dis rien, mais je pense que c’est elle qui se faisait sauter par son oncle tout à l’heure, avant et après que celui ci me baise ! Je comprends pourquoi ils ont choisi le hangar, loin de la ferme, personne ne peut l’entendre, car cette fille, vraiment belle par ailleurs, un peu plus grande et légèrement plus étoffée que moi, est plutôt bruyante quand elle baise.
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