Dernier week-end
Récit érotique écrit par Pasham35 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Dernier week-end
/!\ Cette histoire fait suite à « St Valentin ratée » et « Vengeance de la St Valentin », « Conséquences inattendue d’une St Valentin ratée » et « Margaux passe le week-end chez ses beaux-parents »
Eric rentrait assez tard ce vendredi soir car il avait été retenu au travail. Il était pressé d’arriver chez lui car Margaux devait passer la soirée avec eux, une des dernières qu’ils pourraient passer tous les trois, avant d’aller chercher le lendemain Julien, son compagnon, à la gare. Eric avait appelé sa femme pour la prévenir de ne pas l’attendre car il risquait de rentrer tard.
En effet, lorsqu’il rentra dans la maison, il constata qu’elles ne l’avaient pas attendues. Il entendit les gémissements des deux femmes et les trouva l’une sur l’autre dans un 69 qu’il trouva très érotique. Il observa la scène sans faire de bruit, ne voulant pas rompre le moment de plaisir qu’elles partageaient.
Cette vision le mit rapidement en émoi. Il sentit assez vite son sexe se réveiller en observant sa femme couchée sous Margaux. Il voyait parfaitement les fesses de cette dernière et en dessous le visage de Stéphanie qui léchait avidement l’abricot juteux qui suintait au dessus de sa bouche. Sa femme passait sa langue avec voracité sur toute la vulve luisante autant pour en récupérer tout le jus que pour procurer du plaisir à sa partenaire. Par moment, Stéphanie ne bougeait plus pendant quelques secondes, stoppée net par un frisson de plaisir qui la parcourait, sa chatte recevant le même agréable traitement de la part de Margaux.
Très excité, Eric libéra son membre tendu de son pantalon et se masturba. Il resta ainsi cinq minutes à faire monter le plaisir en lui lorsque Stéphanie remarqua sa présence. Elle lui sourit et lui fit signe de s’approcher. Son mari enleva tous ses vêtements et vint présenter sa queue à l’entrée du sexe de Margaux. Cette dernière, qui n’avait toujours pas remarqué la présence de son beau-père, fut surprise de sentir le gland se presser à l’entrée de son vagin. La grosse queue d’Eric pénétra sans difficulté la chatte brûlante de la jeune femme.
Stéphanie avait maintenant la bouche juste en dessous des couilles de son mari et se délectait de la queue qui entrait et sortait en rythme du sexe de Margaux. Elle tendit la langue pour lécher les testicules lisses d’Eric tout en poussant des gémissements de plaisir provoqués par les adroites attentions de la jeune femme sur son intimité.
Eric ressortit sa queue et lubrifia abondamment l’anus de Margaux avec sa mouille pour la sodomiser. Bien vite, tenant sa queue au plus près de son gland il pressa ce dernier sur le petit trou de la jeune femme. Son large gland écarta tout sur son passage et sa verge rentra doucement dans ce cul qui s’ouvrait de plaisir. Lorsqu’il fut entièrement en elle il entama de lents aller-retours puis accéléra le rythme. Margaux sentait la chaleur gagner de plus en plus son ventre jusqu’à ce que l’orgasme saisisse tout son corps. Elle cessa de lécher la vulve de Stéphanie, n’étant plus capable de bouger tellement les spasmes prenaient possession d’elle. La jeune femme cria son plaisir tout en lâchant entre deux souffles courts : « Ho putain, c’est bon ! ».
En l’entendant jouir ainsi, Eric éjacula à son tour. Les premiers jets de sperme remplirent le cul de Margaux et comme il sortit sa queue de son trou, les dernières grosses gouttes de semence tombèrent entre ses fesses.
Margaux avait reprit son cunnilingus sur sa belle-mère qui commençait à haleter à son tour de plaisir. Cette dernière recueillit avec gourmandise les gouttes de sperme qui coulaient le long de la fente de la jeune femme et atterrissaient sur sa langue. Elle fut prise à son tour d’un bel orgasme, gémissant de plaisir, la bouche grande ouverte, du sperme sur les lèvres.
Lorsque l’euphorie de l’orgasme fut redescendu, Eric ressentit la faim. Il était 21h et il n’avait toujours pas mangé. Il se dirigea, nu comme un vers dans la cuisine pour trouver quelque chose à grignoter. Il fut rejoint pour les deux femmes tout aussi nues. Tout en manger une part de quiche froide, il admirait le corps magnifique de ces deux femmes.
- Julien arrive à quelle heure demain ? Demanda Eric à Margaux.
- A 11h32.
- Tu vas le chercher à la gare ?
- Oui, j’irai.
Ni sa copine, ni le père du jeune homme ne semblait ravit de son retour. Cela signifiait la fin de leur ébats, qu’aucune des personnes dans la cuisine ne voulait arrêter.
Lorsque Eric eût finit de manger il proposa :
- Bien dans ce cas, profitons des derniers moments qu’il nous reste avant son retour.
- Tu as raison mon chéri, approuva Stéphanie.
Tous les trois gagnèrent la chambre et se donnèrent du plaisir jusque tard dans la nuit.
Le lendemain, Eric faisait un rêve érotique lorsqu’il se réveilla, ressentant des caresses sur son corps nu. Il réalisa alors que, ayant une érection matinale, Margaux s’en était aperçu et avait décidé d’en profiter. Elle avait commencé à le masturber alors qu’il dormait encore. Il trouva ce réveil des plus agréables.
La jeune femme se mit à genoux et fit une fellation à son beau-père qui se trouvait au milieu du lit, entre son épouse et Margaux. Cette dernière enroulait sa langue autour du gland, faisait un va-et-vient sur la verge avec son pouce et son majeur qui formaient un divin anneau. Elle lui caressa les couilles avec douceur, les lécha, les aspira jusqu’à lui faire un peu mal.
Les bruits de succion qui résultaient de cette adroite fellation, réveillèrent Stéphanie. Très vite, elle eut aussi envie de participer. Elle se releva et toutes les deux se partagèrent la queue. Elle léchait chacune un côté de la verge, ou bien pendant que l’une l’avait en bouche, l’autre léchait les couilles. Eric sentait le plaisir monter très vite. Son épouse s’en aperçut et proposa à Margaux de branler la queue. Le jeune femme mit sa main à la base de la verge alors que Stéphanie mit sa main au dessus. Ensemble, elles montaient et descendait leur main sur toute la longueur de la queue. Eric se raidit et éjacula. Comme son épouse serrait assez fort le membre, le sperme ne jaillit pas en jet mais sortit du sexe doucement et se répandit sur les mains des femmes. La quantité de jus qui s’écoula de la queue était abondante et ne semblait pas s’arrêter. Margaux souriait d’étonnement devant tant de sperme. Quand l’orgasme d’Eric fut terminé, Stéphanie proposa à Margaux.
« Branle-toi avec ta main couverte de sperme, tu vas adorer. »
Les deux femmes s’allongèrent sur le dos et caressèrent leur vulve gonflée de désir avec leur main pleine de sperme. Elle étalèrent la semence sur leur clitoris. Leurs doigts glissant de sperme leur procuraient une agréable sensation sur leur petit bouton dressé de plaisir. Les deux femmes haletaient, gémissaient, ondulaient du bassin au rythme de leurs caresses. Elles jouirent presque en même temps. Elles excitaient de plus bel leur clitoris pour prolonger le plaisir tout en s’agrippant aux draps de leur main libre.
Les voir ainsi se masturber et gémir de plaisir en cœur fit bander à nouveau Eric. Entendre une femme jouir était pour lui un des moments les plus satisfaisant de la vie. Cependant, chacun avait été comblé et les trois amants restèrent couchés sur le lit, savourant une agréable plénitude.
En fin de matinée, Eric et Stéphanie s’affairaient en cuisine pour préparer le déjeuner. Ils avaient envisagé un bon repas pour le retour de leur fils.
Margaux fit son entrée dans la pièce et proposa son aide. La jeune femme sentit avec satisfaction le regard d’Eric se figer sur elle. Elle portait un ensemble du plus bel effet. Un crop top bleu ciel qui s’attachait entre les seins avec deux gros boutons ainsi qu’une jupe courte plissée, style jupe de tennis. Elle fut prise d’une excitation grandissante à constater l’effet produit sur son beau père. Lorsque Stéphanie la vit, elle n’en fut pas moins subjuguée.
- Tu es magnifique ma chérie, dit-elle sincèrement.
- Merci.
La jeune femme éplucha et coupa quelques courgettes et fit de même avec des poivrons. Alors que l’heure avançait, elle indiqua au couple qu’il était temps d’aller chercher Julien et sortit de la cuisine, le laissant s’affairer dans les préparatifs du repas.
Alors qu’elle allait se saisir de son sac à main dans le salon, elle sentit Eric la prendre par le bras et l’attirer vers lui. Il l’enveloppa de ses bras et l’embrassa passionnément. La jeune femme résista quelques instant pour la forme, arguant qu’elle devait aller chercher son fils maintenant au risque d’être en retard. Mais le père de Julien, sentant la femme peu convaincue, insista. Il voulait posséder Margaux, ici et maintenant.
La jeune femme se laissa aller, emportée par un désir réciproque. Elle lui rendait à présent son baiser avec fougue. Eric déboutonna son crop top et empoigna ses petits seins fermes qu’il massa avec envie. Margaux caressa la bosse qui se formait sur le short de son beau-père. Elle sortit le membre de sa prison de tissus et le branla tandis que son partenaire avait glissé sa main sous la jupe et s’insinuait entre ses jambes, caressant son intimité à travers le fin tissus de son string.
Eric fit reculer la jeune femme jusqu’à la table et la fit s’y allonger. Elle écarta les jambes, désireuse d’accueillir son amant. Eric se mit à bander encore plus fort en voyant le string bleu clair en tulle, parsemé de quelques touches de broderies roses qui ne cachait rien de l’intimité de Margaux. Il distinguait très bien à travers le tissus le fin duvet en forme de triangle sur son pubis, le clitoris gonflé en dessous et le début de ses grandes lèvres qui se perdaient sous le fond doublé de son sous-vêtement. Il resta quelques instants sans bouger, subjugué, puis reprit ses esprits. Il écarta le string pour libérer le sexe moite de la jeune femme et pénétra doucement son vagin humide.
Margaux sentait les coups de reins de son beau-père devenir de plus en plus puissants. Son gland tapait dans le fond de son vagin et lui provoquèrent ses premiers gémissements. Tandis qu’il la besognait avec force, ses doigts se mirent à exciter son clitoris gonflé d’excitation.
Après quelques minutes, Eric poussa un long râle de plaisir et expulsa de puissants jets de sperme chaud dans le ventre de la jeune femme. Alors même qu’il avait jouit, il continuait son puissant pilonnage jusqu’à ce que Margaux jouisse à son tour, ce qui se produisit rapidement. Les gémissements de la jeune femme attirèrent Stéphanie qui resta à distance, observant la scène.
Eric se retira et remis le string en place. Margaux se releva, les jambes un peu chancelantes après cet intense quickie. Le train de Julien arrivait dans 10 minutes. Elle n’avait pas le temps de se laver ni de se changer. Tant pis, elle partirait comme ça.
Elle déposa un rapide baiser sur la bouche de son amant et s’éclipsa.
Sur le trajet, Margaux sentait son string s’humidifier de plus en plus. Le sperme s’écoulait de sa chatte en grande quantité. Elle avait peur de tâcher sa jupe.
Arrivée à la gare, elle s’assura que cette dernière n’était pas sale puis se précipita pour retrouver Julien. Il attendait dans le hall de la gare, seul, semblant mécontent.
- Je commençais à m’impatienter! s’irrita Julien. J’allais t’appeler pour savoir si tu ne m’avais pas oublié.
- Excuse-moi, je suis parti un peu tard de la maison. Tu sais comment est ton père, très bavard et je n’ai pas vu le temps passé.
En disant cela, elle fut parcourut d’un frisson d’excitation. Elle ressentait plus que jamais le sperme à présent froid de son beau-père qui avait inondé son string.
Ils montèrent dans la voiture et reprirent la route vers le domicile des parents de Julien. Sur la route, le jeune homme observait les jambes bronzées de sa compagne dont la jupe courte remontait jusqu’au haut des cuisses. Ils les trouvaient magnifiques.
- Tu m’as beaucoup manqué, dit-il.
- Toi aussi, mentit à moitié Margaux, se sentant un peu honteuse.
Elle aimait sincèrement Julien et était heureuse de le revoir, mais d’un autre côté cela venait perturber l’excitante aventure qu’elle vivait avec ses beaux-parents.
- J’ai beaucoup pensé à toi. Ton corps m’a beaucoup manqué aussi, ajout-t-il en posant sa main sur la cuisse de la jeune femme.
La jeune femme vit une bosse se former sur le short de son compagnon. Comme elle se sentait coupable de tout ce qu’elle avait pu faire en son absence, et que malgré tout elle l’aimait et le désirait, elle arrêta la voiture dès qu’elle trouva un coin tranquille. Elle défit sa ceinture, se pencha vers le jeune homme pour en sortir le sexe tendu et entama une fellation. Elle prit plaisir à sucer son compagnon qu’elle n’avait pas vu depuis deux semaines, mais pas autant que ce dernier qui éjacula très vite. Le sperme se répandit abondamment dans la bouche de Margaux, qui savoura d’avoir fait jouir son homme. En avalant la semence elle repensa avec excitation à celle qui inondait actuellement son string. Quand elle eut avalé tout le jus et extrait la dernière goutte de la verge, sans rien dire, se sentant un peu plus légère, elle redémarra la voiture.
Le déjeuner se déroula dans une ambiance festive de retrouvaille. Le repas s’éternisa un peu, tout le monde mangeant et buvant plus que de raison, la bonne humeur régnant autour de la table.
A la fin du repas, Julien et Margaux gagnèrent leur chambre pour se reposer. Eric partit dans le garage bricoler sur la 4L qu’il retapait. Quant à Stéphanie, elle passa un maillot et alla s’allonger près de la piscine.
Alors que Margaux et Julien lisaient dans la relative fraîcheur de leur chambre, la jeune femme ressentit l’envie de faire l’amour avec lui. Elle ne l’avait pas vu depuis longtemps et voulait retrouver leur intimité, son corps, le sentir en elle. Le jeune femme se tourna vers lui et constata à regret qu’il s’était endormi sur son livre. Déçue, elle se leva et alla dans le salon et ne vit personne. Elle parcourut toutes les pièces et trouva finalement Eric dans le garage.
Ce dernier était couché sous la 4L surélevée par des crics. Il aimait retaper de vieilles voitures. Quand elles étaient en état de rouler il les utilisait pendant quelques mois puis les revendait pour en réparer une nouvelle.
La jeune femme enjamba le corps d’Eric puis demanda :
- Ca avance bien la mécanique ?
Le mécanicien, dont seules les jambes dépassaient de la voiture, tira sur celles-ci pour faire reculer la planche à roulettes sur laquelle il était allongé. Son visage se retrouva alors entre les jambes de Margaux. Il eut tout le loisir d’admirer son nouveau string jaune en dentelle. Il s’attarda sur ses seins nus sous son crop top, qu’il savait fermes et qu’il aurait aimé tenir dans le creux de ses mains.
Tous les deux restèrent un moment dans cette position, chacun excité par le spectacle qu’elle offrait ou celui qu’il admirait.
- Oui ça avance doucement. Peux-tu me passer la clé de 12 ? demanda Eric en désignant la boîte à outils.
La jeune femme avança jusqu’à la caisse et se pencha en avant pour attraper l’outil, offrant la vue de ses fesses au mécanicien qui se réjouissait de la présence de son assistante. Elle prit tout son temps avant de se relever puis tendit la clé à Eric qui retourna sous la voiture.
Margaux resta debout dans un coin du garage et regarda Eric travailler. Ce dernier jetait un coup d’œil de temps en temps en direction de la jeune femme. Il admirait ses longues jambes bronzées qua la courte jupe cachait à peine.
De temps en temps, Margaux s’approchait de la voiture et s’accroupissait non loin du visage du mécanicien pour lui tendre un outil. Eric tournait la tête et pouvait admirer l’entre-jambe de la jeune femme. Son attention se portait alors sur le haut de ses cuisses légèrement écartées et dont la peau douce le faisait rêver, le string jaune transparent qui ne cachait pas grand chose de son sexe, ses lèvres intimes charnues enveloppées dans la délicate dentelle jaune. Le spectacle offert était des plus excitant. Elle faisait mine de s’intéresser pour prolonger la pause, puis retournait dans un coin du garage.
Sous sa voiture, Eric sentait sa queue se durcir, serrée et douloureusement emprisonnée dans son boxer.
Margaux s’en rendit compte, aussi s’approcha-t-elle de son beau-père. Elle se mit à genoux à côté de lui, défit doucement le pantalon de travail d’Eric et en sortit le membre tendu. Très lentement elle fit glisser sa main de haut en bas.
Tant bien que mal, Eric tentait de se concentrer sur son travail, mais chaque mouvement sur son sexe rendait la tâche plus difficile.
D’un ton espiègle Margaux dit à son beau-père :
- Moi aussi j’ai besoin d’un bel outil !
Et avec beaucoup d’envie elle prit le sexe en bouche et s’appliqua à lui faire une longue et agréable fellation. Tandis qu’elle s’affairait à sucer le membre avec gourmandise, elle sentait l’excitation l’envahir et sa chatte s’enflammer. Eric lâcha ses outils et sortit de sous la voiture.
Margaux entraîna son beau-père pour l’adosser contre un mur du garage. Elle se pencha devant lui, releva sa jupe et écarta son string. Doucement elle recula pour s’empaler sur le membre tendu. Eric ayant les mains pleines de cambouis, il ne pouvait pas la toucher. Sans avoir besoin de tenir la queue, elle colla le gland gonflé de sang sur ses lèvres humides. Elle bougea légèrement pour le guider à l’entrée de son vagin puis recula un peu plus. Avec beaucoup d’adresse la queue s’insérait lentement en elle tandis qu’elle poussait un soupir de plaisir.
Les mains posées sur les genoux, Margaux avançait et reculait afin de faire coulisser en elle la bite dure. Quant à Eric, appuyé contre le mur, il se laissait faire en observant avec une immense excitation son sexe disparaître dans le ventre de sa partenaire à chacun de ses mouvements.
Margaux se retira mais resta penchée en avant.
- Bouffe-moi la chatte ! Ordonna-t-elle.
Eric s’accroupit et approcha son visage pour lécher le sexe humide avec voracité. Longuement il se délecta de son délicieux jus. Il adorait ça !
La jeune femme poussait maintenant de petits gémissements à chaque coup de langue. Son souffle devenait plus fort.
Margaux alla s’asseoir sur l’établi impeccablement rangé. Son amant vint entre ses jambes. Toujours sans s’aider de ses mains, il guida sa queue vers le vagin humide de la jeune femme. Ne parvenant pas à s’insérer en elle, la jeune femme attrapa le sexe et le dirigea vers l’entrée de son sexe et l’y enfonça avec envie.
Eric entama un puissant va-et-vient. Recherchant un orgasme, Margaux passa sa main entre ses jambes et excita son clitoris.
Sa respiration devenait haletante. Elle poussait de profonds gémissements, sentant l’orgasme arriver.
Elle jouit rapidement, faisant attention à ne pas crier son plaisir trop fort afin de ne pas alerter les autres occupants de la maison.
Son beau-père jouit à son tour en grognant. Après s’être vidé dans le ventre de la jeune femme, il se retira et Margaux replaça son string sur sa chatte dégoulinante. Elle sortit du garage en souhaitant à Eric de prendre du plaisir à finir ses travaux de mécanique.
Le soir-même, Margaux fit l’amour avec Julien, tous les deux retrouvant ainsi un moment d’intimité et tendresse qu’ils n’avaient plus partagés ces derniers temps. La jeune femme apprécia cet instant plus centré sur les sentiments, l’affection. Ces dernières semaines, elle avait été surtout à l’écoute de son corps, de ses envies et en avait un peu oublié la puissance de l’amour envers quelqu’un.
Apaisée, elle s’endormit dans les bras de son compagnon.
Le dimanche matin, la famille prit un agréable petit déjeuner au soleil. Tout le monde était d’humeur enjouée. Alors que tous les membres s’éternisaient à table, Margaux fût la première à se leva.
- Je vais aller me préparer, dit-elle en déposant un baiser sur le front de Julien.
Alors qu’elle rentrait dans la maison, le jeune homme et ses parents débarrassèrent la table.
Tandis que Margaux pénétrait dans la salle de bain et s’apprêtait à fermer la porte, le bras d’Eric s’interposa pour l’en empêcher. Il accompagna la jeune femme dans la pièce et verrouilla derrière lui. Chacun fixait l’autre sans rien dire, comme attendant que l’un d’eux se jette à l’eau. Ce fût Margaux qui la première s’approcha d’Eric. Elle prit son visage entre ses mains et l’embrassa avec fougue. Il répondait à son baiser avec passion tout en caressant le dos, les fesses, les cuisses de la jeune femme. Cette dernière s’accroupit et sortit du short le beau sexe de son beau-père et entreprit de lui faire une fellation. Elle lui léchait le gland tout en faisant coulisser sa main sur toute la longueur de la queue. Les caresses sur ses couilles arrachèrent quelques râles à l’homme. Elle se délecta du liquide qui suintait de la verge.
Ils ôtèrent tous les deux leurs vêtements et Margaux s’assit sur le bord du meuble, devant la vasque. Elle écarta les jambes pour dévoiler sa belle chatte. Son partenaire se mit à genoux et lui fît un long et agréable cunnilingus. La langue gourmande se régalait du sexe de la jeune femme avec beaucoup d’envie. Margaux respirait fort, le plaisir montant en elle.
Eric se releva et guida son sexe vers celui de la jeune femme. Il pénétra doucement sa chatte humide et s’enfonça au plus profond de son ventre. Margaux poussa un gémissement. Elle se rendit compte qu’elle avait fait beaucoup de bruit et espérait que Julien ne l’avait pas entendu.
Elle ne se lassait pas de la sensation de cette grosse queue qui s’insérait en elle, qui comblait son vagin comme personne, ce gland énorme qui écartait tout sur son passage et dilatait ses entrailles.
Il entama un va-et-vient assez soutenu tout en massant les seins sensibles de la jeune femme.
Alors qu’Eric la besognait maintenant assez fort, elle se mordait les lèvres pour ne pas exprimer trop fort son plaisir.
Soudain, Julien frappa à la porte et dit
- Tu essaies de ne pas être trop longue s’il te plaît ? Je voudrais faire un tour de vélo avant qu’il ne fasse trop chaud.
Tandis qu’Eric ne ralentissait pas ses mouvements de bassin, la jeune femme dû se concentrer pour essayer de répondre avec la voix la plus naturelle possible :
- Je vais prendre... une douche...hmm... J’essaie de faire vite… mon chéri.
- OK, répondit Julien en partant, semblant n’avoir rien remarqué d’anormal.
Margaux et Eric se fixaient dans les yeux, ne lâchant pas le regard de l’autre. Ils paraissaient se nourrir du plaisir qui transpirait sur le visage de l’autre.
Soudain, Eric ne tenant plus, éjacula. En sentant le sperme se répandre dans sa chatte, la jeune femme jouit à son tour. Elle se mordit encore plus fort les lèvres pour étouffer ses gémissements de plaisir. Eric continua à la besogner tant que la fermeté de son sexe le permettait. Il se retira finalement et admira sa semence blanchâtre s’écouler de la chatte de la jeune femme et couler sur le meuble.
Margaux se leva, embrassa Eric et alla sous la douche. Alors qu’il était en train de se rhabiller, il se ravisa en voyant la jeune femme savonner son magnifique corps. Il retira les quelques vêtements qu’il avait mit et la rejoignit sous la douche où ils firent encore l’amour avec autant d’empressement que de passion.
En fin de la matinée, alors que Julien et son père étaient parti faire une balade, Margaux cherchait Stéphanie. Elle la trouva dans la buanderie en train de mettre du linge à sécher.
- On se retrouve toutes les deux, indiqua Margaux, comme voulant faire passer un message.
- Oui, en effet. Tu n’avais pas envie de faire du vélo ? Demanda Stéphanie en saisissant du linge sale dans une panière pour le mettre dans la machine à laver.
- Non, il fait déjà trop chaud, je préfère rester au frais. Eric a accompagné Julien à ma place. Il y a mieux à faire ici, non ? Ajouta-t-elle, mystérieuse.
Stéphanie passa ses mains sous sa robe et retira doucement, de façon ostentatoire son tanga vert. Doucement elle le posa sur le linge déjà dans la machine.
Margaux se pencha et s’empara du tanga sale. Elle le porta à son visage et en huma l’odeur.
- Il sent délicieusement bon, dit-elle avec un sourire charmeur.
- Tu aimes l’odeur de ma chatte ? demanda simplement Stéphanie qui referma la machine à laver et démarra le cycle de lavage.
- Alors profites-en, ajouta-t-elle en soulevant sa robe pour dévoiler sa toison. Elle posa un pied sur la panière à linge pour offrir son sexe à la jeune femme.
Margaux s’accroupit resta quelques instant à admirer la vulve parfaitement rasée de Stéphanie. Délicatement, elle commença à caresser le haut des cuisses puis remonta du bout des doigts vers les grandes lèvres. Elle parcourut la fente sur toute sa longueur à plusieurs reprises. Elle s’aventura jusqu’au clitoris qu’elle massa doucement, sur lequel elle appuya précautionneusement. Elle écarta les chairs autour pour le faire sortit de sa cachette puis approcha son visage pour le lécher. Doucement sa langue joua avec le petit bouton qui gonflait de plaisir. Elle le prit en bouche et l’aspira.
Sa langue redescendit le long des grandes lèvres que la jeune gobe et aspira goulûment. Sa bouche chercha ensuite l’entrée humide qui s’ouvrait de plus en plus que les caresses se faisaient intenses.
Stéphanie ondulait du bassin, haletait sous les agréables attentions de la jeune femme. Le jus de sa belle-mère s’écoula dans sa bouche. Elle lapait avec avidité la cyprine qui suintait de l’intimité de sa partenaire.
Elle retourna vers le petit bouton qui se sentait abandonné et les prit en bouche avec gourmandise. Elle inséra son majeur dans la chatte de Stéphanie et la doigta avec habileté. Le plaisir devint intense, Stéphanie ne tiendrait plus longtemps avant de jouir.
Une nouvelle caresse sur les parois de son vagin, une nouvelle aspiration de son clitoris et Stéphanie fut prise d’un orgasme. Elle gémit de plaisir, les jambes chancelantes.
L’orgasme passé, Margaux se releva et se colla à sa belle-mère et lui caressa les seins, le dos, les fesses, les cuisses. Chaque parcelle de peau frémissait au passage d’une main délicate.
Les bouches se dévoraient avec avidité, les langues se mêlaient avec passion.
Stéphanie souleva le tshirt de la jeune pour dévoiler ses seins nus et saisit à pleine bouche les tétons dressés et les fit rouler dans sa bouche, les mordilla. En même temps, elle glissa sa main entre les jambes de sa partenaire et glissa sa main dans son shorty, explora chaque parcelle de sa vulve gonflée de désir.
Margaux penchait la tête en arrière, fermait les yeux pour savourer pleinement les douces attentions de Stéphanie. Cette dernière léchait plus avidement les seins de la jeune femme et intensifiait les mouvements de ses doigts sur son clitoris. Elle la frôlait, la caressait, l’embrassait, l’explorait, la léchait, la mordillait.
Un doigt s’inséra en elle, fouillant sa chatte avec frénésie tandis que la paume de la main excitait son clitoris à chaque mouvement.
Margaux sentait l’excitation monter très vite en elle jusqu’à ce qu’elle jouisse à son tour. Elle se laissa aller à exprimer son plaisir.
Elles s’enlacèrent, s’embrassèrent tendrement, savourant l’instant et le plaisir donné.
Dans l’après-midi, après un bon repas, Julien et Margaux enfilèrent leur maillot et profitèrent de la piscine.
Eric observait la jeune femme se baigner depuis la porte fenêtre de sa chambre. Il se lassait pas de voir son joli corps onduler dans l’eau. La fin des vacances approchait et Margaux serait bientôt sans doute moins présente. Il en ressentit une certaine nostalgie.
Stéphanie rentra dans la chambre et se dirigea vers son mari. Elle se colla à lui et l’embrassa tendrement. Son regard suivit celui d’Eric et se porta aussi sur la jeune femme. L’un comme l’autre la désirait. Elle sentit le sexe de son mari se durcir contre sa cuisse et en ressentit une certaine excitation.
Elle s’accroupit et sortit la queue de son homme et la mit dans sa bouche. Tout en recevant une agréable fellation, il ne lâchait pas des yeux Margaux. Elle sortait de la piscine, l’eau s’écoulait sur chaque courbe parfaite de son corps. Elle se positionna au bord de la piscine et plongea.
De temps en temps, Stéphanie tournait la tête pour observer également le corps de la jeune femme tout en continuant de faire coulisser sa main sur le membre.
Un bout d’un moment, elle se releva, s’appuya sur la fenêtre, relava sa jupe pour inviter Eric à la prendre. Son mari baissa son string jusqu’aux genoux et vint plaquer sa queue contre la chatte de sa femme. De sa main, il fit glisser son membre de haut en bas sur sa fente avide de plaisir jusqu’à son son petit bourgeon gonflé. Il fit cela un moment avant de pénétrer en douceur le vagin humide.
Tout en prenant du plaisir, l’un comme l’autre ne lâchait pas du regard Margaux.
Alors qu’elle se faisait maintenant besogner avec fougue, ce qu’elle aimait, la chaleur montait dans le ventre de Stéphanie. Elle avait les deux mains plaquées sur la porte fenêtre pour conserver l’équilibre face à chaque puissant coup de rein de son mari.
Eric se pencha un peu en avant et pris à pleine main les seins de sa femme et les massa au travers de sa robe.
Stéphanie poussa soudainement un gémissement de plaisir, emportée par son orgasme. En entendant sa femme jouir, le plaisir d’Eric augmenta instantanément et il éjacula puissamment au fond du ventre de sa femme. Il continua à coulisser aussi longtemps que possible dans l’agréable moiteur de la chatte de Stéphanie, ne voulant pas la quitter.
Chacun avait jouit en laissant son regard se perdre sur le corps doré de Margaux qui se prélassait magnifiquement sur un transat.
Eric rentrait assez tard ce vendredi soir car il avait été retenu au travail. Il était pressé d’arriver chez lui car Margaux devait passer la soirée avec eux, une des dernières qu’ils pourraient passer tous les trois, avant d’aller chercher le lendemain Julien, son compagnon, à la gare. Eric avait appelé sa femme pour la prévenir de ne pas l’attendre car il risquait de rentrer tard.
En effet, lorsqu’il rentra dans la maison, il constata qu’elles ne l’avaient pas attendues. Il entendit les gémissements des deux femmes et les trouva l’une sur l’autre dans un 69 qu’il trouva très érotique. Il observa la scène sans faire de bruit, ne voulant pas rompre le moment de plaisir qu’elles partageaient.
Cette vision le mit rapidement en émoi. Il sentit assez vite son sexe se réveiller en observant sa femme couchée sous Margaux. Il voyait parfaitement les fesses de cette dernière et en dessous le visage de Stéphanie qui léchait avidement l’abricot juteux qui suintait au dessus de sa bouche. Sa femme passait sa langue avec voracité sur toute la vulve luisante autant pour en récupérer tout le jus que pour procurer du plaisir à sa partenaire. Par moment, Stéphanie ne bougeait plus pendant quelques secondes, stoppée net par un frisson de plaisir qui la parcourait, sa chatte recevant le même agréable traitement de la part de Margaux.
Très excité, Eric libéra son membre tendu de son pantalon et se masturba. Il resta ainsi cinq minutes à faire monter le plaisir en lui lorsque Stéphanie remarqua sa présence. Elle lui sourit et lui fit signe de s’approcher. Son mari enleva tous ses vêtements et vint présenter sa queue à l’entrée du sexe de Margaux. Cette dernière, qui n’avait toujours pas remarqué la présence de son beau-père, fut surprise de sentir le gland se presser à l’entrée de son vagin. La grosse queue d’Eric pénétra sans difficulté la chatte brûlante de la jeune femme.
Stéphanie avait maintenant la bouche juste en dessous des couilles de son mari et se délectait de la queue qui entrait et sortait en rythme du sexe de Margaux. Elle tendit la langue pour lécher les testicules lisses d’Eric tout en poussant des gémissements de plaisir provoqués par les adroites attentions de la jeune femme sur son intimité.
Eric ressortit sa queue et lubrifia abondamment l’anus de Margaux avec sa mouille pour la sodomiser. Bien vite, tenant sa queue au plus près de son gland il pressa ce dernier sur le petit trou de la jeune femme. Son large gland écarta tout sur son passage et sa verge rentra doucement dans ce cul qui s’ouvrait de plaisir. Lorsqu’il fut entièrement en elle il entama de lents aller-retours puis accéléra le rythme. Margaux sentait la chaleur gagner de plus en plus son ventre jusqu’à ce que l’orgasme saisisse tout son corps. Elle cessa de lécher la vulve de Stéphanie, n’étant plus capable de bouger tellement les spasmes prenaient possession d’elle. La jeune femme cria son plaisir tout en lâchant entre deux souffles courts : « Ho putain, c’est bon ! ».
En l’entendant jouir ainsi, Eric éjacula à son tour. Les premiers jets de sperme remplirent le cul de Margaux et comme il sortit sa queue de son trou, les dernières grosses gouttes de semence tombèrent entre ses fesses.
Margaux avait reprit son cunnilingus sur sa belle-mère qui commençait à haleter à son tour de plaisir. Cette dernière recueillit avec gourmandise les gouttes de sperme qui coulaient le long de la fente de la jeune femme et atterrissaient sur sa langue. Elle fut prise à son tour d’un bel orgasme, gémissant de plaisir, la bouche grande ouverte, du sperme sur les lèvres.
Lorsque l’euphorie de l’orgasme fut redescendu, Eric ressentit la faim. Il était 21h et il n’avait toujours pas mangé. Il se dirigea, nu comme un vers dans la cuisine pour trouver quelque chose à grignoter. Il fut rejoint pour les deux femmes tout aussi nues. Tout en manger une part de quiche froide, il admirait le corps magnifique de ces deux femmes.
- Julien arrive à quelle heure demain ? Demanda Eric à Margaux.
- A 11h32.
- Tu vas le chercher à la gare ?
- Oui, j’irai.
Ni sa copine, ni le père du jeune homme ne semblait ravit de son retour. Cela signifiait la fin de leur ébats, qu’aucune des personnes dans la cuisine ne voulait arrêter.
Lorsque Eric eût finit de manger il proposa :
- Bien dans ce cas, profitons des derniers moments qu’il nous reste avant son retour.
- Tu as raison mon chéri, approuva Stéphanie.
Tous les trois gagnèrent la chambre et se donnèrent du plaisir jusque tard dans la nuit.
Le lendemain, Eric faisait un rêve érotique lorsqu’il se réveilla, ressentant des caresses sur son corps nu. Il réalisa alors que, ayant une érection matinale, Margaux s’en était aperçu et avait décidé d’en profiter. Elle avait commencé à le masturber alors qu’il dormait encore. Il trouva ce réveil des plus agréables.
La jeune femme se mit à genoux et fit une fellation à son beau-père qui se trouvait au milieu du lit, entre son épouse et Margaux. Cette dernière enroulait sa langue autour du gland, faisait un va-et-vient sur la verge avec son pouce et son majeur qui formaient un divin anneau. Elle lui caressa les couilles avec douceur, les lécha, les aspira jusqu’à lui faire un peu mal.
Les bruits de succion qui résultaient de cette adroite fellation, réveillèrent Stéphanie. Très vite, elle eut aussi envie de participer. Elle se releva et toutes les deux se partagèrent la queue. Elle léchait chacune un côté de la verge, ou bien pendant que l’une l’avait en bouche, l’autre léchait les couilles. Eric sentait le plaisir monter très vite. Son épouse s’en aperçut et proposa à Margaux de branler la queue. Le jeune femme mit sa main à la base de la verge alors que Stéphanie mit sa main au dessus. Ensemble, elles montaient et descendait leur main sur toute la longueur de la queue. Eric se raidit et éjacula. Comme son épouse serrait assez fort le membre, le sperme ne jaillit pas en jet mais sortit du sexe doucement et se répandit sur les mains des femmes. La quantité de jus qui s’écoula de la queue était abondante et ne semblait pas s’arrêter. Margaux souriait d’étonnement devant tant de sperme. Quand l’orgasme d’Eric fut terminé, Stéphanie proposa à Margaux.
« Branle-toi avec ta main couverte de sperme, tu vas adorer. »
Les deux femmes s’allongèrent sur le dos et caressèrent leur vulve gonflée de désir avec leur main pleine de sperme. Elle étalèrent la semence sur leur clitoris. Leurs doigts glissant de sperme leur procuraient une agréable sensation sur leur petit bouton dressé de plaisir. Les deux femmes haletaient, gémissaient, ondulaient du bassin au rythme de leurs caresses. Elles jouirent presque en même temps. Elles excitaient de plus bel leur clitoris pour prolonger le plaisir tout en s’agrippant aux draps de leur main libre.
Les voir ainsi se masturber et gémir de plaisir en cœur fit bander à nouveau Eric. Entendre une femme jouir était pour lui un des moments les plus satisfaisant de la vie. Cependant, chacun avait été comblé et les trois amants restèrent couchés sur le lit, savourant une agréable plénitude.
En fin de matinée, Eric et Stéphanie s’affairaient en cuisine pour préparer le déjeuner. Ils avaient envisagé un bon repas pour le retour de leur fils.
Margaux fit son entrée dans la pièce et proposa son aide. La jeune femme sentit avec satisfaction le regard d’Eric se figer sur elle. Elle portait un ensemble du plus bel effet. Un crop top bleu ciel qui s’attachait entre les seins avec deux gros boutons ainsi qu’une jupe courte plissée, style jupe de tennis. Elle fut prise d’une excitation grandissante à constater l’effet produit sur son beau père. Lorsque Stéphanie la vit, elle n’en fut pas moins subjuguée.
- Tu es magnifique ma chérie, dit-elle sincèrement.
- Merci.
La jeune femme éplucha et coupa quelques courgettes et fit de même avec des poivrons. Alors que l’heure avançait, elle indiqua au couple qu’il était temps d’aller chercher Julien et sortit de la cuisine, le laissant s’affairer dans les préparatifs du repas.
Alors qu’elle allait se saisir de son sac à main dans le salon, elle sentit Eric la prendre par le bras et l’attirer vers lui. Il l’enveloppa de ses bras et l’embrassa passionnément. La jeune femme résista quelques instant pour la forme, arguant qu’elle devait aller chercher son fils maintenant au risque d’être en retard. Mais le père de Julien, sentant la femme peu convaincue, insista. Il voulait posséder Margaux, ici et maintenant.
La jeune femme se laissa aller, emportée par un désir réciproque. Elle lui rendait à présent son baiser avec fougue. Eric déboutonna son crop top et empoigna ses petits seins fermes qu’il massa avec envie. Margaux caressa la bosse qui se formait sur le short de son beau-père. Elle sortit le membre de sa prison de tissus et le branla tandis que son partenaire avait glissé sa main sous la jupe et s’insinuait entre ses jambes, caressant son intimité à travers le fin tissus de son string.
Eric fit reculer la jeune femme jusqu’à la table et la fit s’y allonger. Elle écarta les jambes, désireuse d’accueillir son amant. Eric se mit à bander encore plus fort en voyant le string bleu clair en tulle, parsemé de quelques touches de broderies roses qui ne cachait rien de l’intimité de Margaux. Il distinguait très bien à travers le tissus le fin duvet en forme de triangle sur son pubis, le clitoris gonflé en dessous et le début de ses grandes lèvres qui se perdaient sous le fond doublé de son sous-vêtement. Il resta quelques instants sans bouger, subjugué, puis reprit ses esprits. Il écarta le string pour libérer le sexe moite de la jeune femme et pénétra doucement son vagin humide.
Margaux sentait les coups de reins de son beau-père devenir de plus en plus puissants. Son gland tapait dans le fond de son vagin et lui provoquèrent ses premiers gémissements. Tandis qu’il la besognait avec force, ses doigts se mirent à exciter son clitoris gonflé d’excitation.
Après quelques minutes, Eric poussa un long râle de plaisir et expulsa de puissants jets de sperme chaud dans le ventre de la jeune femme. Alors même qu’il avait jouit, il continuait son puissant pilonnage jusqu’à ce que Margaux jouisse à son tour, ce qui se produisit rapidement. Les gémissements de la jeune femme attirèrent Stéphanie qui resta à distance, observant la scène.
Eric se retira et remis le string en place. Margaux se releva, les jambes un peu chancelantes après cet intense quickie. Le train de Julien arrivait dans 10 minutes. Elle n’avait pas le temps de se laver ni de se changer. Tant pis, elle partirait comme ça.
Elle déposa un rapide baiser sur la bouche de son amant et s’éclipsa.
Sur le trajet, Margaux sentait son string s’humidifier de plus en plus. Le sperme s’écoulait de sa chatte en grande quantité. Elle avait peur de tâcher sa jupe.
Arrivée à la gare, elle s’assura que cette dernière n’était pas sale puis se précipita pour retrouver Julien. Il attendait dans le hall de la gare, seul, semblant mécontent.
- Je commençais à m’impatienter! s’irrita Julien. J’allais t’appeler pour savoir si tu ne m’avais pas oublié.
- Excuse-moi, je suis parti un peu tard de la maison. Tu sais comment est ton père, très bavard et je n’ai pas vu le temps passé.
En disant cela, elle fut parcourut d’un frisson d’excitation. Elle ressentait plus que jamais le sperme à présent froid de son beau-père qui avait inondé son string.
Ils montèrent dans la voiture et reprirent la route vers le domicile des parents de Julien. Sur la route, le jeune homme observait les jambes bronzées de sa compagne dont la jupe courte remontait jusqu’au haut des cuisses. Ils les trouvaient magnifiques.
- Tu m’as beaucoup manqué, dit-il.
- Toi aussi, mentit à moitié Margaux, se sentant un peu honteuse.
Elle aimait sincèrement Julien et était heureuse de le revoir, mais d’un autre côté cela venait perturber l’excitante aventure qu’elle vivait avec ses beaux-parents.
- J’ai beaucoup pensé à toi. Ton corps m’a beaucoup manqué aussi, ajout-t-il en posant sa main sur la cuisse de la jeune femme.
La jeune femme vit une bosse se former sur le short de son compagnon. Comme elle se sentait coupable de tout ce qu’elle avait pu faire en son absence, et que malgré tout elle l’aimait et le désirait, elle arrêta la voiture dès qu’elle trouva un coin tranquille. Elle défit sa ceinture, se pencha vers le jeune homme pour en sortir le sexe tendu et entama une fellation. Elle prit plaisir à sucer son compagnon qu’elle n’avait pas vu depuis deux semaines, mais pas autant que ce dernier qui éjacula très vite. Le sperme se répandit abondamment dans la bouche de Margaux, qui savoura d’avoir fait jouir son homme. En avalant la semence elle repensa avec excitation à celle qui inondait actuellement son string. Quand elle eut avalé tout le jus et extrait la dernière goutte de la verge, sans rien dire, se sentant un peu plus légère, elle redémarra la voiture.
Le déjeuner se déroula dans une ambiance festive de retrouvaille. Le repas s’éternisa un peu, tout le monde mangeant et buvant plus que de raison, la bonne humeur régnant autour de la table.
A la fin du repas, Julien et Margaux gagnèrent leur chambre pour se reposer. Eric partit dans le garage bricoler sur la 4L qu’il retapait. Quant à Stéphanie, elle passa un maillot et alla s’allonger près de la piscine.
Alors que Margaux et Julien lisaient dans la relative fraîcheur de leur chambre, la jeune femme ressentit l’envie de faire l’amour avec lui. Elle ne l’avait pas vu depuis longtemps et voulait retrouver leur intimité, son corps, le sentir en elle. Le jeune femme se tourna vers lui et constata à regret qu’il s’était endormi sur son livre. Déçue, elle se leva et alla dans le salon et ne vit personne. Elle parcourut toutes les pièces et trouva finalement Eric dans le garage.
Ce dernier était couché sous la 4L surélevée par des crics. Il aimait retaper de vieilles voitures. Quand elles étaient en état de rouler il les utilisait pendant quelques mois puis les revendait pour en réparer une nouvelle.
La jeune femme enjamba le corps d’Eric puis demanda :
- Ca avance bien la mécanique ?
Le mécanicien, dont seules les jambes dépassaient de la voiture, tira sur celles-ci pour faire reculer la planche à roulettes sur laquelle il était allongé. Son visage se retrouva alors entre les jambes de Margaux. Il eut tout le loisir d’admirer son nouveau string jaune en dentelle. Il s’attarda sur ses seins nus sous son crop top, qu’il savait fermes et qu’il aurait aimé tenir dans le creux de ses mains.
Tous les deux restèrent un moment dans cette position, chacun excité par le spectacle qu’elle offrait ou celui qu’il admirait.
- Oui ça avance doucement. Peux-tu me passer la clé de 12 ? demanda Eric en désignant la boîte à outils.
La jeune femme avança jusqu’à la caisse et se pencha en avant pour attraper l’outil, offrant la vue de ses fesses au mécanicien qui se réjouissait de la présence de son assistante. Elle prit tout son temps avant de se relever puis tendit la clé à Eric qui retourna sous la voiture.
Margaux resta debout dans un coin du garage et regarda Eric travailler. Ce dernier jetait un coup d’œil de temps en temps en direction de la jeune femme. Il admirait ses longues jambes bronzées qua la courte jupe cachait à peine.
De temps en temps, Margaux s’approchait de la voiture et s’accroupissait non loin du visage du mécanicien pour lui tendre un outil. Eric tournait la tête et pouvait admirer l’entre-jambe de la jeune femme. Son attention se portait alors sur le haut de ses cuisses légèrement écartées et dont la peau douce le faisait rêver, le string jaune transparent qui ne cachait pas grand chose de son sexe, ses lèvres intimes charnues enveloppées dans la délicate dentelle jaune. Le spectacle offert était des plus excitant. Elle faisait mine de s’intéresser pour prolonger la pause, puis retournait dans un coin du garage.
Sous sa voiture, Eric sentait sa queue se durcir, serrée et douloureusement emprisonnée dans son boxer.
Margaux s’en rendit compte, aussi s’approcha-t-elle de son beau-père. Elle se mit à genoux à côté de lui, défit doucement le pantalon de travail d’Eric et en sortit le membre tendu. Très lentement elle fit glisser sa main de haut en bas.
Tant bien que mal, Eric tentait de se concentrer sur son travail, mais chaque mouvement sur son sexe rendait la tâche plus difficile.
D’un ton espiègle Margaux dit à son beau-père :
- Moi aussi j’ai besoin d’un bel outil !
Et avec beaucoup d’envie elle prit le sexe en bouche et s’appliqua à lui faire une longue et agréable fellation. Tandis qu’elle s’affairait à sucer le membre avec gourmandise, elle sentait l’excitation l’envahir et sa chatte s’enflammer. Eric lâcha ses outils et sortit de sous la voiture.
Margaux entraîna son beau-père pour l’adosser contre un mur du garage. Elle se pencha devant lui, releva sa jupe et écarta son string. Doucement elle recula pour s’empaler sur le membre tendu. Eric ayant les mains pleines de cambouis, il ne pouvait pas la toucher. Sans avoir besoin de tenir la queue, elle colla le gland gonflé de sang sur ses lèvres humides. Elle bougea légèrement pour le guider à l’entrée de son vagin puis recula un peu plus. Avec beaucoup d’adresse la queue s’insérait lentement en elle tandis qu’elle poussait un soupir de plaisir.
Les mains posées sur les genoux, Margaux avançait et reculait afin de faire coulisser en elle la bite dure. Quant à Eric, appuyé contre le mur, il se laissait faire en observant avec une immense excitation son sexe disparaître dans le ventre de sa partenaire à chacun de ses mouvements.
Margaux se retira mais resta penchée en avant.
- Bouffe-moi la chatte ! Ordonna-t-elle.
Eric s’accroupit et approcha son visage pour lécher le sexe humide avec voracité. Longuement il se délecta de son délicieux jus. Il adorait ça !
La jeune femme poussait maintenant de petits gémissements à chaque coup de langue. Son souffle devenait plus fort.
Margaux alla s’asseoir sur l’établi impeccablement rangé. Son amant vint entre ses jambes. Toujours sans s’aider de ses mains, il guida sa queue vers le vagin humide de la jeune femme. Ne parvenant pas à s’insérer en elle, la jeune femme attrapa le sexe et le dirigea vers l’entrée de son sexe et l’y enfonça avec envie.
Eric entama un puissant va-et-vient. Recherchant un orgasme, Margaux passa sa main entre ses jambes et excita son clitoris.
Sa respiration devenait haletante. Elle poussait de profonds gémissements, sentant l’orgasme arriver.
Elle jouit rapidement, faisant attention à ne pas crier son plaisir trop fort afin de ne pas alerter les autres occupants de la maison.
Son beau-père jouit à son tour en grognant. Après s’être vidé dans le ventre de la jeune femme, il se retira et Margaux replaça son string sur sa chatte dégoulinante. Elle sortit du garage en souhaitant à Eric de prendre du plaisir à finir ses travaux de mécanique.
Le soir-même, Margaux fit l’amour avec Julien, tous les deux retrouvant ainsi un moment d’intimité et tendresse qu’ils n’avaient plus partagés ces derniers temps. La jeune femme apprécia cet instant plus centré sur les sentiments, l’affection. Ces dernières semaines, elle avait été surtout à l’écoute de son corps, de ses envies et en avait un peu oublié la puissance de l’amour envers quelqu’un.
Apaisée, elle s’endormit dans les bras de son compagnon.
Le dimanche matin, la famille prit un agréable petit déjeuner au soleil. Tout le monde était d’humeur enjouée. Alors que tous les membres s’éternisaient à table, Margaux fût la première à se leva.
- Je vais aller me préparer, dit-elle en déposant un baiser sur le front de Julien.
Alors qu’elle rentrait dans la maison, le jeune homme et ses parents débarrassèrent la table.
Tandis que Margaux pénétrait dans la salle de bain et s’apprêtait à fermer la porte, le bras d’Eric s’interposa pour l’en empêcher. Il accompagna la jeune femme dans la pièce et verrouilla derrière lui. Chacun fixait l’autre sans rien dire, comme attendant que l’un d’eux se jette à l’eau. Ce fût Margaux qui la première s’approcha d’Eric. Elle prit son visage entre ses mains et l’embrassa avec fougue. Il répondait à son baiser avec passion tout en caressant le dos, les fesses, les cuisses de la jeune femme. Cette dernière s’accroupit et sortit du short le beau sexe de son beau-père et entreprit de lui faire une fellation. Elle lui léchait le gland tout en faisant coulisser sa main sur toute la longueur de la queue. Les caresses sur ses couilles arrachèrent quelques râles à l’homme. Elle se délecta du liquide qui suintait de la verge.
Ils ôtèrent tous les deux leurs vêtements et Margaux s’assit sur le bord du meuble, devant la vasque. Elle écarta les jambes pour dévoiler sa belle chatte. Son partenaire se mit à genoux et lui fît un long et agréable cunnilingus. La langue gourmande se régalait du sexe de la jeune femme avec beaucoup d’envie. Margaux respirait fort, le plaisir montant en elle.
Eric se releva et guida son sexe vers celui de la jeune femme. Il pénétra doucement sa chatte humide et s’enfonça au plus profond de son ventre. Margaux poussa un gémissement. Elle se rendit compte qu’elle avait fait beaucoup de bruit et espérait que Julien ne l’avait pas entendu.
Elle ne se lassait pas de la sensation de cette grosse queue qui s’insérait en elle, qui comblait son vagin comme personne, ce gland énorme qui écartait tout sur son passage et dilatait ses entrailles.
Il entama un va-et-vient assez soutenu tout en massant les seins sensibles de la jeune femme.
Alors qu’Eric la besognait maintenant assez fort, elle se mordait les lèvres pour ne pas exprimer trop fort son plaisir.
Soudain, Julien frappa à la porte et dit
- Tu essaies de ne pas être trop longue s’il te plaît ? Je voudrais faire un tour de vélo avant qu’il ne fasse trop chaud.
Tandis qu’Eric ne ralentissait pas ses mouvements de bassin, la jeune femme dû se concentrer pour essayer de répondre avec la voix la plus naturelle possible :
- Je vais prendre... une douche...hmm... J’essaie de faire vite… mon chéri.
- OK, répondit Julien en partant, semblant n’avoir rien remarqué d’anormal.
Margaux et Eric se fixaient dans les yeux, ne lâchant pas le regard de l’autre. Ils paraissaient se nourrir du plaisir qui transpirait sur le visage de l’autre.
Soudain, Eric ne tenant plus, éjacula. En sentant le sperme se répandre dans sa chatte, la jeune femme jouit à son tour. Elle se mordit encore plus fort les lèvres pour étouffer ses gémissements de plaisir. Eric continua à la besogner tant que la fermeté de son sexe le permettait. Il se retira finalement et admira sa semence blanchâtre s’écouler de la chatte de la jeune femme et couler sur le meuble.
Margaux se leva, embrassa Eric et alla sous la douche. Alors qu’il était en train de se rhabiller, il se ravisa en voyant la jeune femme savonner son magnifique corps. Il retira les quelques vêtements qu’il avait mit et la rejoignit sous la douche où ils firent encore l’amour avec autant d’empressement que de passion.
En fin de la matinée, alors que Julien et son père étaient parti faire une balade, Margaux cherchait Stéphanie. Elle la trouva dans la buanderie en train de mettre du linge à sécher.
- On se retrouve toutes les deux, indiqua Margaux, comme voulant faire passer un message.
- Oui, en effet. Tu n’avais pas envie de faire du vélo ? Demanda Stéphanie en saisissant du linge sale dans une panière pour le mettre dans la machine à laver.
- Non, il fait déjà trop chaud, je préfère rester au frais. Eric a accompagné Julien à ma place. Il y a mieux à faire ici, non ? Ajouta-t-elle, mystérieuse.
Stéphanie passa ses mains sous sa robe et retira doucement, de façon ostentatoire son tanga vert. Doucement elle le posa sur le linge déjà dans la machine.
Margaux se pencha et s’empara du tanga sale. Elle le porta à son visage et en huma l’odeur.
- Il sent délicieusement bon, dit-elle avec un sourire charmeur.
- Tu aimes l’odeur de ma chatte ? demanda simplement Stéphanie qui referma la machine à laver et démarra le cycle de lavage.
- Alors profites-en, ajouta-t-elle en soulevant sa robe pour dévoiler sa toison. Elle posa un pied sur la panière à linge pour offrir son sexe à la jeune femme.
Margaux s’accroupit resta quelques instant à admirer la vulve parfaitement rasée de Stéphanie. Délicatement, elle commença à caresser le haut des cuisses puis remonta du bout des doigts vers les grandes lèvres. Elle parcourut la fente sur toute sa longueur à plusieurs reprises. Elle s’aventura jusqu’au clitoris qu’elle massa doucement, sur lequel elle appuya précautionneusement. Elle écarta les chairs autour pour le faire sortit de sa cachette puis approcha son visage pour le lécher. Doucement sa langue joua avec le petit bouton qui gonflait de plaisir. Elle le prit en bouche et l’aspira.
Sa langue redescendit le long des grandes lèvres que la jeune gobe et aspira goulûment. Sa bouche chercha ensuite l’entrée humide qui s’ouvrait de plus en plus que les caresses se faisaient intenses.
Stéphanie ondulait du bassin, haletait sous les agréables attentions de la jeune femme. Le jus de sa belle-mère s’écoula dans sa bouche. Elle lapait avec avidité la cyprine qui suintait de l’intimité de sa partenaire.
Elle retourna vers le petit bouton qui se sentait abandonné et les prit en bouche avec gourmandise. Elle inséra son majeur dans la chatte de Stéphanie et la doigta avec habileté. Le plaisir devint intense, Stéphanie ne tiendrait plus longtemps avant de jouir.
Une nouvelle caresse sur les parois de son vagin, une nouvelle aspiration de son clitoris et Stéphanie fut prise d’un orgasme. Elle gémit de plaisir, les jambes chancelantes.
L’orgasme passé, Margaux se releva et se colla à sa belle-mère et lui caressa les seins, le dos, les fesses, les cuisses. Chaque parcelle de peau frémissait au passage d’une main délicate.
Les bouches se dévoraient avec avidité, les langues se mêlaient avec passion.
Stéphanie souleva le tshirt de la jeune pour dévoiler ses seins nus et saisit à pleine bouche les tétons dressés et les fit rouler dans sa bouche, les mordilla. En même temps, elle glissa sa main entre les jambes de sa partenaire et glissa sa main dans son shorty, explora chaque parcelle de sa vulve gonflée de désir.
Margaux penchait la tête en arrière, fermait les yeux pour savourer pleinement les douces attentions de Stéphanie. Cette dernière léchait plus avidement les seins de la jeune femme et intensifiait les mouvements de ses doigts sur son clitoris. Elle la frôlait, la caressait, l’embrassait, l’explorait, la léchait, la mordillait.
Un doigt s’inséra en elle, fouillant sa chatte avec frénésie tandis que la paume de la main excitait son clitoris à chaque mouvement.
Margaux sentait l’excitation monter très vite en elle jusqu’à ce qu’elle jouisse à son tour. Elle se laissa aller à exprimer son plaisir.
Elles s’enlacèrent, s’embrassèrent tendrement, savourant l’instant et le plaisir donné.
Dans l’après-midi, après un bon repas, Julien et Margaux enfilèrent leur maillot et profitèrent de la piscine.
Eric observait la jeune femme se baigner depuis la porte fenêtre de sa chambre. Il se lassait pas de voir son joli corps onduler dans l’eau. La fin des vacances approchait et Margaux serait bientôt sans doute moins présente. Il en ressentit une certaine nostalgie.
Stéphanie rentra dans la chambre et se dirigea vers son mari. Elle se colla à lui et l’embrassa tendrement. Son regard suivit celui d’Eric et se porta aussi sur la jeune femme. L’un comme l’autre la désirait. Elle sentit le sexe de son mari se durcir contre sa cuisse et en ressentit une certaine excitation.
Elle s’accroupit et sortit la queue de son homme et la mit dans sa bouche. Tout en recevant une agréable fellation, il ne lâchait pas des yeux Margaux. Elle sortait de la piscine, l’eau s’écoulait sur chaque courbe parfaite de son corps. Elle se positionna au bord de la piscine et plongea.
De temps en temps, Stéphanie tournait la tête pour observer également le corps de la jeune femme tout en continuant de faire coulisser sa main sur le membre.
Un bout d’un moment, elle se releva, s’appuya sur la fenêtre, relava sa jupe pour inviter Eric à la prendre. Son mari baissa son string jusqu’aux genoux et vint plaquer sa queue contre la chatte de sa femme. De sa main, il fit glisser son membre de haut en bas sur sa fente avide de plaisir jusqu’à son son petit bourgeon gonflé. Il fit cela un moment avant de pénétrer en douceur le vagin humide.
Tout en prenant du plaisir, l’un comme l’autre ne lâchait pas du regard Margaux.
Alors qu’elle se faisait maintenant besogner avec fougue, ce qu’elle aimait, la chaleur montait dans le ventre de Stéphanie. Elle avait les deux mains plaquées sur la porte fenêtre pour conserver l’équilibre face à chaque puissant coup de rein de son mari.
Eric se pencha un peu en avant et pris à pleine main les seins de sa femme et les massa au travers de sa robe.
Stéphanie poussa soudainement un gémissement de plaisir, emportée par son orgasme. En entendant sa femme jouir, le plaisir d’Eric augmenta instantanément et il éjacula puissamment au fond du ventre de sa femme. Il continua à coulisser aussi longtemps que possible dans l’agréable moiteur de la chatte de Stéphanie, ne voulant pas la quitter.
Chacun avait jouit en laissant son regard se perdre sur le corps doré de Margaux qui se prélassait magnifiquement sur un transat.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
trop bon si seulement je pouvais vivre cela hum les coquines
Mmm très excitante cette partie, j'espère qu'il y aura encore une suite!