Dernière séance dans l'oeil d'une tornade d'été
Récit érotique écrit par MyPiratQueen [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Dernière séance dans l'oeil d'une tornade d'été
21 juin, 18h...Nous avons rendez vous pour un ciné, et je dois le cueillir en chemin.
Il est là, au coin de la rue...
Et le vent se lève.
Je le reconnais de loin à sa carrure de guerrier, ses cheveux longs ici et rasés là... Avec son kilt et l'atmosphère orageuse, j'ai l'impression que je regarde Highlander!
J'approche, j'ouvre la fenêtre... Sourire angélicarnassier qui me fait presentir le pire. La nuit tombe en plein jour, le ciel gronde et menace.
Je tends le bras. Baisemain délicat.
"Bon, alors, Mac Leod tu grimpes où on reste là à se regarder dans le blanc de l'oeil?"
Ou plutôt, le vert? Bleu? Turquoise? Dans l'aigue marine de l'œil ?? Waw! Ça c'est du regard d'acier à vous faire perdre un temps fou en contemplation benoîte!
Une œillade vers les mollets musclés et je transperce le kilt en devinant une proéminence nue, et frise un nouvel égarement contemplatif, ou devrais-je dire un orgasme scrutateur ?
Zébrures dans le ciel.
"Et alors, Fucking Queen, tu me le débarrasses ce siège ou tu attends que je sois trempé jusqu'à l'os?"
Oups, j'ai apporté mon gode préféré, le sceptre de cristal, et il traîne négligemment sur le fauteuil passager!
Et pendant ce temps-là, les premières gouttes de pluie mouillent mon beau barbare.
C'est sublime un homme aux muscles saillants, ruisselant d'une ondée rafraîchissante en plein cœur du solstice d'été ! Excitant même ! Mais j'arrête de ripailler des yeux pour lui faire une place près de moi.
Escamotage du gode sur les fauteuils arrière, mais pas sans un peu de provocation :
"C'est ça qui te fait peur, Highlander ?" demandai-je en saisissant le cristal phallique pour lui donner un petit coup de langue.
L'homme se glisse dans mon véhicule, air désinvolte, mutin, ou truculent, mystère, je suis troublée et ne parviens pas à pénétrer son esprit... Mon cœur s'emballe, il cogne si fort, que les grondements de l'orage dissimulent à peine son tourment. Serait-ce donc ça le coup de foudre ?
Démarrage en trombe... Trombes d'eau...Une rue, un feu, touffeur amphibie, je ne peux plus conduire. Une place, arrêt moteur : pluie diluvienne, on ne voit plus rien dehors.
Je replonge dans l'aigue marine... Sourire niaiseux : à ce rythme c'est foutu pour la séance de 20h...
Il couche son siège, met les bras derrière la tête et me scrute du coin de son aigue. Je l'imite : je recule et baisse mon fauteuil pour le mater du coin de mon kaki. Et cette fois je m'adonne ostensiblement à la contemplation de la proéminence qui semble magnétisée par mes yeux : ça frétille j'en suis certaine! Mes dents pincent mes lèvres à cette vision et je pose mes talons vertigineux sur tableau de bord, faisant apparaître à la même occasion le haut de mes cuisses et de mes bas.
Extérieur extrêmement troublé, plus un chat dans la rue... Intérieur extrêmement troublant : il a pris cette levée de jambes comme un signal de départ. Effleurements, compliments, attouchements, l'humidité fini en épanchement.
La ville a disparue.
Nous envahissons l'arrière du véhicule pour entreprendre l'exploration attentive de toutes les sources de plaisir que nous recelons corps et âmes.
Il ne reste que nous, seuls au monde... À l'abri de notre cage de Faraday agitée des tremblements de notre débauche...
Un orgasme déferlant nous emporte au cœur de la tourmente... Un dernier râle et c'est l'apaisement. Sa pointe encore au fond de moi, tout mouvement cesse... Béatitude... Nous restons enlacés sans mot dire pour prolonger l'extase, et attendre que nos cœurs battant la chamade trouvent l'accalmie...
La pluie s'est arrêtée... Les rayons du soleil couchant de ce solstice d'été écartent définitivement les nuages... Le temps reprends son cours... Et nous partons pour la dernière séance!
Il est là, au coin de la rue...
Et le vent se lève.
Je le reconnais de loin à sa carrure de guerrier, ses cheveux longs ici et rasés là... Avec son kilt et l'atmosphère orageuse, j'ai l'impression que je regarde Highlander!
J'approche, j'ouvre la fenêtre... Sourire angélicarnassier qui me fait presentir le pire. La nuit tombe en plein jour, le ciel gronde et menace.
Je tends le bras. Baisemain délicat.
"Bon, alors, Mac Leod tu grimpes où on reste là à se regarder dans le blanc de l'oeil?"
Ou plutôt, le vert? Bleu? Turquoise? Dans l'aigue marine de l'œil ?? Waw! Ça c'est du regard d'acier à vous faire perdre un temps fou en contemplation benoîte!
Une œillade vers les mollets musclés et je transperce le kilt en devinant une proéminence nue, et frise un nouvel égarement contemplatif, ou devrais-je dire un orgasme scrutateur ?
Zébrures dans le ciel.
"Et alors, Fucking Queen, tu me le débarrasses ce siège ou tu attends que je sois trempé jusqu'à l'os?"
Oups, j'ai apporté mon gode préféré, le sceptre de cristal, et il traîne négligemment sur le fauteuil passager!
Et pendant ce temps-là, les premières gouttes de pluie mouillent mon beau barbare.
C'est sublime un homme aux muscles saillants, ruisselant d'une ondée rafraîchissante en plein cœur du solstice d'été ! Excitant même ! Mais j'arrête de ripailler des yeux pour lui faire une place près de moi.
Escamotage du gode sur les fauteuils arrière, mais pas sans un peu de provocation :
"C'est ça qui te fait peur, Highlander ?" demandai-je en saisissant le cristal phallique pour lui donner un petit coup de langue.
L'homme se glisse dans mon véhicule, air désinvolte, mutin, ou truculent, mystère, je suis troublée et ne parviens pas à pénétrer son esprit... Mon cœur s'emballe, il cogne si fort, que les grondements de l'orage dissimulent à peine son tourment. Serait-ce donc ça le coup de foudre ?
Démarrage en trombe... Trombes d'eau...Une rue, un feu, touffeur amphibie, je ne peux plus conduire. Une place, arrêt moteur : pluie diluvienne, on ne voit plus rien dehors.
Je replonge dans l'aigue marine... Sourire niaiseux : à ce rythme c'est foutu pour la séance de 20h...
Il couche son siège, met les bras derrière la tête et me scrute du coin de son aigue. Je l'imite : je recule et baisse mon fauteuil pour le mater du coin de mon kaki. Et cette fois je m'adonne ostensiblement à la contemplation de la proéminence qui semble magnétisée par mes yeux : ça frétille j'en suis certaine! Mes dents pincent mes lèvres à cette vision et je pose mes talons vertigineux sur tableau de bord, faisant apparaître à la même occasion le haut de mes cuisses et de mes bas.
Extérieur extrêmement troublé, plus un chat dans la rue... Intérieur extrêmement troublant : il a pris cette levée de jambes comme un signal de départ. Effleurements, compliments, attouchements, l'humidité fini en épanchement.
La ville a disparue.
Nous envahissons l'arrière du véhicule pour entreprendre l'exploration attentive de toutes les sources de plaisir que nous recelons corps et âmes.
Il ne reste que nous, seuls au monde... À l'abri de notre cage de Faraday agitée des tremblements de notre débauche...
Un orgasme déferlant nous emporte au cœur de la tourmente... Un dernier râle et c'est l'apaisement. Sa pointe encore au fond de moi, tout mouvement cesse... Béatitude... Nous restons enlacés sans mot dire pour prolonger l'extase, et attendre que nos cœurs battant la chamade trouvent l'accalmie...
La pluie s'est arrêtée... Les rayons du soleil couchant de ce solstice d'été écartent définitivement les nuages... Le temps reprends son cours... Et nous partons pour la dernière séance!
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quel beau commentaire, merci Wooten! Vous allez me faire rougir avec votre comparaison flatteuse!
😄 Je suis sur le « cul « !
J’entends du Audiard dans cette façon de déposer les mots sur le papier 😊
Ca sent le sourire pendant la rédaction….
Ca prend son temps pour dévoiler le fond du décor…..
Ca sait rester court et piquant tout en restant long en bouche ☺️…
Décidément…. Je suis sous le charme 👌
J’entends du Audiard dans cette façon de déposer les mots sur le papier 😊
Ca sent le sourire pendant la rédaction….
Ca prend son temps pour dévoiler le fond du décor…..
Ca sait rester court et piquant tout en restant long en bouche ☺️…
Décidément…. Je suis sous le charme 👌