Des boules de gaisha contre la sécheresse vaginale

- Par l'auteur HDS Fanstaman -
Récit érotique écrit par Fanstaman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Des boules de gaisha contre la sécheresse vaginale Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2012 dans la catégorie A dormir debout
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Des boules de gaisha contre la sécheresse vaginale
Je me présente, je m’appelle Eric, j’ai 42 ans et je suis marié depuis quinze ans avec Sophie, une jolie blonde de 39 ans, un beau cul et de petits seins en pomme très sensibles. Nous nous aimons très fort mais Sophie est atteinte de sècheresse vaginale, d’où la rareté de nos rapports sexuels dut à la douleur qu’elle ressent au début de la pénétration. Nous avons tout essayé, mais sans résultats probants. Sophie se sentait coupable de cette situation, même si de mon côté, je la rassurais de mon mieux. Mais elle avait peur que cela détériore notre relation à long terme.
Un jour Sophie prit rendez-vous avec une nouvelle gynécologue qui venait de remplacer l’ancien, parti à la retraite. Celle-ci à l’énoncé du problème de ma femme, lui conseilla des boules de geishas, qui, portées une ou deux heures avant les rapports, devaient aider à la lubrification de son vagin. Ayant tout essaye, ma femme m’en parla et nous en achetâmes une paire sur internet. Nous les reçûmes un vendredi, ma femme étant cadre dans une entreprise, était souvent en voyage d’affaires toute la semaine et ne rentrait que fort tard le vendredi soir, ce ne fut donc que le samedi matin que je lui donnai le paquet. Elle l’ouvrit, elles étaient douce au toucher.
-Je vais aller prendre ma douche et essayer de les mettre, me dit-elle.
Et elle alla dans la salle de bain. Elle en ressorti une heure après.
-Alors ?
-J’ai réussi à les mettre, ça fait drôle. Ce n’est pas désagréable. Allons faire un tour pour voir.
Nous sortîmes. Nous habitons un appartement au dernier étage d’un immeuble de trois étages, sans ascenseur. En descendant les escaliers, ma femme me dit :-On dirait que cela fonctionne, je commence à mouiller.
En sortant de l’immeuble nous fîmes quelque pas.
-En fait c’est très agréable, ça commence à m’exciter même. Prenons le train et allons à Paris, mon chéri.
Nous habitons en région parisienne, à 10 mn en RER de la capitale. En sortant de la gare, elle me dit qu’elle commençait à se sentir d’humeur coquine et qu’elle avait envie de m’exciter. Connaissant mes fantasmes elle m’entraina vers une boutique de lingerie. En vitrine il y avait un serre taille de la marque Aubade.
-Il te plait ?
-Oui, très sexy.
-Allons l’acheter, alors.
Une vendeuse nous reçus et alla chercher le serre-taille et une paire de bas. Une fois vêtue de celui-ci, elle tira le rideau.
-Alors ?
Elle était magnifique, ultra-bandante, juste vêtue du serre-taille, des bas noirs, string et soutien-gorge.
-Je peux le garder sur moi ? Demanda-t-elle à la vendeuse.
-Bien sur Madame. Mais si je puis me permettre une suggestion.
-Oui ?
-Il vaut mieux ne pas porter de soutien-gorge avec ce genre de dessous.
-Ah ? OK, je l’enlève alors.
Et là je vis ma femme ôter son soutien-gorge, remettre sa jupe tailleur et puis sa veste a même sa même sa peau, sans son chemisier.
-Vous avez raison, je me sens mieux ainsi. Qu’en penses-tu chéri ?
Je ne reconnaissais plus ma femme, elle si réservée, une vraie coquine.
-On risque de voir tes seins ? Non ?
-Seulement si je me penche.
Et joignant le geste à la parole elle se pencha en avant, et je vis sa poitrine nue.
Puis elle se redressa t.
-Tu vois, droite on ne voit rien.
A la caisse c’est le patron qui nous fit payer et ma femme en faisant son chèque se pencha exagérément sur le comptoir. Je vis celui-ci lorgner assidument les seins de ma femme. Celle-ci prenait tout son temps pour payer. Enfin nous fûmes dehors.
-Il s’est bien régaler ce cochon ?
-Que veux-tu dire mon chéri ?
-Ne fait pas l’innocente, tu as bien vu qu’il te matait les seins ?
-Je suis sure que cela t’a excité mon salaud ?
-Oui c’est vrai.
Je dus admettre que de voir ma femme ainsi m’excitait au plus haut point.
-Tu voulais que je m’exhibe et soit une salope, tu devrais être content, non ?
-Oui, oui.
-D’ailleurs une vraie salope ne porte que des talons aiguilles de 16cm au moins, n’est-ce pas, mon chérie ?
-Oui.
-Je vais en acheter alors.
Nous entrâmes dans une boutique de chaussures et pendant plus d’une heure ma femme essaya plusieurs paires de chaussures à talons aiguilles. Elle me demandait mon avis, sachant très bien que cela m’excitais au plus haut point. Elle finit par en prendre deux paires, en gardant une au pied et nous sortîmes dans la rue.
-Humm tu dois commencer à être au point mon amour. Se promener dans la rue avec ta salope de femme vêtue de bas, talons aiguilles, sans soutien-gorge et en plus avec des boules de geisha dans la chatte, tu dois avoir une érection de folie.
Effectivement ma queue me faisait mal tellement je bandais.
-Mais avant que tu profites de ta salope, on va aller manger, j’ai un petit creux.
Nous entrâmes dans une brasserie, pleine à craquer. Le serveur, un jeune homme assez mignon, nous fit assoir au fond de la salle dans un coin assez en retrait. Lorsqu’il nous emmena la carte, Sophie croisa ses jambes ce qui fît apparaître le haut de sa jambe gainée de bas noir. Le serveur ne se gêna pas pour regarder.
-Désirez-vous un apéritif, messieurs dames ?
-Oui, bien sûr, et toi mon chérie ? répondit Catherine tout en se penchant vers moi.
Là, ce fût ses seins que le serveur reluqua, et il ne s’en fît pas prier.
-Il en a bien profité le cochon ? me dit-elle.
-Oui, je pense qu’il en a vu assez, d’ailleurs.
-Ah non, tu ne vas pas me faire une scène, tu voulais une salope, tu l’as.
Sur ce, elle se leva pour aller aux toilettes.
Quand elle revint elle me tendit quelque chose que je ne reconnus pas sur le coup.
-Tiens, tu peux mettre ça dans ta sacoche, je n’ai plus de place dans mon sac.
-Mais c’est ton string ?
-Oui, il est tout trempé. Ces boules sont vraiment efficaces. Et puis je me sens mieux ainsi, prête à être baisée.
Le serveur revint avec l’apéritif et pour prendre la commande. Sophie continua son petit jeu en se penchant à tout propos pour permettre au serveur de mater ses seins.
Au café elle rajusta même une jarretelle qu’elle avait fait exprès de défaire. Le serveur était rouge écarlate. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Au moment de payer l’addition elle complimenta le serveur sur son professionnalisme et elle voulait lui offrir un « pourboire « dont il se rappellerait.
-Merci, Madame.
-Trouve tu mes seins jolis ?
-Euh, Madame, je….
-Allons, tu les as maté tout le repas, tu dois bien avoir ton idée.
-Ben oui, ils sont jolis.
Et là je vis ma femme défaire les boutons de sa veste et l’ouvrant en grand, montrer sa poitrine nue au serveur.
-Tiens voilà ton « pourboire »Le serveur resta bouche-bée mais ne se priva pas de mater.
Dans la rue, Sophie m’avoua qu’elle était fière d’elle. Elle se sentait une vraie salope.
-Comme tu les aimes, mon chérie. Rentrons vite j’ai trop envie de ta queue.
Arrivée dans le hall de notre immeuble, Sophie me pris par la main et m’entraina dans un recoin. Là elle me plaqua contre le mur, s’agenouilla, puis elle défît ma braguette et sorti ma queue.
-Hou qu’elle est grosse, je ne l’avais jamais vu ainsi. Ça t’excite les salopes.
Puis elle prit ma queue dans sa bouche et commença à me sucer. Je ne tardai pas à éjaculer dans sa bouche. Sophie aime avaler mon sperme. Elle avala tout consciencieusement.
-Tu m’as envoyé une sacrée giclée mon chérie. Il fallait que je te calme un peu, je ne voulais pas que tu éjacules trop vite. Allez viens on monte.
Sophie passa devant moi et je la vis, arrivée au premier étage, ôter sa veste et la laisser tomber sur le palier.
-Peux- tu la ramasser, s’il te plait.
Elle continua à monter les escaliers, les seins à l’air. Au deuxième étage ce fût sa jupe que je ramassais. Sophie était maintenant seulement vêtue de son serre-taille et de ses bas. Ma queue avait repris de sa vigueur. Devant la porte Sophie m’attendait, ses boules de geishas à la main.
-Ouvre la porte mon chérie, vite il faut que tu remplisses ma chatte, elle est vide.
A peine la porte refermée, je la pris debout contre le mur. Nous passâmes la fin de la journée à baiser dans tous les coins de l’appartement.
Enfin, après tant d’année ma femme se comportait comme une salope.

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