Des charmes et plaisirs du confinement
Récit érotique écrit par Florence27 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Des charmes et plaisirs du confinement
DES CHARMES ET PLAISIRS DU CONFINEMENT
(1ère partie)
(Préambule: Je suis absente sur HDS depuis 2017 pour des raisons tout à fait personnelles. J'espère que mes nouveaux récits vous plairont et que j'espère retrouver certains et certaines ami(es) et fidèles lecteurs et lectrices.)
Le 15 mars mon mari me téléphone pour m'annoncer que le confinement allait être décrété à compter du 17 à 12 heures, il m'a demandé si je voulais rester à Paris ou aller dans notre maison de Provence ? En Provence sans hésitation mais Vassia et sa nièce viennent avec moi.Parfait je fais préparer l'avion rendez-vous dans deux heurs au Bourget, j'irai avec vous passer 24 heures et rentrerai ensuite à Paris.
Vassia et Avgy étaient venues passer une dizaine de jours à Paris pour faire découvrir la capitale à Avgi, ellles allaient découvrir la Provence. Vassia parle à merveille le français mais sa nièce se borne à la langue de Shakespeare et ignore que je parle aussi le grec; ce qui peut avoir ses avantages nous le verrons plus tard.Je leur ai dit de préparer rapidement leur valise, le chauffeur devant être là dans moins d'une heure pour nous conduire au Bourget. Un coup de fil au gardien pour qu'il prépare la maison et pousse le chauffage, les nuits provençales dans le Lubéron sont encore froides en mars.
Michel, mon mari, nous attendais pour embarquer, mes deux amies étaient ravies de faire le voyage en avion privé et pour ma part j'admirai, une fois de plus, Clémentine et ses taches de rousseur était devenue commandant de bord, mais elle ne serrai toujours pour moi qu'un rêve ayant pour déontologie de ne jamais avoir une relation avec une collaboratrice de mon mari, (lire le dernier chapitre de Bénédicte).Nous nous sommes installées toutes les trois dans le confortables sièges de la partie salon tandis que Michel était à son bureau le téléphone rivé à son oreille.
Peu avant de se poser à Marseille il est venu nous dire qu'il repartirai immédiatement pour Genève. Grand bien lui fasse!
Une limousine nous attendait pour nous conduire au pied du Lubéron, le temps était radieux et je me réjouissais de me retrouver pendant quelques jours avec Vassia, (diminutif de Vassiliki) et de sa jeune cousine fraîche comme l'aube, signification grecque de son prénom Avgi. Je connais Vassia depuis cinq ans, en fait nous nous connaissons de le tête au pieds et vice versa en prenant une route directe ou des chemins de traverse qui réservent toujours de merveilleuses surprises!
Arrivées à la maison j'ai distribué les chambres, la mienne au fond du couloir, celle d'avant pour Vassia laquelle a la particularité d'avoir une porte communiquant avec la mienne ce qui peut s'avérer bien utile parfois! Avigi logée dans la première chambre du couloir juste en haut des escaliers, cela lui laissait plus d'indépendance. Vassia est grande, un bon mètre soixante-dix, blonde comme les blés mûres y compris une adorable toison taillée avec soin en triangle dont la pointe se termine juste au dessus de la fente de son puit à délices. Autant Vassia était blonde avec ses cheveux longs lui arrivant au milieu du dos autant sa nièce était brune avec une coupe à la garçonne, lui allant bien, elle avait vingt deux ans et de fort jolies jambes.
Une fois installées nous sommes parties au restaurant pour un excellent dîner qui m'a mis en appétit d'autres jeux et j'ai vu dans ses yeux que Vassia avait la même idée que moi en me disant "Tu as eu une merveilleuse idée en m'attribuant la chambre mitoyenne de la tienne, j'espère que tu ne fermes pas le verrou?".
Que crois-tu ? Que c'est par hasard ? Que je t'ai donné cette chambre.
Allez vous coucher les filles, la journée fut longue moi je vais faire un tour à la piscine pour savoir si l'eau commence à chauffer et fermer garage, volets et autres, je passerai en dernier à la salle de bain.
Une demie heure plus tard j'allais prendre une douche relaxante. Quel ne fut pas ma surprise en sortant dans le couloir d'entendre, venant de la chambre d'Avgi, des râles de plaisir qui ne laissaient aucun doute sur ses activités!
J'allais dans ma chambre et me glissait, nue comme à mon habitude, mais avec délectation dans mes draps; mais je dois avouer que les occupations auxquelles se livrait Avgi me laissait bien rêveuse……
Fatiguée de ma journée je décidais de m'endormir des rêves peu sages plein la tête……
(1ère partie)
(Préambule: Je suis absente sur HDS depuis 2017 pour des raisons tout à fait personnelles. J'espère que mes nouveaux récits vous plairont et que j'espère retrouver certains et certaines ami(es) et fidèles lecteurs et lectrices.)
Le 15 mars mon mari me téléphone pour m'annoncer que le confinement allait être décrété à compter du 17 à 12 heures, il m'a demandé si je voulais rester à Paris ou aller dans notre maison de Provence ? En Provence sans hésitation mais Vassia et sa nièce viennent avec moi.Parfait je fais préparer l'avion rendez-vous dans deux heurs au Bourget, j'irai avec vous passer 24 heures et rentrerai ensuite à Paris.
Vassia et Avgy étaient venues passer une dizaine de jours à Paris pour faire découvrir la capitale à Avgi, ellles allaient découvrir la Provence. Vassia parle à merveille le français mais sa nièce se borne à la langue de Shakespeare et ignore que je parle aussi le grec; ce qui peut avoir ses avantages nous le verrons plus tard.Je leur ai dit de préparer rapidement leur valise, le chauffeur devant être là dans moins d'une heure pour nous conduire au Bourget. Un coup de fil au gardien pour qu'il prépare la maison et pousse le chauffage, les nuits provençales dans le Lubéron sont encore froides en mars.
Michel, mon mari, nous attendais pour embarquer, mes deux amies étaient ravies de faire le voyage en avion privé et pour ma part j'admirai, une fois de plus, Clémentine et ses taches de rousseur était devenue commandant de bord, mais elle ne serrai toujours pour moi qu'un rêve ayant pour déontologie de ne jamais avoir une relation avec une collaboratrice de mon mari, (lire le dernier chapitre de Bénédicte).Nous nous sommes installées toutes les trois dans le confortables sièges de la partie salon tandis que Michel était à son bureau le téléphone rivé à son oreille.
Peu avant de se poser à Marseille il est venu nous dire qu'il repartirai immédiatement pour Genève. Grand bien lui fasse!
Une limousine nous attendait pour nous conduire au pied du Lubéron, le temps était radieux et je me réjouissais de me retrouver pendant quelques jours avec Vassia, (diminutif de Vassiliki) et de sa jeune cousine fraîche comme l'aube, signification grecque de son prénom Avgi. Je connais Vassia depuis cinq ans, en fait nous nous connaissons de le tête au pieds et vice versa en prenant une route directe ou des chemins de traverse qui réservent toujours de merveilleuses surprises!
Arrivées à la maison j'ai distribué les chambres, la mienne au fond du couloir, celle d'avant pour Vassia laquelle a la particularité d'avoir une porte communiquant avec la mienne ce qui peut s'avérer bien utile parfois! Avigi logée dans la première chambre du couloir juste en haut des escaliers, cela lui laissait plus d'indépendance. Vassia est grande, un bon mètre soixante-dix, blonde comme les blés mûres y compris une adorable toison taillée avec soin en triangle dont la pointe se termine juste au dessus de la fente de son puit à délices. Autant Vassia était blonde avec ses cheveux longs lui arrivant au milieu du dos autant sa nièce était brune avec une coupe à la garçonne, lui allant bien, elle avait vingt deux ans et de fort jolies jambes.
Une fois installées nous sommes parties au restaurant pour un excellent dîner qui m'a mis en appétit d'autres jeux et j'ai vu dans ses yeux que Vassia avait la même idée que moi en me disant "Tu as eu une merveilleuse idée en m'attribuant la chambre mitoyenne de la tienne, j'espère que tu ne fermes pas le verrou?".
Que crois-tu ? Que c'est par hasard ? Que je t'ai donné cette chambre.
Allez vous coucher les filles, la journée fut longue moi je vais faire un tour à la piscine pour savoir si l'eau commence à chauffer et fermer garage, volets et autres, je passerai en dernier à la salle de bain.
Une demie heure plus tard j'allais prendre une douche relaxante. Quel ne fut pas ma surprise en sortant dans le couloir d'entendre, venant de la chambre d'Avgi, des râles de plaisir qui ne laissaient aucun doute sur ses activités!
J'allais dans ma chambre et me glissait, nue comme à mon habitude, mais avec délectation dans mes draps; mais je dois avouer que les occupations auxquelles se livrait Avgi me laissait bien rêveuse……
Fatiguée de ma journée je décidais de m'endormir des rêves peu sages plein la tête……
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Arghhhhh
S'il te plait, Florence, arrête de parler du "dernier chapitre de Bénédicte"... C'est trop douloureux... Se dire que c'est le dernier...
Et merci encore pour ta plume, ton style, tes histoires !
S'il te plait, Florence, arrête de parler du "dernier chapitre de Bénédicte"... C'est trop douloureux... Se dire que c'est le dernier...
Et merci encore pour ta plume, ton style, tes histoires !