Des coïts incessants
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Des coïts incessants
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°663) - Des coïts incessants -
Ce fond de cale était très sombre, seule la trappe par laquelle avait été introduit et descendu Endymion MDE laissait passer un faible rayon de lumière. Il se coucha sur le sol, sous cette trappe, épuisé par toutes les épreuves subies au réveil, il grelottait tant par l’humidité ambiante que par la fatigue. Mais fort heureusement une épaisse couverture l’attendait, pliée en quatre contre le mur de la coque et qui ne demandait qu’à servir ! Ainsi, il put se réchauffer et s’endormir … Ce matin, le soumis MDE faisait pâle figure, de plus, à son réveil, il avait faim et soif, sa bouche pâteuse était encore imprégnée de ce gout d’urine et de foutre qu’il avait du ingurgité, peut-être en guise de petit déjeuner ? Le Croix-Rousse avait du reprendre sa route, le bruit des moteurs, l’odeur de fioul et les craquements de la coque le laissait penser ! Bercer par un léger roulis, l’esclave MDE n’allait pas tarder de sombrer de nouveau dans un sommeil. Il sentit ses paupières très lourdes, il lui était de plus en plus difficile de garder les yeux ouverts... Quand il sursauta lorsqu’il entendit du bruit. La trappe juste au-dessus de lui venait de s’ouvrir. Etienne descendait par l’escalier de bois en tenant un bol dans les mains.
- Voilà ton petit déjeuner, salope…
Un bol de lait dans lequel trempaient des morceaux de pain sec.
- Sois heureux le chien, je n’ai pas pu m’empêcher d’éjaculer dans ce bol après avoir enculé soumise Estelle et avant de te le descendre, tu vas te régaler avec mon foutre, n’est-ce pas ?
- Merci Monsieur ! Répondit l’esclave MDE humblement.
- Monsieur le Marquis d’Evans souhaite que tu restes enfermé ici pendant vingt-quatre heures. J’espère au moins que tu sais pourquoi ?
Endymion MDE n’en connaissait pas la raison, il regardait comme hébété, le skipper.
- Tu as vraiment une tête d’abruti en me regardant ainsi avec ces yeux de merlans frits. Dois-je te rappeler que tu t’es permis de jouir, hier, sans aucune autorisation !
- Hier Monsieur ?
- Oui hier, te dis-je, alors que tu avais une bite dans la bouche et une autre dans le cul… Tu ne te souviens pas petite salope ? Es-tu vraiment décérébré ? Ton seul neurone ne fonctionne plus le chien ? Hier au centre de remise en forme, n’as-tu pas balancé ton foutre ?
- Si Monsieur ! répondit l’esclave MDE, honteux en baissant la tête.
- Et un chien qui éjacule sans autorisation ne doit-il pas être puni ?
- Si Monsieur !
- Et bien voilà, le Maître a décidé de te punir ainsi, vingt-quatre heures séquestré, avec moi et Maximilien comme geôliers. Tu en as de la chance, non ?
- Oui Monsieur, merci Monsieur.
Étienne gifla l’esclave MDE à trois reprises :
- Ferme ton bec maintenant, interdiction formelle de parler, tu es seulement autorisé à japper, geindre ou gémir, suis-je bien clair ?
Pour toute réponse, Endymion MDE émit un ‘‘wooaaf, wooaaf…’’
- C’est bien le clébard, allez bouffe maintenant, dit Étienne en montrant de son index le bol posé au sol
Étienne restait près de lui, bras croisés sur la poitrine, il regardait le soumis MDE plonger la tête dans cette pâté. Peu importe le contenu de ce bol, il avait faim, très faim. Il ne laissa rien, même qu’Étienne l’autorisa à prendre le bol en main et de boire, jusqu’à la dernière goutte, ce lait au goût spécial, à la fois amer et salé. Était-ce le foutre d’Étienne qui lui avait donné cette étrange saveur ?
- Ne t’avise surtout pas à toucher ta nouille petite salope, ici en permanence tu es filmé par des caméras thermiques très sophistiquées et à l’abri de l’humidité par leur étanchéité, nous voyons tout ce qui se passe ici, du poste de pilotage malgré l’obscurité ambiante, je te dis ça, comme ça, c’est un conseil d’ami …
Sur ces entrefaites, le skipper quitta l’esclave MDE, il regrimpa à l’échelle, s’extirpa à l’extérieur par la trappe étroite, la referma, la verrouillant même, comme s’il craignait que le soumis MDE s’évade, alors qu’il était enchainé par un pied, alors que le Croix-Rousse était en pleine mer… La punition décrétée par le Maître paraissait terrible, Endymion MDE aurait préféré le fouet à l’enfermement et à la séquestration. Pendant vingt-quatre heures il allait devoir rester ici, dans cet infâme lieu obscur, humide et sale, dans ce trou à rats. Il s’était assis par terre, la tête appuyée sur ses avant-bras posés sur ses genoux, comme prostré, accablé sinon anéanti. Il regrettait amèrement cette jouissance de la veille, tant elle avait été fugace et éphémère, tant elle avait été contrainte, sans possibilité de la contenir ! Alors que ses regrets lui envahissaient l’esprit, soudainement il fut secoué par un spasme terrible. D’un coup d’un seul, il fut pris de tremblement, d’étouffement, sa poitrine le serrait, ses muscles se contractaient, il suait et transpirait et, étrangement, vraiment bizarrement… sa bite durcissait et s’érigeait. Peu après, il sentit son anus s’enfiévrer, s’ouvrir et se refermer, se dilater et se resserrer, comme si une bite, une grosse bite, l’enfournait, entrait et sortait de son cul…
Depuis le poste de pilotage, Étienne et Maximilien riaient à gorge déployée. Depuis déjà cinq bonnes minutes, tous deux avaient les yeux rivés sur les trois écrans de contrôle. Ils voyaient l’esclave MDE s’inquiéter, se tordre et blêmir. Depuis des micros planqués dans cette geôle, ils l’entendaient respirer et gémir fortement. Ils le voyaient secoué par des spasmes violents, il se levait, s’accroupissait, se couchait, parfois même se frottait le trou de balle contre le sol, se prenait les couilles à pleines mains, en se recroquevillant sur lui-même tout en haletant et suffoquant. La dizaine de gouttes de ce produit aphrodisiaque, qu’ils avaient déposé dans ce bol de lait, faisaient effet. Le moment était venu pour eux de faire entrer en action, un certain Camille...
Camille était un esclave, un homme d’une soixante d’année, homosexuel, un détraqué de la queue, un vicieux obsédé, un cochon pervers, un débauché de la première heure, un ardent enculeur, un sodomite en puissance, un cavaleur de culs ! Mais il était devenu esclave car derrière ce ‘’baiseur de pédés’’ il avait des pulsions encore plus profondes pour ce fort penchant qu’est la soumission. Quel paradoxe ! Cet homme qui ne pensait qu’à posséder, qu’à prendre des culs avait besoin de soumission ! Un assujetti à un jeune Maître pervers, une relation de Monsieur le Marquis d’Evans. Ce Jeune Maître, d’une trentaine d’années, le contraignait et l’obligeait à une chasteté de longue durée pour le calmer de ses penchants sodomites par le sevrage forcé. Depuis plus d’un an, il n’avait pas joui, il devait porter en permanence, non pas une cage de chasteté, mais une ceinture de chasteté, enserrant couilles et bite dans un carcan métallique inviolable. Son abstinence était donc totale depuis douze mois. Maximilien et Étienne l’avait récupéré la veille au soir, à Moustique, l’avait amené sur le Croix-Rousse, alors que Monsieur le Marquis et Endymion MDE rendait visite à Madame Anna. Il l’avait enfermé dans un local technique tout près de là où était séquestré le soumis MDE. Maximilien et Étienne allèrent dans ce local technique, le détachèrent et lui ôtèrent ce carcan de métal. Lorsque sa queue fut à l’air libre, le mâle poussa un rugissement à faire chavirer le navire. Sa queue se redressait subitement, une érection terrible. L’esclave se l’empoigna et commença à se branler.
- Ote tes mains ? salope ! Ordonnait Maximilien
Il ne le pouvait pas, il fallait qu’il se branle, ça faisait tellement longtemps. Il s’astiquait frénétiquement quand bien même des gifles lui étaient assénées sur le visage. Les deux skippers ne parvenaient pas à le maîtriser et à le faire obéir. Il se masturbait tant et plus. Ce ne fut que lorsque Maximilien le choppa par les couilles et les lui broya, qu’il s’arrêta subitement au bord de l’apoplexie. Alors ainsi tenu, il dut glisser dans une petite ouverture latérale, une petite trappe verticale donnant dans la cale où était enfermé Endymion MDE… L’esclave MDE, toujours habité, drogué par les démons aphrodisiaques de la chair se trémoussait toujours autant, il avait enfourné deux doigts dans son cul et se massait en espérant trouver le calme et l’apaisement. Mais rien de cela, plus il se doigtait, plus son excitation grandissait. Tout son être était envahi par un besoin de sexe si bien qu’il n’entendit, ni ne vit entrer Camille en rut puissant. Ce n’était que lorsqu’il sentit un souffle chaud, tout contre son trou en chaleur, que lorsqu’une main lui retirait ses doigts de son cul, lorsqu’une langue glissait sur sa raie, que le soumis MDE comprit qu’il n’était plus seul ici. Il fut soudainement retourné, dos plaqué au sol, jambes relevées, tenues fermement par les chevilles. Il sentit une queue brulante, énorme, hyper gonflée pointer contre son trou affamé, la pénétration fut autant violente que sauvage, tous deux hurlaient leur plaisir ! Camille resta à peine quelques secondes inactif, logeant son membre au plus profond du chien soumis transformé en une chiennasse en chaleur, puis commença à faire aller et venir son bassin, pilonnant ce cul bouillant, le ramonant sur toute la longueur, le martelant toujours plus violemment. Sans attendre trop longtemps, trop en manque de sexe, Camille éjacula en hurlant sa jouissance par des râles dignes d’un cerf en rut. Il foutra le cul de son compagnon de slavitude ardemment, copieusement, il se soulagea les couilles sauvagement, fougueusement, profondément telle une délivrance, un soulagement, un apaisement !
Sans se retirer de ce cul prit jusqu’à la garde, Camille, attrapa l’esclave MDE par les cheveux, lui mordilla les oreilles, le nez, les lèvres, lui enfourna sa langue profondément. Avec fougue et véhémence, il l’embrassait à pleine bouche, un baiser bien baveux, alors que ses hanches recommençaient un vas et viens lent et indolent car sa verge n’avait pas débandé d’un iota. Il n’en fallait pas plus pour exacerber leurs sens, ces deux chiennes lubriques s’accouplaient encore. Cette fois-ci, le soumis MDE avait pris les choses en main. Installé en levrette, cul relevé et bien offert, il se saisissait de ce membre dru et ferme et se l’enfournait lui-même dans le fion. Un coït infernal recommençait, les coups de butoirs devenaient plus sauvage, plus bestial, plus animal. Avec férocité Camille, plantait sa queue, la ressortait pour l’engouffrer plus encore, plus loin, plus profondément. A chaque coup de reins, des cris sortaient de leur gosier respectif, des hurlements incontrôlables, sans équivoque non plus, ces deux chiennes lubriques prenaient un réel et vrai plaisir. Deuxième éjaculation dans une douce complainte et ce n’était pas la dernière…
Pendant ces vingt-quatre heures, Endymion MDE fut pris maintes fois autant par le cul que par la bouche, et lorsque Camille s’essoufflait, lui-même le sollicitait… Totalement dépravé, avili et débauché, il cherchait de la queue, la queue de son mâle, que celui-ci l’assaille encore et toujours plus …
(A suivre…)
Ce fond de cale était très sombre, seule la trappe par laquelle avait été introduit et descendu Endymion MDE laissait passer un faible rayon de lumière. Il se coucha sur le sol, sous cette trappe, épuisé par toutes les épreuves subies au réveil, il grelottait tant par l’humidité ambiante que par la fatigue. Mais fort heureusement une épaisse couverture l’attendait, pliée en quatre contre le mur de la coque et qui ne demandait qu’à servir ! Ainsi, il put se réchauffer et s’endormir … Ce matin, le soumis MDE faisait pâle figure, de plus, à son réveil, il avait faim et soif, sa bouche pâteuse était encore imprégnée de ce gout d’urine et de foutre qu’il avait du ingurgité, peut-être en guise de petit déjeuner ? Le Croix-Rousse avait du reprendre sa route, le bruit des moteurs, l’odeur de fioul et les craquements de la coque le laissait penser ! Bercer par un léger roulis, l’esclave MDE n’allait pas tarder de sombrer de nouveau dans un sommeil. Il sentit ses paupières très lourdes, il lui était de plus en plus difficile de garder les yeux ouverts... Quand il sursauta lorsqu’il entendit du bruit. La trappe juste au-dessus de lui venait de s’ouvrir. Etienne descendait par l’escalier de bois en tenant un bol dans les mains.
- Voilà ton petit déjeuner, salope…
Un bol de lait dans lequel trempaient des morceaux de pain sec.
- Sois heureux le chien, je n’ai pas pu m’empêcher d’éjaculer dans ce bol après avoir enculé soumise Estelle et avant de te le descendre, tu vas te régaler avec mon foutre, n’est-ce pas ?
- Merci Monsieur ! Répondit l’esclave MDE humblement.
- Monsieur le Marquis d’Evans souhaite que tu restes enfermé ici pendant vingt-quatre heures. J’espère au moins que tu sais pourquoi ?
Endymion MDE n’en connaissait pas la raison, il regardait comme hébété, le skipper.
- Tu as vraiment une tête d’abruti en me regardant ainsi avec ces yeux de merlans frits. Dois-je te rappeler que tu t’es permis de jouir, hier, sans aucune autorisation !
- Hier Monsieur ?
- Oui hier, te dis-je, alors que tu avais une bite dans la bouche et une autre dans le cul… Tu ne te souviens pas petite salope ? Es-tu vraiment décérébré ? Ton seul neurone ne fonctionne plus le chien ? Hier au centre de remise en forme, n’as-tu pas balancé ton foutre ?
- Si Monsieur ! répondit l’esclave MDE, honteux en baissant la tête.
- Et un chien qui éjacule sans autorisation ne doit-il pas être puni ?
- Si Monsieur !
- Et bien voilà, le Maître a décidé de te punir ainsi, vingt-quatre heures séquestré, avec moi et Maximilien comme geôliers. Tu en as de la chance, non ?
- Oui Monsieur, merci Monsieur.
Étienne gifla l’esclave MDE à trois reprises :
- Ferme ton bec maintenant, interdiction formelle de parler, tu es seulement autorisé à japper, geindre ou gémir, suis-je bien clair ?
Pour toute réponse, Endymion MDE émit un ‘‘wooaaf, wooaaf…’’
- C’est bien le clébard, allez bouffe maintenant, dit Étienne en montrant de son index le bol posé au sol
Étienne restait près de lui, bras croisés sur la poitrine, il regardait le soumis MDE plonger la tête dans cette pâté. Peu importe le contenu de ce bol, il avait faim, très faim. Il ne laissa rien, même qu’Étienne l’autorisa à prendre le bol en main et de boire, jusqu’à la dernière goutte, ce lait au goût spécial, à la fois amer et salé. Était-ce le foutre d’Étienne qui lui avait donné cette étrange saveur ?
- Ne t’avise surtout pas à toucher ta nouille petite salope, ici en permanence tu es filmé par des caméras thermiques très sophistiquées et à l’abri de l’humidité par leur étanchéité, nous voyons tout ce qui se passe ici, du poste de pilotage malgré l’obscurité ambiante, je te dis ça, comme ça, c’est un conseil d’ami …
Sur ces entrefaites, le skipper quitta l’esclave MDE, il regrimpa à l’échelle, s’extirpa à l’extérieur par la trappe étroite, la referma, la verrouillant même, comme s’il craignait que le soumis MDE s’évade, alors qu’il était enchainé par un pied, alors que le Croix-Rousse était en pleine mer… La punition décrétée par le Maître paraissait terrible, Endymion MDE aurait préféré le fouet à l’enfermement et à la séquestration. Pendant vingt-quatre heures il allait devoir rester ici, dans cet infâme lieu obscur, humide et sale, dans ce trou à rats. Il s’était assis par terre, la tête appuyée sur ses avant-bras posés sur ses genoux, comme prostré, accablé sinon anéanti. Il regrettait amèrement cette jouissance de la veille, tant elle avait été fugace et éphémère, tant elle avait été contrainte, sans possibilité de la contenir ! Alors que ses regrets lui envahissaient l’esprit, soudainement il fut secoué par un spasme terrible. D’un coup d’un seul, il fut pris de tremblement, d’étouffement, sa poitrine le serrait, ses muscles se contractaient, il suait et transpirait et, étrangement, vraiment bizarrement… sa bite durcissait et s’érigeait. Peu après, il sentit son anus s’enfiévrer, s’ouvrir et se refermer, se dilater et se resserrer, comme si une bite, une grosse bite, l’enfournait, entrait et sortait de son cul…
Depuis le poste de pilotage, Étienne et Maximilien riaient à gorge déployée. Depuis déjà cinq bonnes minutes, tous deux avaient les yeux rivés sur les trois écrans de contrôle. Ils voyaient l’esclave MDE s’inquiéter, se tordre et blêmir. Depuis des micros planqués dans cette geôle, ils l’entendaient respirer et gémir fortement. Ils le voyaient secoué par des spasmes violents, il se levait, s’accroupissait, se couchait, parfois même se frottait le trou de balle contre le sol, se prenait les couilles à pleines mains, en se recroquevillant sur lui-même tout en haletant et suffoquant. La dizaine de gouttes de ce produit aphrodisiaque, qu’ils avaient déposé dans ce bol de lait, faisaient effet. Le moment était venu pour eux de faire entrer en action, un certain Camille...
Camille était un esclave, un homme d’une soixante d’année, homosexuel, un détraqué de la queue, un vicieux obsédé, un cochon pervers, un débauché de la première heure, un ardent enculeur, un sodomite en puissance, un cavaleur de culs ! Mais il était devenu esclave car derrière ce ‘’baiseur de pédés’’ il avait des pulsions encore plus profondes pour ce fort penchant qu’est la soumission. Quel paradoxe ! Cet homme qui ne pensait qu’à posséder, qu’à prendre des culs avait besoin de soumission ! Un assujetti à un jeune Maître pervers, une relation de Monsieur le Marquis d’Evans. Ce Jeune Maître, d’une trentaine d’années, le contraignait et l’obligeait à une chasteté de longue durée pour le calmer de ses penchants sodomites par le sevrage forcé. Depuis plus d’un an, il n’avait pas joui, il devait porter en permanence, non pas une cage de chasteté, mais une ceinture de chasteté, enserrant couilles et bite dans un carcan métallique inviolable. Son abstinence était donc totale depuis douze mois. Maximilien et Étienne l’avait récupéré la veille au soir, à Moustique, l’avait amené sur le Croix-Rousse, alors que Monsieur le Marquis et Endymion MDE rendait visite à Madame Anna. Il l’avait enfermé dans un local technique tout près de là où était séquestré le soumis MDE. Maximilien et Étienne allèrent dans ce local technique, le détachèrent et lui ôtèrent ce carcan de métal. Lorsque sa queue fut à l’air libre, le mâle poussa un rugissement à faire chavirer le navire. Sa queue se redressait subitement, une érection terrible. L’esclave se l’empoigna et commença à se branler.
- Ote tes mains ? salope ! Ordonnait Maximilien
Il ne le pouvait pas, il fallait qu’il se branle, ça faisait tellement longtemps. Il s’astiquait frénétiquement quand bien même des gifles lui étaient assénées sur le visage. Les deux skippers ne parvenaient pas à le maîtriser et à le faire obéir. Il se masturbait tant et plus. Ce ne fut que lorsque Maximilien le choppa par les couilles et les lui broya, qu’il s’arrêta subitement au bord de l’apoplexie. Alors ainsi tenu, il dut glisser dans une petite ouverture latérale, une petite trappe verticale donnant dans la cale où était enfermé Endymion MDE… L’esclave MDE, toujours habité, drogué par les démons aphrodisiaques de la chair se trémoussait toujours autant, il avait enfourné deux doigts dans son cul et se massait en espérant trouver le calme et l’apaisement. Mais rien de cela, plus il se doigtait, plus son excitation grandissait. Tout son être était envahi par un besoin de sexe si bien qu’il n’entendit, ni ne vit entrer Camille en rut puissant. Ce n’était que lorsqu’il sentit un souffle chaud, tout contre son trou en chaleur, que lorsqu’une main lui retirait ses doigts de son cul, lorsqu’une langue glissait sur sa raie, que le soumis MDE comprit qu’il n’était plus seul ici. Il fut soudainement retourné, dos plaqué au sol, jambes relevées, tenues fermement par les chevilles. Il sentit une queue brulante, énorme, hyper gonflée pointer contre son trou affamé, la pénétration fut autant violente que sauvage, tous deux hurlaient leur plaisir ! Camille resta à peine quelques secondes inactif, logeant son membre au plus profond du chien soumis transformé en une chiennasse en chaleur, puis commença à faire aller et venir son bassin, pilonnant ce cul bouillant, le ramonant sur toute la longueur, le martelant toujours plus violemment. Sans attendre trop longtemps, trop en manque de sexe, Camille éjacula en hurlant sa jouissance par des râles dignes d’un cerf en rut. Il foutra le cul de son compagnon de slavitude ardemment, copieusement, il se soulagea les couilles sauvagement, fougueusement, profondément telle une délivrance, un soulagement, un apaisement !
Sans se retirer de ce cul prit jusqu’à la garde, Camille, attrapa l’esclave MDE par les cheveux, lui mordilla les oreilles, le nez, les lèvres, lui enfourna sa langue profondément. Avec fougue et véhémence, il l’embrassait à pleine bouche, un baiser bien baveux, alors que ses hanches recommençaient un vas et viens lent et indolent car sa verge n’avait pas débandé d’un iota. Il n’en fallait pas plus pour exacerber leurs sens, ces deux chiennes lubriques s’accouplaient encore. Cette fois-ci, le soumis MDE avait pris les choses en main. Installé en levrette, cul relevé et bien offert, il se saisissait de ce membre dru et ferme et se l’enfournait lui-même dans le fion. Un coït infernal recommençait, les coups de butoirs devenaient plus sauvage, plus bestial, plus animal. Avec férocité Camille, plantait sa queue, la ressortait pour l’engouffrer plus encore, plus loin, plus profondément. A chaque coup de reins, des cris sortaient de leur gosier respectif, des hurlements incontrôlables, sans équivoque non plus, ces deux chiennes lubriques prenaient un réel et vrai plaisir. Deuxième éjaculation dans une douce complainte et ce n’était pas la dernière…
Pendant ces vingt-quatre heures, Endymion MDE fut pris maintes fois autant par le cul que par la bouche, et lorsque Camille s’essoufflait, lui-même le sollicitait… Totalement dépravé, avili et débauché, il cherchait de la queue, la queue de son mâle, que celui-ci l’assaille encore et toujours plus …
(A suivre…)
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