Des époux s'éclatent (2/2)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Des époux s'éclatent (2/2)
GERARD ET MAGALIQuand Gérard rentra du travail, il trouva son épouse Magali en train de jardiner. Il la trouva jolie avec ses cheveux rassemblés en chignon, sa robe légère découvrant ses jambes et moulant son petit cul alerte, ses mouvements gracieux quand elle se penchait en avant, s'accroupissait et se relevait au gré de ses tailles et ses ratissages. Après trente ans de mariage, il la trouvait toujours aussi séduisante. Il eut soudain envie de la baiser. Mais le moment était-il vraiment approprié ? Quand Magali jardinait, fallait pas l'embêter ! Il s'approcha néanmoins d'elle, l'embrassa, la regarda quelques minutes et tenta une caresse sur les fesses, aussitôt réprimée par une tape sur la main, plutôt gentille mais ferme. Il insista, osa glisser sa main sous la robe et reçut une sévère fin de non recevoir.
- Qu'est-ce que tu fais ? Tu vois bien que je suis occupée. Je dois absolument faire le ménage dans mon jardin, sinon ça va être un vrai fouillis. Laisse-moi tranquille.
Confus, il se retira, constatant néanmoins qu'elle l'observait du coin de l'oeil tout en taillant ses rosiers.
Alors, une inspiration lui vint. Il faisait encore chaud. La piscine voisine du jardin était tentante. Il se mit entièrement nu et plongea.
- Elle est bonne ? demanda Magali tout en poursuivant son jardinage.
- Un peu fraiche mais ça va. Tu viens ?
- Non, pas le temps.
Décidément, ce n'était pas son jour. Et pourtant, il avait vraiment envie de se la faire, son épouse. Il sortit de l'eau et au lieu d'étendre sa serviette au bord de la piscine, il la plaça tout à côté de Magali, en train de biner. Allongé, il commença à se branler en la regardant.
- Mais qu'est-ce qui te prend ? Fiche-moi le camp d'ici ! dit-elle à son mari, goguenard. Qui continua à s'astiquer. Son pénis avait pris un volume conséquent. La vision des cuisses de Magali et même un peu plus quand elle se pencha en avant, découvrant un string, le fit allonger d'un bon centimètre. Elle le regarda d'un air navré.
- Mon pauvre garçon, tu me fais pitié.
N'empêche qu'il avait capté dans son regard bien autre chose. Elle lorgnait maintenant sur son pénis tout en s'affairant à ses fleurs. Il sentait qu'il tenait le bon bout mais qu'il devait accentuer la pression.
- J'ai envie de te baiser. Je vais te régaler.
Magali ne répondit rien, cette fois. Son regard parcourut la propriété, comme si elle vérifiait le voisinage. La maison était tranquille. Pas de voisins à l'horizon.
- Tu es vraiment un gros cochon. Tu ne peux pas attendre ce soir ? finit-elle par dire.
- Je veux te baiser là, maintenant, tout de suite. Et je sais que tu en as envie. Je vais te défoncer. Tu mouilles, avoue.
Il tendit la main vers son mollet tout proche et remonta lentement sans rencontrer de résistance. Elle était penchée en avant et la raie de ses fesses le narguait. Il y mit la main et la vit frissonner.
- Fous-toi à poil ! ordonna-t-il.
Alors, Magali capitula. Elle se tortilla en ôtant son string, fit passer sa robe par-dessus sa tête et apparut seins nus, s'agenouilla à côté de Gérard et l'emboucha. Sa pipe frénétique révéla que l'appétit du mâle avait rejoint celui de la femelle. Ses mains un peu terreuses l'astiquaient avec conviction tout en suçant le gland. Il lui saisit une jambe et la poussa vers un 69, elle dessus. Il imagina la scène si quelqu'un franchissait la porte du jardin à l'improviste. Ils auraient bonne mine ! Mais c'était cette situation qui la rendait excitante. Ils baisaient. Magali se détacha de sa bouche et s'en vint s'empaler sur la tige dressée vers le ciel. Moment délicieux que celui où son vagin surchauffé rencontra le pénis roide pour une visite en profondeur et, pour Gérard, outre le bien-être provoqué par le doux fourreau, le spectacle stimulant d'un petit cul virevoltant sur l'axe de chair, témoignage vivant de l'adhésion totale de son épouse à cette baise non programmée. Il l'entendit proférer les sons traditionnels quand elle jouissait, sorte de miaulement de chatte en chaleur. Elle baisait. C'était pour lui un enchantement permanent de constater qu'après trente ans de mariage, Magali aimait toujours autant la bite, et la sienne en particulier. Elle l'aimait tellement qu'il n'avait jamais été tenté d'aller voir ailleurs et il supposait qu'il en était de même pour son épouse, bien qu'elle n'avait jamais manqué de sollicitations. Avec un brin de perversité, elle laissait planer le doute sur d'éventuelles escapades, pour le maintenir en appétit, supposait-il. Mais il se demandait s'il avait toujours été à la hauteur d'une telle sensualité. Magali aimait trop le cul pour se contenter de sa queue lors de leurs premières années de mariage.
Mais maintenant, elle n'était plus en âge de courir le guilledou. Sa bite lui suffisait, pensait-il. Quand elle se retourna pour le chevaucher encore, posée sur ses pieds pour allonger la pénétration et faire claquer leurs peaux nues, Gérard l'observa concentrée sur son plaisir, rayonnante, toutes dents dehors, pointes de seins érigées, nombril mouvant, chignon défait, miauleuse. Elle baisait. Il le lui dit et elle l'approuva d'un signe de tête. Elle le remercierait plus tard de l'avoir un peu forcée à abandonner son jardinage et permis de rester femelle. Quand elle fut bien ramonée, elle se détacha encore, respira profondément, lui sourit, l'embrassa, tapota sa queue pour en vérifier la rigidité :- Tu as encore envie de moi, hein, gros cochon ?
- C'est moi qui vais faire le boulot maintenant. Cela t'excite de faire ça dehors ?
- Pas autant que toi, gros cochon. Tu me fais faire de ces trucs...
- Ah ah ah ! Comme si je te forçais la main, petite cochonne que tu es !
- Et si tu me baisais au lieu de parler ?
- Tu veux que je te prenne pas le cul ?
- Non, pas cette fois. J'ai envie de te voir jouir. Allez, défonce-moi.
Et elle s'allongea, cuisses ouvertes, coudes au sol, seins dressés. Mains posées de chaque côté de sa tête jetée en arrière, il la pénétra sans ménagement et lui asséna une série de coups de bite qui la firent miauler comme à ses plus beaux jours. Il sentit ses ongles lui griffer les fesses pendant qu'il l'estoquait et même un doigt s'insinuer dans son anus, signe tangible qu'elle était en transes, sans tabou. Il se concentra encore quelques minutes pour contenir son sperme, au bord du gland, afin de la labourer les yeux dans les yeux, guettant son orgasme. Quand il sentit ses talons lui frapper les fesses afin de l'enfoncer encore plus profondément, il comprit qu'elle était mûre et il l'admonesta :- Jouis ! Jouis ! Je jouiiiis !
Pieds au sol, elle se cabra dans un gargouillis et il expulsa sa semence comme une délivrance en poussant un grognement de satisfaction. Haletants, en sueur, ils demeurèrent quelques minutes unis avant de se détacher et de s'allonger côte à côte, les yeux au ciel. Apaisés.
Ils gagnèrent la piscine pour se laver de leurs ébats, se bécotant en nageottant, se séchèrent, se rhabillèrent et Magali retourna à son jardinage. Gérard lui demanda ce qu'elle voulait manger au dîner. Il lui devait bien ça : se mettre aux fourneaux pour une fois, en remerciement du plaisir qu'elle lui avait offert.
- Qu'est-ce que tu fais ? Tu vois bien que je suis occupée. Je dois absolument faire le ménage dans mon jardin, sinon ça va être un vrai fouillis. Laisse-moi tranquille.
Confus, il se retira, constatant néanmoins qu'elle l'observait du coin de l'oeil tout en taillant ses rosiers.
Alors, une inspiration lui vint. Il faisait encore chaud. La piscine voisine du jardin était tentante. Il se mit entièrement nu et plongea.
- Elle est bonne ? demanda Magali tout en poursuivant son jardinage.
- Un peu fraiche mais ça va. Tu viens ?
- Non, pas le temps.
Décidément, ce n'était pas son jour. Et pourtant, il avait vraiment envie de se la faire, son épouse. Il sortit de l'eau et au lieu d'étendre sa serviette au bord de la piscine, il la plaça tout à côté de Magali, en train de biner. Allongé, il commença à se branler en la regardant.
- Mais qu'est-ce qui te prend ? Fiche-moi le camp d'ici ! dit-elle à son mari, goguenard. Qui continua à s'astiquer. Son pénis avait pris un volume conséquent. La vision des cuisses de Magali et même un peu plus quand elle se pencha en avant, découvrant un string, le fit allonger d'un bon centimètre. Elle le regarda d'un air navré.
- Mon pauvre garçon, tu me fais pitié.
N'empêche qu'il avait capté dans son regard bien autre chose. Elle lorgnait maintenant sur son pénis tout en s'affairant à ses fleurs. Il sentait qu'il tenait le bon bout mais qu'il devait accentuer la pression.
- J'ai envie de te baiser. Je vais te régaler.
Magali ne répondit rien, cette fois. Son regard parcourut la propriété, comme si elle vérifiait le voisinage. La maison était tranquille. Pas de voisins à l'horizon.
- Tu es vraiment un gros cochon. Tu ne peux pas attendre ce soir ? finit-elle par dire.
- Je veux te baiser là, maintenant, tout de suite. Et je sais que tu en as envie. Je vais te défoncer. Tu mouilles, avoue.
Il tendit la main vers son mollet tout proche et remonta lentement sans rencontrer de résistance. Elle était penchée en avant et la raie de ses fesses le narguait. Il y mit la main et la vit frissonner.
- Fous-toi à poil ! ordonna-t-il.
Alors, Magali capitula. Elle se tortilla en ôtant son string, fit passer sa robe par-dessus sa tête et apparut seins nus, s'agenouilla à côté de Gérard et l'emboucha. Sa pipe frénétique révéla que l'appétit du mâle avait rejoint celui de la femelle. Ses mains un peu terreuses l'astiquaient avec conviction tout en suçant le gland. Il lui saisit une jambe et la poussa vers un 69, elle dessus. Il imagina la scène si quelqu'un franchissait la porte du jardin à l'improviste. Ils auraient bonne mine ! Mais c'était cette situation qui la rendait excitante. Ils baisaient. Magali se détacha de sa bouche et s'en vint s'empaler sur la tige dressée vers le ciel. Moment délicieux que celui où son vagin surchauffé rencontra le pénis roide pour une visite en profondeur et, pour Gérard, outre le bien-être provoqué par le doux fourreau, le spectacle stimulant d'un petit cul virevoltant sur l'axe de chair, témoignage vivant de l'adhésion totale de son épouse à cette baise non programmée. Il l'entendit proférer les sons traditionnels quand elle jouissait, sorte de miaulement de chatte en chaleur. Elle baisait. C'était pour lui un enchantement permanent de constater qu'après trente ans de mariage, Magali aimait toujours autant la bite, et la sienne en particulier. Elle l'aimait tellement qu'il n'avait jamais été tenté d'aller voir ailleurs et il supposait qu'il en était de même pour son épouse, bien qu'elle n'avait jamais manqué de sollicitations. Avec un brin de perversité, elle laissait planer le doute sur d'éventuelles escapades, pour le maintenir en appétit, supposait-il. Mais il se demandait s'il avait toujours été à la hauteur d'une telle sensualité. Magali aimait trop le cul pour se contenter de sa queue lors de leurs premières années de mariage.
Mais maintenant, elle n'était plus en âge de courir le guilledou. Sa bite lui suffisait, pensait-il. Quand elle se retourna pour le chevaucher encore, posée sur ses pieds pour allonger la pénétration et faire claquer leurs peaux nues, Gérard l'observa concentrée sur son plaisir, rayonnante, toutes dents dehors, pointes de seins érigées, nombril mouvant, chignon défait, miauleuse. Elle baisait. Il le lui dit et elle l'approuva d'un signe de tête. Elle le remercierait plus tard de l'avoir un peu forcée à abandonner son jardinage et permis de rester femelle. Quand elle fut bien ramonée, elle se détacha encore, respira profondément, lui sourit, l'embrassa, tapota sa queue pour en vérifier la rigidité :- Tu as encore envie de moi, hein, gros cochon ?
- C'est moi qui vais faire le boulot maintenant. Cela t'excite de faire ça dehors ?
- Pas autant que toi, gros cochon. Tu me fais faire de ces trucs...
- Ah ah ah ! Comme si je te forçais la main, petite cochonne que tu es !
- Et si tu me baisais au lieu de parler ?
- Tu veux que je te prenne pas le cul ?
- Non, pas cette fois. J'ai envie de te voir jouir. Allez, défonce-moi.
Et elle s'allongea, cuisses ouvertes, coudes au sol, seins dressés. Mains posées de chaque côté de sa tête jetée en arrière, il la pénétra sans ménagement et lui asséna une série de coups de bite qui la firent miauler comme à ses plus beaux jours. Il sentit ses ongles lui griffer les fesses pendant qu'il l'estoquait et même un doigt s'insinuer dans son anus, signe tangible qu'elle était en transes, sans tabou. Il se concentra encore quelques minutes pour contenir son sperme, au bord du gland, afin de la labourer les yeux dans les yeux, guettant son orgasme. Quand il sentit ses talons lui frapper les fesses afin de l'enfoncer encore plus profondément, il comprit qu'elle était mûre et il l'admonesta :- Jouis ! Jouis ! Je jouiiiis !
Pieds au sol, elle se cabra dans un gargouillis et il expulsa sa semence comme une délivrance en poussant un grognement de satisfaction. Haletants, en sueur, ils demeurèrent quelques minutes unis avant de se détacher et de s'allonger côte à côte, les yeux au ciel. Apaisés.
Ils gagnèrent la piscine pour se laver de leurs ébats, se bécotant en nageottant, se séchèrent, se rhabillèrent et Magali retourna à son jardinage. Gérard lui demanda ce qu'elle voulait manger au dîner. Il lui devait bien ça : se mettre aux fourneaux pour une fois, en remerciement du plaisir qu'elle lui avait offert.
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