Des ethnologues féminines au pays des hommes nus… Chapitre 6 : Marie dans le vestiaire des hommes
Récit érotique écrit par Marisa marlux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2013 dans la catégorie Plus on est
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Des ethnologues féminines au pays des hommes nus… Chapitre 6 : Marie dans le vestiaire des hommes
Marie écrit à Marisa : Dans le vestiaire de la piscine, côté hommes… entre statistiques et anecdotes…
Bonjour Marisa,
C’est Marie. Tu ne me connais pas, mais moi, j’ai appris à te connaître en lisant tes histoires d’infirmières. Elles m’ont beaucoup amusée… Mais si je t’écris aujourd’hui, c’est surtout parce que je me suis sentie très proche de ces histoires. Et pourtant, nous avons un métier très différent. Je suis chargée de m’occuper des vestiaires « hommes » à la piscine de ma petite ville dans l’Est du pays. C’est une piscine avec vestiaires collectifs. Des hommes nus, j’en ai vu… Beaucoup… Mais quand j’ai dit ça, je n’ai encore rien dit sur le sentiment de notre proximité. Non, ce qui fait notre proximité, ce sont les catégorisations… Tu as classé tes patients en trois catégories : les libidos au point zéro, les hommes normaux (!) et les obsédés… Sans avoir encore lu tes récits, j’avais fait de même avec ma copine et collègue Bénédicte pour ce qui concerne les clients de la piscine. Ce sera le point de départ de ma petite histoire que, si tu le permets, je vais te raconter. Je complèterai avec quelques petites anecdotes que je trouve amusantes… Béné et moi sommes donc responsables du vestiaire « hommes ». Présentation des lieux. On pénètre dans les vestiaires à partir d’un long couloir. De chaque côté de ce couloir, des cabines. Au bout du couloir, une pièce avec de petites armoires pour ranger ses vêtements, et donnant sur cette pièce, deux vestiaires collectifs, la salle de douches, notre bureau et un petit cagibi pour ranger du matériel.
Je n’habite dans cette ville que depuis 7 ans. Auparavant, je vivais dans le centre du pays. Et déjà dans cette ville, j’étais responsable du vestiaire « hommes » ! Je suis donc « experte » dans le métier !
Première remarque : dans cette première piscine, les règles étaient très strictes… notamment concernant la nudité en public… qui était totalement interdite… Le règlement de la piscine était reproduit en plusieurs exemplaires, accroché aux murs à plusieurs endroits, et il qualifiait clairement d’atteinte à la pudeur toute volonté d’être nu… Il y avait eu, avant que je n’arrive, des sanctions, notamment pour des bandes de jeunes dont le plaisir avait évidemment été de braver cet interdit… Et depuis, tout s’était calmé… Juste deux petites anecdotes, les seuls zizis que j’ai pu voir en 8 ans de carrière dans cette piscine. Une bande de jeunes justement, qui utilisait les cabines collectives sous la surveillance d’un prof de gym peu autoritaire dans le cadre scolaire, attendaient régulièrement qu’un de leur condisciple se retrouve nu, pour le forcer à sortir du vestiaire… La bête blague traditionnelle. L’école a reçu un courrier de la municipalité et le prof a dû faire preuve de davantage de sérieux dans la surveillance de ses élèves. Autre anecdote, Un brulage de culottes qui débutait à la piscine, le futur marié se retrouvant nu sous la douche et obligé de retourner « dans cette tenue » jusqu’à la cabine… Ils avaient des amis à la municipalité, il n’y a donc pas eu de sanction. Dernière anecdote, un peu mignonne… Un vieux monsieur se déshabille dans sa cabine, puis en sort la quéquette à l’air, mais avec son chapeau vissé sur la tête… Il a fallut lui expliquer son erreur en parlant fort, il était un peu sourd… Et même en lui expliquant, il ne comprenait pas. C’est une collègue qui a osé lui tapoter les fesses nues pour qu’il se rende compte de sa méprise ! Sinon, que dalle… Mais tout ça me paraissait normal.
J’ai donc accompagné mon homme vers une nouvelle situation professionnelle en me déplaçant vers l’est, et c’est un peu par hasard que j’ai retrouvé du boulot dans une autre piscine. Et là, ce fut le choc (Enfin, n’exagérons pas non plus !)… Des hommes nus à la pelle ! Dans les vestiaires publics, mais aussi dans les douches et également dans les couloirs puisqu’ils se déplaçaient sans complexe du vestiaire ou de la cabine vers la douche dans le plus simple appareil… Je dois avoir beaucoup rougi les premiers jours, mais je me suis vite habituée… Finalement, ces quéquettes, ce ne sont que des bouts de bidoches qui leur pendouillent sous la brioche comme tu cites si bien le chanteur dans un de tes récits ! Avec les collègues, on rigolait bien de temps en temps, on repérait l’un ou l’autre mec qui sortait physiquement de l’ordinaire soit de façon globale, soit à un endroit plus précis… mais c’était notre quotidien… un quotidien comme un autre, sauf qu’il était rempli de mecs à poil… Un jour, un peu plus chaud que d’habitude, nous parlions entre collègues de ces mecs à poil. Deux thèses s’affrontaient. L’une ou l’autre affirmait que ces hommes se foutaient autant de notre présence que nous de la leur quand ils étaient nus, Béné et moi disions, au contraire, que certains profitaient de cette présence pour rester nus plus que nécessaire avec la volonté de s’exhiber… C’est ainsi que Béné et moi avons décidé d’apporter la preuve scientifique de cette exhibitionnisme… Mais nous avons voulu faire ça sérieusement… Si, si !
Pour améliorer la qualité scientifique de notre travail, j’en avais parlé à ma voisine qui était prof de math, et passionnée de statistiques. Elle avait été très intéressée par notre expérience, et avait même proposé de nous accompagner. Manifestement cette position de voyeuse l’intéressait davantage que nos petits calculs statistiques… Nous lui avions promis la possibilité d’une petite visite sur notre lieu de travail en échange de ses conseils… Elle s’y est beaucoup plu quand elle est venue… Et sur son insistance, nous la ramenons encore de temps en temps avec nous ! De vrais conseils de sa part, il y en eut cependant très peu… Juste la proposition de prévoir des périodes précises dans lesquelles nous exercerions les contrôles, ceci pour éviter de vérifier nos hypothèses toujours aux mêmes heures et d’observer finalement les mêmes hommes d’une semaine à l’autre. Autre proposition, l’organisation de la prise de notes.
Le programme était simple. L’une d’entre nous se cachait dans le débarras et observait les vestiaires des hommes à travers le hublot percé dans la porte. Avec un chronomètre (il y en avait de nombreux à la piscine, qui servaient aux entraîneurs de clubs), on établissait le temps « du petit zoziau à l’air ». Le chrono était déclenché quand l’homme posait sa main sur l’élastique du slip, et était arrêté quand le zoziau en question rentrait dans le maillot… Nous avions également établi deux groupes « échantillons ». Le premier échantillon concernait les hommes qui se déshabillaient en présence d’une femme (Béné ou moi en l’occurrence, qui nous postions de manière visible à proximité des vestiaires). L’autre échantillon était composé de ceux qui se déshabillaient sans cette présence (sauf derrière le hublot bien sûr, mais ce n’était pas une présence visible, et elle ne leur était pas connue !).
Nous notions consciencieusement le tout dans deux petits carnets, un carnet pour chacun des échantillons. Une première colonne pour le jour de la semaine, une seconde pour l’heure testée, puis un chiffre (en commençant par le 1) pour chaque période, et face à ce chiffre, le temps de visibilité de l’oiseau. Cela variait de 0 secondes pour ceux qui se cachaient derrière leur serviette à presque 5 minutes pour les plus exhib… Nous avions aussi convenu de nous arrêter à 300 observations pour chacun des échantillons, soit 600 hommes à chronométrer… 6 mois d’observations… Un vrai travail de pro comme l’avait indiqué la prof de math.
Cette dernière nous avait promis de nous aider à réaliser les graphiques comparatifs, de calculer les moyennes, mais aussi les médianes, les quartiles et les écarts interquartiles qui semblaient particulièrement indiqués pour notre analyse ! Que d’intelligences nouvelles nous allions emmagasiner là !
Les résultats ? D’abord l’étalon ( ! ) qui permet la comparaison : Quand aucune de nous deux ne manifestait sa présence, la durée d’exposition variait entre une douzaine de secondes et trente cinq secondes… Par contre notre présence à proximité offrait des résultats bien plus contrastés !
Les « 0 secondes », ceux qui cachaient leurs zizis, étaient plus présents quand une femme se retrouvait dans les parages (20%). Il y avait ensuite « les pudiques ». Certains hommes probablement du fait de notre présence, se retournaient pour ne montrer que leurs fesses (5%). D’autres battaient des records de rapidité entre le baissage du slip et l’enfilage du maillot (10%). Le record ? 4 secondes ! Nous avions appelé la catégorie suivante « les étalons » bien que parmi ces derniers beaucoup ne présentaient pas de mensurations exceptionnelles. (Il en était d’ailleurs de même pour les autres catégories, même si nous ne pouvons scientifiquement l’affirmer pour les « 0 secondes »). Nous avions choisi d’appeler cette catégorie de cette façon parce qu’ils intégraient clairement la « moyenne étalon » entre 12 et 35 secondes (15%). Restaient 50% qui dépassaient cette moyenne.
- Tout ça ! avaient dit certains, mais surtout certaines à qui nous avions fait part de nos chiffres.
- Seulement ! s’étaient étonnées les autres…Parmi ces 50% restants, la diversité était encore bien présente. Si 20% des hommes se contentaient de tourner autour de la minute, « les exhibs timides », 20 autres pourcents oscillaient entre deux et trois minutes, « les cool du zizi » et 10%, « les gros pervers » allaient jusqu’au cap des 5 minutes. 50% d’exhibitionnistes affirmés. Juste affirmés parfois, confirmés dans 60% des cas (les cools du zizi et les gros pervers) !
Une petite info complémentaire, toute statistique également, mais qui ne manque pas de piquant, c’est le jeu qui entourait cette exhib. Parce que 80% de ces 50% ne se contentaient pas de laisser leur petit oiseau à l’air… Certains s’amusaient à le faire se balancer plus que nécessaire, d’autres le caressaient ou le trituraient. Parfois négligemment, parfois ostensiblement. D’autres, peu nombreux cependant, les laissaient gonfler jusqu’à ce qu’ils se dressent fièrement… (3% !). Il en était enfin quelques-uns qui baissaient un slip pour dévoiler une érection déjà bien présente…Béné et moi nous nous étions beaucoup amusées avec cette petite expérience… Nous avions ainsi convaincu nos collègues de la perversité de ces hommes… Elles ne les voyaient plus d’un même œil, puisqu’elles se rendaient maintenant compte qu’elles étaient les victimes de leur exhibitionnisme. Hélène avait décidé de ne plus s’approcher des vestiaires, ce qui était pourtant nécessaire pour accomplir son travail. Dom avait au contraire opté pour une affirmation plus forte de sa présence… Béné, et dans une moindre mesure moi-même qui était plus timide, avions choisi de la suivre dans ses petits délires. Quand un homme exagérait son exhibition, Dom appelait par exemple l’une d’entre nous et d’un mouvement du menton, désignait le mec à poil. Celui-ci profitait alors parfois de la situation, mais se rendait également compte que nous n’étions pas dupes… Nous avions également alors le sentiment d’être autant sujet que lui dans cette relation perverse. D’autres mecs, quand ils se rendaient compte de notre petit manège, arrêtaient rapidement leur exhibition et remballaient leurs choses puis filaient nager en rasant les murs. Nous avions cependant remarqué que pour la plupart de ces derniers, leur gêne ne durait qu’une seule fois. Soit qu’ensuite, ils ne venaient plus, soit que à la séance suivante, ils profitaient davantage de notre présence et de notre regard.
Quelques petites histoires amusantes pour terminer ce courrier ?
Il m’arrivait de travailler le soir quand la piscine était envahie de groupes ou club qui réservaient la piscine. Il y avait notamment un club de jeunes nageurs, le « Neptunius » qui occupait la piscine durant deux heures deux fois par semaine. Une première heure plus familiale pour les plus petits et leur famille et une deuxième heure pour les sportifs du club, qui bénéficiaient d’un entraînement plus solide. Durant ces débuts de soirées, le travail était au niveau du calme plat… Nous invitions habituellement nos collègues du vestiaire des femmes à nous rejoindre pour boire un café ou un jus de fruits. Le maître nageur qui était aussi le responsable de la piscine se devait de nous interdire ces rendez-vous, mais il profitait lui du fait que les nageurs étaient surveillés par des moniteurs et entraîneurs, pour boire autre chose que du jus ou du café… Il nous laissait donc tranquilles, ce qui permettaient à nos trois collègues de chez les femmes de nous rejoindre… et de s’amuser avec nous des nudités des mecs… Surtout que le soir…Les anecdotes.
Un petit groupe de ces sportifs avait décidé de se donner rendez-vous dès la première heure, malgré le désaccord de l’entraîneur, qui cependant n’arrivait pas à gérer le vestiaire en même temps que la piscine. 6 ou 8 jeunes mecs entre 17 et 20 ans débarquaient dans « mon » vestiaire, se foutaient à poil, et puis, entamaient une activité ou l’autre. Certains jouaient aux cartes, d’autres faisaient des exercices en s’accrochant à des barres de fers fichées dans les murs. Et puis, parfois, ça déconnait davantage. Nous avons eu droit à des chenilles dans les couloirs du vestiaire, où, en chantant, ces gars se baladaient « bites à cul » comme ils disaient en chantant la chanson des « Martin Circus ».
Il y a aussi eu les enfermements d’un de ces jeunes hommes nus dans notre bureau alors que nous buvions notre petite boisson… Chacun de ces jeunes hommes a eu son tour… Les compères choisissaient une victime, l’attrapaient, puis le transportaient avant de le pousser dans le bureau et d’en refermer la porte, et de la retenir fermée. Le mec se retrouvait là, tout nu, en face de nous, en attendant qu’on veuille bien lui ouvrir… Sous les sarcasmes des copains qui commentaient sans vergogne la situation de derrière la porte. C’était amusant… Certains cachaient leur zizi derrière leurs mains, alors qu’à tous les autres moments ils l’exhibaient pourtant sans vergogne et sans honte… D’autres qui ne se cachaient pas dans un premier temps, entamaient une petite érection qu’ils s’empressaient de dérober à nos regards quand ils remarquaient que cela n’était pas vraiment convenable… Les derniers assumaient leur remarquable état de forme, voire s’exhibait davantage quand la vigueur était présente… Nous riions beaucoup entre nanas à ces occasions, et bien longtemps après, et nous n’aurions jamais eu l’idée de vouloir remettre de l’ordre dans le vestiaire, alors qu’il aurait fallu considérer que c’était notre rôle…Nous avons également eu droit à des compétitions particulières, très particulières même. Qui dépassaient la limite de la décence, et contre lesquelles nous aurions dû réagir… Mais nous avons aussi des défauts… Et cette perversité de voyeuse était bien notre choix… Le plus drôle, c’est que nous étions payées pendant ces séances un rien hot ! Nous avions donc accepté de participer à ces compétitions, comme spectatrices, d’abord un peu effarées, alors qu’Isabelle, une du vestiaire des femmes, très délurée et excitée par la situation, avait accepté le rôle d’arbitre. Il s’agissait pour 6 mâles nus de démarrer avec leur engin glissé dans des bidons en plastique posés par terre, bidons qu’ils avaient trouvé qui traînaient parfois près de notre cagibi de rangement (Oui les ouvertures des bidons étaient larges !). Dans un second temps, l’objectif était de permettre à leur engin de porter une serviette de bain durant 10 secondes sans utiliser les mains (eh oui, mais tu l’avais deviné, c’est bien l’engin qui se trouvait tout à l’heure dans le goulot du bidon qui servait dorénavant de porte serviette), avant de reglisser ledit engin dans le même goulot, ceci toujours sans l’utilisation des mains, et enfin, d’à nouveau transformer la bête en porte-serviette toujours pendant 10 secondes. Autrement dit, l’objectif était de passer de la flaccidité à l’érection puis à nouveau à la flaccidité avant de finaliser en érection. La victoire finale revenait à celui qui avait tenu le coup les 10 dernières secondes… Nous avons donc eu droit au cours de cette compétition à des paluchages en règle, destinés à produire des érections suffisantes que pour porter les serviettes quelques secondes. Ensuite, certains mettaient toute leur conviction à débander le plus rapidement possible, alors que d’autres poursuivaient leur masturbation afin d’éjaculer le plus rapidement possible et de faciliter cette débandade. Quand leur biroute était suffisamment flaccide, ils la glissaient dans le bidon puis repartaient pour une nouvelle érection qui leur permettait de porter victorieusement la serviette comme on porterait un drapeau à damier… Le débat sur lequel ils ne se mettaient pas d’accord, était de savoir s’ils avaient intérêt à cracher leur semence pour débander plus rapidement, sachant que dès lors, il leur faudrait un effort supplémentaire pour retrouver une érection suffisante dans les temps impartis ou s’il fallait plutôt se concentrer avec conviction pour débander, ce qui n’était pas simple au vu de la situation de jeu qu’ils avaient mise en place, mais aussi de notre présence lubrique, de nos regards assumés et de nos commentaires salaces, avant de reprofiter assez facilement alors, d’une nouvelle érection qui se réalisait dans un sprint final… Les résultats ne permettaient pas un avis clair sur la question. Les éjaculateurs et les non-éjaculateurs composaient assez hétéroclitement le classement final. Ils avaient alors décidé de retenter l’expérience en contre la montre. Un soir, chacun son tour était chronométré dans la configuration « goulot-érection-serviette-éjaculation-débandade-goulot-érection-serviette », et la semaine suivante, dans la configuration « goulot-érection-serviette-débandade-goulot-érection-serviette ». Les résultats sont restés très contrastés selon les individus… Certains avaient une capacité importante à rebander rapidement après leur éjaculation et leur première débandade, d’autres avaient une capacité importante de débandaison après l’érection. Pour deux d’entre eux, par contre, il avait été impossible de débander. Même la douche froide n’avait pu remplir son œuvre. Il avait fallut les déclasser ! Et ce n’est que la piscine et l’exercice qui leur avait permis de retrouver la bite molle comme ils aimaient à le dire… Dernière anecdote. Après le cours de ces jeunes énergumènes qui nous amusaient bien, la piscine était laissée à un groupe d’aveugles. La ville comportait un quartier qui avait été adapté à leur vie, et de ce fait, le nombre de ces non-voyants avait permis d’ouvrir spécialement la piscine en heure creuse pour leur permettre, eux aussi, de bénéficier des bienfaits de la natation dans une atmosphère sécurisante et sécurisée. Les jeunes respectaient ces personnes. Mais dans le même temps, ça les questionnait et les faisait rire. Ils disaient par exemple ne pas comprendre pourquoi les aveugles hommes et femmes ne se changeaient pas dans le même vestiaire, puisqu’à priori, ils ne se voyaient pas… Pourquoi et comment une telle pudeur se maintenait-elle ? Et, puis, il y eut le pari. L’un des mecs se mit au défi de faire un 50 mètres, c'est-à-dire deux longueurs, à poil, au milieu des aveugles… D’autres décidèrent de le suivre… Et c’est ainsi que quatre tous nus nagèrent au milieu des aveugles qui se demandaient ce qui se passait, la nage des énergumènes étant plus explosive que celle des nageurs aveugles qui se voulait prudente. Cela fit beaucoup rire les deux monitrices présentes pour le cours aux aveugles, qui vinrent féliciter les nageurs. Ils les reçurent dans le même simple appareil, ce qui leur plu davantage encore ! Elles leur proposèrent le défi de recommencer la semaine suivante… Ce qui leur parut un bien petit défi… Sauf que la semaine suivante, les élèves aveugles avaient été prévenus de l’arrivée importune de ces nudistes exhibitionnistes… Et quand ils se sont mis à nager tout nus dans la piscine, les bras des aveugles les ont attrapés et les ont exhibés… devant des yeux qui ne voyaient rien… Mais quand un aveugle ne voit pas, et qu’on veut quand même lui faire voir, qu’est-ce qu’on fait ? On décrit… Et c’est avec un plaisir évident que les deux entraineuses ont décrit le physique des tounus de la piscine, sans que ce ne soit nécessairement à leur avantage, ceci sous les éclats de rire, les quolibets et les huées des aveugles très amusés par le spectacle raconté !
Voilà Marisa. Que penses-tu de tout ça ? Quoiqu’il en soit, merci de m’avoir lue… Bisous coquins…Marie
Bonjour Marisa,
C’est Marie. Tu ne me connais pas, mais moi, j’ai appris à te connaître en lisant tes histoires d’infirmières. Elles m’ont beaucoup amusée… Mais si je t’écris aujourd’hui, c’est surtout parce que je me suis sentie très proche de ces histoires. Et pourtant, nous avons un métier très différent. Je suis chargée de m’occuper des vestiaires « hommes » à la piscine de ma petite ville dans l’Est du pays. C’est une piscine avec vestiaires collectifs. Des hommes nus, j’en ai vu… Beaucoup… Mais quand j’ai dit ça, je n’ai encore rien dit sur le sentiment de notre proximité. Non, ce qui fait notre proximité, ce sont les catégorisations… Tu as classé tes patients en trois catégories : les libidos au point zéro, les hommes normaux (!) et les obsédés… Sans avoir encore lu tes récits, j’avais fait de même avec ma copine et collègue Bénédicte pour ce qui concerne les clients de la piscine. Ce sera le point de départ de ma petite histoire que, si tu le permets, je vais te raconter. Je complèterai avec quelques petites anecdotes que je trouve amusantes… Béné et moi sommes donc responsables du vestiaire « hommes ». Présentation des lieux. On pénètre dans les vestiaires à partir d’un long couloir. De chaque côté de ce couloir, des cabines. Au bout du couloir, une pièce avec de petites armoires pour ranger ses vêtements, et donnant sur cette pièce, deux vestiaires collectifs, la salle de douches, notre bureau et un petit cagibi pour ranger du matériel.
Je n’habite dans cette ville que depuis 7 ans. Auparavant, je vivais dans le centre du pays. Et déjà dans cette ville, j’étais responsable du vestiaire « hommes » ! Je suis donc « experte » dans le métier !
Première remarque : dans cette première piscine, les règles étaient très strictes… notamment concernant la nudité en public… qui était totalement interdite… Le règlement de la piscine était reproduit en plusieurs exemplaires, accroché aux murs à plusieurs endroits, et il qualifiait clairement d’atteinte à la pudeur toute volonté d’être nu… Il y avait eu, avant que je n’arrive, des sanctions, notamment pour des bandes de jeunes dont le plaisir avait évidemment été de braver cet interdit… Et depuis, tout s’était calmé… Juste deux petites anecdotes, les seuls zizis que j’ai pu voir en 8 ans de carrière dans cette piscine. Une bande de jeunes justement, qui utilisait les cabines collectives sous la surveillance d’un prof de gym peu autoritaire dans le cadre scolaire, attendaient régulièrement qu’un de leur condisciple se retrouve nu, pour le forcer à sortir du vestiaire… La bête blague traditionnelle. L’école a reçu un courrier de la municipalité et le prof a dû faire preuve de davantage de sérieux dans la surveillance de ses élèves. Autre anecdote, Un brulage de culottes qui débutait à la piscine, le futur marié se retrouvant nu sous la douche et obligé de retourner « dans cette tenue » jusqu’à la cabine… Ils avaient des amis à la municipalité, il n’y a donc pas eu de sanction. Dernière anecdote, un peu mignonne… Un vieux monsieur se déshabille dans sa cabine, puis en sort la quéquette à l’air, mais avec son chapeau vissé sur la tête… Il a fallut lui expliquer son erreur en parlant fort, il était un peu sourd… Et même en lui expliquant, il ne comprenait pas. C’est une collègue qui a osé lui tapoter les fesses nues pour qu’il se rende compte de sa méprise ! Sinon, que dalle… Mais tout ça me paraissait normal.
J’ai donc accompagné mon homme vers une nouvelle situation professionnelle en me déplaçant vers l’est, et c’est un peu par hasard que j’ai retrouvé du boulot dans une autre piscine. Et là, ce fut le choc (Enfin, n’exagérons pas non plus !)… Des hommes nus à la pelle ! Dans les vestiaires publics, mais aussi dans les douches et également dans les couloirs puisqu’ils se déplaçaient sans complexe du vestiaire ou de la cabine vers la douche dans le plus simple appareil… Je dois avoir beaucoup rougi les premiers jours, mais je me suis vite habituée… Finalement, ces quéquettes, ce ne sont que des bouts de bidoches qui leur pendouillent sous la brioche comme tu cites si bien le chanteur dans un de tes récits ! Avec les collègues, on rigolait bien de temps en temps, on repérait l’un ou l’autre mec qui sortait physiquement de l’ordinaire soit de façon globale, soit à un endroit plus précis… mais c’était notre quotidien… un quotidien comme un autre, sauf qu’il était rempli de mecs à poil… Un jour, un peu plus chaud que d’habitude, nous parlions entre collègues de ces mecs à poil. Deux thèses s’affrontaient. L’une ou l’autre affirmait que ces hommes se foutaient autant de notre présence que nous de la leur quand ils étaient nus, Béné et moi disions, au contraire, que certains profitaient de cette présence pour rester nus plus que nécessaire avec la volonté de s’exhiber… C’est ainsi que Béné et moi avons décidé d’apporter la preuve scientifique de cette exhibitionnisme… Mais nous avons voulu faire ça sérieusement… Si, si !
Pour améliorer la qualité scientifique de notre travail, j’en avais parlé à ma voisine qui était prof de math, et passionnée de statistiques. Elle avait été très intéressée par notre expérience, et avait même proposé de nous accompagner. Manifestement cette position de voyeuse l’intéressait davantage que nos petits calculs statistiques… Nous lui avions promis la possibilité d’une petite visite sur notre lieu de travail en échange de ses conseils… Elle s’y est beaucoup plu quand elle est venue… Et sur son insistance, nous la ramenons encore de temps en temps avec nous ! De vrais conseils de sa part, il y en eut cependant très peu… Juste la proposition de prévoir des périodes précises dans lesquelles nous exercerions les contrôles, ceci pour éviter de vérifier nos hypothèses toujours aux mêmes heures et d’observer finalement les mêmes hommes d’une semaine à l’autre. Autre proposition, l’organisation de la prise de notes.
Le programme était simple. L’une d’entre nous se cachait dans le débarras et observait les vestiaires des hommes à travers le hublot percé dans la porte. Avec un chronomètre (il y en avait de nombreux à la piscine, qui servaient aux entraîneurs de clubs), on établissait le temps « du petit zoziau à l’air ». Le chrono était déclenché quand l’homme posait sa main sur l’élastique du slip, et était arrêté quand le zoziau en question rentrait dans le maillot… Nous avions également établi deux groupes « échantillons ». Le premier échantillon concernait les hommes qui se déshabillaient en présence d’une femme (Béné ou moi en l’occurrence, qui nous postions de manière visible à proximité des vestiaires). L’autre échantillon était composé de ceux qui se déshabillaient sans cette présence (sauf derrière le hublot bien sûr, mais ce n’était pas une présence visible, et elle ne leur était pas connue !).
Nous notions consciencieusement le tout dans deux petits carnets, un carnet pour chacun des échantillons. Une première colonne pour le jour de la semaine, une seconde pour l’heure testée, puis un chiffre (en commençant par le 1) pour chaque période, et face à ce chiffre, le temps de visibilité de l’oiseau. Cela variait de 0 secondes pour ceux qui se cachaient derrière leur serviette à presque 5 minutes pour les plus exhib… Nous avions aussi convenu de nous arrêter à 300 observations pour chacun des échantillons, soit 600 hommes à chronométrer… 6 mois d’observations… Un vrai travail de pro comme l’avait indiqué la prof de math.
Cette dernière nous avait promis de nous aider à réaliser les graphiques comparatifs, de calculer les moyennes, mais aussi les médianes, les quartiles et les écarts interquartiles qui semblaient particulièrement indiqués pour notre analyse ! Que d’intelligences nouvelles nous allions emmagasiner là !
Les résultats ? D’abord l’étalon ( ! ) qui permet la comparaison : Quand aucune de nous deux ne manifestait sa présence, la durée d’exposition variait entre une douzaine de secondes et trente cinq secondes… Par contre notre présence à proximité offrait des résultats bien plus contrastés !
Les « 0 secondes », ceux qui cachaient leurs zizis, étaient plus présents quand une femme se retrouvait dans les parages (20%). Il y avait ensuite « les pudiques ». Certains hommes probablement du fait de notre présence, se retournaient pour ne montrer que leurs fesses (5%). D’autres battaient des records de rapidité entre le baissage du slip et l’enfilage du maillot (10%). Le record ? 4 secondes ! Nous avions appelé la catégorie suivante « les étalons » bien que parmi ces derniers beaucoup ne présentaient pas de mensurations exceptionnelles. (Il en était d’ailleurs de même pour les autres catégories, même si nous ne pouvons scientifiquement l’affirmer pour les « 0 secondes »). Nous avions choisi d’appeler cette catégorie de cette façon parce qu’ils intégraient clairement la « moyenne étalon » entre 12 et 35 secondes (15%). Restaient 50% qui dépassaient cette moyenne.
- Tout ça ! avaient dit certains, mais surtout certaines à qui nous avions fait part de nos chiffres.
- Seulement ! s’étaient étonnées les autres…Parmi ces 50% restants, la diversité était encore bien présente. Si 20% des hommes se contentaient de tourner autour de la minute, « les exhibs timides », 20 autres pourcents oscillaient entre deux et trois minutes, « les cool du zizi » et 10%, « les gros pervers » allaient jusqu’au cap des 5 minutes. 50% d’exhibitionnistes affirmés. Juste affirmés parfois, confirmés dans 60% des cas (les cools du zizi et les gros pervers) !
Une petite info complémentaire, toute statistique également, mais qui ne manque pas de piquant, c’est le jeu qui entourait cette exhib. Parce que 80% de ces 50% ne se contentaient pas de laisser leur petit oiseau à l’air… Certains s’amusaient à le faire se balancer plus que nécessaire, d’autres le caressaient ou le trituraient. Parfois négligemment, parfois ostensiblement. D’autres, peu nombreux cependant, les laissaient gonfler jusqu’à ce qu’ils se dressent fièrement… (3% !). Il en était enfin quelques-uns qui baissaient un slip pour dévoiler une érection déjà bien présente…Béné et moi nous nous étions beaucoup amusées avec cette petite expérience… Nous avions ainsi convaincu nos collègues de la perversité de ces hommes… Elles ne les voyaient plus d’un même œil, puisqu’elles se rendaient maintenant compte qu’elles étaient les victimes de leur exhibitionnisme. Hélène avait décidé de ne plus s’approcher des vestiaires, ce qui était pourtant nécessaire pour accomplir son travail. Dom avait au contraire opté pour une affirmation plus forte de sa présence… Béné, et dans une moindre mesure moi-même qui était plus timide, avions choisi de la suivre dans ses petits délires. Quand un homme exagérait son exhibition, Dom appelait par exemple l’une d’entre nous et d’un mouvement du menton, désignait le mec à poil. Celui-ci profitait alors parfois de la situation, mais se rendait également compte que nous n’étions pas dupes… Nous avions également alors le sentiment d’être autant sujet que lui dans cette relation perverse. D’autres mecs, quand ils se rendaient compte de notre petit manège, arrêtaient rapidement leur exhibition et remballaient leurs choses puis filaient nager en rasant les murs. Nous avions cependant remarqué que pour la plupart de ces derniers, leur gêne ne durait qu’une seule fois. Soit qu’ensuite, ils ne venaient plus, soit que à la séance suivante, ils profitaient davantage de notre présence et de notre regard.
Quelques petites histoires amusantes pour terminer ce courrier ?
Il m’arrivait de travailler le soir quand la piscine était envahie de groupes ou club qui réservaient la piscine. Il y avait notamment un club de jeunes nageurs, le « Neptunius » qui occupait la piscine durant deux heures deux fois par semaine. Une première heure plus familiale pour les plus petits et leur famille et une deuxième heure pour les sportifs du club, qui bénéficiaient d’un entraînement plus solide. Durant ces débuts de soirées, le travail était au niveau du calme plat… Nous invitions habituellement nos collègues du vestiaire des femmes à nous rejoindre pour boire un café ou un jus de fruits. Le maître nageur qui était aussi le responsable de la piscine se devait de nous interdire ces rendez-vous, mais il profitait lui du fait que les nageurs étaient surveillés par des moniteurs et entraîneurs, pour boire autre chose que du jus ou du café… Il nous laissait donc tranquilles, ce qui permettaient à nos trois collègues de chez les femmes de nous rejoindre… et de s’amuser avec nous des nudités des mecs… Surtout que le soir…Les anecdotes.
Un petit groupe de ces sportifs avait décidé de se donner rendez-vous dès la première heure, malgré le désaccord de l’entraîneur, qui cependant n’arrivait pas à gérer le vestiaire en même temps que la piscine. 6 ou 8 jeunes mecs entre 17 et 20 ans débarquaient dans « mon » vestiaire, se foutaient à poil, et puis, entamaient une activité ou l’autre. Certains jouaient aux cartes, d’autres faisaient des exercices en s’accrochant à des barres de fers fichées dans les murs. Et puis, parfois, ça déconnait davantage. Nous avons eu droit à des chenilles dans les couloirs du vestiaire, où, en chantant, ces gars se baladaient « bites à cul » comme ils disaient en chantant la chanson des « Martin Circus ».
Il y a aussi eu les enfermements d’un de ces jeunes hommes nus dans notre bureau alors que nous buvions notre petite boisson… Chacun de ces jeunes hommes a eu son tour… Les compères choisissaient une victime, l’attrapaient, puis le transportaient avant de le pousser dans le bureau et d’en refermer la porte, et de la retenir fermée. Le mec se retrouvait là, tout nu, en face de nous, en attendant qu’on veuille bien lui ouvrir… Sous les sarcasmes des copains qui commentaient sans vergogne la situation de derrière la porte. C’était amusant… Certains cachaient leur zizi derrière leurs mains, alors qu’à tous les autres moments ils l’exhibaient pourtant sans vergogne et sans honte… D’autres qui ne se cachaient pas dans un premier temps, entamaient une petite érection qu’ils s’empressaient de dérober à nos regards quand ils remarquaient que cela n’était pas vraiment convenable… Les derniers assumaient leur remarquable état de forme, voire s’exhibait davantage quand la vigueur était présente… Nous riions beaucoup entre nanas à ces occasions, et bien longtemps après, et nous n’aurions jamais eu l’idée de vouloir remettre de l’ordre dans le vestiaire, alors qu’il aurait fallu considérer que c’était notre rôle…Nous avons également eu droit à des compétitions particulières, très particulières même. Qui dépassaient la limite de la décence, et contre lesquelles nous aurions dû réagir… Mais nous avons aussi des défauts… Et cette perversité de voyeuse était bien notre choix… Le plus drôle, c’est que nous étions payées pendant ces séances un rien hot ! Nous avions donc accepté de participer à ces compétitions, comme spectatrices, d’abord un peu effarées, alors qu’Isabelle, une du vestiaire des femmes, très délurée et excitée par la situation, avait accepté le rôle d’arbitre. Il s’agissait pour 6 mâles nus de démarrer avec leur engin glissé dans des bidons en plastique posés par terre, bidons qu’ils avaient trouvé qui traînaient parfois près de notre cagibi de rangement (Oui les ouvertures des bidons étaient larges !). Dans un second temps, l’objectif était de permettre à leur engin de porter une serviette de bain durant 10 secondes sans utiliser les mains (eh oui, mais tu l’avais deviné, c’est bien l’engin qui se trouvait tout à l’heure dans le goulot du bidon qui servait dorénavant de porte serviette), avant de reglisser ledit engin dans le même goulot, ceci toujours sans l’utilisation des mains, et enfin, d’à nouveau transformer la bête en porte-serviette toujours pendant 10 secondes. Autrement dit, l’objectif était de passer de la flaccidité à l’érection puis à nouveau à la flaccidité avant de finaliser en érection. La victoire finale revenait à celui qui avait tenu le coup les 10 dernières secondes… Nous avons donc eu droit au cours de cette compétition à des paluchages en règle, destinés à produire des érections suffisantes que pour porter les serviettes quelques secondes. Ensuite, certains mettaient toute leur conviction à débander le plus rapidement possible, alors que d’autres poursuivaient leur masturbation afin d’éjaculer le plus rapidement possible et de faciliter cette débandade. Quand leur biroute était suffisamment flaccide, ils la glissaient dans le bidon puis repartaient pour une nouvelle érection qui leur permettait de porter victorieusement la serviette comme on porterait un drapeau à damier… Le débat sur lequel ils ne se mettaient pas d’accord, était de savoir s’ils avaient intérêt à cracher leur semence pour débander plus rapidement, sachant que dès lors, il leur faudrait un effort supplémentaire pour retrouver une érection suffisante dans les temps impartis ou s’il fallait plutôt se concentrer avec conviction pour débander, ce qui n’était pas simple au vu de la situation de jeu qu’ils avaient mise en place, mais aussi de notre présence lubrique, de nos regards assumés et de nos commentaires salaces, avant de reprofiter assez facilement alors, d’une nouvelle érection qui se réalisait dans un sprint final… Les résultats ne permettaient pas un avis clair sur la question. Les éjaculateurs et les non-éjaculateurs composaient assez hétéroclitement le classement final. Ils avaient alors décidé de retenter l’expérience en contre la montre. Un soir, chacun son tour était chronométré dans la configuration « goulot-érection-serviette-éjaculation-débandade-goulot-érection-serviette », et la semaine suivante, dans la configuration « goulot-érection-serviette-débandade-goulot-érection-serviette ». Les résultats sont restés très contrastés selon les individus… Certains avaient une capacité importante à rebander rapidement après leur éjaculation et leur première débandade, d’autres avaient une capacité importante de débandaison après l’érection. Pour deux d’entre eux, par contre, il avait été impossible de débander. Même la douche froide n’avait pu remplir son œuvre. Il avait fallut les déclasser ! Et ce n’est que la piscine et l’exercice qui leur avait permis de retrouver la bite molle comme ils aimaient à le dire… Dernière anecdote. Après le cours de ces jeunes énergumènes qui nous amusaient bien, la piscine était laissée à un groupe d’aveugles. La ville comportait un quartier qui avait été adapté à leur vie, et de ce fait, le nombre de ces non-voyants avait permis d’ouvrir spécialement la piscine en heure creuse pour leur permettre, eux aussi, de bénéficier des bienfaits de la natation dans une atmosphère sécurisante et sécurisée. Les jeunes respectaient ces personnes. Mais dans le même temps, ça les questionnait et les faisait rire. Ils disaient par exemple ne pas comprendre pourquoi les aveugles hommes et femmes ne se changeaient pas dans le même vestiaire, puisqu’à priori, ils ne se voyaient pas… Pourquoi et comment une telle pudeur se maintenait-elle ? Et, puis, il y eut le pari. L’un des mecs se mit au défi de faire un 50 mètres, c'est-à-dire deux longueurs, à poil, au milieu des aveugles… D’autres décidèrent de le suivre… Et c’est ainsi que quatre tous nus nagèrent au milieu des aveugles qui se demandaient ce qui se passait, la nage des énergumènes étant plus explosive que celle des nageurs aveugles qui se voulait prudente. Cela fit beaucoup rire les deux monitrices présentes pour le cours aux aveugles, qui vinrent féliciter les nageurs. Ils les reçurent dans le même simple appareil, ce qui leur plu davantage encore ! Elles leur proposèrent le défi de recommencer la semaine suivante… Ce qui leur parut un bien petit défi… Sauf que la semaine suivante, les élèves aveugles avaient été prévenus de l’arrivée importune de ces nudistes exhibitionnistes… Et quand ils se sont mis à nager tout nus dans la piscine, les bras des aveugles les ont attrapés et les ont exhibés… devant des yeux qui ne voyaient rien… Mais quand un aveugle ne voit pas, et qu’on veut quand même lui faire voir, qu’est-ce qu’on fait ? On décrit… Et c’est avec un plaisir évident que les deux entraineuses ont décrit le physique des tounus de la piscine, sans que ce ne soit nécessairement à leur avantage, ceci sous les éclats de rire, les quolibets et les huées des aveugles très amusés par le spectacle raconté !
Voilà Marisa. Que penses-tu de tout ça ? Quoiqu’il en soit, merci de m’avoir lue… Bisous coquins…Marie
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bien cependant ,il manque pour que cette histoire soit "équitable"
les sensations ressenties durant ces moments ...
Avant de choisir la voie de l'optique,j'ai été aide soignante dans un clinique à Genève. J'ai vu toute sorte d'hommes nus. Je dois avouer que quelques situations m'ont troublée ;le mot est léger
les sensations ressenties durant ces moments ...
Avant de choisir la voie de l'optique,j'ai été aide soignante dans un clinique à Genève. J'ai vu toute sorte d'hommes nus. Je dois avouer que quelques situations m'ont troublée ;le mot est léger
Belles analyses ethnologiques néanmoins érotiques. Vous savez dire et certainement faire...