Des femmes qui aiment les jeunes (2/2)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Des femmes qui aiment les jeunes (2/2)
MAGALI ET FRANCOISE
C'est un déjeuner familial comme beaucoup d'autres un dimanche. Deux frères flanqués de leur épouse, Magali et Françoise, alertes quinquagénaires au physique différent (la première est menue et tonique, la seconde pulpeuse et voluptueuse) ont lancé la conversation sur l'idéal féminin en évoquant quelques actrices présentes ou passées. En écoutant leur conjoint vanter la plastique de telle ou telle et en allant même jusqu'à prétendre que si elles entraient dans leur lit, elles ne seraient pas déçues du voyage, les deux épouses, se sentant mésestimées, finissent par réagir.
- Et nous alors, vous croyez qu'on n'a pas nos mecs favoris ? Vous croyez que vous y correspondez totalement ? grogne Magali.
- Oui, vous croyez qu'on n'aime pas les pectoraux saillants, les ventres en damier, les fesses en noyaux de pêche et les bites si raides qu'on pourrait s'y suspendre comme à une barre fixe ? éclate Françoise.
Cette dernière saillie (c'est le cas de le dire) fait éclater de rire Magali et sourire jaune les deux maris. Ils prennent soudain conscience que leurs épouses ont aussi leurs fantasmes et qu'ils ne sont plus tout à fait en âge d'y répondre.
- J'en vois certains que s'ils entraient dans mon lit, ils ne seraient pas non plus déçus du voyage, proclame Magali.
- On les essorerait tellement qu'ils n'auraient plus de jus dans la lance pendant un bon moment, abonde Françoise.
- Bon, ça va, on a compris, riposte Christian, le mari de Françoise. N'empêche que si on vous mettait en situation, vous seriez bien embêtées.
- C'est à dire ? répond son épouse.
- Que si on vous procurait deux jeunes gars bien montés, vous auriez les pétoches de ne pas être à la hauteur.
- Alors, chiche. Trouvez-nous deux étalons et on verra, répond Magali à son beau-frère.
Les deux hommes se retrouvèrent piégés. Et en même temps légèrement excités. La situation était inédite. Après tout, si leurs femmes voulaient se faire sauter par deux jeunes, peut-être pourraient-ils en demander autant d'elles. La discussion prit un tour animé. Magali et Françoise s'excitaient de plus en plus à la perspective d'être honorées longuement par deux corps parfaits. Encore fallait-il les trouver. Elles mirent leurs conjoints au défi de le faire.
Deux semaines plus tard, les recherches des deux maris avaient abouti. Un étudiant en éducation physique et un danseur avaient répondu à l'annonce sur internet, selon laquelle deux femmes mûres souhaitaient une "rencontre" avec deux jeunes hommes "en pleine santé" pour "un moment agréable sans complication et moyennant finance". Les deux maris avaient un peu renâclé au tarif des deux escort boys mais ils ne pouvaient plus reculer sous peine de passer pour des dégonflés, à l'encontre de leurs épouses. Et c'est ainsi qu'un gars au physique trapu de gymnaste et un autre long comme une liane firent leur apparition au domicile du couple Christian-Françoise.
Dès l'abord, les deux femmes se sentirent un peu mises devant le fait accompli. Elles aussi se retrouvaient piégées. Un apéritif permit de détendre un peu l'atmosphère, les deux garçons se sentant rassurés par l'adhésion des deux maris. Puis ceux-ci s'éclipsèrent, laissant leurs épouses avec les deux gaillards, lesquels comprirent qu'ils devaient passer à l'acte.
Françoise et Magali avaient adopté l'une et l'autre une mini robe découvrant généreusement leurs cuisses et, pour Françoise, ses deux glorieuses mamelles. Magali ne portait pas de soutif et ses petits seins pointaient avec arrogance sous la toile légère. Quand les deux jeunes hommes se rapprochèrent d'elles sur leur canapé respectif, elles frissonnèrent à l'unisson. Les deux belles-soeurs se rassuraient avec leur présence mutuelle. Elles se laissèrent peloter puis caresser de manière de plus en plus intime. Elles se détendirent. Le compas de leurs cuisses s'ouvrit pour faciliter l'exploration des deux jeunes mâles. L'un d'eux, le gymnaste, prit la main de Magali et la posa sur sa braguette. C'est ce contact manuel qui la fit définitivement basculer. Elle se mit à la tâche de dégager ce pénis dont elle avait déjà pu juger la fermeté et quand il surgit du caleçon, elle poussa une exclamation de surprise. Tout ça pour elle ! Une bite pareille ! Un instinct irrépressible la poussa à avancer sa bouche vers ce gland turgescent et son contact contre sa langue et ses joues lui fit passer une onde de chaleur de ses orteils à la racine des cheveux. Elle était tellement absorbée par sa succion qu'elle ne vit pas que sa belle-soeur était désormais entièrement nue sur l'autre canapé avec le visage du danseur entre ses cuisses dodues, en train de lui prodiguer un cunni qui la faisait roucouler. Quand elle réalisa la scène, Magali comprit qu'il était tant de dévoiler son corps à son tour et advienne que pourra. Mais loin de débander, le gymnaste, déjà bien excité par la succion, la complimenta, la trouva "vraiment bandante" et la prévint qu'il "allait la baiser, là, tout de suite". A elle de choisir sa position.
Elle choisit de s'empaler sur lui en maitrisant la pénétration qu'elle craignait un peu trop envahissante pour son déduit peu habitué à un tel volume. Mais quand il fut totalement engagé, un bien-être inouï l'envahit, autant par le creusement profond que par le spectacle du torse incroyablement musclé de son jeune partenaire. Surtout ne pas le décevoir. Elle virevolta de la croupe, tressauta sur la bite, offrit ses seins à lécher, verbalisa son plaisir avant de se retourner et de tressauter à nouveau, cette fois les pieds au sol. Elle découvrit en même temps sa belle-soeur prise en levrette, seins agités et langue entre les lèvres mais aussi la longue bite du danseur forer l'antre de Françoise de toute sa longueur. Il ondulait comme sur une scène et le spectacle de ce petit cul virevoltant procura à Magali une véritable jouissance visuelle, totalement inattendue. Elle connut un premier orgasme qui lui mit la chair de poule partout. Reconnaissante, elle embrassa son jeune partenaire avec fougue.
Sur l'autre canapé, le couple s'était également désuni. Le danseur informa que dans le contrat, il était précisé un échange. Magali le vit s'avancer vers elle avec sa magistrale érection capotée. Le gymnaste n'avait pas tergiversé et pénétrait déjà Françoise, allongée sur le canapé, un pied sur le dossier. Magali l'imita et accueillit le danseur avec jubilation, se régalant de son torse glabre finement musclé et l'encourageant à coups de talons dans ses reins. Elle croisa le regard de Françoise et y lut le plaisir qu'elle-même prenait. Elles se faisaient copieusement baiser par deux véritables étalons au corps de rêve; elles les matures déjà marquées par les défauts de l'âge, et se montraient bien décidées à profiter de leur chance le plus longtemps possible. Elles compenseraient par leur vice, leur expérience, leur absence de tabous. Au cours des ébats qui suivirent, les deux garçons se firent lécher et doigter le trou du cul, s'entendirent célébrer leur bite en des termes peu racontables et, encore moins habituel, furent invités à entrer entre les fesses des deux dames en des termes encore plus crus. Ils n'en revenaient pas d'avoir hérité de deux coups pareils, qui auraient mérité la gratuité s'ils n'avaient pas déjà été payés.
La sueur ruisselait entre les seins lourds de Françoise quand elle fit gicler verticalement le gymnaste en le chevauchant avec toute l'ardeur de son cul plantureux. Il n'avait pu résister au spectacle de cette juteuse femelle au visage rayonnant qui le baisait en louant sa virilité. Quant au danseur, fiché dans le petit cul de Magali, il fut littéralement essoré par ses circonvolutions fessières qui répondaient aux siennes. Et Magali cria son plaisir avant de s'aplatir sur le canapé, l'oeil vitreux et la bave aux lèvres.
*****Plus tard, alors que les deux étalons étaient déjà partis, les maris firent leur apparition, la mine un peu inquiète.
- Alors, c'était comment ? demanda Christian à Françoise, qui sirotait son café en peignoir.
- Pas mal, c'était pas mal.
- Pas mal ? Tu rigoles ou quoi, riposta Magali. Je t'avais jamais vue baiser mais alors dis donc, qu'est-ce que tu es sonore ! Et des oh ! et des ah ! et des hou ! et de uuhh ! et des mmmhhh ! et des argghh ! Si tu n'as pas pris ton panard, alors, qu'est-ce que c'est quand tu le prends !
- Tu ne t'es pas entendue ni vue, répondit sa belle-soeur. Une vraie folle de la bite. Et qu'est-ce que tu peux être vulgaire ! Tu veux que je répète à ton petit mari ce que j'ai entendu ?
Lesdits maris n'avaient pas envie d'en savoir plus. Christian n'avait pas entendu Françoise crier "arrghh" depuis des lustres sous l'effet de sa queue. Il en conclut logiquement qu'elle avait considérablement joui avec un plus jeune que lui et ce n'est jamais bon pour un égo de mâle. Il coupa la conversation :- Bon, les filles, ça va, on a compris. Remerciez-nous plutôt pour le bon moment que vous avez passé. Et à propos, vous nous rendez la pareille un de ces jours ?
Magali et Françoise se regardèrent. Elles se sentirent un peu piégées. Pourquoi refuser à leur conjoint le plaisir de s'envoyer en l'air avec deux escort girls comme elles avec deux escort boys ? Ce fut l'objet d'une discussion animée... mais c'est une autre histoire.
SAMIA
Sans avoir hésité, Samia avait accepté que Jordan, le copain de son fils Rachid, étudiant comme lui, vienne dormir à leur domicile le temps qu'il trouve une autre chambre après avoir quitté la sienne, trop insalubre. Deux hommes à la maison, même de vingt ans, ce n'était pas plus mal pour une mère célibataire au mitan de ses années quadragénaires, obligées de concilier activité professionnelle et travaux domestiques. Au moins, ils se rendraient utiles.
Mais au bout de quelques jours, elle se rendit compte que Jordan se montrait de plus en plus zélé, voire empressé. Elle aurait eu vingt ans de moins qu'elle en aurait conclu qu'il la draguait. Mais c'était une vue de son esprit. Ses rondeurs de femme mûre, ses rides au coin des yeux, rien ne pouvait vraiment séduire un jeune homme aussi bien fait de sa personne, si attrayant auprès des filles de son âge. Elle n'en peignait pas moins avec soin chaque matin ses longs cheveux de jais qui lui valaient souvent des compliments, tant des hommes que des femmes. On ne sait jamais, se disait-elle. Peut-être qu'un jour, un homme voudra me faire la cour et même, pourquoi pas, coucher avec moi. Cela fait si longtemps. Mais un jeune homme de l'âge de mon fils, c'est complètement idiot.
N'empêche qu'un jour, Samia surprit Jordan sortant de la salle de bain complètement nu pour rallier sa chambre. Il s'excusa, mais c'était trop tard. Elle avait vu une saucisse ballotter entre ses cuisses. Elle rougit comme une pivoine en bredouillant n'importe quoi. Elle se précipita dans sa cuisine en respirant un grand coup. Elle avait ressenti dans son bas-ventre quelque chose dont elle avait perdu l'habitude.
Quelque temps plus tard, Rachid fut obligé de s'absenter pour passer un entretien. Jordan était seul avec Samia. Alors qu'elle s'affairait devant son évier, il passa derrière elle et lui mit carrément la main aux fesses. Elle se révolta :- Qu'est-ce que tu fais ! Ote ta main !
Il insista. Le volume capiteux des deux hémisphères le fit bander et il colla sa queue contre les fesses de Samia.
- J'ai envie de te baiser, Samia. Et ça fait longtemps. Laisse-toi faire. Je sais que tu en as envie.
- Non, non, pas ça !
Mais il l'embrassa dans le cou et lui empauma un sein, lourd et ferme. Il la sentit faiblir.
- Il y a combien de temps que tu n'as pas eu de bite ? Tiens, regarde la mienne.
Il baissa son pantalon et exhiba une spectaculaire érection. Il lui prit la main et la porta sur son membre. Samia aurait pu l'arracher à son étreinte, protester, lutter. Elle branla. Ce fut instinctif. Sa main coulissa le long du chibre, en apprécia la dureté, le décalottage parfait. Tout ça pour elle, Samia, 45 ans aux fraises. Quand Jordan lui prit le bas de sa robe pour le faire passer par-dessus sa tête, la découvrant en slip et soutien-gorge, elle ne résista pas. Elle ne résista pas davantage quand il lui dégrafa son soutif et elle l'aida à faire glisser son slip. Quand il la fit asseoir sur la table de la cuisine et quand il se posa face à elle sur une chaise pour déguster sa vulve velue, elle poussa un long gémissement. Depuis combien de temps n'avait-elle pas eu une langue d'homme sur son clitoris ? Et peu importe l'âge de cette langue. Elle était habile. Elle s'y abandonna en se léchant les lèvres, pressant sur sa nuque pour le maintenir en succion. Conscient du plaisir qu'il lui donnait, il s'attarda avant de se relever, le mufle tout barbouillé d'une cyprine sans emploi depuis des lustres.
Il la pénétra debout, sur la table, les yeux dans les yeux. Il baignait dans l'huile, regardait ses gros seins remuer en cadence, rabotait son ante intime en se tordant les hanches. Elle jubilait, l'encourageait, subjuguée par cette jeune bite qui la fouillait dans ses profondeurs. Quand il lui demanda si elle se sentait bien baisée, elle fit oui de la tête avec énergie. C'était ça, elle baisait, et ça lui faisait un bien fou. Et elle avait envie que ça dure.
Quand il marqua une pause, pour contenir son éjaculation, elle le prit par la main et le conduisit dans sa chambre. Elle le fit s'allonger et vint se positionner sur lui. Cette position dominatrice la ravissait. Elle fit aller et venir son cul plantureux en matant son torse parfait, tellement concentrée sur son plaisir qu'elle n'entendit pas la porte s'ouvrir. C'était son fils Rachid qui s'était trompé de rendez-vous et qui avait été alerté par les bruits inhabituels venus de la chambre de sa mère. Lorsqu'il la vit, seins à l'air et croupe mouvante, chevauchant son copain avec ardeur, il ne put réprimer un cri qui fit sursauter les deux amants. Samia tenta tant bien que mal de masquer sa nudité et Jordan son érection mais le doute n'était pas possible : le pote baisait sa mère. Ou l'inverse, ce qui était encore pire. On passe sur les échanges peu amènes qui succédèrent à cette intrusion, et que Samia conclut en mettant son fils à la porte de sa chambre. Mais Jordan avait débandé et Samia dut se rendre à l'évidence d'un coït tronqué. Elle récupéra ses vêtements dans la cuisine, témoignage sulfureux de leur entrée en matière. Mais Rachid n'était quand même pas cocu. Et il finit par admettre que sa mère avait droit au plaisir après une longue pénitence. Jordan rentra dans ses grâces et ce fut le début d'un étrange ménage à trois qui dura le temps que le copain trouve un logement personnel.
Quant à Samia, sa sexualité connut un véritable boom et elle se découvrit un appétit glouton pour la jeunesse. Après Jordan survint un certain Bryan amateur de beurettes pulpeuses, pas farouches et inventives, aimant les bites d'une vingtaine d'années. Mais cette fois, Samia alla chez lui.
C'est un déjeuner familial comme beaucoup d'autres un dimanche. Deux frères flanqués de leur épouse, Magali et Françoise, alertes quinquagénaires au physique différent (la première est menue et tonique, la seconde pulpeuse et voluptueuse) ont lancé la conversation sur l'idéal féminin en évoquant quelques actrices présentes ou passées. En écoutant leur conjoint vanter la plastique de telle ou telle et en allant même jusqu'à prétendre que si elles entraient dans leur lit, elles ne seraient pas déçues du voyage, les deux épouses, se sentant mésestimées, finissent par réagir.
- Et nous alors, vous croyez qu'on n'a pas nos mecs favoris ? Vous croyez que vous y correspondez totalement ? grogne Magali.
- Oui, vous croyez qu'on n'aime pas les pectoraux saillants, les ventres en damier, les fesses en noyaux de pêche et les bites si raides qu'on pourrait s'y suspendre comme à une barre fixe ? éclate Françoise.
Cette dernière saillie (c'est le cas de le dire) fait éclater de rire Magali et sourire jaune les deux maris. Ils prennent soudain conscience que leurs épouses ont aussi leurs fantasmes et qu'ils ne sont plus tout à fait en âge d'y répondre.
- J'en vois certains que s'ils entraient dans mon lit, ils ne seraient pas non plus déçus du voyage, proclame Magali.
- On les essorerait tellement qu'ils n'auraient plus de jus dans la lance pendant un bon moment, abonde Françoise.
- Bon, ça va, on a compris, riposte Christian, le mari de Françoise. N'empêche que si on vous mettait en situation, vous seriez bien embêtées.
- C'est à dire ? répond son épouse.
- Que si on vous procurait deux jeunes gars bien montés, vous auriez les pétoches de ne pas être à la hauteur.
- Alors, chiche. Trouvez-nous deux étalons et on verra, répond Magali à son beau-frère.
Les deux hommes se retrouvèrent piégés. Et en même temps légèrement excités. La situation était inédite. Après tout, si leurs femmes voulaient se faire sauter par deux jeunes, peut-être pourraient-ils en demander autant d'elles. La discussion prit un tour animé. Magali et Françoise s'excitaient de plus en plus à la perspective d'être honorées longuement par deux corps parfaits. Encore fallait-il les trouver. Elles mirent leurs conjoints au défi de le faire.
Deux semaines plus tard, les recherches des deux maris avaient abouti. Un étudiant en éducation physique et un danseur avaient répondu à l'annonce sur internet, selon laquelle deux femmes mûres souhaitaient une "rencontre" avec deux jeunes hommes "en pleine santé" pour "un moment agréable sans complication et moyennant finance". Les deux maris avaient un peu renâclé au tarif des deux escort boys mais ils ne pouvaient plus reculer sous peine de passer pour des dégonflés, à l'encontre de leurs épouses. Et c'est ainsi qu'un gars au physique trapu de gymnaste et un autre long comme une liane firent leur apparition au domicile du couple Christian-Françoise.
Dès l'abord, les deux femmes se sentirent un peu mises devant le fait accompli. Elles aussi se retrouvaient piégées. Un apéritif permit de détendre un peu l'atmosphère, les deux garçons se sentant rassurés par l'adhésion des deux maris. Puis ceux-ci s'éclipsèrent, laissant leurs épouses avec les deux gaillards, lesquels comprirent qu'ils devaient passer à l'acte.
Françoise et Magali avaient adopté l'une et l'autre une mini robe découvrant généreusement leurs cuisses et, pour Françoise, ses deux glorieuses mamelles. Magali ne portait pas de soutif et ses petits seins pointaient avec arrogance sous la toile légère. Quand les deux jeunes hommes se rapprochèrent d'elles sur leur canapé respectif, elles frissonnèrent à l'unisson. Les deux belles-soeurs se rassuraient avec leur présence mutuelle. Elles se laissèrent peloter puis caresser de manière de plus en plus intime. Elles se détendirent. Le compas de leurs cuisses s'ouvrit pour faciliter l'exploration des deux jeunes mâles. L'un d'eux, le gymnaste, prit la main de Magali et la posa sur sa braguette. C'est ce contact manuel qui la fit définitivement basculer. Elle se mit à la tâche de dégager ce pénis dont elle avait déjà pu juger la fermeté et quand il surgit du caleçon, elle poussa une exclamation de surprise. Tout ça pour elle ! Une bite pareille ! Un instinct irrépressible la poussa à avancer sa bouche vers ce gland turgescent et son contact contre sa langue et ses joues lui fit passer une onde de chaleur de ses orteils à la racine des cheveux. Elle était tellement absorbée par sa succion qu'elle ne vit pas que sa belle-soeur était désormais entièrement nue sur l'autre canapé avec le visage du danseur entre ses cuisses dodues, en train de lui prodiguer un cunni qui la faisait roucouler. Quand elle réalisa la scène, Magali comprit qu'il était tant de dévoiler son corps à son tour et advienne que pourra. Mais loin de débander, le gymnaste, déjà bien excité par la succion, la complimenta, la trouva "vraiment bandante" et la prévint qu'il "allait la baiser, là, tout de suite". A elle de choisir sa position.
Elle choisit de s'empaler sur lui en maitrisant la pénétration qu'elle craignait un peu trop envahissante pour son déduit peu habitué à un tel volume. Mais quand il fut totalement engagé, un bien-être inouï l'envahit, autant par le creusement profond que par le spectacle du torse incroyablement musclé de son jeune partenaire. Surtout ne pas le décevoir. Elle virevolta de la croupe, tressauta sur la bite, offrit ses seins à lécher, verbalisa son plaisir avant de se retourner et de tressauter à nouveau, cette fois les pieds au sol. Elle découvrit en même temps sa belle-soeur prise en levrette, seins agités et langue entre les lèvres mais aussi la longue bite du danseur forer l'antre de Françoise de toute sa longueur. Il ondulait comme sur une scène et le spectacle de ce petit cul virevoltant procura à Magali une véritable jouissance visuelle, totalement inattendue. Elle connut un premier orgasme qui lui mit la chair de poule partout. Reconnaissante, elle embrassa son jeune partenaire avec fougue.
Sur l'autre canapé, le couple s'était également désuni. Le danseur informa que dans le contrat, il était précisé un échange. Magali le vit s'avancer vers elle avec sa magistrale érection capotée. Le gymnaste n'avait pas tergiversé et pénétrait déjà Françoise, allongée sur le canapé, un pied sur le dossier. Magali l'imita et accueillit le danseur avec jubilation, se régalant de son torse glabre finement musclé et l'encourageant à coups de talons dans ses reins. Elle croisa le regard de Françoise et y lut le plaisir qu'elle-même prenait. Elles se faisaient copieusement baiser par deux véritables étalons au corps de rêve; elles les matures déjà marquées par les défauts de l'âge, et se montraient bien décidées à profiter de leur chance le plus longtemps possible. Elles compenseraient par leur vice, leur expérience, leur absence de tabous. Au cours des ébats qui suivirent, les deux garçons se firent lécher et doigter le trou du cul, s'entendirent célébrer leur bite en des termes peu racontables et, encore moins habituel, furent invités à entrer entre les fesses des deux dames en des termes encore plus crus. Ils n'en revenaient pas d'avoir hérité de deux coups pareils, qui auraient mérité la gratuité s'ils n'avaient pas déjà été payés.
La sueur ruisselait entre les seins lourds de Françoise quand elle fit gicler verticalement le gymnaste en le chevauchant avec toute l'ardeur de son cul plantureux. Il n'avait pu résister au spectacle de cette juteuse femelle au visage rayonnant qui le baisait en louant sa virilité. Quant au danseur, fiché dans le petit cul de Magali, il fut littéralement essoré par ses circonvolutions fessières qui répondaient aux siennes. Et Magali cria son plaisir avant de s'aplatir sur le canapé, l'oeil vitreux et la bave aux lèvres.
*****Plus tard, alors que les deux étalons étaient déjà partis, les maris firent leur apparition, la mine un peu inquiète.
- Alors, c'était comment ? demanda Christian à Françoise, qui sirotait son café en peignoir.
- Pas mal, c'était pas mal.
- Pas mal ? Tu rigoles ou quoi, riposta Magali. Je t'avais jamais vue baiser mais alors dis donc, qu'est-ce que tu es sonore ! Et des oh ! et des ah ! et des hou ! et de uuhh ! et des mmmhhh ! et des argghh ! Si tu n'as pas pris ton panard, alors, qu'est-ce que c'est quand tu le prends !
- Tu ne t'es pas entendue ni vue, répondit sa belle-soeur. Une vraie folle de la bite. Et qu'est-ce que tu peux être vulgaire ! Tu veux que je répète à ton petit mari ce que j'ai entendu ?
Lesdits maris n'avaient pas envie d'en savoir plus. Christian n'avait pas entendu Françoise crier "arrghh" depuis des lustres sous l'effet de sa queue. Il en conclut logiquement qu'elle avait considérablement joui avec un plus jeune que lui et ce n'est jamais bon pour un égo de mâle. Il coupa la conversation :- Bon, les filles, ça va, on a compris. Remerciez-nous plutôt pour le bon moment que vous avez passé. Et à propos, vous nous rendez la pareille un de ces jours ?
Magali et Françoise se regardèrent. Elles se sentirent un peu piégées. Pourquoi refuser à leur conjoint le plaisir de s'envoyer en l'air avec deux escort girls comme elles avec deux escort boys ? Ce fut l'objet d'une discussion animée... mais c'est une autre histoire.
SAMIA
Sans avoir hésité, Samia avait accepté que Jordan, le copain de son fils Rachid, étudiant comme lui, vienne dormir à leur domicile le temps qu'il trouve une autre chambre après avoir quitté la sienne, trop insalubre. Deux hommes à la maison, même de vingt ans, ce n'était pas plus mal pour une mère célibataire au mitan de ses années quadragénaires, obligées de concilier activité professionnelle et travaux domestiques. Au moins, ils se rendraient utiles.
Mais au bout de quelques jours, elle se rendit compte que Jordan se montrait de plus en plus zélé, voire empressé. Elle aurait eu vingt ans de moins qu'elle en aurait conclu qu'il la draguait. Mais c'était une vue de son esprit. Ses rondeurs de femme mûre, ses rides au coin des yeux, rien ne pouvait vraiment séduire un jeune homme aussi bien fait de sa personne, si attrayant auprès des filles de son âge. Elle n'en peignait pas moins avec soin chaque matin ses longs cheveux de jais qui lui valaient souvent des compliments, tant des hommes que des femmes. On ne sait jamais, se disait-elle. Peut-être qu'un jour, un homme voudra me faire la cour et même, pourquoi pas, coucher avec moi. Cela fait si longtemps. Mais un jeune homme de l'âge de mon fils, c'est complètement idiot.
N'empêche qu'un jour, Samia surprit Jordan sortant de la salle de bain complètement nu pour rallier sa chambre. Il s'excusa, mais c'était trop tard. Elle avait vu une saucisse ballotter entre ses cuisses. Elle rougit comme une pivoine en bredouillant n'importe quoi. Elle se précipita dans sa cuisine en respirant un grand coup. Elle avait ressenti dans son bas-ventre quelque chose dont elle avait perdu l'habitude.
Quelque temps plus tard, Rachid fut obligé de s'absenter pour passer un entretien. Jordan était seul avec Samia. Alors qu'elle s'affairait devant son évier, il passa derrière elle et lui mit carrément la main aux fesses. Elle se révolta :- Qu'est-ce que tu fais ! Ote ta main !
Il insista. Le volume capiteux des deux hémisphères le fit bander et il colla sa queue contre les fesses de Samia.
- J'ai envie de te baiser, Samia. Et ça fait longtemps. Laisse-toi faire. Je sais que tu en as envie.
- Non, non, pas ça !
Mais il l'embrassa dans le cou et lui empauma un sein, lourd et ferme. Il la sentit faiblir.
- Il y a combien de temps que tu n'as pas eu de bite ? Tiens, regarde la mienne.
Il baissa son pantalon et exhiba une spectaculaire érection. Il lui prit la main et la porta sur son membre. Samia aurait pu l'arracher à son étreinte, protester, lutter. Elle branla. Ce fut instinctif. Sa main coulissa le long du chibre, en apprécia la dureté, le décalottage parfait. Tout ça pour elle, Samia, 45 ans aux fraises. Quand Jordan lui prit le bas de sa robe pour le faire passer par-dessus sa tête, la découvrant en slip et soutien-gorge, elle ne résista pas. Elle ne résista pas davantage quand il lui dégrafa son soutif et elle l'aida à faire glisser son slip. Quand il la fit asseoir sur la table de la cuisine et quand il se posa face à elle sur une chaise pour déguster sa vulve velue, elle poussa un long gémissement. Depuis combien de temps n'avait-elle pas eu une langue d'homme sur son clitoris ? Et peu importe l'âge de cette langue. Elle était habile. Elle s'y abandonna en se léchant les lèvres, pressant sur sa nuque pour le maintenir en succion. Conscient du plaisir qu'il lui donnait, il s'attarda avant de se relever, le mufle tout barbouillé d'une cyprine sans emploi depuis des lustres.
Il la pénétra debout, sur la table, les yeux dans les yeux. Il baignait dans l'huile, regardait ses gros seins remuer en cadence, rabotait son ante intime en se tordant les hanches. Elle jubilait, l'encourageait, subjuguée par cette jeune bite qui la fouillait dans ses profondeurs. Quand il lui demanda si elle se sentait bien baisée, elle fit oui de la tête avec énergie. C'était ça, elle baisait, et ça lui faisait un bien fou. Et elle avait envie que ça dure.
Quand il marqua une pause, pour contenir son éjaculation, elle le prit par la main et le conduisit dans sa chambre. Elle le fit s'allonger et vint se positionner sur lui. Cette position dominatrice la ravissait. Elle fit aller et venir son cul plantureux en matant son torse parfait, tellement concentrée sur son plaisir qu'elle n'entendit pas la porte s'ouvrir. C'était son fils Rachid qui s'était trompé de rendez-vous et qui avait été alerté par les bruits inhabituels venus de la chambre de sa mère. Lorsqu'il la vit, seins à l'air et croupe mouvante, chevauchant son copain avec ardeur, il ne put réprimer un cri qui fit sursauter les deux amants. Samia tenta tant bien que mal de masquer sa nudité et Jordan son érection mais le doute n'était pas possible : le pote baisait sa mère. Ou l'inverse, ce qui était encore pire. On passe sur les échanges peu amènes qui succédèrent à cette intrusion, et que Samia conclut en mettant son fils à la porte de sa chambre. Mais Jordan avait débandé et Samia dut se rendre à l'évidence d'un coït tronqué. Elle récupéra ses vêtements dans la cuisine, témoignage sulfureux de leur entrée en matière. Mais Rachid n'était quand même pas cocu. Et il finit par admettre que sa mère avait droit au plaisir après une longue pénitence. Jordan rentra dans ses grâces et ce fut le début d'un étrange ménage à trois qui dura le temps que le copain trouve un logement personnel.
Quant à Samia, sa sexualité connut un véritable boom et elle se découvrit un appétit glouton pour la jeunesse. Après Jordan survint un certain Bryan amateur de beurettes pulpeuses, pas farouches et inventives, aimant les bites d'une vingtaine d'années. Mais cette fois, Samia alla chez lui.
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