Des nouveaux emménagent dans le village

- Par l'auteur HDS linsee -
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Récit libertin : Des nouveaux emménagent dans le village Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Des nouveaux emménagent dans le village
Edouard est un homme, taillé comme une chêne, malgré sa stature impresionnante, c'est un homme bon. Dans le village, il rend service à qui lui en fait la demande, ou même propose ses services gratuitement bien-sûr. Edouard n'a rien d'un adonis, mais il a un charme fou. Souvent les femmes font appelles à lui en prétextant n'importe quoi. Lui pas dupe, ne profite jamais de la situation. Le bougre a un sourire ravageur, malgré qu'il n'est plus de la derniere jeunesse, il plait beaucoup. Ses tempes grisonnantes le rendent encore plus beau. Comme tout être humain, il a des besoins, donc régulièrement, il honore sexuellement quelques veuves ou divorcées, mais sans s'attacher. Comme on dit, il vient en aide à l'humanité, mais malheureusement, cela fait des jaloux. Sa réputation de bon amant à vite fait le tour du village.


Un jour, un couple de personnes d'un âge certain, emménage dans une maison à la sortie du village. Comme Édouard doit passer devant la maison des nouveaux arrivants, pour rejoindre sa demeure, il voit les deux peiner pour rentrer les meubles et les paquets. En bon samaritain, il propose ses services. Le couple accepte et le remercie. La force d'Edouard facilite le transport des objets les plus lourds. Enfin après une belle suée, tout est rentré dans la maison. Comme rien n'est encore rangé, Edouard propose au couple de venir déjeuner chez lui. C'est trés émue que le couple accepte. Edouard bon cuisinier, ravi les papilles de ses invités.
les trois discutent comme de vieux amis, rapidement ils sympathisent. L'homme se prénomme Louis, sa femme Jeanne. Pour son âge la femme a de beaux restes, elle semble encore verte. Une fois le diner terminé, Edouard aide au rangement, le couple n'en revient pas de la bonté de cet homme qui est encore un inconnu pour eux.



Souvent Edouard passe devant chez le couple pour rentrer chez lui. lorsqu'ils sont sur la porte, ils le font entrer pour boire un verre. Au fil des semaines et des mois, ils deviennent de véritables amis. Souvent ils s'invitent, chez l'un chez l'autre, font de petites fêtes amicales. Dans le village, les langues de vipéres poussées par la jalousie, Crachent leurs venins. Les ragots vont bon train, cela perturbe le couple d'ami, Edouard lui, ne prête pas attention aux ragots mensongés.


Les mois passent, Edouard est toujours très sollicité par quelques personnes du village pour faire certains travaux, il ne refuse jamais de donner son aide. Souvent les curieuses ou curieux par de fins sous-entendus, cherchent à lui tirer les vers du nez, ils le questionnent indirectement sur les relations qu'il entretient avec les nouveaux venus. Edouard dit toujours la verité, il leur dit que se sont des amis comme eux, rien de plus. Certaines sont rassurées, mais d'autres froncent les sourcils dubitativement.


C'est l'anniversaire de Jeanne. Le couple invite Edouard, pour vingt heures. Le brave homme s'empresse d'acheter un bouquet de fleur pour Jeanne. Avant le diner, l'apéro coule à flot. le repas est bien arrosé, les esprits s'embrument, les langues se délient. Louis avoue à Édouard qu'il bande mou, Jeanne sursaute en entendant son mari parler de son problême d'érection. Edouard tente de lui remonter le moral comme il peut, mais Louis cherche autre chose et lui dit sans faire de détours :

-Edouard mon ami, je souhaite que tu fasses l'amour à Jeanne, cela fait des années que je bande mou, mes doigts et ma bouche, c'est les seules plaisirs sexuels qu'elle a, je pense qu'il lui faut un vrai acte d'amour, elle le mérite bien ma chérie !


Jeanne reste sans voix, elle regarde son mari et lui dit :

-Mais Louis, tu te rencomptes de ce que tu dis, tu m'offres à Edouard sans mon avoir parlé avant !


Louis regarde sa femme et lui répond tendrement :

-Je sais ma chérie qu'il te plait, je vois comment tu me parles de lui, et surtout comment tu le regardes !


Jeanne est soufflée, elle baisse la tête sans répondre. Louis regarde Edouard et lui répete :

-Tu es dans se village mon meilleur ami Édouard, je te demande de faire l'amour à Jeanne, à moins qu'elle ne te plais pas !


Edouard semble gêné, c'est en béguant qu'il répond :

-Bien-sûr que Jeanne me plait, elle est même très ravissante, mais je ne peux tout de même pas faire l'amour à la femme de mon ami, c'est immoral !



Louis soupire profondément et dit :

-C'est son anniversaire, je veux que ce soit le plus beau jour de sa vie, fait moi plaisir Edouard, fais lui l'amour !



Edourad est un peu perturbé par cette demande étrange, il se pince les lèvres réfléchit un petit instant puis dit en regardant Jeanne et Louis :

-Mais est-ce que Jeanne est consentante pour le faire avec moi !



Jeanne rougit, et c'est en béguant qu'elle répond sans trop se mouiller :

-Si c'est le désir de mon mari, c'est le mien aussi !

Edouard fait une moue et réplique :

-Bon si c'est d'un commun accord, j'accepte !


Les yeux de Jeanne se mettent à pétiller, Louis a le sourire. Louis propose la salle de bain aux futurs amants, honneur aux dames. Jeanne un peu suréxcitée, prend sa douche. Elle en ressort enroulée dans une serviette de bain nouée au dessus de ses seins, qui lui arrive à mi-cuisse. Edouard avant d'entrer dans la salle d'eau, regarde longuement Jeanne, il se dit, c'est vrai qu'elle est encore désirable. Après quelques minutes, il sort de la salle de bain entiérement nu. Jeanne écarquille les yeux, elle regarde le sexe qui pendant sur le bas-ventre de son ami. A chacun de ses pas, sa verge frappe ses cuisses, il faut dire que le membre est proportionnel au corps, rien qu'au repos il de bonne taille. Louis l'invite à le suivre, les trois montent dans la chambre.


Les deux amants se regardent longuement, c'est Louis qui s'impatiente :

-Aller, faites-vous plaisir, ne restez pas planté là comme des piquets !


Timidement jeanne fait tomber son peignoir, en rougissant, elle se cache le sexe avec ses mains. Edouard s'approche d'elle et la prend comme un fétu de paille et la dépose doucement sur le lit. Dès qu'il pose ses mains sur le corps de jeanne, elle pousse un soupir bruyant. Avec douceur, cette force de la nature, commence à lui caresser le corps, ses mains sont moites, elles tremblent un peu, sans doute le stresse du moment. Puis ses mains glissent sur le corps fébrile de Jeanne, en s'approchant de ses lobes mammaires. Louis assit sur une chaise, ne quitte pas des yeux le couple.


les doigts noueux, de cet homme de Neandertal, savent se faire doux, ils enserrent les seins, les malaxent, les pétris sans brusquerie. La douceur des palpations, font gémir Jeanne. Longuement Edouard triture les seins se jeanne, qui au fur des attouchements se rafermissent. Tout en pétrissant, il regarde les mamelons larges et épais, plantés au centre des aréoles grenelées prendre encore du volume. Il les roule entre ses doigts, les presse, les étire, pour stimuler son amante. Jeanne pousse de nombreux soupirs, mais lorsque Edouard pose ses lèvres sur un mamelon, elle pousse un gémissant si fort que son mari sursaute. Edouard change souvent de tèton. Les succions et les aspirations répétées sur ses mamelons la font geindre comme un animal blessé. Louis s'approche et dit :

-Oh comme tu mouilles ma chérie, c'est merveilleux !

Tout en agressant les mamelons de sa bouche, la main d'Edouard descend lentement vers le puits d'amour. Dès qu'elle passe sur le ventre, Jeanne se cabre. Les doigts se son amant, s'enfoncent dans sa toison épaisse, glissent sur sa fente trempée, et s'insérent dans le sillon des grandes lèvres. Ils montent à la recherche de la boule magique, la saisissent délicatement et commencent un doux branlage. Jeanne souffle bruyamment, agite doucement son bassin. les doigts agiles de son amant la font défaillir. Sa chatte est un ru de campagne intarissable. Enfin Edouard délaisse les seins, sa bouche descend sur le corps de Jeanne, en le faisant frémir, le branlage cesse. Chaque parcelle de peau et embrassée ou léchée. Les gémissements de Jeanne augmentent en intensité. Louis a la confirmation que son ami est un bon amant.


La bouche vorace, s'aventure sur le ventre, la langue agile fouille un instant le nombril, puis reprend sa progression vers le temple de l'amour. Plus la bouche s'approche, plus Jeanne écarte les jambes. Quelques baisers bruyants sur le haut de la toison font cabrer Jeanne. Enfin Edouard se place entre les jambes de son amante et sans se poser de question, plaque sa bouche sur la vulve débordante de cyprine. Les aspirations bien contrôlées font geindre Jeanne qui est chaufffée à blanc. La langue qui s'enfonce profondement dans son vagin la fait cabrer comme un cheval fougueux. Chaque recoin est visité, avant que l'intruse ne ressorte du vagin pour s'attaquer au bouton d'amour.


Habilement la langue excite le clito, qui ne cesse de grossir. Enfin Edouard gobe la boule de chair et la suce férocement. Pour Jeanne ce n'est que du bonheur. Elle est sur le point d'exploser. Soudain un grand cri sort Louis de ses réves, Jeanne jouit fortement. La bouche d'Edouard est remplit de cyprine, le bougre ne veut rien perdre, il l'avale en grognant comme un animal. Il se redresse, sa verge et tendue comme un mât. Jeanne regarde le manche impressionnant pas sa grosseur. Son mari lui souffle :

-Suce ma chérie, suce-lui la queue !

Edouard, approche son bassin plus près de la tête de son amante, elle saisit la verge, donne quelques coups de poignet avant d'ouvrir grandement la bouche pour gober le gland énorme. C'est en faisant des gros efforts, que Jeanne suce et tète le membre colossal. Sa bouche fait des merveilles, Edouard geint fortement, en caressant la chevelure de Jeanne. Les succions font des miracles, Edouard en grognant comme un fauve envoie dans la bouche de la suceuse sa semence épaisse. Jeanne sans se poser de questions, avale le sperme au goût suave. Louis est aux anges, Jeanne la femme qu'il redevient femme.

Edouard prend place entre les cuisses de jeanne,il avant doucement son membre vers la fente dégoulinante. Décalotte son gland et le frotte contre les grandes lèvres. Il pousse. les grandes lévres s'écartent et laisse le passage au large gland. Il s'enfonce doucement dans la gaine qu'il distend fortement. Jeanne serre les dents et s'accroche à son amant. Lentement la verge prend place dans le vagin. le fort diamétre du membre fait grimacer Jeanne. Cela faisait de nombreuses années qu'une verge ne lui avait inverti le ventre. Jamais elle n'a été si fortement dilatée, Louis est comme euphorique, il jubile de voir sa femme prendre un bite profondement dans le ventre. Il incite Edouard :

-Baise-la bien profond, vas-y jusqu'aux couilles, Edouard fais jouir ma chérie avec ta grosse bite !

L'homme puissant commence un très lent ramonage, Jeanne s'accroche à lui comme une pieuvre à son rocher. Bien que dilatée extrémement fort, elle agite son bassin en grognant de plaisir. Plus Edouard lui bourre la chatte plus elle gémit. La verge gorgée de sang voyage dans la gaine étroite en faisant un va-et-vient de plus en plus rapide. Les râles de Jeanne ressemblent à ceux d'une agonisante. le gland appuie avec force sur le col de son utérus, cela provoque chez elle de violents frissons. Elle divague en se laissant aller :

-Oui, oui défonce-moi bien mon chéri, donne de bon coups de reins fais moi mal, vas-y je suis ta chienne, ca fait si longtemps que je n'ai pas été baiser, mon corps avec ta bite, va être un feu d'artifice !



Edouard pilonne sans relâche le volcan en plein éruption, soudain Jeanne en donnant de violents coups de reins, hurle :

-Oui, oui, ça vient, regarde Louis comme il me baise bien, oh je vais jouir, oui, oui salaud bourre-moi fort !



C'est en hurlant que Jeanne explose de jouissance. Edouard ne la ménage pas il la défonce comme un soudard, il a compris que Jeanne aime la violentce sexuelle. Il ressort entierement sa verge et la replante avec force le plus profondement possible. Jeanne jouit une seconde fois, elle grogne comme une bête blessée. Enfin Edouard répand en elle sa semence épaisse. Louis semble fou, il dit :

-Prends lui le cul, vas-y encule-la, éclate lui la rondelle à sec, à sec !

Edouard surpris par les parole de Louis, regarde Jeanne, ses yeux sont brillant, son souffle est rapide. Elle opine de la tête comme pour dire oui. Edouard fronce les sourcils, Jeanne opine encore de la tête. Edouard lui pose un gros oreiller sous les reins et lui place les jambes sur ses épaules. Il place son gland englué contre l'anus et appuie. L'anus récalcitrant, refuse l'accés au gland. Edouard se cramponne aux cuisses à hauteur de l'aine de Jeanne et pousse encore plus fort. Jeanne pousse un cri terrible, la bite de son amant s'enfonce dans son rectum en le distendant affreusement. Malgré la douleur, Jeanne dit :

-Vas à fond mon chéri, vas à fond, depuis le temps que j'attendais ça, je ne vais pas me dérober maintenant !

Edouard comprend aussi, que Jeanne est une adepte de la sodomie. Il pousse jusqu'à ce que ses couilles frappent les fesses de la demandeuse. Jeanne grimace fortement, son visage est deformé par une moue affreuse. Le ramonage peut commencer, la cadence augmente au grè de l'enculeur, qui ne ménage pas sa proie. Plus les couops de reins pleuvent plus Jeanne gémit de plaisir. La bite qui lui fore le cul la rend presque hystérique. Elle agite son bassin comme elle peut. Dans un cri monstrueux, elle se cambre et jouit du cul comme il n'est pas possible, il semble qu'elle rattrape le temps perdu. Enfin Edouard lui remplit le cul de son sperme blanchâtre. Il donne encore quelques estocades pui se retire du rectum. Louis se penche pour voir les dégats causés par a bite monstrueuse de son ami. Il caresse le trou béant qui laisse échapper un filet de sperme. Les yeux revulsés de Jeanne regarde la encore tendue, Edouard comprend ce qu'elle veut. Il se met sur le dos, immédiatement, Jeanne l'enjambe et s'empale sur sa queue. Elle le chevauche jusqu'à ce qu'elle jouisse plusieurs fois. Louis médusé ne cesse de dire :


-Oh ma chérie comme tu te baises bien, vas-y encore fait toi jouir encore ma chérie c'est ton anniversaire !

Edouard jouit en grognant comme un fauve. Il bascule Jeanne sur le lit et la démonte avec une force terrible, sa bite entre est ressort du vagin de Jeanne comme un mateau pilon qui bat le fer. Jeanne est au bord de la syncope, une ultime jouissance lui fait demander grâce. Enfin Edouard retire sa bite de la chatte endolorit, il regarde Jeanne et lui dit en souriant.

-Tu es une baiseuse et une jouisseuse exceptionnelle, ton mari peut être fier de toi, Jeanne, je te souhaite un bon anniversaire !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Voilà un anniversaire fêté avec plaisirs !!!
Linsee vous savait écrire coquinement...
Dépassant ou frôlant parfois les limites..
Lolo



Texte coquin : Des nouveaux emménagent dans le village
Histoire sexe : Une rose rouge
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