Des retrouvailles mouvementées
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2014 dans la catégorie Plus on est
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Des retrouvailles mouvementées
C’est arrivé pour les fêtes de pâque, lors d’un voyage en suisse d’où nous revenions isabelle et moi
Un ami, Anthony, qui s’est exilé a l’autre bout du lac Léman sur les hauteurs d’Aigle, nous a prier de venir lui rendre visite, vu que nous passions a cinquante kilomètre de chez lui, nous ne pouvions refuser, et puis je sais qu’isabelle a un petit penchant pour lui, jadis, entre étudiants il y avait eu certaines soirées arrosées et osées, mais sans concrétiser sexuellement
Nous nous somment présentés une bouteille de champagne à la main, ça l’a fait rire car il en avait prévue une au frais, sur ce isabelle lui a rétorqué qu’elle adorait ça et que ce ne serait pas de trop ! Moi je savais que le lendemain elle aurait mal de tête... elle l’à bien eu, mais pas pour les mêmes causes que le champagne…
Après une fondue savoyarde, nous nous sommes retrouvés devant le feu de cheminée sur une grande couverture épaisse en guise de peau de bête ! Seule la lueur de l’âtre éclaire la pièce
Anthony la guitare a la main s’est mis à gratter quelques airs que son amie aimait bien, elle, adossée sur moi, les genoux repliés, sa jupe rabattue sur ses cuisses laissant ainsi son entre jambes profiter de la chaleur du foyer, et nous, jouir de la vue, tout en voilant le ‘principal’, Anthony pris par ses cordes ne cherche même pas a mater, je me surprends à être un peu déçu… et si ???
Ma femme bercée par la musique et la cheminée s’alanguit de plus en plus sur moi, ma main cachée glisse sous la cuisse vers la fourche chauffée à blanc par le feu naturel de son corps et celui de la cheminée, cachée sous la culotte j’y trouve un arrondi formé par deux lèvres encore jointes , isabelle a un long frisson lorsque j’écarte le slip a l’endroit le plus étroit, mes doigts jouent avec la toison bouclée avant de la séparer en deux, la vulve en se décollant émet comme un petit baiser sonore, surprise et craignant qu’Anthony ai entendu, elle resserre les cuisses emprisonnant ma main , mais cela ne dure guère , dés que mon bout de doigt décalotte le clitoris dilaté elle se relâche totalement, la jupe se retrousse encore davantage ,cette fois ses fesses sont visibles par le musicien qui vient surement de s’en apercevoir car ses doigts ont dérapés sur les cordes provoquant un énorme couac !
Les notes deviennent aléatoires, désaccordées, les jambes de ma femme s’ouvrent en parenthèses, une plainte étouffée sort de sa bouche quand mes deux doigts pénètrent le calice gorgé de suc jusqu’à la dernière phalange, désormais, ce sont des clapotis qui accompagne la guitare !
Pas longtemps, car il vient de la poser au sol, a genoux, une main plaquée sur sa braguette, il nous regarde, surpris et indécis, d’un clin d’œil je lui fais signe de participer, isabelle les bras ballant se laisse dégrafer le corsage, après avoir viré le bonnet 90 B elle laisse la main envelopper un sein, elle ne se retient plus de geindre, je la laisse glisser sur la couverture entre nous deux, sans aucune gène elle retire jupe et corsage, nous offrant sa splendide nudité encore protégée par le slip humide a moitié bouffé par la vagin
- Baisez-moi …..
- Cherche nos queues …branle-nous, suce-nous, avale-nous
- Oui-oui-oui-oui- !! tous ce que vous voudrez, mais faites moi jouir !
- Anthony ? à toi l’honneur, retire-lui la culotte et bouffe lui la chatte
- Elle a toujours ces jolis poils blonds …
- Tu l’as baisée en fac ?
- Non, hélas elle ne voulait pas, seulement masturbée …pareil pour elle
- Refaites ça devant moi
- Avec plaisir, vient sur moi Isa
- Oui Anthony, bois mon jus et donne moi le tient, ma main reconnais la grosseur de ta queue !
- Et moi l’étroitesse de ta chatte avec mes doigts !
Un peu à l’écart je regarde la tête de ma femme monter et descendre de plus en plus vite sur la colonne de chair turgescente, son bassin tangue sur le visage d’Anthony, celui-ci a du mal à avaler bruyamment le jus abondant, le surplus coule dans son cou, soudain dans un ensemble parfait les corps se contractent, deux plaintes croissantes annoncent une jouissance non dissimulée, Anthony repousse la chatte loin de sa bouche s’il ne veut pas finir noyé ! Isabelle ce cramponne a la bite qui tressaute entre ses doigts, des filets de foutre épais coulent sur les couilles velues, une fois le flux plus ou moins tari elle se barbouille les joues avec le gland cramoisi
Elle me regarde pour voir ma réaction dans mon regard
- Tu es belle quand tu jouis chérie, je t’aime ! Qu’attends-tu pour te positionner en levrette ?
- Tu me prendras quand ?
- Lorsque que tu seras farcie de foutre dans tous tes trous
- Anthony va me sodomiser ?
- Demande-le-lui ?
- Anthony ???
- Tu peux compter sur moi, je vais faire ce que j’aurais dût faire lorsque nous étions plus jeunes !
- Tu avais envie de moi a ce point là ?
- J’étais très amoureux de toi …
- AHHHHHHH ??
- Ça ne sert a rien de remuer le passé, baisez ensemble maintenant, un point c’est tout, cambre toi bien chérie, montre nous tes trésors
- Comme ça ???
- Salope ! quel cul ! regarde moi ces escalopes ! enfile là sans l’aide des mains Anthony !
Les mains sur les hanches, la queue raide de l’homme ondule, hésitante, autour des deux trous distants de quelques millimètres, le gland se pose finalement sur les lèvres légèrement séparées, il glisse une fois … deux fois … trois fois... et plouf ! Ma femme accuse le coup en hurlant de joie, les testicules s’écrasent sur le clitoris, il reste ainsi tant qu’elle ne manifeste pas le désir de copuler vraiment, elle savoure la grosseur de la bite dans son con, son cul décrit de lents cercles, je sais pour le pratiquer qu’en ce moment, ses muscles vaginaux broient le pénis
- Quelle chienne ! Elle va m’écraser la queue !
- Bourre-moi si tu ne veux pas que je te la rende plate !
Anthony pose brusquement ses deux mains sur les hanches de ma pute
- TIENT ! prends ça ! et encore ça ! et ça, et ça, et ça !!!
- HOOOOOUUUUUUAAAAAA !!! ENCORE ! ENCORE !!
- Pour te faire taire tu va me sucer, avale moi jusqu’aux couilles
- HUUUUMMMMMMMMM !!!!
Le bas ventre de son amant claque bruyamment sur ses fesses, ma queue est automatiquement avalée centimètres par centimètres, jusqu'à ce que les lèvres frottent sur mes poils, une salive abondante et très épaisse enduit ma queue, isabelle est rouge, des larmes coulent de ses yeux fardés, elle souffre, mais ne va pas renoncer devant son copain dont la sueur coule sur son front, il la besogne comme un forcené trop longtemps privé de cette chatte désirée en secret
Ses traits se crispent, il va décharger …Isa doit sentir les prémices car elle tend son cul a son baiseur, je la maintiens par les cheveux pour ne pas éjaculer dehors, je lâche mon foutre dans sa bouche ouverte par l’orgasme tandis que son amant lui en met plein la cramouille
Comblée elle se laisse glisser au sol, sa respiration est saccadée
- Elle est épuisée, nous allons la coucher
- QUOI ? moi épuisée ? et ma double pénétration qui va la faire ?
- Bon-dieu quel tempérament !
- Je vais m’allonger, tu va la prendre par derrière
- Je peux exprimer un fantasme ?
- Dit toujours ?
- J’ai envie d’enfiler une main dans sa choune, tu trouveras bien un moyen de la sodomiser en même temps ?
- Ça peux ce faire … commence à la chauffer, je veux assister a cela, je ne l’ai jamais pratiqué
Isabelle a nouveau en position de levrette, la joue sur la couverture, les mains a plat attend telle une suppliciée consentante, sa chatte baille, des filets de foutre continuent à s’évacuer, les doigts agiles du guitariste commencent à travailler le vagin, les doigts tournent, étirent, s’enfoncent dans ce magma de chair, ma femme geint plus ou moins selon la pression exercée sur ses muscles, le pouce a rejoint les autres doigts, les phalanges sont a la limite du passage , le sang est évacué des lèvres qui blanchissent, la vulve est a la limite du déchirement
- VA-Y !! Enfonce tout maintenant sinon je vais défaillir
Dans un mouvement de poignet la main disparait absorbée par le ventre de mon épouse, il reste immobile afin qu’elle s’habitue a ce corps étranger, Isa, partagée entre rire et larmes, nous certifie qu’elle va jouir
- Encule moi de suite chéri, c’est très fort comme sensation, jamais je n’ai connu ça
- Tu va tenir le coup ?
- Si je m’évanouis vous me réanimerez avec vos queues !
- Allons-y …
J’enjambe le bras d’Anthony fiché dans ma femme et je cherche du bout de ma queue l’anus très resserré a cause de la place occupée par la chatte, néanmoins, bien enduit de coulées blanchâtres, mon gland trouve le chemin du conduit anal, Isa se relâche, les chairs très étirées sont anesthésiées, je m’enfonce lentement dans le rectum sans qu’elle ne ressente de douleur, je sens la main tourner dans le vagin et caresser ma queue a travers la mince cloison, je ne bouge plus , Anthony pistonne la moule de ma femme et me masturbe en même temps, il va nous faire jouir ensembles … surtout que si je ne rêve pas… notre ami cherche mon petit trou avec ses doigts libres, le salaud doigte la femme et le mari !
J’ai honte de l’avouer, mais il me fait du bien … ma queue tressaute dans le cul d’Isa, elle donne des signes de plaisir croissants
- je vais ….. je vais ……JOOOOUUUUUUUIIIIIIIIIRRRRRRRR !!!
- AAAAAAAHHHH ! MOI AUSSI !!!!!
Malgré le poing qui obstrue sa moule, des giclées abondantes fusent des lèvres maltraitées, j’ajoute à cette sauce des litres de sperme ! Antony ôte ses doigts de mon cul, avec précaution, puis, il retire lentement le piston de la chatte qui se libère des restes de liquide sur la couverture
Nous nous somment endormis cotes a cotes devant la cheminée, au petit matin ma femme a été de nouveau baisée par la chatte et le cul avec nos deux bites
Un ami, Anthony, qui s’est exilé a l’autre bout du lac Léman sur les hauteurs d’Aigle, nous a prier de venir lui rendre visite, vu que nous passions a cinquante kilomètre de chez lui, nous ne pouvions refuser, et puis je sais qu’isabelle a un petit penchant pour lui, jadis, entre étudiants il y avait eu certaines soirées arrosées et osées, mais sans concrétiser sexuellement
Nous nous somment présentés une bouteille de champagne à la main, ça l’a fait rire car il en avait prévue une au frais, sur ce isabelle lui a rétorqué qu’elle adorait ça et que ce ne serait pas de trop ! Moi je savais que le lendemain elle aurait mal de tête... elle l’à bien eu, mais pas pour les mêmes causes que le champagne…
Après une fondue savoyarde, nous nous sommes retrouvés devant le feu de cheminée sur une grande couverture épaisse en guise de peau de bête ! Seule la lueur de l’âtre éclaire la pièce
Anthony la guitare a la main s’est mis à gratter quelques airs que son amie aimait bien, elle, adossée sur moi, les genoux repliés, sa jupe rabattue sur ses cuisses laissant ainsi son entre jambes profiter de la chaleur du foyer, et nous, jouir de la vue, tout en voilant le ‘principal’, Anthony pris par ses cordes ne cherche même pas a mater, je me surprends à être un peu déçu… et si ???
Ma femme bercée par la musique et la cheminée s’alanguit de plus en plus sur moi, ma main cachée glisse sous la cuisse vers la fourche chauffée à blanc par le feu naturel de son corps et celui de la cheminée, cachée sous la culotte j’y trouve un arrondi formé par deux lèvres encore jointes , isabelle a un long frisson lorsque j’écarte le slip a l’endroit le plus étroit, mes doigts jouent avec la toison bouclée avant de la séparer en deux, la vulve en se décollant émet comme un petit baiser sonore, surprise et craignant qu’Anthony ai entendu, elle resserre les cuisses emprisonnant ma main , mais cela ne dure guère , dés que mon bout de doigt décalotte le clitoris dilaté elle se relâche totalement, la jupe se retrousse encore davantage ,cette fois ses fesses sont visibles par le musicien qui vient surement de s’en apercevoir car ses doigts ont dérapés sur les cordes provoquant un énorme couac !
Les notes deviennent aléatoires, désaccordées, les jambes de ma femme s’ouvrent en parenthèses, une plainte étouffée sort de sa bouche quand mes deux doigts pénètrent le calice gorgé de suc jusqu’à la dernière phalange, désormais, ce sont des clapotis qui accompagne la guitare !
Pas longtemps, car il vient de la poser au sol, a genoux, une main plaquée sur sa braguette, il nous regarde, surpris et indécis, d’un clin d’œil je lui fais signe de participer, isabelle les bras ballant se laisse dégrafer le corsage, après avoir viré le bonnet 90 B elle laisse la main envelopper un sein, elle ne se retient plus de geindre, je la laisse glisser sur la couverture entre nous deux, sans aucune gène elle retire jupe et corsage, nous offrant sa splendide nudité encore protégée par le slip humide a moitié bouffé par la vagin
- Baisez-moi …..
- Cherche nos queues …branle-nous, suce-nous, avale-nous
- Oui-oui-oui-oui- !! tous ce que vous voudrez, mais faites moi jouir !
- Anthony ? à toi l’honneur, retire-lui la culotte et bouffe lui la chatte
- Elle a toujours ces jolis poils blonds …
- Tu l’as baisée en fac ?
- Non, hélas elle ne voulait pas, seulement masturbée …pareil pour elle
- Refaites ça devant moi
- Avec plaisir, vient sur moi Isa
- Oui Anthony, bois mon jus et donne moi le tient, ma main reconnais la grosseur de ta queue !
- Et moi l’étroitesse de ta chatte avec mes doigts !
Un peu à l’écart je regarde la tête de ma femme monter et descendre de plus en plus vite sur la colonne de chair turgescente, son bassin tangue sur le visage d’Anthony, celui-ci a du mal à avaler bruyamment le jus abondant, le surplus coule dans son cou, soudain dans un ensemble parfait les corps se contractent, deux plaintes croissantes annoncent une jouissance non dissimulée, Anthony repousse la chatte loin de sa bouche s’il ne veut pas finir noyé ! Isabelle ce cramponne a la bite qui tressaute entre ses doigts, des filets de foutre épais coulent sur les couilles velues, une fois le flux plus ou moins tari elle se barbouille les joues avec le gland cramoisi
Elle me regarde pour voir ma réaction dans mon regard
- Tu es belle quand tu jouis chérie, je t’aime ! Qu’attends-tu pour te positionner en levrette ?
- Tu me prendras quand ?
- Lorsque que tu seras farcie de foutre dans tous tes trous
- Anthony va me sodomiser ?
- Demande-le-lui ?
- Anthony ???
- Tu peux compter sur moi, je vais faire ce que j’aurais dût faire lorsque nous étions plus jeunes !
- Tu avais envie de moi a ce point là ?
- J’étais très amoureux de toi …
- AHHHHHHH ??
- Ça ne sert a rien de remuer le passé, baisez ensemble maintenant, un point c’est tout, cambre toi bien chérie, montre nous tes trésors
- Comme ça ???
- Salope ! quel cul ! regarde moi ces escalopes ! enfile là sans l’aide des mains Anthony !
Les mains sur les hanches, la queue raide de l’homme ondule, hésitante, autour des deux trous distants de quelques millimètres, le gland se pose finalement sur les lèvres légèrement séparées, il glisse une fois … deux fois … trois fois... et plouf ! Ma femme accuse le coup en hurlant de joie, les testicules s’écrasent sur le clitoris, il reste ainsi tant qu’elle ne manifeste pas le désir de copuler vraiment, elle savoure la grosseur de la bite dans son con, son cul décrit de lents cercles, je sais pour le pratiquer qu’en ce moment, ses muscles vaginaux broient le pénis
- Quelle chienne ! Elle va m’écraser la queue !
- Bourre-moi si tu ne veux pas que je te la rende plate !
Anthony pose brusquement ses deux mains sur les hanches de ma pute
- TIENT ! prends ça ! et encore ça ! et ça, et ça, et ça !!!
- HOOOOOUUUUUUAAAAAA !!! ENCORE ! ENCORE !!
- Pour te faire taire tu va me sucer, avale moi jusqu’aux couilles
- HUUUUMMMMMMMMM !!!!
Le bas ventre de son amant claque bruyamment sur ses fesses, ma queue est automatiquement avalée centimètres par centimètres, jusqu'à ce que les lèvres frottent sur mes poils, une salive abondante et très épaisse enduit ma queue, isabelle est rouge, des larmes coulent de ses yeux fardés, elle souffre, mais ne va pas renoncer devant son copain dont la sueur coule sur son front, il la besogne comme un forcené trop longtemps privé de cette chatte désirée en secret
Ses traits se crispent, il va décharger …Isa doit sentir les prémices car elle tend son cul a son baiseur, je la maintiens par les cheveux pour ne pas éjaculer dehors, je lâche mon foutre dans sa bouche ouverte par l’orgasme tandis que son amant lui en met plein la cramouille
Comblée elle se laisse glisser au sol, sa respiration est saccadée
- Elle est épuisée, nous allons la coucher
- QUOI ? moi épuisée ? et ma double pénétration qui va la faire ?
- Bon-dieu quel tempérament !
- Je vais m’allonger, tu va la prendre par derrière
- Je peux exprimer un fantasme ?
- Dit toujours ?
- J’ai envie d’enfiler une main dans sa choune, tu trouveras bien un moyen de la sodomiser en même temps ?
- Ça peux ce faire … commence à la chauffer, je veux assister a cela, je ne l’ai jamais pratiqué
Isabelle a nouveau en position de levrette, la joue sur la couverture, les mains a plat attend telle une suppliciée consentante, sa chatte baille, des filets de foutre continuent à s’évacuer, les doigts agiles du guitariste commencent à travailler le vagin, les doigts tournent, étirent, s’enfoncent dans ce magma de chair, ma femme geint plus ou moins selon la pression exercée sur ses muscles, le pouce a rejoint les autres doigts, les phalanges sont a la limite du passage , le sang est évacué des lèvres qui blanchissent, la vulve est a la limite du déchirement
- VA-Y !! Enfonce tout maintenant sinon je vais défaillir
Dans un mouvement de poignet la main disparait absorbée par le ventre de mon épouse, il reste immobile afin qu’elle s’habitue a ce corps étranger, Isa, partagée entre rire et larmes, nous certifie qu’elle va jouir
- Encule moi de suite chéri, c’est très fort comme sensation, jamais je n’ai connu ça
- Tu va tenir le coup ?
- Si je m’évanouis vous me réanimerez avec vos queues !
- Allons-y …
J’enjambe le bras d’Anthony fiché dans ma femme et je cherche du bout de ma queue l’anus très resserré a cause de la place occupée par la chatte, néanmoins, bien enduit de coulées blanchâtres, mon gland trouve le chemin du conduit anal, Isa se relâche, les chairs très étirées sont anesthésiées, je m’enfonce lentement dans le rectum sans qu’elle ne ressente de douleur, je sens la main tourner dans le vagin et caresser ma queue a travers la mince cloison, je ne bouge plus , Anthony pistonne la moule de ma femme et me masturbe en même temps, il va nous faire jouir ensembles … surtout que si je ne rêve pas… notre ami cherche mon petit trou avec ses doigts libres, le salaud doigte la femme et le mari !
J’ai honte de l’avouer, mais il me fait du bien … ma queue tressaute dans le cul d’Isa, elle donne des signes de plaisir croissants
- je vais ….. je vais ……JOOOOUUUUUUUIIIIIIIIIRRRRRRRR !!!
- AAAAAAAHHHH ! MOI AUSSI !!!!!
Malgré le poing qui obstrue sa moule, des giclées abondantes fusent des lèvres maltraitées, j’ajoute à cette sauce des litres de sperme ! Antony ôte ses doigts de mon cul, avec précaution, puis, il retire lentement le piston de la chatte qui se libère des restes de liquide sur la couverture
Nous nous somment endormis cotes a cotes devant la cheminée, au petit matin ma femme a été de nouveau baisée par la chatte et le cul avec nos deux bites
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