Des trains pas comme les autres - histoire érotique

Je viens vous démontrer que le grand réalisateur français n'est pas le seul à monter sur les trains qui marquent l'histoire. Certes, il a voyagé sur plusieurs trains en Afrique mais pas celui que j'ai emprunté un jour de vacances. Ce train !!!! Celui - ci m'a donné une autre dimension dans les aventures. Oui cette aventure, elle est là comme si elle se déroule maintenant avec son lot de souvenirs immuables.
chers lecteurs bonjour et merci de m'accorder ces instants sublimes pour vous raconter la plus belle aventure que je souhaite à tous. Je suis africain venant de la partie ouest où le mystère se confond aux misères et aux aventures qui nous donnent l'espoir et le courage de rester. Cette Afrique qui se caractérise par tout ce que l'humanité peut imaginer jusqu'aux relations amoureuses ou sexuelles.
Voici mon récit à cet effet: un train pas comme les autres.

Pendant les vacances scolaires, tous les élèves et étudiants ont le même désir, passer de beaux moments avec ses amis, frères, sœurs, parents, grands parents, cousins cousines, tantes, oncles que sais je encore...cela, pour se réaliser nécessite un voyage court, moyen, lointain soit par voie aérienne, routière, fluviale ou ferroviaire .C'est cette dernière qui m'a permis de réaliser une aventure hors du commun car cela se passe sans commentaire car j'ai décidé de partir faire mes vacances à kayes comme beaucoup de mes camarades afin de profiter de quelques mois de repos. C'est ainsi que j'ai rencontré une jeune lycéenne de la place originaire de la première région. Elle est charmante possédant une paire de seins en forme de poire au milieu d''une poitrine orgueilleuse, une chute de reins qui ne laisse aucun doute sur ses atouts et enfin deux jambes magnifiques lui permettant d'onduler comme un serpent perdu dans la savane...Elle s'appelle..... (l'histoire est vraie et je garde son nom).. le voyage était prévu pour 19H30mn à la gare de Bamako et c'était vendredi 02 juillet 1999....
Comme prévu j'arrive tôt à la gare histoire de m'installer confortablement, elle aussi était là avec ses accompagnateurs. Nos regards se sont croisé et le silence a résolu le reste puisque nos filles n'aiment pas saluer les premières...
Le hasard faisant bien le destin souvent, nous sommes complétés par des touristes dans notre compartiment qui descendaient tout juste avant KITA, et c'est ainsi qu'une complicité naît entre nous avant notre destination et c'est au sujet des grèves que le débat fut lancé
elle supportait les sorties et moi je défendais le contraire et c'est ainsi que je lui ai parlé des avantages du savoir en lui donnant des exemples sur beaucoup de savants dont Cheick Anta Diop(elle est restée ébahie par mon éloquence et surtout ma méthologie dans le débat car je ne cherchais point à la vexer).
Alors après mon interlocution elle me dit qu'elle a envie de dormir car la nuit se faisait tard et l'air frais venait appuyer sa thèse et c'est sur cet élan que nous décidâmes de clore les débats jusqu'au lendemain peut être ou avant l'arrivée des contrôleurs de billet.
Pour faciliter mon sommeil, j'ai pris une revue sportive que je lisais tranquillement sans me douter du reste. Comme nous sommes seuls dans la cabine pendant environ une heure, elle commence à bouger et se tordre, cherchant le sommeil ou je ne quoi et c'est à ma grande surprise qu'elle vient poser sa tête sur mes jambes et de s'en servir comme oreiller, mon étonnement est si grand que je suis resté inerte sauf mon sexe qui commence à prendre une nouvelle dimension ; la surprise et la gêne étaient totales de mon côtés et elle ne tarde pas à se rencontre compte de l'effet qu'elle me fit, sans un mot, mais le sourire aux lèvres, elle déboutonne son chemisier, sort ses seins de son soutient -gorge, puis elle défait mon Zip et extirpe ma verge tendue comme le bâton d'un berger. Je m’assois et elle s'agenouille. Elle commence à me caresser et elle me prend dans sa bouche. Sa langue lèche mon gland. Elle semble se régaler et moi j'avais la crainte d'être surpris par les contrôleurs qui pouvaient arriver à tout moment, mais cette kayésienne était décidée d'aller au bout de son action. Elle masse mes testicules, mouille ma hampe de sa salive tout en me masturbant. Je ne mets pas longtemps à monter. Quand elle sent que je vais jouir, elle retire ma bite de sa bouche et dirige ma giclée de spermes sur sa poitrine merveilleuse aux milieux de ses deux boites laiteuses (seins).Quand je n'ai plus une seule goutte dans mes couilles à lui offrir, elle étale mon sperme sur ses seins. Elle rajuste son soutien gorge sur sa poitrine mouillée de mon plaisir, puis elle file dans les toilettes du train....
Quand elle revient j'ai pris déjà un pas vers le sommeil tout en rêvant de cette diablesse avec qui je venais de vivre l'aventure mystérieuse de ma vie.
Le matin, c'est à dire vers 05heures, elle me confessa qu'elle a appris cette pratique à Abidjan avec une de ses cousines en regardant les films pornos ou en lisant des revues érotiques qui était plus âgée qu'elle..