Des triplées puis leur tante dévergondent un puceau. 7
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2021 dans la catégorie Plus on est
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Des triplées puis leur tante dévergondent un puceau. 7
Des triplées puis leur tante dévergondent un puceau. 7
Elle devient chienne tant la scène est bonne, mais Julien n’en a cure et d’un coup, sans préambule ni avertissement, l’empale de son mastodonte jusqu’aux couilles.
-Aaaahhhh arghhh, tu me fais mal!!! Hurle Jade, les larmes aux yeux.
Quand elle commence enfin à ressentir du plaisir, il sort son énorme queue, se déplace sur la gauche et la rentre dans la chatte de Lucie, plus fort encore, et recommence la même opération, encore et encore. Lucie crie aussi sa souffrance mais après quelques minutes quand elle commence à ressentir elle aussi des ondes de plaisir l’envahir, il la défonce, tirant sa tête par les cheveux et elle en redemande pourtant.
-Vous aimez ça hein, pas une pour rattraper l’autre, dis que t’aime ça, salope!
-Oui, j’aime ça, comme mes sœurs, comme ma mère ! On aime toutes ton défonce-cul, ooouuuiii !!!
Suite : Elle essaie de se retenir, espérant que sa jouissance sera plus forte si elle attendait un peu plus mais son corps en décide autrement. Elle jouit sans arrêt. A ce rythme, elle est sur le point de s'évanouir à force de jouir. Julien sort de son anus, se déporte une nouvelle fois à gauche et replonge son dard si épais dans le vagin d’Aude. Sa chatte est tellement ouverte qu'elle l'avale comme un rien. Julien se penche, prend sa jeune poitrine en mains et la malaxe. Très vite il change de cible, Aude se laisse aller pour permettre à Julien de la sodomiser elle aussi. Il entre lentement dans son anus lui aussi béant par le gode qu’elle vient de retirer. Une queue normale aurait été avalée facilement mais celle de Julien ne l’est pas. Il halète de plus en plus fort, Aude serre les dents en gémissant, les yeux fermés. Elle sent glisser en elle ce manche de pioche, c’est loin d’être agréable au début mais en apprécie plus vite que ses sœurs les plaisirs. Enfin la tension se relâche dans un soubresaut de ses reins et atteint elle aussi l’orgasme en quelques minutes.
Sa chatte est trempée de sa cyprine qui n'arrête pas de couler quand il la prévient qu'il est sur le point de gicler. Il l’attire à lui, collant son torse dans le dos de la fille, s’y arc-boute tandis que son phallus dégorge dans les boyaux, par à-coups, la laitance tant attendue.
A chaque sursaut de ce membre qui expulse sa semence, une plainte rauque s’échappe de sa gorge, un long râle qui exprime autant la jouissance ultime que le désespoir d’en finir de cette triple chevauchée… Mais quand enfin il se retire de ce troisième cul, il constate horrifié que malgré sa fatigue et ses deux éjaculations, sa verge toujours étranglée à sa base ne débande toujours pas.
-Bien, bien les filles, approuve Sylvie, vous avez assuré. Par contre Julien, je suis sûre que tu as encore quelques réserves. Un petit nettoyage de ta teub qui a trainée dans des endroits pas très propres et avec un peu de persévérance, on va retourner au rabe. Couche-toi sur le lit et laisse-nous œuvrer…
Il se laisse faire, sa verge passe de bouche en bouche, de mains en mains. Huit bras explorent tout son corps. Sa verge a finit par reprendre sa consistance optimale. Au bout d’un temps infini pour lui, il explose à nouveau sans même les prévenir. Les filles croient rêver en admirant l'épaisseur des jets qu'il envoie encore. Il se tarit enfin, des bouches sont repues de sperme, il en coule aussi sur des seins. Sylvie se précipite pour finir de lui vider les burnes et le lèche comme une chienne jusqu’à la dernière goutte.
Le timide Julien prend de plus en plus d’assurance, n’hésite plus maintenant à prendre part aux conversations. En quelques mois, une bouche, puis trois sont monté à l’assaut de son obélisque. Son braquemart a ensuite fait de la plongée sous-marine dans des cavernes inondées de cyprine. Son bâton crémeux a enfin exploré des grottes sombres et étroites dont il a élargit le passage. Ella, sa sœur, est agréablement surprise du changement de comportement de Julien, de l’assurance qu’il à prise et se félicite d’avoir demandé à ses logeuses de l’accueillir sous leur toit. Même en cours, Julien ose participer et ne plus ressembler à « Caliméro ». Il ose même discuter avec les filles et Ella est même surprise qu’il ne se fasse pas éjecter par ces pimbêches qui ne pensent que par leur cul et ne font que critiquer les autres.
Mais comme souvent, les accidents arrivent sur des trajets connus par cœur, on devient imprudent, on prend de plus en plus de risque et on se fait surprendre au coin de la rue par un stop pas suffisamment marqué par une autre voiture et il y a de la tôle froissée.
Sylvie et les triplées sont de plus en plus imprudentes et plusieurs fois déjà, Ella a été à deux doigts de voir l’une ou l’autre mettre la main sur une bosse qui déforme le pantalon de son frère, ou même le sexe à l’air quand il n’est pas dans une bouche accueillante.
Un jour de fornication réunissant la tante et les triplées autour de Julien au salon, car Ella est censée avoir un rendez-vous à l’extérieur et ne pas revenir avant plusieurs heures, se produit le drame… Ella est furax car elle a poirotée pour rien. Il faudra qu’elle reprenne un autre rendez-vous. Elle rentre donc à la maison de Sylvie.
Quand elle en franchi la porte, Ella entend aussitôt des bruits au salon, il y a plusieurs personnes, des voix féminines qui gloussent et même de petits gémissements. Que se passe-t-il ? Qui est malade ?
Elle ferme la porte et se dirige vers le salon et là, stupeur… Les triplées et leur tante, toutes aussi nues l’une que l’autre, s’acharnent sur un homme-plutôt un jeune homme- vu ce qu’elle peut apercevoir car une des filles, à cheval sur le visage du garçon, lui cache son visage pendant que la mère fait du rodéo sur une verge massive à ce qu’Ella entraperçoit. Les deux autres filles se faisant explorer la chatte avec chacune une main du garçon. Elle n’aurait pas cru les triplées aussi dévergondées, et la tante, au lieu de les réprimander, partage avec elles cette « bite de poney ».
Ce n’est pas qu’Ella soit une fille prude, mais elle ne voudrait jamais partager son petit copain avec une autre, encore moins avec plusieurs filles. Elle admire quand même ce garçon pour satisfaire ces quatre furies.
-On change ! Ordonne Sylvie.
Ella va enfin voir le visage du garçon et est horrifiée quand elle reconnait son frère Julien. Il la voit aussi. Ce n’est pas possible !!! Elle s’enfuit dans sa chambre, complètement effondrée par ce qu’elle vient de voir. Soudain, on frappe à sa porte, elle ne répond pas mais quelqu’un entre, c’est Julien… Il est torse nu, seulement vêtu d’un caleçon qui n’arrive pas à cacher une protubérance encore bien visible.
-Ella, ce n’est pas ce que tu crois, je…-Arrête de me prendre pour une conne, Julien, j’en ai vu assez ! Je commence à comprendre ton changement de comportement. Mais ça fait combien de mois que tu sautes ces quatre putes ?
Dès demain, on déménage de cette maison de folles. Et tu n’a pas intérêt à t’y opposer sinon je raconte tout aux parents !
Ainsi fut fait. Sylvie et les triplées ont tout fait pour faire changer d’avis à Ella, allant même jusqu’à lui proposer de se joindre à elles. Ella est encore plus choquée par cette proposition d’inceste avec son frère.
Julien et Ella sont partis, elle a rompu tout contact avec les triplées. Mais Julien sait qu’il a vécu quelque chose de formidable qui n’arrive pratiquement jamais dans la vie d’un homme. En secret de sa sœur, il continue une relation privilégiée avec ces quatre femmes, ne pouvant plus se passer de son harem. Il sait que ça relève de l’utopie, une relation pareille, et que ça ne peut pas durer éternellement… mais qui sait ? Tant que ça ira, pourquoi s’en priver ?
De son coté, Ella, dans ses rêves, et même parfois quand elle fait l’amour avec son petit copain, ne peut plus s’ôter de la tête la vision de l’énorme chibre de son frère déformant la chatte de Sylvie. Elle en a honte mais parfois seule dans son lit, elle se donne du plaisir avec une main qui s’active dans sa chatte en revoyant encore et encore la scène… Quel effet ça fait de se faire prendre par un tel chibre ??? En connaitra-t-elle jamais un de semblable ???
Ps : Si vous voulez voir de quoi est capable Julien, lisez : « Le gourdin de tonton » du même auteur et vous y trouverez comment visionner une vidéo très explicite sur les performances éjaculatoires dont s’inspire l’auteur. Et si vous réfléchissez un peu en approfondissant votre recherche, vous découvrirez que……
Elle devient chienne tant la scène est bonne, mais Julien n’en a cure et d’un coup, sans préambule ni avertissement, l’empale de son mastodonte jusqu’aux couilles.
-Aaaahhhh arghhh, tu me fais mal!!! Hurle Jade, les larmes aux yeux.
Quand elle commence enfin à ressentir du plaisir, il sort son énorme queue, se déplace sur la gauche et la rentre dans la chatte de Lucie, plus fort encore, et recommence la même opération, encore et encore. Lucie crie aussi sa souffrance mais après quelques minutes quand elle commence à ressentir elle aussi des ondes de plaisir l’envahir, il la défonce, tirant sa tête par les cheveux et elle en redemande pourtant.
-Vous aimez ça hein, pas une pour rattraper l’autre, dis que t’aime ça, salope!
-Oui, j’aime ça, comme mes sœurs, comme ma mère ! On aime toutes ton défonce-cul, ooouuuiii !!!
Suite : Elle essaie de se retenir, espérant que sa jouissance sera plus forte si elle attendait un peu plus mais son corps en décide autrement. Elle jouit sans arrêt. A ce rythme, elle est sur le point de s'évanouir à force de jouir. Julien sort de son anus, se déporte une nouvelle fois à gauche et replonge son dard si épais dans le vagin d’Aude. Sa chatte est tellement ouverte qu'elle l'avale comme un rien. Julien se penche, prend sa jeune poitrine en mains et la malaxe. Très vite il change de cible, Aude se laisse aller pour permettre à Julien de la sodomiser elle aussi. Il entre lentement dans son anus lui aussi béant par le gode qu’elle vient de retirer. Une queue normale aurait été avalée facilement mais celle de Julien ne l’est pas. Il halète de plus en plus fort, Aude serre les dents en gémissant, les yeux fermés. Elle sent glisser en elle ce manche de pioche, c’est loin d’être agréable au début mais en apprécie plus vite que ses sœurs les plaisirs. Enfin la tension se relâche dans un soubresaut de ses reins et atteint elle aussi l’orgasme en quelques minutes.
Sa chatte est trempée de sa cyprine qui n'arrête pas de couler quand il la prévient qu'il est sur le point de gicler. Il l’attire à lui, collant son torse dans le dos de la fille, s’y arc-boute tandis que son phallus dégorge dans les boyaux, par à-coups, la laitance tant attendue.
A chaque sursaut de ce membre qui expulse sa semence, une plainte rauque s’échappe de sa gorge, un long râle qui exprime autant la jouissance ultime que le désespoir d’en finir de cette triple chevauchée… Mais quand enfin il se retire de ce troisième cul, il constate horrifié que malgré sa fatigue et ses deux éjaculations, sa verge toujours étranglée à sa base ne débande toujours pas.
-Bien, bien les filles, approuve Sylvie, vous avez assuré. Par contre Julien, je suis sûre que tu as encore quelques réserves. Un petit nettoyage de ta teub qui a trainée dans des endroits pas très propres et avec un peu de persévérance, on va retourner au rabe. Couche-toi sur le lit et laisse-nous œuvrer…
Il se laisse faire, sa verge passe de bouche en bouche, de mains en mains. Huit bras explorent tout son corps. Sa verge a finit par reprendre sa consistance optimale. Au bout d’un temps infini pour lui, il explose à nouveau sans même les prévenir. Les filles croient rêver en admirant l'épaisseur des jets qu'il envoie encore. Il se tarit enfin, des bouches sont repues de sperme, il en coule aussi sur des seins. Sylvie se précipite pour finir de lui vider les burnes et le lèche comme une chienne jusqu’à la dernière goutte.
Le timide Julien prend de plus en plus d’assurance, n’hésite plus maintenant à prendre part aux conversations. En quelques mois, une bouche, puis trois sont monté à l’assaut de son obélisque. Son braquemart a ensuite fait de la plongée sous-marine dans des cavernes inondées de cyprine. Son bâton crémeux a enfin exploré des grottes sombres et étroites dont il a élargit le passage. Ella, sa sœur, est agréablement surprise du changement de comportement de Julien, de l’assurance qu’il à prise et se félicite d’avoir demandé à ses logeuses de l’accueillir sous leur toit. Même en cours, Julien ose participer et ne plus ressembler à « Caliméro ». Il ose même discuter avec les filles et Ella est même surprise qu’il ne se fasse pas éjecter par ces pimbêches qui ne pensent que par leur cul et ne font que critiquer les autres.
Mais comme souvent, les accidents arrivent sur des trajets connus par cœur, on devient imprudent, on prend de plus en plus de risque et on se fait surprendre au coin de la rue par un stop pas suffisamment marqué par une autre voiture et il y a de la tôle froissée.
Sylvie et les triplées sont de plus en plus imprudentes et plusieurs fois déjà, Ella a été à deux doigts de voir l’une ou l’autre mettre la main sur une bosse qui déforme le pantalon de son frère, ou même le sexe à l’air quand il n’est pas dans une bouche accueillante.
Un jour de fornication réunissant la tante et les triplées autour de Julien au salon, car Ella est censée avoir un rendez-vous à l’extérieur et ne pas revenir avant plusieurs heures, se produit le drame… Ella est furax car elle a poirotée pour rien. Il faudra qu’elle reprenne un autre rendez-vous. Elle rentre donc à la maison de Sylvie.
Quand elle en franchi la porte, Ella entend aussitôt des bruits au salon, il y a plusieurs personnes, des voix féminines qui gloussent et même de petits gémissements. Que se passe-t-il ? Qui est malade ?
Elle ferme la porte et se dirige vers le salon et là, stupeur… Les triplées et leur tante, toutes aussi nues l’une que l’autre, s’acharnent sur un homme-plutôt un jeune homme- vu ce qu’elle peut apercevoir car une des filles, à cheval sur le visage du garçon, lui cache son visage pendant que la mère fait du rodéo sur une verge massive à ce qu’Ella entraperçoit. Les deux autres filles se faisant explorer la chatte avec chacune une main du garçon. Elle n’aurait pas cru les triplées aussi dévergondées, et la tante, au lieu de les réprimander, partage avec elles cette « bite de poney ».
Ce n’est pas qu’Ella soit une fille prude, mais elle ne voudrait jamais partager son petit copain avec une autre, encore moins avec plusieurs filles. Elle admire quand même ce garçon pour satisfaire ces quatre furies.
-On change ! Ordonne Sylvie.
Ella va enfin voir le visage du garçon et est horrifiée quand elle reconnait son frère Julien. Il la voit aussi. Ce n’est pas possible !!! Elle s’enfuit dans sa chambre, complètement effondrée par ce qu’elle vient de voir. Soudain, on frappe à sa porte, elle ne répond pas mais quelqu’un entre, c’est Julien… Il est torse nu, seulement vêtu d’un caleçon qui n’arrive pas à cacher une protubérance encore bien visible.
-Ella, ce n’est pas ce que tu crois, je…-Arrête de me prendre pour une conne, Julien, j’en ai vu assez ! Je commence à comprendre ton changement de comportement. Mais ça fait combien de mois que tu sautes ces quatre putes ?
Dès demain, on déménage de cette maison de folles. Et tu n’a pas intérêt à t’y opposer sinon je raconte tout aux parents !
Ainsi fut fait. Sylvie et les triplées ont tout fait pour faire changer d’avis à Ella, allant même jusqu’à lui proposer de se joindre à elles. Ella est encore plus choquée par cette proposition d’inceste avec son frère.
Julien et Ella sont partis, elle a rompu tout contact avec les triplées. Mais Julien sait qu’il a vécu quelque chose de formidable qui n’arrive pratiquement jamais dans la vie d’un homme. En secret de sa sœur, il continue une relation privilégiée avec ces quatre femmes, ne pouvant plus se passer de son harem. Il sait que ça relève de l’utopie, une relation pareille, et que ça ne peut pas durer éternellement… mais qui sait ? Tant que ça ira, pourquoi s’en priver ?
De son coté, Ella, dans ses rêves, et même parfois quand elle fait l’amour avec son petit copain, ne peut plus s’ôter de la tête la vision de l’énorme chibre de son frère déformant la chatte de Sylvie. Elle en a honte mais parfois seule dans son lit, elle se donne du plaisir avec une main qui s’active dans sa chatte en revoyant encore et encore la scène… Quel effet ça fait de se faire prendre par un tel chibre ??? En connaitra-t-elle jamais un de semblable ???
Ps : Si vous voulez voir de quoi est capable Julien, lisez : « Le gourdin de tonton » du même auteur et vous y trouverez comment visionner une vidéo très explicite sur les performances éjaculatoires dont s’inspire l’auteur. Et si vous réfléchissez un peu en approfondissant votre recherche, vous découvrirez que……
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