Des vacances coquines partie 1

Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Des vacances coquines partie 1
Un de ses anciens chefs avait proposé à Nathalie de nous prêter un appartement qu’il avait à Lorient dans le Morbihan.
Quand ils travaillaient ensemble, il lui avait fait des avances qu’elle avait toujours refusées, mais, malgré cela, ils s’entendaient assez bien et ont gardé contact après son départ.
Il revenait de temps en temps à son ancien boulot pour voir ses anciens collègues et parfois ils allaient boire un verre ou déjeuner vite fait ensemble le midi.
Il continuait encore à lui faire des avances auxquelles elle ne répondait toujours pas.
Un jour ou ils n’étaient plus que tous les deux, en parlant de vacances, il lui a dit :
« Si ça t’intéresse, j’ai un appartement à Lorient près de la mer que je peux te prêter à toi et ton mari. »
« S tu veux, pourquoi pas ça peut nous convenir, on aime bien le secteur, c’est assez sympa. Mais il serait libre quand ?»
« Quand ça vous dit, j’ai arrêté de le louer, trop de dégâts à chaque fois, les gens ne respectent rien. »
« Et tu nous le louerais combien ? »
« Pour toi, rien, mais il faudra que tu sois gentille avec moi. »
« Heuuu… gentille comment ? »
« Tu ne devines pas ? »
« Si, je crois que j’ai compris, en fait tu me baises et tu me prêtes ton appart, c’est ça ? »
« Oui. »
Un grand silence de plusieurs secondes s’est écoulé, puis elle lui a dit :
« Ok. »
« C’est vrai, t’es OK ? »
« Oui, mais juste une fois. »
« Non, une fois avant, quand je te donne les clés et une fois après quand tu me les rends. »
Elle a pris le temps de réfléchir, il n’était pas moche, assez sympa, alors pourquoi pas, et lui a dit :
« Quand je viens chercher les clés, je te fais une pipe et quand je te les ramène tu me baises. »
« Marché conclu, tu pars quand là-bas ? »
« Je ne sais pas encore, il faut que je voie avec mon mari s’il peut prendre des vacances. »
« J’ai hâte que tu partes, mais aussi que tu reviennes. »
Bien évidemment, elle m’avait mis au courant de son deal.
Nous étions deux semaines avant nos vacances et je venais d’annoncer à Nathalie que je devais décaler notre départ du vendredi au lundi car j’avais un impératif à mon boulot qui m’obligeait à travailler ce week-end-là.
« Si tu veux, on prend un billet de TGV et tu pars quand même le vendredi. Moi, je te rejoindrai avec la voiture le lundi dans la journée. »
« Oui, je pense que ce serait mieux, quitte à être seule, au moins que ce soit au bord de la mer, je pourrais mieux en profiter. »
Deux jours plus tard, nous avons reçu la visite impromptue de Christophe (Cf : Soirée foot), il passait comme ça, enfin presque, souvent à l’improviste.
La plupart du temps, il venait en espérant pouvoir se vider les couilles, car nous faisions souvent des trios ensemble.
Il arrivait même qu’il vienne quand j’étais en déplacement et dans ce cas, ce n’était plus un trio mais un duo.
Nous avions fini de dîner et nous allions prendre un café.
Malheureusement pour lui, Nathalie était dans sa période de règles, il allait donc faire chou blanc ce soir.
Nous avons discuté de choses et d’autres et, Nathalie, voyant qu’il pensait finir la soirée plus chaudement, lui a fait comprendre qu’elle n’était pas dans la bonne période pour ce genre de plaisirs.
Il était bien sûr déçu, mais devait être sacrément en manque car il lui a dit :
« Rien ne t’empêche de nous sucer. »
« Et moi je me tape sur le ventre, vous aurez du plaisir et pas moi. »
« Ce ne serait pas la première fois, qu’est-ce que tu en penses ? » Dit-il en m’interrogeant.
« C’est elle qui décide. »
« Bon allez, ça va, venez là, je vais m’occuper de vous. »
Pas mécontent de son invitation, nous nous sommes approchés d’elle en nous déshabillant.
« Putain, avec vous c’est sitôt dit, sitôt fait et en plus vous bandais déjà. »
Elle a pris nos queues dans chacune de ses mains pour nous branler, avant de nous engloutir chacun notre tour.
Elle était assise sur le canapé, nous étions debout face à elle et elle nous suçait l’un après l’autre, parfois ensemble.
Sa langue virevoltait d’une verge à l’autre, ses doigts agiles couraient sur nos hampes et allaient titiller nos glands.
Même si elle savait que nous ne pouvions pas lui donner de plaisir, elle nous suçait toujours avec la même avidité, n’aspirant qu’à une chose, nous faire jouir dans sa bouche.
Après environ quinze minutes de fellation torride, Christophe lui a attrapé la tête pour la coller contre son pubis en lui disant :
« Tiens avale ça salope, je sais que tu adores mon foutre, sale chienne. »
Il s’est déversé dans sa gorge et, alors qu’elle avait à peine fini d’avaler, j’ai à mon tour attrapé sa tête pour me vider au même endroit que lui.
Elle nous a léché, nettoyé, jusqu’à ce que plus rien ne sorte lorsqu’elle pressait nos queues.
« Tu suces toujours aussi merveilleusement bien. »
« Merci. »
Nous nous sommes rhabillés et sommes allés nous asseoir de chaque côté d’elle.
« Vous voulez un café ? »
Nous avons répondu par l’affirmatif et j’ai ajouté qu’après j’irai me coucher car je dois me lever tôt le lendemain.
Christophe est resté un peu après que je sois parti au lit et ils ont continué à discuter.
Nathalie lui a expliqué qu’elle allait certainement partir avant moi en vacances.
« Tu pars quand ? »
« Il faut que je prenne un billet de TGV pour le vendredi dans une semaine et demie. »
« C’est dommage, moi je pars le dimanche, avec un pote, pour Brest, on aurait pu voyager ensemble. »
Puis il s’est ravisé en disant :
« J’ai une idée, je prends un billet en même temps que toi, comme ça on sera le week-end ensemble. Le dimanche mon pote fait un détour et passe me prendre, comme ça il te reste juste une nuit seule avant que ton mec te rejoigne. »
« Oui, ça peut être une bonne idée, sauf que, je ne vais pas le dire avant à mon homme, car s’il sait que je suis seule avec toi, il va se douter qu’on ne va pas seulement se regarder dans le blanc des yeux et ça risque de le perturber dans son boulot. Je lui dirai quand il m’aura retrouvée. »
« Cool je réserve pour nous deux demain. J’ai hâte. Qu’est-ce que tu vas prendre ma belle, je vais te démonter tout le week-end. »
Elle lui a fait un grand sourire, sachant que c’était certainement la vérité, car Christophe était un bon coup, endurant et qui pouvait remettre ça plusieurs fois dans la nuit, ce qui n’était pas pour lui déplaire.
Puis il lui a dit :
« Regarde, rien qu’à l’imaginer je bande encore. »
Alors elle s’est penchée vers son entrejambe pour déboutonner son pantalon et en extraire la queue qui était de nouveau dressée pour elle et la sucer goulûment.
Quinze minutes plus tard, elle avalait de nouveau les giclées de sperme qu’il lui éjaculait dans la bouche.
La veille du départ, Nathalie est allée chez son ancien collègue pour récupérer les clés.
Il devait attendre ce moment avec impatience, car, quand elle est arrivée, il était tout pimpant, bien sapé et sentait bon le parfum.
« Tu veux boire un verre ? »
« Oui si tu veux. »
« J’ai du champagne, ça te va ? »
« Oui c’est parfait. »
Ils se sont installés, lui sur un fauteuil et elle sur le canapé en face.
L’ambiance était un peu tendue car ils savaient tous les deux ce qui allait se passer mais aucun ne savait comment commencer.
A un moment, il s’est levé pour aller dans la cuisine, puis est revenu avec un trousseau de clés qu’il a posé sur la table du salon.
« Tiens, voici ma part du marché. » Dit-il avec un large sourire.
La balle étant maintenant dans son camp, elle lui a répondu :
« Tu veux que je te suce où ? »
« Là, dans le fauteuil, si tu es d’accord. »
« OK, ça me va. »
Elle a fini sa coupe de champagne d’une traite, puis s’est levée pour se diriger vers lui et s’est agenouillée pour commencer à dégrafer son pantalon.
« Attends, …, je peux voir tes seins ? J’en meurs d’envie depuis si longtemps. »
« Ce n’est pas dans le contrat ça ? »
« Oui, je sais, mais… »
Elle s’est dit que de toute façon au retour, ils avaient prévu de baiser et donc il pourrait les voir et les toucher à ce moment-là.
Alors après un court moment d’hésitation, elle a retiré son tee-shirt moulant, libérant son énorme poitrine.
« Whaaaaaaa, ils sont magnifiques, splendides. Je… whaaaa…, j’ai l’impression d’être dans un rêve. »
Il a avancé ses mains pour les caresser.
« Viens là que je t’embrasse. »
Elle s’est exécutée et a commencé à déboutonner son pantalon pendant qu’ils mélangeaient leurs langues, pour sortir son sexe qui était déjà bien raide.
Elle a ensuite quitté sa bouche pour aller prendre sa queue et commencer à la sucer goulûment.
Elle le branlait d’une main pendant qu’elle avalait sa bite et qu’elle titillait son gland avec la langue.
Il bandait bien fort et était tout excité.
Nathalie, elle aussi, appréciait la fellation qu’elle lui prodiguait, elle le regardait de temps en temps, alors qu’elle passait sa langue sur son gland ou le long de sa hampe, avec un air très salope.
Il lui caressait la tête pendant qu’elle l’engloutissait.
« Doucement, je ne veux pas jouir trop vite, c’est tellement bon que je ne voudrais pas que ça s’arrête. »
Une vingtaine de minutes plus tard, il n’a pu se retenir et lui a éjaculé sur la poitrine et le visage.
Nathalie m’avait dit qu’un copain allait la déposer à Montparnasse car moi, je ne pouvais pas l’y emmener à cause de mon boulot.
Ils se sont retrouvés sur le quai puis sont montés dans le TGV pour s’installer l’un à côté de l’autre.
Pendant le trajet, qui a duré plusieurs heures, il la caressait de temps à autre discrètement et elle en faisait de même en frottant sa main sur son sexe pour vérifier s’il bandait.
Il lui a dit à l’oreille :
« Salope, ça fait déjà trois heures que j’ai la gaule, je n’ai qu’une envie, c’est de te baiser, tu vas prendre cher en arrivant à l’appart. »
« Hummmm, j’ai hâte de la sentir. »
La proximité des autres voyageurs les empêchait d’être trop démonstratifs, il fallait qu’il patiente, même si elle aurait aimé le sucer dans le TGV.
A peine la porte de l’appartement franchie, il a posé les sacs puis a poussé Nathalie sur le canapé pour qu’elle s’assoie.
Il est ensuite venu face à elle en faisant tomber son pantalon à ses pieds pour lui enfourner sa queue bien raide dans la bouche.
Elle ne s’est pas fait prier pour l’avaler et a commencé une fellation torride.
Au bout d’une dizaine de minutes, il l’a faite se relever, l’a déshabillée, l’a mise à genoux sur le canapé pour venir se caler contre ses fesses et la pénétrer sauvagement en la gratifiant de grands coups de rein.
C’était bestial, très chaud et ça a été très rapide, en dix minutes il lui a fait prendre son pied deux fois avant d’éjaculer une bonne quantité de sperme au fond de son ventre.
« Eh bein, tu m’as mis le paquet. » Lui a-t-elle dit en voyant le trop plein de semence couler entre ses cuisses.
« Normal, je n’ai pas craché depuis la dernière fois chez toi. »
Alors en riant elle lui a répondu :
« Tu faisais des réserves pour ce week-end. »
« Rigole, ma belle, tu vas prendre comme jamais, je vais te remplir de jus. »
Dans cette bonne humeur, ils sont allés prendre une douche puis ranger leurs affaires, avant de sortir faire quelques courses à la supérette du coin.
Il faisait chaud, Nathalie était vêtue d’une mini-jupe, très mini et d’un corsage bien ouvert, le tout sans aucun sous-vêtement.
Il aimait bien l’exhiber, même quand on sortait tous les trois, il lui demandait souvent de se comporter comme une salope.
Le soir, ils sont allés dans un premier temps, boire un verre à la terrasse d’un café, histoire de montrer à quelques clients et passants qu’elle était nue sous sa micro-jupe, puis vers vingt et une heure, il l’a emmenée dans un restaurant.
Ils ont choisi au hasard, car Nathalie avait oublié de demander à son ancien collègue les bonnes adresses du secteur.
Il n’y avait plus de place en terrasse alors le serveur les a installés dans la salle, il y avait plein de recoins avec des tables, mais elles étaient déjà toutes prises, ils se sont donc retrouvés dans le milieu de la salle.
En position assise, Nathalie avait sa jupe remontée très haut, si elle ne bougeait pas trop, personne ne verrait son entre-cuisses, sauf si elle décidait d’en faire profiter quelques hommes qui passaient dans l’allée pour se rendre aux toilettes.
Le serveur n’était pas en reste, elle lui offrait une vue de sa chatte à chaque fois qu’il venait à leur table.
Un peu timide au départ, il a assez vite compris le petit jeu du couple et a bien profité du spectacle.
Alors qu’il n’y avait plus beaucoup de monde autour d’eux, elle en a profité pour ouvrir un peu plus son chemisier afin de lui offrir la vue de sa poitrine nue.
Il semblait tout émoustillé et a commencé à engager la conversation.
« Vous êtes en vacances ici ? »
« Oui moi je reste la semaine, mon ami part dimanche et mon mari arrive lundi. »
Puis elle a continué :
« On viendra certainement manger ici dans la semaine. »
« Je ferai attention de ne pas faire de gaffe alors. »
« Ne vous inquiétez pas, mon mari sait tout ce que je fais, il n’est pas jaloux et il est partageur, n’est-ce pas Christophe ? »
« Oui c’est vrai, il aime partager sa femme. »
Nathalie lui dit alors :
« D’ailleurs si vous êtes libre dimanche soir, je serai seule. »
« Heuuu…j’aimerais beaucoup mais le lundi je ne travaille pas, alors mon père vient me chercher le dimanche après le boulot, pour passer du temps avec eux car je ne les vois pas souvent, je fais mes études à Strasbourg le reste de l’année. »
Voyant qu’il indisposait un peu le serveur, Christophe en a profité pour aller aux toilettes et les laisser discuter entre eux.
« Oui en effet, c’est dommage, peut-être un autre soir de la semaine alors ? » lui a-t-elle demandé.
« Je suis plus dispo l’après-midi entre quinze heures et dix-huit heures car le soir je ne sais jamais à quelle heure je termine. »
« Ok pour ça, on en reparlera quand on viendra manger ici dans la semaine. »
« Mais heu…. comment dire… heu…hummm, je ne pourrais pas s’il y a un autre homme avec nous. »
Elle a éclaté de rire puis lui a dit :
« Ne t’inquiète pas, il me laisse aussi faire ça seule avec un autre homme. »
Rassuré, il est reparti après avoir débarrassé la table pour se préparer à apporter les desserts.
Quand Christophe est revenu, elle lui a dit :
« Il est mignon le petit serveur, j’ai vraiment envie de me le taper. »
« T’es vraiment une salope, tu ne peux pas t’en empêcher, tu as toujours envie de te faire un nouveau mec. »
« Hi hi, oui ce n’est pas ma faute si j’aime baiser, d’ailleurs je commence à avoir très envie là. »
Elle s’est approchée de lui par-dessus la table pour l’embrasser en lui disant :
« J’ai envie de sentir ta grosse bite me défoncer, il m’a excité le petit serveur. »
Arrivée à l’appartement, Nathalie s’est complètement mise nue, lui en a fait autant et ils se sont dirigés vers la chambre.
Elle l’a poussé sur le lit, s’est couchée sur lui et ils se sont embrassés et caressés fougueusement.
Leurs mains couraient sur le corps de l’autre, ils étaient enlacés, collés, l’un contre l’autre pendant que leurs langues se mélangeaient avec passion et bestialité.
Elle a glissé le long du corps de son amant jusqu’à ce qu’elle soit à la hauteur de son sexe qu’elle a avalé goulûment.
Elle l’a branlé et sucé avec avidité comme si elle voulait le faire cracher très vite, elle frottait son sexe contre son visage, léchait sa hampe en descendant jusqu’à ses couilles qu’elle a pris complètement dans sa bouche pour les torturer de sa langue.
Elle a ensuite titillé et léché son anus avant d’y insérer le bout du doigt pour remonter gober ses boules tout en le branlant.
Un peu après, Christophe s’est retiré en lui disant :
« A mon tour de te lécher. »
« Non tu me boufferas la chatte plus tard, là tu vas me baiser bien fort. »
Elle s’est mise à quatre pattes en tendant bien son cul.
Il ne pouvait résister à cet appel, il s’est calé derrière elle et l’a pénétré sans fioriture.
« Ahhhh putain elle est bonne ta queue, vas-y défonce-moi, fait-moi jouir salaud,… ahhh… »
Il lui a alors asséné de grands coups de rein puissants en la tenant bien fort par les hanches et en l’insultant.
Elle a très vite joui en criant très fort et en inondant les draps de cyprine.
Il ne s’est arrêté qu’après qu’elle ait eu un deuxième orgasme presque aussi fulgurant que le premier.
Il s’est ensuite glissé entre ses cuisses pour lui dévorer le sexe, ses lèvres étaient gonflées par le plaisir et trempées de ses secrétions.
Agile avec sa langue il n’a pas tardé à lui redonner à nouveau du plaisir, il fouillait son intimité au plus profond, s’aidant parfois de ses doigts.
Nathalie s’est dégagée, forçant son amant à se mettre sur le dos, puis est venue le chevaucher et s’empaler sur son membre toujours aussi dur.
C’est elle qui menait la danse, elle montait et descendait sur son pieux à un rythme effréné pendant qu’il lui embrassait et caressait les seins.
Lui commençait à ne plus pouvoir se retenir, il l’a alors attrapé par les hanches pour l’aider à s’embrocher encore plus loin et plus fort.
Ils ont joui presque en même temps, alors qu’elle criait son plaisir, il s’est vidé au plus profond de son ventre dans un grognement sourd.
Quand il s’est retiré, du sperme s’est écoulé du sexe de ma femme, elle lui a dit en recueillant avec ses doigts une partie de la semence pour la porter à sa bouche.
« Hummm, dis donc, tu as encore mis la dose, tu avais des réserves. »
« Oui je t’ai dit que j’allais te remplir ce week-end » a-t-il répondu en riant.
Cette soirée-là, ils ont baisé une bonne partie de la nuit.
Ce n’était que le premier soir, et le week-end n’était pas fini…
Quand ils travaillaient ensemble, il lui avait fait des avances qu’elle avait toujours refusées, mais, malgré cela, ils s’entendaient assez bien et ont gardé contact après son départ.
Il revenait de temps en temps à son ancien boulot pour voir ses anciens collègues et parfois ils allaient boire un verre ou déjeuner vite fait ensemble le midi.
Il continuait encore à lui faire des avances auxquelles elle ne répondait toujours pas.
Un jour ou ils n’étaient plus que tous les deux, en parlant de vacances, il lui a dit :
« Si ça t’intéresse, j’ai un appartement à Lorient près de la mer que je peux te prêter à toi et ton mari. »
« S tu veux, pourquoi pas ça peut nous convenir, on aime bien le secteur, c’est assez sympa. Mais il serait libre quand ?»
« Quand ça vous dit, j’ai arrêté de le louer, trop de dégâts à chaque fois, les gens ne respectent rien. »
« Et tu nous le louerais combien ? »
« Pour toi, rien, mais il faudra que tu sois gentille avec moi. »
« Heuuu… gentille comment ? »
« Tu ne devines pas ? »
« Si, je crois que j’ai compris, en fait tu me baises et tu me prêtes ton appart, c’est ça ? »
« Oui. »
Un grand silence de plusieurs secondes s’est écoulé, puis elle lui a dit :
« Ok. »
« C’est vrai, t’es OK ? »
« Oui, mais juste une fois. »
« Non, une fois avant, quand je te donne les clés et une fois après quand tu me les rends. »
Elle a pris le temps de réfléchir, il n’était pas moche, assez sympa, alors pourquoi pas, et lui a dit :
« Quand je viens chercher les clés, je te fais une pipe et quand je te les ramène tu me baises. »
« Marché conclu, tu pars quand là-bas ? »
« Je ne sais pas encore, il faut que je voie avec mon mari s’il peut prendre des vacances. »
« J’ai hâte que tu partes, mais aussi que tu reviennes. »
Bien évidemment, elle m’avait mis au courant de son deal.
Nous étions deux semaines avant nos vacances et je venais d’annoncer à Nathalie que je devais décaler notre départ du vendredi au lundi car j’avais un impératif à mon boulot qui m’obligeait à travailler ce week-end-là.
« Si tu veux, on prend un billet de TGV et tu pars quand même le vendredi. Moi, je te rejoindrai avec la voiture le lundi dans la journée. »
« Oui, je pense que ce serait mieux, quitte à être seule, au moins que ce soit au bord de la mer, je pourrais mieux en profiter. »
Deux jours plus tard, nous avons reçu la visite impromptue de Christophe (Cf : Soirée foot), il passait comme ça, enfin presque, souvent à l’improviste.
La plupart du temps, il venait en espérant pouvoir se vider les couilles, car nous faisions souvent des trios ensemble.
Il arrivait même qu’il vienne quand j’étais en déplacement et dans ce cas, ce n’était plus un trio mais un duo.
Nous avions fini de dîner et nous allions prendre un café.
Malheureusement pour lui, Nathalie était dans sa période de règles, il allait donc faire chou blanc ce soir.
Nous avons discuté de choses et d’autres et, Nathalie, voyant qu’il pensait finir la soirée plus chaudement, lui a fait comprendre qu’elle n’était pas dans la bonne période pour ce genre de plaisirs.
Il était bien sûr déçu, mais devait être sacrément en manque car il lui a dit :
« Rien ne t’empêche de nous sucer. »
« Et moi je me tape sur le ventre, vous aurez du plaisir et pas moi. »
« Ce ne serait pas la première fois, qu’est-ce que tu en penses ? » Dit-il en m’interrogeant.
« C’est elle qui décide. »
« Bon allez, ça va, venez là, je vais m’occuper de vous. »
Pas mécontent de son invitation, nous nous sommes approchés d’elle en nous déshabillant.
« Putain, avec vous c’est sitôt dit, sitôt fait et en plus vous bandais déjà. »
Elle a pris nos queues dans chacune de ses mains pour nous branler, avant de nous engloutir chacun notre tour.
Elle était assise sur le canapé, nous étions debout face à elle et elle nous suçait l’un après l’autre, parfois ensemble.
Sa langue virevoltait d’une verge à l’autre, ses doigts agiles couraient sur nos hampes et allaient titiller nos glands.
Même si elle savait que nous ne pouvions pas lui donner de plaisir, elle nous suçait toujours avec la même avidité, n’aspirant qu’à une chose, nous faire jouir dans sa bouche.
Après environ quinze minutes de fellation torride, Christophe lui a attrapé la tête pour la coller contre son pubis en lui disant :
« Tiens avale ça salope, je sais que tu adores mon foutre, sale chienne. »
Il s’est déversé dans sa gorge et, alors qu’elle avait à peine fini d’avaler, j’ai à mon tour attrapé sa tête pour me vider au même endroit que lui.
Elle nous a léché, nettoyé, jusqu’à ce que plus rien ne sorte lorsqu’elle pressait nos queues.
« Tu suces toujours aussi merveilleusement bien. »
« Merci. »
Nous nous sommes rhabillés et sommes allés nous asseoir de chaque côté d’elle.
« Vous voulez un café ? »
Nous avons répondu par l’affirmatif et j’ai ajouté qu’après j’irai me coucher car je dois me lever tôt le lendemain.
Christophe est resté un peu après que je sois parti au lit et ils ont continué à discuter.
Nathalie lui a expliqué qu’elle allait certainement partir avant moi en vacances.
« Tu pars quand ? »
« Il faut que je prenne un billet de TGV pour le vendredi dans une semaine et demie. »
« C’est dommage, moi je pars le dimanche, avec un pote, pour Brest, on aurait pu voyager ensemble. »
Puis il s’est ravisé en disant :
« J’ai une idée, je prends un billet en même temps que toi, comme ça on sera le week-end ensemble. Le dimanche mon pote fait un détour et passe me prendre, comme ça il te reste juste une nuit seule avant que ton mec te rejoigne. »
« Oui, ça peut être une bonne idée, sauf que, je ne vais pas le dire avant à mon homme, car s’il sait que je suis seule avec toi, il va se douter qu’on ne va pas seulement se regarder dans le blanc des yeux et ça risque de le perturber dans son boulot. Je lui dirai quand il m’aura retrouvée. »
« Cool je réserve pour nous deux demain. J’ai hâte. Qu’est-ce que tu vas prendre ma belle, je vais te démonter tout le week-end. »
Elle lui a fait un grand sourire, sachant que c’était certainement la vérité, car Christophe était un bon coup, endurant et qui pouvait remettre ça plusieurs fois dans la nuit, ce qui n’était pas pour lui déplaire.
Puis il lui a dit :
« Regarde, rien qu’à l’imaginer je bande encore. »
Alors elle s’est penchée vers son entrejambe pour déboutonner son pantalon et en extraire la queue qui était de nouveau dressée pour elle et la sucer goulûment.
Quinze minutes plus tard, elle avalait de nouveau les giclées de sperme qu’il lui éjaculait dans la bouche.
La veille du départ, Nathalie est allée chez son ancien collègue pour récupérer les clés.
Il devait attendre ce moment avec impatience, car, quand elle est arrivée, il était tout pimpant, bien sapé et sentait bon le parfum.
« Tu veux boire un verre ? »
« Oui si tu veux. »
« J’ai du champagne, ça te va ? »
« Oui c’est parfait. »
Ils se sont installés, lui sur un fauteuil et elle sur le canapé en face.
L’ambiance était un peu tendue car ils savaient tous les deux ce qui allait se passer mais aucun ne savait comment commencer.
A un moment, il s’est levé pour aller dans la cuisine, puis est revenu avec un trousseau de clés qu’il a posé sur la table du salon.
« Tiens, voici ma part du marché. » Dit-il avec un large sourire.
La balle étant maintenant dans son camp, elle lui a répondu :
« Tu veux que je te suce où ? »
« Là, dans le fauteuil, si tu es d’accord. »
« OK, ça me va. »
Elle a fini sa coupe de champagne d’une traite, puis s’est levée pour se diriger vers lui et s’est agenouillée pour commencer à dégrafer son pantalon.
« Attends, …, je peux voir tes seins ? J’en meurs d’envie depuis si longtemps. »
« Ce n’est pas dans le contrat ça ? »
« Oui, je sais, mais… »
Elle s’est dit que de toute façon au retour, ils avaient prévu de baiser et donc il pourrait les voir et les toucher à ce moment-là.
Alors après un court moment d’hésitation, elle a retiré son tee-shirt moulant, libérant son énorme poitrine.
« Whaaaaaaa, ils sont magnifiques, splendides. Je… whaaaa…, j’ai l’impression d’être dans un rêve. »
Il a avancé ses mains pour les caresser.
« Viens là que je t’embrasse. »
Elle s’est exécutée et a commencé à déboutonner son pantalon pendant qu’ils mélangeaient leurs langues, pour sortir son sexe qui était déjà bien raide.
Elle a ensuite quitté sa bouche pour aller prendre sa queue et commencer à la sucer goulûment.
Elle le branlait d’une main pendant qu’elle avalait sa bite et qu’elle titillait son gland avec la langue.
Il bandait bien fort et était tout excité.
Nathalie, elle aussi, appréciait la fellation qu’elle lui prodiguait, elle le regardait de temps en temps, alors qu’elle passait sa langue sur son gland ou le long de sa hampe, avec un air très salope.
Il lui caressait la tête pendant qu’elle l’engloutissait.
« Doucement, je ne veux pas jouir trop vite, c’est tellement bon que je ne voudrais pas que ça s’arrête. »
Une vingtaine de minutes plus tard, il n’a pu se retenir et lui a éjaculé sur la poitrine et le visage.
Nathalie m’avait dit qu’un copain allait la déposer à Montparnasse car moi, je ne pouvais pas l’y emmener à cause de mon boulot.
Ils se sont retrouvés sur le quai puis sont montés dans le TGV pour s’installer l’un à côté de l’autre.
Pendant le trajet, qui a duré plusieurs heures, il la caressait de temps à autre discrètement et elle en faisait de même en frottant sa main sur son sexe pour vérifier s’il bandait.
Il lui a dit à l’oreille :
« Salope, ça fait déjà trois heures que j’ai la gaule, je n’ai qu’une envie, c’est de te baiser, tu vas prendre cher en arrivant à l’appart. »
« Hummmm, j’ai hâte de la sentir. »
La proximité des autres voyageurs les empêchait d’être trop démonstratifs, il fallait qu’il patiente, même si elle aurait aimé le sucer dans le TGV.
A peine la porte de l’appartement franchie, il a posé les sacs puis a poussé Nathalie sur le canapé pour qu’elle s’assoie.
Il est ensuite venu face à elle en faisant tomber son pantalon à ses pieds pour lui enfourner sa queue bien raide dans la bouche.
Elle ne s’est pas fait prier pour l’avaler et a commencé une fellation torride.
Au bout d’une dizaine de minutes, il l’a faite se relever, l’a déshabillée, l’a mise à genoux sur le canapé pour venir se caler contre ses fesses et la pénétrer sauvagement en la gratifiant de grands coups de rein.
C’était bestial, très chaud et ça a été très rapide, en dix minutes il lui a fait prendre son pied deux fois avant d’éjaculer une bonne quantité de sperme au fond de son ventre.
« Eh bein, tu m’as mis le paquet. » Lui a-t-elle dit en voyant le trop plein de semence couler entre ses cuisses.
« Normal, je n’ai pas craché depuis la dernière fois chez toi. »
Alors en riant elle lui a répondu :
« Tu faisais des réserves pour ce week-end. »
« Rigole, ma belle, tu vas prendre comme jamais, je vais te remplir de jus. »
Dans cette bonne humeur, ils sont allés prendre une douche puis ranger leurs affaires, avant de sortir faire quelques courses à la supérette du coin.
Il faisait chaud, Nathalie était vêtue d’une mini-jupe, très mini et d’un corsage bien ouvert, le tout sans aucun sous-vêtement.
Il aimait bien l’exhiber, même quand on sortait tous les trois, il lui demandait souvent de se comporter comme une salope.
Le soir, ils sont allés dans un premier temps, boire un verre à la terrasse d’un café, histoire de montrer à quelques clients et passants qu’elle était nue sous sa micro-jupe, puis vers vingt et une heure, il l’a emmenée dans un restaurant.
Ils ont choisi au hasard, car Nathalie avait oublié de demander à son ancien collègue les bonnes adresses du secteur.
Il n’y avait plus de place en terrasse alors le serveur les a installés dans la salle, il y avait plein de recoins avec des tables, mais elles étaient déjà toutes prises, ils se sont donc retrouvés dans le milieu de la salle.
En position assise, Nathalie avait sa jupe remontée très haut, si elle ne bougeait pas trop, personne ne verrait son entre-cuisses, sauf si elle décidait d’en faire profiter quelques hommes qui passaient dans l’allée pour se rendre aux toilettes.
Le serveur n’était pas en reste, elle lui offrait une vue de sa chatte à chaque fois qu’il venait à leur table.
Un peu timide au départ, il a assez vite compris le petit jeu du couple et a bien profité du spectacle.
Alors qu’il n’y avait plus beaucoup de monde autour d’eux, elle en a profité pour ouvrir un peu plus son chemisier afin de lui offrir la vue de sa poitrine nue.
Il semblait tout émoustillé et a commencé à engager la conversation.
« Vous êtes en vacances ici ? »
« Oui moi je reste la semaine, mon ami part dimanche et mon mari arrive lundi. »
Puis elle a continué :
« On viendra certainement manger ici dans la semaine. »
« Je ferai attention de ne pas faire de gaffe alors. »
« Ne vous inquiétez pas, mon mari sait tout ce que je fais, il n’est pas jaloux et il est partageur, n’est-ce pas Christophe ? »
« Oui c’est vrai, il aime partager sa femme. »
Nathalie lui dit alors :
« D’ailleurs si vous êtes libre dimanche soir, je serai seule. »
« Heuuu…j’aimerais beaucoup mais le lundi je ne travaille pas, alors mon père vient me chercher le dimanche après le boulot, pour passer du temps avec eux car je ne les vois pas souvent, je fais mes études à Strasbourg le reste de l’année. »
Voyant qu’il indisposait un peu le serveur, Christophe en a profité pour aller aux toilettes et les laisser discuter entre eux.
« Oui en effet, c’est dommage, peut-être un autre soir de la semaine alors ? » lui a-t-elle demandé.
« Je suis plus dispo l’après-midi entre quinze heures et dix-huit heures car le soir je ne sais jamais à quelle heure je termine. »
« Ok pour ça, on en reparlera quand on viendra manger ici dans la semaine. »
« Mais heu…. comment dire… heu…hummm, je ne pourrais pas s’il y a un autre homme avec nous. »
Elle a éclaté de rire puis lui a dit :
« Ne t’inquiète pas, il me laisse aussi faire ça seule avec un autre homme. »
Rassuré, il est reparti après avoir débarrassé la table pour se préparer à apporter les desserts.
Quand Christophe est revenu, elle lui a dit :
« Il est mignon le petit serveur, j’ai vraiment envie de me le taper. »
« T’es vraiment une salope, tu ne peux pas t’en empêcher, tu as toujours envie de te faire un nouveau mec. »
« Hi hi, oui ce n’est pas ma faute si j’aime baiser, d’ailleurs je commence à avoir très envie là. »
Elle s’est approchée de lui par-dessus la table pour l’embrasser en lui disant :
« J’ai envie de sentir ta grosse bite me défoncer, il m’a excité le petit serveur. »
Arrivée à l’appartement, Nathalie s’est complètement mise nue, lui en a fait autant et ils se sont dirigés vers la chambre.
Elle l’a poussé sur le lit, s’est couchée sur lui et ils se sont embrassés et caressés fougueusement.
Leurs mains couraient sur le corps de l’autre, ils étaient enlacés, collés, l’un contre l’autre pendant que leurs langues se mélangeaient avec passion et bestialité.
Elle a glissé le long du corps de son amant jusqu’à ce qu’elle soit à la hauteur de son sexe qu’elle a avalé goulûment.
Elle l’a branlé et sucé avec avidité comme si elle voulait le faire cracher très vite, elle frottait son sexe contre son visage, léchait sa hampe en descendant jusqu’à ses couilles qu’elle a pris complètement dans sa bouche pour les torturer de sa langue.
Elle a ensuite titillé et léché son anus avant d’y insérer le bout du doigt pour remonter gober ses boules tout en le branlant.
Un peu après, Christophe s’est retiré en lui disant :
« A mon tour de te lécher. »
« Non tu me boufferas la chatte plus tard, là tu vas me baiser bien fort. »
Elle s’est mise à quatre pattes en tendant bien son cul.
Il ne pouvait résister à cet appel, il s’est calé derrière elle et l’a pénétré sans fioriture.
« Ahhhh putain elle est bonne ta queue, vas-y défonce-moi, fait-moi jouir salaud,… ahhh… »
Il lui a alors asséné de grands coups de rein puissants en la tenant bien fort par les hanches et en l’insultant.
Elle a très vite joui en criant très fort et en inondant les draps de cyprine.
Il ne s’est arrêté qu’après qu’elle ait eu un deuxième orgasme presque aussi fulgurant que le premier.
Il s’est ensuite glissé entre ses cuisses pour lui dévorer le sexe, ses lèvres étaient gonflées par le plaisir et trempées de ses secrétions.
Agile avec sa langue il n’a pas tardé à lui redonner à nouveau du plaisir, il fouillait son intimité au plus profond, s’aidant parfois de ses doigts.
Nathalie s’est dégagée, forçant son amant à se mettre sur le dos, puis est venue le chevaucher et s’empaler sur son membre toujours aussi dur.
C’est elle qui menait la danse, elle montait et descendait sur son pieux à un rythme effréné pendant qu’il lui embrassait et caressait les seins.
Lui commençait à ne plus pouvoir se retenir, il l’a alors attrapé par les hanches pour l’aider à s’embrocher encore plus loin et plus fort.
Ils ont joui presque en même temps, alors qu’elle criait son plaisir, il s’est vidé au plus profond de son ventre dans un grognement sourd.
Quand il s’est retiré, du sperme s’est écoulé du sexe de ma femme, elle lui a dit en recueillant avec ses doigts une partie de la semence pour la porter à sa bouche.
« Hummm, dis donc, tu as encore mis la dose, tu avais des réserves. »
« Oui je t’ai dit que j’allais te remplir ce week-end » a-t-il répondu en riant.
Cette soirée-là, ils ont baisé une bonne partie de la nuit.
Ce n’était que le premier soir, et le week-end n’était pas fini…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Du candaulisme sa s que le mari soit au courant mais dit elle c’est pour son bien surprenant car c’est elle qui prend son pied. Daniel
Donc le mari n’était pas au courant et le mec nique sans capotes. 🤔😤

