Des WC à la Turque pour la mariée
Récit érotique écrit par Bellesalope [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Des WC à la Turque pour la mariée
Je suis en train de réfléchir comment je dois me travestir pour être parfaite avant d’entrer décemment dans des chiottes à la Turque préalablement bouchée, débordant de merde et de pisse. Je suis partagé entre plusieurs choix, il est vrai qu’une séduisante petite robe de mariée blanche immaculée serait idéale, et ça doit être vraiment très excitant de pénétrer, vêtue que de satin blanc, dans des toilettes bien crottées et odorantes. Voici un scenar : Dans des WC publiques un écriteau sera placé sur l’une des portes des toilettes collectives « réservée aux mariées » et des hommes pervers en bottes attendrons que la mariée ai une envie pressante… A son arrivé, un homme l’accompagnera devant les chiottes publiques, avant de la convier à entrer, il la parfumera copieusement et vérifiera la conformité de sa tenue de mariée selon les exigences, présence de la culotte ouverte en satin ou du string, des dim-up blanc brillant maintenu par porte jarretelle. Quand elle aura reçu l’autorisation d’entrer, elle se voilera et se couvrira du capuchon de sa cape en satin. En relevant délicatement ses jupes, pour rester impeccable et ne pas se salir avant l’heure, la mariée se dirigera seule devant le sanitaire destiné aux mariées, conçu et aménagé pour la recevoir en robe blanche dans d’excellentes conditions. Pour motiver la mariée, des personnes lui ouvriront gentiment la porte de son cabinet. Il aura été volontairement obturé plusieurs jours et régulièrement regarni, sans adjonction d’eau pour préserver la concentration, qu’il déborde uniquement par excès de pisse et regorge d’excréments. Il sera réserver exclusivement à la mariée qui viendra délibérément dans sa délicate robe blanche immaculée pour apporter sa propre contribution au garnissage de la cuvette. Pour stimuler la mariée, elle sera volontairement exposée en face de ses toilettes à la Turque, la porte lui sera maintenue ouverte sur sa cuvette débordante. Sous les regards vicieux, la mariée sera ensuite apprêtée pour qu’elle puisse y pénétrer décemment vêtue. Un des pervers se placera derrière elle, et il lui dénouera sa cape de satin blanc, puis la retira doucement pour dévoiler très lentement aux autres, sa jolie robe blanche. Elle écartera les jambes et les bras pour se mettre à leur disposition et permettre son ultime préparation. Il lui placera le large ruban de satin blanc, qu elle aura fourni, et lui nouera vigoureusement autour de sa taille pour rendre sa robe étanche. Ainsi vêtue et prête à entrer dans son sanitaire souillé, la mariée contemplera ses WC, les abondantes déjections récemment répandue, elle estimera longuement l’énorme quantité de substances fraîches et immergées dans l’abondant jus jaunâtre. Elle appréciera beaucoup l’absence de papiers hygiénique, ce qui gâcheraient sa préparation intime, Admirant cette véritable fosse septique qui s’offre à ces pieds, de ses gants de satin blanc, elle commencera à se caresser langoureusement le corps à travers sa robe, elle se stimulera en imaginant les excréments s’introduire lentement et glisser sous le satin blanc de sa robe pour la tapisser grassement de l’intérieur. Excitée par cette idée de se laisser farcir, elle languira d’y rentrer, et avec un très grand désir de souiller sa jolie robe blanche, de s'y vautrer entièrement vêtue de satin blanc.
Quand la mariée aura terminée d'admirer ses confortables latrines à la Turque, généreusement comblé pour l’occasion, elle sentira une main saisir sadiquement son petit bras menu et la pousser, l'exhortant d’avancer. Elle relèvera solennellement sa robe pour y pénétrer en petites chaussures échancrées blanches et commencera à sentir les jus s’infiltrer par l’ouverture de ses souliers. Lorsqu’elle aura fini d’observer ses bas blancs s’imprégner de pisse, elle relâchera délicatement sa robe sur les excrétions et patientera debout, laissent le satin blanc s'imbiber doucement de souillure. Puis, comme elle est venue aux toilettes pour déféquer, elle avancera pour placer correctement ses pieds écartés sur le sanitaire engorgé, de dos, elle se penchera légèrement et attendra que quelqu’un vienne pisser sur sa croupe et rendre le satin transparent que l’on distingue bien sa culotte blanche à travers le satin opaque de sa robe. Elle chira et pissera debout à travers sa culotte ouverte ou son string, tout en omettant de relever ses jupes et adjoindra ses excréments aux autres déjà très abondant. Suivant leur choix, les pervers pourront observer la merde sortir entière par la fente de sa culotte de satin blanc ou l’admire se divisée en deux par son string et tombera en plein milieu des autres, éclaboussant l’intérieur de sa robe blanche.
Ensuite la mariée sentira une main vicieuse sur son épaule, l’invitant à se retourner, lorsqu’elle se sera exécutée, en passant délicatement sous son voile blanc, il placera ses grosses mains sur les épaules menues de la mariée. Sans ne rien dire, Il caressera sadiquement son décolleté de satin transparent l'exhortant à l’offrir. Confuse de cette situation et devant leurs envies pressantes, la mariée se sentira obliger de leur servir de chiotte. Très excité à l’idée d’être utiliser en réceptacle, les yeux fermés et cou tendu, elle se caressera, effleurera de ses gants son échancrure et leur montera ainsi son consentement. Elle prendra les mains vicieuses de son maître et les fera remonter autour de son petit cou proposé, l’invitant à s’en emparer. Il la saisira violemment par son cou offert et le serrera, appuiera fermement pour la contraindre à se mettre à genoux dans le WC à la Turque et en l’étranglant cruellement, accompagner sa descente. En écartant ces genoux sur les cotés, elle placera ses fesses bien au-dessus du trou saturé de merde, étalera sa robe blanche et se laissera bien glisser au fond. Ainsi installée, avec ses gants de satin blancs encore vierges, elle se préparera pour le garnissage, relèvera religieusement son voile de mariée pour dégager son échancrure convoitée, remontera ses petites manches ballon et tirera sur le décolleté immaculé de sa robe et le proposera comme chiotte. Tout en maintenant son décolleté transparent béant, elle conservera les bras bien écartés pour offrir ses petites manches en urinoir, et permettre ainsi aux bittes de s’introduire sous le satin blanc pour uriner. Elle conservera, pour les plus pervers, la bouche ouverte, elle se laissera gentiment garnir d'excréments, de pisse, de sperme, mais aussi de crachats et de vomis. Quand ils auront terminé d’utiliser la marier en dévidoir, elle les torchera de ses gants de satin blancs avant de se caresser langoureusement pour bien étaler sous sa robe, les fraîches excrétions. Elle terminera de se souillé en s’allongent entièrement bras écartés bien au fond des chiottes, puis elle se mettra à plat ventre, introduira délicatement la canalisation de la cuvette avec sa main et enfoncera son bras pour y remonter la merde et se la faire pénétrer sous sa robe en passant par les manches, elle devra continuer ainsi jusqu’au débouchage des toilettes.
Je suis à la foi très attirée pour venir en robe de mariée, mais j’ai aussi envie de la retrouver impeccable après lavage. Je pourrais me présenter en jupette de tennis plissée blanche sur des dim-up blanc et un chemisier de satin blanc ou, plus classiques en jupette plissée noire, mais c’est moins bien pour s’assoire dans des chiottes encombrées. Je pourrais aussi venir dans une tenue entièrement transparente, brillante, blanche ou noir, longue ou courte. Mais au fond de moi, j’ai terriblement envie que ma tenue me soit imposée, j’aimerais beaucoup être contrainte de me travestir de façon précise avant partir, puis de me présenter aux chiottes pour me vautrer dans la tenue de salope exigée.
Quand la mariée aura terminée d'admirer ses confortables latrines à la Turque, généreusement comblé pour l’occasion, elle sentira une main saisir sadiquement son petit bras menu et la pousser, l'exhortant d’avancer. Elle relèvera solennellement sa robe pour y pénétrer en petites chaussures échancrées blanches et commencera à sentir les jus s’infiltrer par l’ouverture de ses souliers. Lorsqu’elle aura fini d’observer ses bas blancs s’imprégner de pisse, elle relâchera délicatement sa robe sur les excrétions et patientera debout, laissent le satin blanc s'imbiber doucement de souillure. Puis, comme elle est venue aux toilettes pour déféquer, elle avancera pour placer correctement ses pieds écartés sur le sanitaire engorgé, de dos, elle se penchera légèrement et attendra que quelqu’un vienne pisser sur sa croupe et rendre le satin transparent que l’on distingue bien sa culotte blanche à travers le satin opaque de sa robe. Elle chira et pissera debout à travers sa culotte ouverte ou son string, tout en omettant de relever ses jupes et adjoindra ses excréments aux autres déjà très abondant. Suivant leur choix, les pervers pourront observer la merde sortir entière par la fente de sa culotte de satin blanc ou l’admire se divisée en deux par son string et tombera en plein milieu des autres, éclaboussant l’intérieur de sa robe blanche.
Ensuite la mariée sentira une main vicieuse sur son épaule, l’invitant à se retourner, lorsqu’elle se sera exécutée, en passant délicatement sous son voile blanc, il placera ses grosses mains sur les épaules menues de la mariée. Sans ne rien dire, Il caressera sadiquement son décolleté de satin transparent l'exhortant à l’offrir. Confuse de cette situation et devant leurs envies pressantes, la mariée se sentira obliger de leur servir de chiotte. Très excité à l’idée d’être utiliser en réceptacle, les yeux fermés et cou tendu, elle se caressera, effleurera de ses gants son échancrure et leur montera ainsi son consentement. Elle prendra les mains vicieuses de son maître et les fera remonter autour de son petit cou proposé, l’invitant à s’en emparer. Il la saisira violemment par son cou offert et le serrera, appuiera fermement pour la contraindre à se mettre à genoux dans le WC à la Turque et en l’étranglant cruellement, accompagner sa descente. En écartant ces genoux sur les cotés, elle placera ses fesses bien au-dessus du trou saturé de merde, étalera sa robe blanche et se laissera bien glisser au fond. Ainsi installée, avec ses gants de satin blancs encore vierges, elle se préparera pour le garnissage, relèvera religieusement son voile de mariée pour dégager son échancrure convoitée, remontera ses petites manches ballon et tirera sur le décolleté immaculé de sa robe et le proposera comme chiotte. Tout en maintenant son décolleté transparent béant, elle conservera les bras bien écartés pour offrir ses petites manches en urinoir, et permettre ainsi aux bittes de s’introduire sous le satin blanc pour uriner. Elle conservera, pour les plus pervers, la bouche ouverte, elle se laissera gentiment garnir d'excréments, de pisse, de sperme, mais aussi de crachats et de vomis. Quand ils auront terminé d’utiliser la marier en dévidoir, elle les torchera de ses gants de satin blancs avant de se caresser langoureusement pour bien étaler sous sa robe, les fraîches excrétions. Elle terminera de se souillé en s’allongent entièrement bras écartés bien au fond des chiottes, puis elle se mettra à plat ventre, introduira délicatement la canalisation de la cuvette avec sa main et enfoncera son bras pour y remonter la merde et se la faire pénétrer sous sa robe en passant par les manches, elle devra continuer ainsi jusqu’au débouchage des toilettes.
Je suis à la foi très attirée pour venir en robe de mariée, mais j’ai aussi envie de la retrouver impeccable après lavage. Je pourrais me présenter en jupette de tennis plissée blanche sur des dim-up blanc et un chemisier de satin blanc ou, plus classiques en jupette plissée noire, mais c’est moins bien pour s’assoire dans des chiottes encombrées. Je pourrais aussi venir dans une tenue entièrement transparente, brillante, blanche ou noir, longue ou courte. Mais au fond de moi, j’ai terriblement envie que ma tenue me soit imposée, j’aimerais beaucoup être contrainte de me travestir de façon précise avant partir, puis de me présenter aux chiottes pour me vautrer dans la tenue de salope exigée.
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