Désirs
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 123 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Désirs
Marc dormait, allongé en travers du lit, un pied dépassant de la couette. Il était mignon. Attendrissant. J'avais envie de soulever la couette, de le réveiller doucement en prenant son sexe dans ma bouche.
Camille me fit signe quand elle me vit. Elle était installée à l'une des rares tables de la terrasse avec Fred, son mec. Ils se levèrent pour m'embrasser. Camille ne laissa pas Fred se rasseoir et l'envoya chercher des verres au comptoir. Seules, elle me posa la question qui lui brulait les lèvres. Avais-je revu la belle bibliothécaire ? Je ne voulais pas lui mentir, et surtout j'avais besoin de raconter à quelqu'un mon après-midi. Je lui fis donc le récit détaillé du baiser initial jusqu'à son lit et nos étreintes. Je lui dis la douceur de sa bouche, de sa peau, le gout de son sexe. Je lui dis ses mains sur mon corps, ses lèvres sur mes seins, ses doigts en moi, sa langue me léchant le moindre centimètre carré de peau. Je ne m'interrompis pas quand Fred revint. Je ne me censurais pas plus. Je me foutais qu'il écoute le récit de mes amours saphiques. Je m'amusais de la leur de désirs qui brillait dans ses yeux. Je m'imaginais qu'il bandait ferme dans son jean en m'écoutant parler crument de mon après-midi de sexe. Camille aussi appréciait mon récit. Il y avait dans ses yeux le même désir, la même envie. Si Fred bandait, elle devait mouiller sa culotte.
Mon histoire finit, nous bûmes, profitant de la douceur de la nuit. Nous enfilâmes les verres en riant et en nous racontant d'autres histories de cul. Fred nous fit éclater de rire quand il nous raconta l'histoire d'une pipe sur un parking de supermarché, en pleine nuit, quand au moment de jouir, en se cambrant il faillit assommer sa compagne avec le volant de la voiture. Camille nous ressortit l'histoire de ses jumeaux, en épiçant le récit pour rendre Fred un peu jaloux. J'étais bien. L'alcool me montait un peu à la tête, mais j'étais bien.
Je fus un peu déçu de ne pas voir Camille me rejoindre aux toilettes. Assise sur la cuvette, j'attendais qu'elle frappe doucement à la porte pour me retrouver. J'aurais aimé avec elle finir ce que j'avais commencé des années plus tôt dans les mêmes circonstances. Je ne désirais pas Camille comme j'avais pu désirer Sandra. Comme j'avais pu sentir monter du plus profond de moi une pulsion sexuelle pour cette bibliothécaire inconnue. Mais, l'alcool aidant, en me remémorant les rêves éveillés que j'avais faits sur elle plus tôt, cela ne m'aurait pas déplu de faire l'amour avec elle. Elle ne vint pas, hélas.
J'aurais pu répondre à leur proposition de les suivre chez Camille. Je savais très bien ce qu'il y avait derrière cette invitation à poursuivre la soirée dans un autre lieu, plus intime. Je savais très bien ou tout cela nous conduirait. J'aurais pu dire oui. J'avais envie de dire oui. L'idée de faire l'amour à trois, de partager la bite de Fred avec Camille, de tester les combinaisons qu'offrait un trio m'excitait. Mais sans doute parce que j'avais déjà pas mal exploré ma sexualité dans la journée, sans doute parce que j'avais envie de retrouver Marc sans avoir à trop lui mentir, je déclinais.
Fred et Camille me raccompagnèrent jusque chez moi. Je les embrassais sur le trottoir. Camille me glissa à l'oreille que l'invitation était toujours valable pour les prochains avant de m'embrasser sur la bouche. Fred ne s'en offusqua pas. Je rentrais dans l'immeuble, appelais l'ascenseur, rentrais dans la cabine et laissais les portes se refermer sur moi sans appuyer sur le bouton de mon étage. Je restais dans cet espace clos, éclairé par la lumière crue des néons. Je repensais à Sandra. À Camille. Au premier type qui m'avait fait l'amour. Un grand boutonneux maladroit, mais tendre. À mon premier orgasme en me masturbant. À ma première pipe. Au gout du sperme sur ma langue, et à la question qui me vint juste après: est-ce que toutes les bites avaient le même gout ? Je repris mes esprits. Appuyais sur le bouton, et laissais l'ascenseur me conduire à mon étage.
Marc dormait. Je me suis déshabillé. Me suis glissée sous la couette. Me suis collée à lui. Nos peaux l'une contre l'autre. Je me suis réchauffé contre lui. J'ai passée mon bras autour de son torse, et j'ai pris dans ma main son sexe flasque. Le sommeil me prit dans cette position.
Camille me fit signe quand elle me vit. Elle était installée à l'une des rares tables de la terrasse avec Fred, son mec. Ils se levèrent pour m'embrasser. Camille ne laissa pas Fred se rasseoir et l'envoya chercher des verres au comptoir. Seules, elle me posa la question qui lui brulait les lèvres. Avais-je revu la belle bibliothécaire ? Je ne voulais pas lui mentir, et surtout j'avais besoin de raconter à quelqu'un mon après-midi. Je lui fis donc le récit détaillé du baiser initial jusqu'à son lit et nos étreintes. Je lui dis la douceur de sa bouche, de sa peau, le gout de son sexe. Je lui dis ses mains sur mon corps, ses lèvres sur mes seins, ses doigts en moi, sa langue me léchant le moindre centimètre carré de peau. Je ne m'interrompis pas quand Fred revint. Je ne me censurais pas plus. Je me foutais qu'il écoute le récit de mes amours saphiques. Je m'amusais de la leur de désirs qui brillait dans ses yeux. Je m'imaginais qu'il bandait ferme dans son jean en m'écoutant parler crument de mon après-midi de sexe. Camille aussi appréciait mon récit. Il y avait dans ses yeux le même désir, la même envie. Si Fred bandait, elle devait mouiller sa culotte.
Mon histoire finit, nous bûmes, profitant de la douceur de la nuit. Nous enfilâmes les verres en riant et en nous racontant d'autres histories de cul. Fred nous fit éclater de rire quand il nous raconta l'histoire d'une pipe sur un parking de supermarché, en pleine nuit, quand au moment de jouir, en se cambrant il faillit assommer sa compagne avec le volant de la voiture. Camille nous ressortit l'histoire de ses jumeaux, en épiçant le récit pour rendre Fred un peu jaloux. J'étais bien. L'alcool me montait un peu à la tête, mais j'étais bien.
Je fus un peu déçu de ne pas voir Camille me rejoindre aux toilettes. Assise sur la cuvette, j'attendais qu'elle frappe doucement à la porte pour me retrouver. J'aurais aimé avec elle finir ce que j'avais commencé des années plus tôt dans les mêmes circonstances. Je ne désirais pas Camille comme j'avais pu désirer Sandra. Comme j'avais pu sentir monter du plus profond de moi une pulsion sexuelle pour cette bibliothécaire inconnue. Mais, l'alcool aidant, en me remémorant les rêves éveillés que j'avais faits sur elle plus tôt, cela ne m'aurait pas déplu de faire l'amour avec elle. Elle ne vint pas, hélas.
J'aurais pu répondre à leur proposition de les suivre chez Camille. Je savais très bien ce qu'il y avait derrière cette invitation à poursuivre la soirée dans un autre lieu, plus intime. Je savais très bien ou tout cela nous conduirait. J'aurais pu dire oui. J'avais envie de dire oui. L'idée de faire l'amour à trois, de partager la bite de Fred avec Camille, de tester les combinaisons qu'offrait un trio m'excitait. Mais sans doute parce que j'avais déjà pas mal exploré ma sexualité dans la journée, sans doute parce que j'avais envie de retrouver Marc sans avoir à trop lui mentir, je déclinais.
Fred et Camille me raccompagnèrent jusque chez moi. Je les embrassais sur le trottoir. Camille me glissa à l'oreille que l'invitation était toujours valable pour les prochains avant de m'embrasser sur la bouche. Fred ne s'en offusqua pas. Je rentrais dans l'immeuble, appelais l'ascenseur, rentrais dans la cabine et laissais les portes se refermer sur moi sans appuyer sur le bouton de mon étage. Je restais dans cet espace clos, éclairé par la lumière crue des néons. Je repensais à Sandra. À Camille. Au premier type qui m'avait fait l'amour. Un grand boutonneux maladroit, mais tendre. À mon premier orgasme en me masturbant. À ma première pipe. Au gout du sperme sur ma langue, et à la question qui me vint juste après: est-ce que toutes les bites avaient le même gout ? Je repris mes esprits. Appuyais sur le bouton, et laissais l'ascenseur me conduire à mon étage.
Marc dormait. Je me suis déshabillé. Me suis glissée sous la couette. Me suis collée à lui. Nos peaux l'une contre l'autre. Je me suis réchauffé contre lui. J'ai passée mon bras autour de son torse, et j'ai pris dans ma main son sexe flasque. Le sommeil me prit dans cette position.
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