Désirs pervers
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Désirs pervers
Encore une histoire imprévue.
J'attends mon bus, il est presque 19 heures !
Je regarde passer les voitures, quand soudain, un homme me sourit, derrière son volant.
C'est un de mes amants !
L'homme s'appelle Robert, c'est un cinquantenaire viril et homo.
Il vit en couple, avec un homme que je n'ai jamais rencontré.
Il me klaxonne, et s'arrête pour m'attendre.
Je me penche coté passager, pour lui parler.
"Qu'est-ce que tu fais là ?".
"Devines ! Je viens du cinéma porno ! Tu tombes bien, j'ai pas trouvé ce que je voulais ! Ou tu vas ? Je peux t'emmener, si tu veux !".
Je regarde les gens qui nous fixent, à quelques mètres, dans l'arrêt de bus.
Je me dis qu'il est impossible, qu'ils devinent que Robert me baise dès qu'il peut !
Je réponds à voix basse:
"Euh ! Tu vas vouloir me baiser ! Je suppose ?".
"Tu supposes bien ! Ca me ferait plaisir ! T'as pas envie ?".
"Ben ! Pas vraiment, j'y pensais pas ! Mais, le fait de te voir, commence à faire son effet ! Pourquoi pas ? Tu connais un coin tranquille ?".
"Oui, je pense à un endroit, fais moi confiance !".
Je monte dans l'auto, il me caresse la cuisse avec un regard lubrique, puis démarre.
Il me parle de son activité professionnelle, celle qu'il partage avec son compagnon.
"Il se doute pas que tu le trompes ?".
"Non ! Je pense pas ! Mais il est très jaloux ! Si il te voyait, il devinerait que tu me plais, t'es mon genre de mec !".
"Je sais ! Tu me le dis souvent ! C'est surement pour ça que tu te lasses pas de moi ! Où on va ?".
"Il y a un terrain vague, à la sortie de Toulon ! J'y ai baisé un mec, un soir ! Tu vas être surpris !".
Je le vois se diriger vers un endroit presque désert, muni de tas de graviers, de sable, et de baraques de chantier.
Quelques véhicules sont garés, les uns près des autres.
"Robert ! Il y a encore des ouvriers ! On peut pas baiser ici !".
"On va s'enfoncer plus loin ! T'inquiètes pas !".
En effet, il cache sa voiture, derrière un énorme amas de petits cailloux gris.
Personne ne peut nous voir, en plus, le jour commence à disparaitre, pour laisser place à la nuit.
Il vient m'ouvrir la porte, puis me colle à sa voiture pour me palper le corps.
Je me sens piégé, j'ai une vraie envie de lui, à présent !
Mais l'endroit et la situation, me bloque et me fait peur !
"Robert ! J'ai peur qu'on nous surprenne ! Orhhhh !".
"Laisses toi faire ! Je sais que t'en as envie ! Tu serres bien ma bite entre tes doigt ! Tu me branles avec envie, salope !".
"Orhhh ! Oui ! Tu bandes bien dur ! Ca m'excite ! Tu me connais bien !".
"Putain, j'vais t'enculer sur mon capot, tu vas prendre ton pied, mon p'tit chéri !".
il nous tourne, afin de s'appuyer contre le véhicule, et m'impose de me baisser devant sa braguette ouverte.
Je saisi sa verge dure et épaisse, pour l'enfoncer dans ma gorge humide d'envie.
"Orhhhh ! Ouais, Pascal ! Comme ça ! Tu me suces toujours aussi bien ! Continues comme ça ! Hummmmmm !".
Il me couvre les oreilles, en me saisissant le visage, et entame une possession perverse de ma gorge.
Je gémis d'excitation, j'aime plus que tout, cette domination buccale.
Je suis sourd aux bruits extérieurs, ce qui me permet de me concentrer sur mon plaisir, de le sucer avidement.
Je m'abandonne complètement à ce plaisir, en fermant mes yeux.
Je sens qu'il cherche à faire pivoter mon visage, j'ouvre les yeux.
Je suis face à une autre verge inconnue.
Je lève les yeux, c'est un homme d'origine étrangère, d'une cinquantaine d'années.
Il m'enfonce sur sa bite foncée.
En me faisant baiser la bouche, je comprend qu'il n'est pas le seul inconnu autour de moi.
Des mains soulèvent mes hanches et relèvent mon Tee-shirt.
Mon Jeans est défait, dévoilant mon fessier aux inconnus.
"Hummm ! On va se régaler ! Il arrive au bon moment, celui-là ! Merci Robert !".
"Mmmmm ! Mmmmm ! Robert ? Tu les connais ? Mmmmm !".
"Laisses toi faire chéri ! Tu vas adorer ça ! C'est pas la première fois que tu te fais baiser par plusieurs hommes ! Je t'ai déjà vu le faire, souvent !".
J'assiste à mon déshabillage intégral, je dois remettre mes chaussures pour plus de confort, à la fin.
On me plie sur les queues en érection devant moi.
Des tas de mains me palpent le cul, me sollicitent l'anus, en cherchant à s'y insérer.
Je glousse comme une salope excitée, en suçant plusieurs bites à la fois.
Je n'arrive pas à me rappeler le nombre d'hommes présents !
Peut être 7 ! Ou huit avec mon amant ?
Le plus jeune, 35 ans environ, et le plus grand d'entre eux, me colle contre son long membre.
Je me fais transpercer analement devant les autres.
Sa longue bite, me pénètre en moins de dix tentatives.
Je m'étouffe sur ce que j'ai dans la gorge.
C'est trop bon ! Son gland entame sa destruction anale, en cognant contre mon coccyx.
Je commence à me faire envahir par le plaisir de cette queue en moi.
L'homme se fait motiver par les autres.
J'entend les consignes qui sont claires.
Il doit me faire crier en m'enculant comme une pute, me défoncer comme une salope !
M'éclater la chatte, c'est tout ce que je mérite !
Je vis mes premières envolées orgasmiques anales, c'est trop bon !
Un bruit de moteur me révèle qu'on a approché un trans palette, avec un plateau improvisé.
On m'y étale, et un autre prend son tour pour m'enculer.
Je peux gouter la verge encore couverte de mon jus anal, celle qui m'a tant fait de bien en m'enculant !
Je m'applique à lui rendre tout le plaisir que j'ai vécu !
Mais je joui encore, et c'est une autre bite qui me défonce !
Les hommes m'empalent tour à tour, tantôt sur le ventre, et sur le dos !
Puis Robert prend ma place, en me demandant de monter sur sa queue.
Le plus jeune, colle son long membre, et parvient sans mal à me pénétrer en même temps.
Je me laisse aller, à crier mon plaisir de les recevoir ensemble.
Je me fais traiter de pute, et tous les insultes possibles.
Mais je m'en moque, je suis à ma place, encore une fois !
Je ne veux pas être ailleurs !
Le jeune ne résiste pas longtemps, il sort sa longue bite pour m'arroser le haut de l'anus, avec son foutre.
Puis, il laisse le suivant prendre sa place.
Comme il est plus gros, je râle en me faisant écarteler la chatte.
Un phénomène étrange m'interpelle, je bande comme un âne, depuis qu'on m'encule !
Je sens que je suis au bord de l'explosion, mais je n'arrive pas à éjaculer !
Les sexes s'enchainent, toujours plus épais.
Je sens que mon anus est trempé et dégoulinant.
J'entend comme une sonnerie, qui devient de plus en plus forte et claire.
Puis, une lumière m'aveugle, J'arrive à ouvrir mes paupières.
Non ! Pas ça ! Tout ça n'est qu'un rêve !
Mais ce qui est réel, c'est mon érection ! J'en ai mal à la queue !
Même ma position, sur le ventre avec mon cul en bombe, trahit mon envie de me faire prendre.
Je touche mon anus, il est un peu ouvert et humide !
Je choisis de ne pas répondre à ce maudit téléphone.
Je suis trop dégouté par la dure réalité !
Le fantasme de refaire la pute de chantier me reprend, je dois lutter pour ne pas recommencer !
Je bois mon café, après mon passage aux toilettes, matinal.
Je prend mon téléphone.
"Allo ?".
"Gilles ?".
"Pascal ! Mon chéri ! Tu me manques ! Qu'est-ce qu'il y a ? Tu veux que je passes te voir demain, au magasin ?".
"Non ! Viens maintenant ! J'ai trop envie ! Je vais être cash ! Ma chatte réclame ta grosse bite ! Il faut que tu m'encules !".
"Bouges pas ! J'arrive !".
Quand il passe ma porte, je ferme vite le loquet, et me jette à ses pieds, en le collant contre le mur.
Je veux sa verge !
Mon déballage est rapide et pervers, ma langue le lèche déjà avec vice.
"Putain, chéri ! T'as faim ! Orhhhh ! C'est bon ! Encore ! J'ai bien fait de venir, moi !".
Il bande très rapidement, dans ma gorge chaude et humide.
Je le pompe comme une salope en manque.
Puis, je l'attire vers mon salon, j'étais déjà nu en l'attendant.
Il se hâte de se dénuder, pendant que je lui dévore encore la queue.
Cela, tout en m'enduisant l'anus de gel lubrifiant.
Puis, je l'allonge sur mon canapé.
Je grimpe sur lui.
Je me penche en arrière, pour guider son gros gland entre mes fesses.
Je m'étonne moi-même de la rapidité de cette pénétration.
Il glisse lentement, en me comblant extrêmement bien les parois anales.
Sans barrières !
"Arghhhhhhhhhhhh ! Gilles ! Arghhhhhhhhh ! Enfin ! Tu es là ! Orhhh ! Merci ! C'est trop bon de t'avoir dans le cul !".
"Hummm ! Je viens quand tu veux ! Mon p'tit chat ! Tu le sais !".
"Orhhh ! Pardon de ne pas baiser plus souvent avec toi !".
"On parlera de ça, après ! Bouges ! Fais toi plaisir !".
"Orhh ! Oui, j'en ai besoin ! Regardes comme je bande !".
Je profite d'un long moment de baise à deux.
Nos mouvements se coordonnent parfaitement.
Il me fait atteindre plusieurs orgasmes puissants.
Et ceux là sont réels ! Ce n'est plus un rêve !
Puis, je m'impatiente, j'en veux plus !
Je me positionne sur les pieds, pour m'empaler plus fort et plus vite.
Je cogne très fort sur son bas ventre, avec mes fesses poisseuses.
Ma chatte lui trempe les couilles et la verge.
Je crie à chaque enfoncée anale profonde.
Je vais atteindre mon but ultime, mon besoin d'éjaculation me gagne.
Je continue de plus belle, en me secouant la verge avec les doigts.
Je veux éjaculer, en explosant sur lui.
"Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Oui, ça y est ! Je joui, c'est ça que je voulais ! Arghhhhhhhh ! ...".
Mon foutre s'expulse comme rarement, à cause de ma masturbation frénétique.
Je me défonce la chatte, en même temps que je crache mon sperme.
C'est trop bon, je ne me contrôle plus !
"Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Chéri, Gilles ! Je t'aime, quand je jouis comme ça ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! ...".
Je termine de jouir en secousses, sur sa grosse bite.
Mes doigts sont poisseux, son torse est pollué de foutre chaud.
Puis, je m'écroule sur lui pour l'embrasser.
"Hummmmm ! C'était bon ! Chaton ! J'ai adoré te voir jouir comme ça !".
"Hummmm ! Merci d'être venu, j'en avais trop besoin ! Je crois que j'ai rêvé qu'on m'enculait toute la nuit ! Merci d'être là ! Je t'adore !".
Ce moment de calme me fait du bien, il dure quelques minutes, qui me régénèrent.
Je me lève, et me place sur ma table de salon.
Mes fesses sont offertes, ma tête est collée contre le plateau, en position de chienne soumise.
"Viens ! Fais toi plaisir, toi aussi ! Défonces-moi la chatte !".
Il me transperce d'une traite, en faisant glisser ma face sur le plateau de la table.
"Arghhhhhhhh ! Oui ! Comme ça, chéri ! Arghhhhhhhh ! ...".
"Putain, j'adore t'enculer comme ça ! Comme une pute, t'aimes ça toi aussi ! Salope !".
"Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Oui...".
Il se déchaine sans retenue, c'est son moment !
Très logiquement, après une éjaculation de ma part, il me fait vider ma vessie.
C'est son plaisir favori, il jubile !
La pièce est emplie de bruits de claquements de ventre contre mes fesses.
De râles emmêlés, de flatulences anales et d'écoulements d'urine claire.
Tout ça l'excite !
Il craque, et me rempli l'anus de foutre, pendant que je me déverse encore sur la table.
Le moment est pervers et intense, on ne veut pas qu'il s'arrête trop rapidement.
On bouge l'un dans l'autre, encore très longtemps !
Je suis heureux ! J'ai connu le moment que je désirais, avec l'homme que je préfère !
"Je te comprendrai jamais, Pascal ! Tu me laisses pas te baiser, assez souvent ! Pourtant, tu en as besoin ! Reconnais le !".
"Je sais ! C'est comme ça ! Ca fait partie de mes défauts ! Mais, merci de le supporter ! Je vais faire des efforts ! Je te le promets".
"Ce serait bien, surtout quand on sait, que Corinne t'y encourage !".
"Oui, c'est vrai ! Ca vient de moi ! Je m'excuse".
On nettoie les effets de notre baise vicieuse, juste avant que ma femme ne surgisse dans l'appartement.
Elle nous trouve, autour d'un verre, dans la cuisine.
"Bon, je vous demande pas ce que vous avez fait, ce matin !".
"Non, tu as tout deviné ! C'était bien bon, encore ! Hein, chaton ?".
"Oui, c'était parfait ! Comme toujours !".
Je prépare le repas de midi, pendant que les deux personnes qui me rendent heureux, plaisantent à mon sujet.
"Bon, je vais vous laisser manger en amoureux !". Dit Gilles.
"Non ! Manges avec nous ! Je vais retourner bosser avant 14 h ! Vous pourrez encore baiser après, si vous voulez !". Ajoute ma femme.
"Pascal ? T'en penses quoi ?".
"Si, elle te le propose !".
"Bon ! OK ! Je reste ! Moi qui pensais avoir besoin d'aller au Sex-Shop ! J'en aurai pas besoin !".
"Au Sex-Shop ? Pourquoi ? Tu as Pascal !".
"Oui, mais en ce moment, il veut que j'espace mes visites au magasin !".
"Bébé ! Tu peux pas lui faire ça ! Tu dois faire des efforts ! C'est pas toi, qui me disait qu'on devait assumer nos relations, même si on en a pas envie ?".
"Oui ! Je sais ! Désolé Gilles ! Tu peux revenir quand tu en as envie ! J'ai eu tort !".
Corinne nous a laissé, et il m'a encore possédé pendant une heure, suivi d'une longue sieste entre hommes.
Il a reprit son ancien rythme de visite, deux à quatre fois par semaine.
Parfois, je baisais plus avec lui, qu'avec Corinne, mais cela ne la gênait pas !
J'attends mon bus, il est presque 19 heures !
Je regarde passer les voitures, quand soudain, un homme me sourit, derrière son volant.
C'est un de mes amants !
L'homme s'appelle Robert, c'est un cinquantenaire viril et homo.
Il vit en couple, avec un homme que je n'ai jamais rencontré.
Il me klaxonne, et s'arrête pour m'attendre.
Je me penche coté passager, pour lui parler.
"Qu'est-ce que tu fais là ?".
"Devines ! Je viens du cinéma porno ! Tu tombes bien, j'ai pas trouvé ce que je voulais ! Ou tu vas ? Je peux t'emmener, si tu veux !".
Je regarde les gens qui nous fixent, à quelques mètres, dans l'arrêt de bus.
Je me dis qu'il est impossible, qu'ils devinent que Robert me baise dès qu'il peut !
Je réponds à voix basse:
"Euh ! Tu vas vouloir me baiser ! Je suppose ?".
"Tu supposes bien ! Ca me ferait plaisir ! T'as pas envie ?".
"Ben ! Pas vraiment, j'y pensais pas ! Mais, le fait de te voir, commence à faire son effet ! Pourquoi pas ? Tu connais un coin tranquille ?".
"Oui, je pense à un endroit, fais moi confiance !".
Je monte dans l'auto, il me caresse la cuisse avec un regard lubrique, puis démarre.
Il me parle de son activité professionnelle, celle qu'il partage avec son compagnon.
"Il se doute pas que tu le trompes ?".
"Non ! Je pense pas ! Mais il est très jaloux ! Si il te voyait, il devinerait que tu me plais, t'es mon genre de mec !".
"Je sais ! Tu me le dis souvent ! C'est surement pour ça que tu te lasses pas de moi ! Où on va ?".
"Il y a un terrain vague, à la sortie de Toulon ! J'y ai baisé un mec, un soir ! Tu vas être surpris !".
Je le vois se diriger vers un endroit presque désert, muni de tas de graviers, de sable, et de baraques de chantier.
Quelques véhicules sont garés, les uns près des autres.
"Robert ! Il y a encore des ouvriers ! On peut pas baiser ici !".
"On va s'enfoncer plus loin ! T'inquiètes pas !".
En effet, il cache sa voiture, derrière un énorme amas de petits cailloux gris.
Personne ne peut nous voir, en plus, le jour commence à disparaitre, pour laisser place à la nuit.
Il vient m'ouvrir la porte, puis me colle à sa voiture pour me palper le corps.
Je me sens piégé, j'ai une vraie envie de lui, à présent !
Mais l'endroit et la situation, me bloque et me fait peur !
"Robert ! J'ai peur qu'on nous surprenne ! Orhhhh !".
"Laisses toi faire ! Je sais que t'en as envie ! Tu serres bien ma bite entre tes doigt ! Tu me branles avec envie, salope !".
"Orhhh ! Oui ! Tu bandes bien dur ! Ca m'excite ! Tu me connais bien !".
"Putain, j'vais t'enculer sur mon capot, tu vas prendre ton pied, mon p'tit chéri !".
il nous tourne, afin de s'appuyer contre le véhicule, et m'impose de me baisser devant sa braguette ouverte.
Je saisi sa verge dure et épaisse, pour l'enfoncer dans ma gorge humide d'envie.
"Orhhhh ! Ouais, Pascal ! Comme ça ! Tu me suces toujours aussi bien ! Continues comme ça ! Hummmmmm !".
Il me couvre les oreilles, en me saisissant le visage, et entame une possession perverse de ma gorge.
Je gémis d'excitation, j'aime plus que tout, cette domination buccale.
Je suis sourd aux bruits extérieurs, ce qui me permet de me concentrer sur mon plaisir, de le sucer avidement.
Je m'abandonne complètement à ce plaisir, en fermant mes yeux.
Je sens qu'il cherche à faire pivoter mon visage, j'ouvre les yeux.
Je suis face à une autre verge inconnue.
Je lève les yeux, c'est un homme d'origine étrangère, d'une cinquantaine d'années.
Il m'enfonce sur sa bite foncée.
En me faisant baiser la bouche, je comprend qu'il n'est pas le seul inconnu autour de moi.
Des mains soulèvent mes hanches et relèvent mon Tee-shirt.
Mon Jeans est défait, dévoilant mon fessier aux inconnus.
"Hummm ! On va se régaler ! Il arrive au bon moment, celui-là ! Merci Robert !".
"Mmmmm ! Mmmmm ! Robert ? Tu les connais ? Mmmmm !".
"Laisses toi faire chéri ! Tu vas adorer ça ! C'est pas la première fois que tu te fais baiser par plusieurs hommes ! Je t'ai déjà vu le faire, souvent !".
J'assiste à mon déshabillage intégral, je dois remettre mes chaussures pour plus de confort, à la fin.
On me plie sur les queues en érection devant moi.
Des tas de mains me palpent le cul, me sollicitent l'anus, en cherchant à s'y insérer.
Je glousse comme une salope excitée, en suçant plusieurs bites à la fois.
Je n'arrive pas à me rappeler le nombre d'hommes présents !
Peut être 7 ! Ou huit avec mon amant ?
Le plus jeune, 35 ans environ, et le plus grand d'entre eux, me colle contre son long membre.
Je me fais transpercer analement devant les autres.
Sa longue bite, me pénètre en moins de dix tentatives.
Je m'étouffe sur ce que j'ai dans la gorge.
C'est trop bon ! Son gland entame sa destruction anale, en cognant contre mon coccyx.
Je commence à me faire envahir par le plaisir de cette queue en moi.
L'homme se fait motiver par les autres.
J'entend les consignes qui sont claires.
Il doit me faire crier en m'enculant comme une pute, me défoncer comme une salope !
M'éclater la chatte, c'est tout ce que je mérite !
Je vis mes premières envolées orgasmiques anales, c'est trop bon !
Un bruit de moteur me révèle qu'on a approché un trans palette, avec un plateau improvisé.
On m'y étale, et un autre prend son tour pour m'enculer.
Je peux gouter la verge encore couverte de mon jus anal, celle qui m'a tant fait de bien en m'enculant !
Je m'applique à lui rendre tout le plaisir que j'ai vécu !
Mais je joui encore, et c'est une autre bite qui me défonce !
Les hommes m'empalent tour à tour, tantôt sur le ventre, et sur le dos !
Puis Robert prend ma place, en me demandant de monter sur sa queue.
Le plus jeune, colle son long membre, et parvient sans mal à me pénétrer en même temps.
Je me laisse aller, à crier mon plaisir de les recevoir ensemble.
Je me fais traiter de pute, et tous les insultes possibles.
Mais je m'en moque, je suis à ma place, encore une fois !
Je ne veux pas être ailleurs !
Le jeune ne résiste pas longtemps, il sort sa longue bite pour m'arroser le haut de l'anus, avec son foutre.
Puis, il laisse le suivant prendre sa place.
Comme il est plus gros, je râle en me faisant écarteler la chatte.
Un phénomène étrange m'interpelle, je bande comme un âne, depuis qu'on m'encule !
Je sens que je suis au bord de l'explosion, mais je n'arrive pas à éjaculer !
Les sexes s'enchainent, toujours plus épais.
Je sens que mon anus est trempé et dégoulinant.
J'entend comme une sonnerie, qui devient de plus en plus forte et claire.
Puis, une lumière m'aveugle, J'arrive à ouvrir mes paupières.
Non ! Pas ça ! Tout ça n'est qu'un rêve !
Mais ce qui est réel, c'est mon érection ! J'en ai mal à la queue !
Même ma position, sur le ventre avec mon cul en bombe, trahit mon envie de me faire prendre.
Je touche mon anus, il est un peu ouvert et humide !
Je choisis de ne pas répondre à ce maudit téléphone.
Je suis trop dégouté par la dure réalité !
Le fantasme de refaire la pute de chantier me reprend, je dois lutter pour ne pas recommencer !
Je bois mon café, après mon passage aux toilettes, matinal.
Je prend mon téléphone.
"Allo ?".
"Gilles ?".
"Pascal ! Mon chéri ! Tu me manques ! Qu'est-ce qu'il y a ? Tu veux que je passes te voir demain, au magasin ?".
"Non ! Viens maintenant ! J'ai trop envie ! Je vais être cash ! Ma chatte réclame ta grosse bite ! Il faut que tu m'encules !".
"Bouges pas ! J'arrive !".
Quand il passe ma porte, je ferme vite le loquet, et me jette à ses pieds, en le collant contre le mur.
Je veux sa verge !
Mon déballage est rapide et pervers, ma langue le lèche déjà avec vice.
"Putain, chéri ! T'as faim ! Orhhhh ! C'est bon ! Encore ! J'ai bien fait de venir, moi !".
Il bande très rapidement, dans ma gorge chaude et humide.
Je le pompe comme une salope en manque.
Puis, je l'attire vers mon salon, j'étais déjà nu en l'attendant.
Il se hâte de se dénuder, pendant que je lui dévore encore la queue.
Cela, tout en m'enduisant l'anus de gel lubrifiant.
Puis, je l'allonge sur mon canapé.
Je grimpe sur lui.
Je me penche en arrière, pour guider son gros gland entre mes fesses.
Je m'étonne moi-même de la rapidité de cette pénétration.
Il glisse lentement, en me comblant extrêmement bien les parois anales.
Sans barrières !
"Arghhhhhhhhhhhh ! Gilles ! Arghhhhhhhhh ! Enfin ! Tu es là ! Orhhh ! Merci ! C'est trop bon de t'avoir dans le cul !".
"Hummm ! Je viens quand tu veux ! Mon p'tit chat ! Tu le sais !".
"Orhhh ! Pardon de ne pas baiser plus souvent avec toi !".
"On parlera de ça, après ! Bouges ! Fais toi plaisir !".
"Orhh ! Oui, j'en ai besoin ! Regardes comme je bande !".
Je profite d'un long moment de baise à deux.
Nos mouvements se coordonnent parfaitement.
Il me fait atteindre plusieurs orgasmes puissants.
Et ceux là sont réels ! Ce n'est plus un rêve !
Puis, je m'impatiente, j'en veux plus !
Je me positionne sur les pieds, pour m'empaler plus fort et plus vite.
Je cogne très fort sur son bas ventre, avec mes fesses poisseuses.
Ma chatte lui trempe les couilles et la verge.
Je crie à chaque enfoncée anale profonde.
Je vais atteindre mon but ultime, mon besoin d'éjaculation me gagne.
Je continue de plus belle, en me secouant la verge avec les doigts.
Je veux éjaculer, en explosant sur lui.
"Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Oui, ça y est ! Je joui, c'est ça que je voulais ! Arghhhhhhhh ! ...".
Mon foutre s'expulse comme rarement, à cause de ma masturbation frénétique.
Je me défonce la chatte, en même temps que je crache mon sperme.
C'est trop bon, je ne me contrôle plus !
"Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Chéri, Gilles ! Je t'aime, quand je jouis comme ça ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! ...".
Je termine de jouir en secousses, sur sa grosse bite.
Mes doigts sont poisseux, son torse est pollué de foutre chaud.
Puis, je m'écroule sur lui pour l'embrasser.
"Hummmmm ! C'était bon ! Chaton ! J'ai adoré te voir jouir comme ça !".
"Hummmm ! Merci d'être venu, j'en avais trop besoin ! Je crois que j'ai rêvé qu'on m'enculait toute la nuit ! Merci d'être là ! Je t'adore !".
Ce moment de calme me fait du bien, il dure quelques minutes, qui me régénèrent.
Je me lève, et me place sur ma table de salon.
Mes fesses sont offertes, ma tête est collée contre le plateau, en position de chienne soumise.
"Viens ! Fais toi plaisir, toi aussi ! Défonces-moi la chatte !".
Il me transperce d'une traite, en faisant glisser ma face sur le plateau de la table.
"Arghhhhhhhh ! Oui ! Comme ça, chéri ! Arghhhhhhhh ! ...".
"Putain, j'adore t'enculer comme ça ! Comme une pute, t'aimes ça toi aussi ! Salope !".
"Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Oui...".
Il se déchaine sans retenue, c'est son moment !
Très logiquement, après une éjaculation de ma part, il me fait vider ma vessie.
C'est son plaisir favori, il jubile !
La pièce est emplie de bruits de claquements de ventre contre mes fesses.
De râles emmêlés, de flatulences anales et d'écoulements d'urine claire.
Tout ça l'excite !
Il craque, et me rempli l'anus de foutre, pendant que je me déverse encore sur la table.
Le moment est pervers et intense, on ne veut pas qu'il s'arrête trop rapidement.
On bouge l'un dans l'autre, encore très longtemps !
Je suis heureux ! J'ai connu le moment que je désirais, avec l'homme que je préfère !
"Je te comprendrai jamais, Pascal ! Tu me laisses pas te baiser, assez souvent ! Pourtant, tu en as besoin ! Reconnais le !".
"Je sais ! C'est comme ça ! Ca fait partie de mes défauts ! Mais, merci de le supporter ! Je vais faire des efforts ! Je te le promets".
"Ce serait bien, surtout quand on sait, que Corinne t'y encourage !".
"Oui, c'est vrai ! Ca vient de moi ! Je m'excuse".
On nettoie les effets de notre baise vicieuse, juste avant que ma femme ne surgisse dans l'appartement.
Elle nous trouve, autour d'un verre, dans la cuisine.
"Bon, je vous demande pas ce que vous avez fait, ce matin !".
"Non, tu as tout deviné ! C'était bien bon, encore ! Hein, chaton ?".
"Oui, c'était parfait ! Comme toujours !".
Je prépare le repas de midi, pendant que les deux personnes qui me rendent heureux, plaisantent à mon sujet.
"Bon, je vais vous laisser manger en amoureux !". Dit Gilles.
"Non ! Manges avec nous ! Je vais retourner bosser avant 14 h ! Vous pourrez encore baiser après, si vous voulez !". Ajoute ma femme.
"Pascal ? T'en penses quoi ?".
"Si, elle te le propose !".
"Bon ! OK ! Je reste ! Moi qui pensais avoir besoin d'aller au Sex-Shop ! J'en aurai pas besoin !".
"Au Sex-Shop ? Pourquoi ? Tu as Pascal !".
"Oui, mais en ce moment, il veut que j'espace mes visites au magasin !".
"Bébé ! Tu peux pas lui faire ça ! Tu dois faire des efforts ! C'est pas toi, qui me disait qu'on devait assumer nos relations, même si on en a pas envie ?".
"Oui ! Je sais ! Désolé Gilles ! Tu peux revenir quand tu en as envie ! J'ai eu tort !".
Corinne nous a laissé, et il m'a encore possédé pendant une heure, suivi d'une longue sieste entre hommes.
Il a reprit son ancien rythme de visite, deux à quatre fois par semaine.
Parfois, je baisais plus avec lui, qu'avec Corinne, mais cela ne la gênait pas !
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