Dessert 1/3

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Dessert 1/3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2024 dans la catégorie Plus on est
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Dessert 1/3
Bonjour,
Avant toute chose un petit rappel important :

Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins (moi y compris) ont respecté le port de d'un CONDOM qui respecte toutes les normes en vigueur pour une protection maximum pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.



Un dessert pas comme les autres




Chapitre 1

22.05.2015

Ce soir, Caline et moi sommes invités à dîner dans un restaurant, supposé être très select et très chic, que nous ne connaissons pas.
Sur le trajet en voiture, Caline plaisante sur le coté secret de notre destination. Que je vous explique :

Nous avons reçu une invitation nominative par la poste. Un "Noté Béné" y était inscrit nous précisons qu'il va falloir porter un masque (non pas chirurgical :) !) avant de pénétrer dans la salle où doit se dérouler le dîner.
Point barre.
Aucun autre détail, ni le thème de la soirée, ni qui organise cet événement... Juste ľadresse et ľheure.
Bref, un flou total. À vrai dire au début, nous avons presque jeté le carton, mais la providence, ou le hasard, en avait décidé autrement, car je suis tombé sur cette invitation hier en rangeant les journeaux.

— Caline... Tu te rappel de cette invitation pour dîner dans le resto du Château ? Cris-je, vu que ma douce était dans la cuisine.
— Celui où on doit porter un masque ?
— Tout à fiiii (fait)... C'est prévu pour demain soir... Ça ne te dis pas d'y aller ? Imagine que c'est une soirée mystérieuse où il va y avoir un crime et qu'il nous faut jouer les Sherlock Holmes et celui qui trouve le coupable gagne 100.000€ ?
— Tu lis trop de livres policier toi... Et si c'était un plan pour nous kidnapper ?
— Tu plaisante... J'ai même pas 10.000€ à la banque !
— J'vais y réflechir !

Vous l'avez sûrement compris, Caline, de nature joueuse et vu que cette intriguante invitation lui avait mis la puce à l'oreille, elle donne son accord.
Une fois les enfants confiés à mes beaux-parents à qui nous avons aussi fait quelques recommandations au cas où... Nous avons pris la voiture après avoir vétu nos plus beaux habits.
Je dois reconnaître que cela me mettait aussi dans un état étrange car ici se mélange un désir fou de découvrir la faim (ici je fais un jeu de mot avec "fin" puisqu'il s'agit ďun dîner) de l'histoire et la peur de l'inconnu.
Caline me taquine en s'imaginant les choses les plus saugrenues et les plus osées même sexuelles car cela fait maintenant partie courante de notre vie. Mais je sens qu'au fond, elle sur la défensive, car sa poitrine a de légères contractions qui trahaissent son état. Elle est aussi nerveuse que moi et assez excitée par cette étrange invitation. Même le ton de sa voix est à la fois grave et chaude comme une chatte en chaleur (merde... Je ne pense qu'à ça ! Il me faut aller voir un psy. Hihihi...).
Avant même qu'on parte et qu'elle était entrain de ce faire belle, elle bougeait avec une flute de champagne à la main, d'ailleur, elle a vidé la moitié de la bouteille. Je ne vous raconte pas l'êtat dans le quel état elle se trouve, surtout que l'alcool la chauffe grave et son regard pétille déjà de sensualité... Voire, de luxure me dois-je dire.
Elle regarde à travers la vitre de la voiture les bandes blanches qui défilent sur le bord de la route qui réflechissent la brillance de la pleine lune.
Je lui jette furtivement des coups ďœil. Elle s'était vétue sobrement, une robe noire, longue et très collée à son corps, boutonnée sur le devant par une brillante et délicieuse rangée de boutons nacrés (15 pour être précis).
Dans la pénombre, je ne peux apercevoir d'elle que ses longs cheveux noirs, ces boutons nacrés qui enferment son corps dans cette robe et les escarpins noirs qui terminent ses longues jambes gainées de noir.
Je me pose, bien sûr, la question de ses jambes, justement !
Avait-elle mis des bas ou des collants ? (Allo docteur... C'est pour une urgence... j'ne pense qu'à ça !).

Perdu dans mes pensées, je ne me suis pas aperçu que notre destination est bientôt atteinte. Un batiment tout en pierre se dessine à la lumière des phares. Sur le parking, il y avait deux autres automobiles, de grosses cylindrées.
En montant les quelques marches de l'imposant perron qui mène dans la salle de restaurant, je bâve une énième fois sur la beauté des hanches de ma femme (bon j'arrétes là avec la blague du docteur). Des hanches larges et biens dessinées, malgré les deux grosses, des hanches faites pour être caressées, des hanches qui appellent deux mains pour les empoigner et assurer une vigoureuse pénétration. Caline doit certainement sentir mon regard (comme toutes les femmes qu'on mange des yeux) car elle exagère sa démarche ondulante et la cambrure de ses reins, là où le dos ressemble à un croissant de lune.
Habillée comme elle est, ma princesse ressemble à une panthère noire avec cette démarche si gracieuse, c'est tout juste si elle toucher le sol avec ses hauts talons.
Nous sommes entrés dans un espace feutré avec de grandes tables en bois recouvertes de nappes noires et de grands chandelliers sur les quels coule la cire rouge des bougies.
En rentrant du boulot, j'avais fait un détour par la rue la Fayette, pour acheté 2 masques ou 2 loups dans une boutique de farce et attrape.
Caline a mis son loup rouge en descendant de la voiture, avant ďaller plus loin dans cette aventure. Le masque que je lui avait choisi pour la circonstance recouvre à peine son visage mais lui donne toute fois un air mysterieux et terriblement sensuel.
On nous désigne une table au centre de la salle.
Seules, deux tables étaient occupées. Assis à la table la proche de nous, il y a deux hommes qui entament leur repas un peu plus au fond de la salle, un couple a pris place. On voit bien qu'ils chuchottent en lançant des regards vers ma douce moitié. Tous sont également masqués de parures diverses :
Est-ce ľoriginalité de ce restaurant ?
Assurer une discrétion absolue à ses clients ?
Bizarre... Car, à mon humble avis, si je veux assurer la discrétion de mes convives, je m'y prendrais autrement avec des tables dans des chambres séparées et je pousserai la discrétion à son top, en faisant sortir les clients par une autre porte que celle par la quelle ils sont entrés.
Et ce qui est bizarre aussi :
Pourquoi sommes nous invités ?

Partageant mes constatations avec Caline, une fois que nous avons pris place à la table qui nous a été réservée, elle, aussi, me fait part de sa surprise avec un regard, qui est plutôt amusé et assez pétillant.
Elle m'avoue que le charme, l'ambiance, les odeurs et la discrétion de cet endroit a réveillé des sensations indéfinisables et inconnues chez elle, mais qu'aucunes ďentre elles ne la repoussait à aller de l'avant, à découvrir ce qui se cache derrière ce mystérieux dîner.

— Moi aussi je me sens plus à l'aise, cet atmosphère me plais beaucoup également ! Réponds ai-je.

Avant même de regarder la carte et commander le dîner, Caline a déjà demandé qu'on lui ramène une bouteille de champagne.

— C'est juste pour continuer sur la bonne lancée... Ne dit-on pas que le champagne porte chance ? A-t-elle précisé.

Depuis notre entrée, je ne pouvais pas, ne pas remarqué que l'allure de Caline avait accroché le regard du maître d'hôtel qui avait pour mission de nous conduire à notre table, mais elle avait surtout attiré l'attention des deux hommes qui dinent prés de nous, à moins de trois mètres. Je vois bien qu'ils se font des messes basses et je maudit le ciel de ne pouvoir rieb entendre de ce qu'ils se disent. Caline a remarqué mon trouble, ďune part, et d'autre part, le trouble que cet air chaud, sensuel que son corps diffuse, volontairement ou non, sur nos voisins.

— Tu vois les deux hommes assis à la table voisine ? Lui dis-je dans un murmure... Ils n'arrêtent pas de te bouffer des yeux ?
— Bien sûr ! Me répond la coquine... Et je me sens toute chose... Je vais bien jouer de mes charmes avec eux ! T'es partant ? Dit-elle sûre d'elle-même, de son sex-apppeal, en prononçant ses mots et cette perspective de ses petits jeux sensuelles.
— Et depuis quand tu demande mon avis ou mon approbation ? Quoi que tu décide de faire je te jure d'être présent pour te protéger, protéger notre honneur ! Dis-je avec un grand sourire, avant d'ajouter : Tournes toi un peu et regarde les !

Dans un léger frémissement de tissu, Caline pivote en tenant sa flute dans sa main droite et en léchant du bout de sa langue une gouttelette qui glisse doucement le long de ce verre... Dans le mouvement, son buste a tremblé et nos voisins, qui n'ont rien raté, ont pu ainsi en deviner la fermeté et la rondeur de la poitrine de ma belle.
Caline remarque rapidement la lumière qu'elle a allumé dans les yeux des deux hommes et se baisse juste un peu pour faire bouger ses seins une nouvelle fois et attiser encore un peu plus le désir de nos deux inconnus masqués qui ont détourné leurs regards de leurs assiettes pour fixer les deux tétons qui pointent sous le tissu léger de la robe, tellement ma coquine est excitée. Caline reprend sa position, face à moi, saisit sa fourchette et commence son dîner.

— Je crois que tu les as bien allumé ! Lui dis-je. En rout cas.. C'est mon cas... Tu ne peux pas les laisser dans cet état là... Regardes, ils n'en peuvent plus. Ils te dévorent des yeux !

Précisemment à cet instant là, le garçon de salle vient me remettre une petite enveloppe. Hummm... Encore un mystère qui s'ajoute à cette mystérieuse soirée.
Je l'ouvre et en retire une carte. C'est comme si tout était déjà planifié ďavance. Il y a une note et aussi un billet de 200€.
Je lis lentement, à ľoreulle de Caline :

"Monsieur, votre femme est divinement belle et excitante. Nous voudrions en voir plus et nous régaler de la vision de son corps".

Caline sourit, prend le billet qui se trouve dans ľenveloppe, se tourne franchement vers la table de nos voisins et commence à défaire, un par un, les boutons de sa robe.
Au bout du cinquième, elle s'arrête et tira légérement sur le tissu pour en écarter les pans et offrir aux regards avides des deux hommes la naissance de sa gorge. Elle fixe ici les règles de son jeu :

— Le prix de mon corps est en équation avec le nombre des boutons... Il double ou il triple, il est pour moi une de mes ressources perverses de profit ! Dit-elle.

J'ai un peu de mal à comprendre, mais elle me fait un clin ďœil complice et se penche vers moi pour lécher avidement et sans retenu mes lèvres dans un long et sulfureux baiser.

A Suivre...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très excitant...
Vivement la suite


Cyrille



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