Dessert 3 et finito
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2024 dans la catégorie Plus on est
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Dessert 3 et finito
Salut à vous,
Comme il est d'usage, je tiens à faire un petit rappel assez important :
Pour des raisons ďéconomie de temps, ou par oubli, parfois, je n'ai pas pris la peine ou le temps de préciser que tous les acteurs masculins (moi y compris) ont respecté le port d'un CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et des MST, mais aussi pour protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause, mais bien évidemment, je me dois le porter avec des inconnu(e)s.
J'oublie toujours de préciser aussi, que lors de nos jeux de "bites" préalablement organisés nous insistons pour que tous les acteurs, actrices, nous aussi, présent(e)s puissent présenter un test valable, indiquant notre bonne santé.
Bon,
Résumé :
Les jeux sont fait !
Chapitre 3
Je déplace ma chaise et m'installe face à Caline, ma petite coquine, pour mieux observer la suite de l'exhibition et les ébats qui vont suivre. Je sors mon sexe et continu à l'astiquer en regardant les yeux de ma femme.
— C'est ça, montre moi ta belle queue et continu à te branler en me regardant faire la... PUTE pour ces deux mecs et pour toi aussi - Dit-elle en les fixant, et en passant sa langue sur ses lèvres - Je suis prête... Qu'en est-il de vous messieurs ?
Comme par magie, des billets tout neufs apparaissent sur le corps de nymphe et quatre mains se promenent, doucement, sur son corps, faisant sauter un par un les boutons de sa robe, jusqu'au dernier bouton nacré. Alors, ils ouvrent les pans du tissu et mettent à la lueur des bougies ce somptueux corps de femme. Ma belle femelle a choisi de se revêtir, non pas d'un collant comme je l'avais cru, mais ďune combinaison noire qui couvrait entièrement sa peau du bout des pieds à son cou.
Elle apparait ainsi encore plus désirable que si elle été nue.
Ma délicieuse femelle a une anatomie que les mots ne sauraient décrire. Je connais ce corps par cœur, mais en la voyant là, ainsi offerte, sur une table de restaurant, mon sang a pris quelques degrés au dessus des trente sept-deux de ce matin.
Il y avait quelque chose qui frise le surréalisme dans la vision de cette scène. Mon sexe grossit à vue ďœil, sans que je le touche, juste avec les ondes que les yeux de ma Caline me transmettent.
Ses deux seins m'apparaissent déjà bien gonflés sous le désir et ses tétons ont pris la forme de deux obus coniques, à travers le fin tissu de nylon qui la moule comme une seconde peau, et qui n'attendent que le moment où on va les prendre entre nos lèvres pour les désarmer.
Nos inconnus ont quitté leurs chaises pour mieux admirer cette œuvre d'art que notre créateur nous a gratifié de sa présence sur terre !
Je m'arrête ici, un petit instant pour vous amener à réflechir sur un sujet philosophique (il n'y a pas que le "cul" dans mes récits).
Trois choses régissent ou font tourner le monde : le sexe, le pouvoir et ľargent !
Voyez vous même... Ici, Caline joue avec son sexe pour obliger (le pouvoir) des gens à lui donner de ľargent. Et c'est comme-ça depuis la nuit des temps. CQFD.
Bref,
Chaque chef-ďœvre a son prix... Et cette belle femelle (mêmr moi j'ai payé pour ľavoir dans ma vie) ne demande ou plutôt mérite que ľon mette sa main à la poche ne serait-est ce que, pour la regarder. Bon, il est vrai aussi que... Caline est une vraie petite chienne que l'argent, facilement gagné, pousse à la perversion... Ou alors c'est le contraire ?
Chai plus...
Bon... Poursuivons notre récit,
Donc, Caline s'adresse aux quatre hommes présents :
— Voici de quoi assouvir tous vos désirs... Je veux que vous déchiriez la combinaison que je porte, à ľendroit qu'il vous plaira... Je veux et je vous autorise à me traitier comme une chienne qui va vous faire exploser la queue... Mais attention... Vous devez avoir assez de billets pour me pousser à bout et que je devienne la cochonne que vous voulez baiser ?
Sans protester, les deux hommes posent deux liasses, un de 20€ et un de 50€, sur la table et commencent à déchirer le nylon noir.
Je fais un rapide calcule : 7.000€ ?
Eh ben merde alors...
Le plus jeune des deux hommes, déchire le tissu au niveau de ľentrejambe de la reine de la nuit, qui met immédiatement à nu deux lèvres bien gonflées qu'aucune toison ne couvre. Depuis son plus jeune âge, Caline a coutume de s'épiler la chatte, plus par soucis ďhygiène qu'autre chose.
Le plus âgé, avec une paire de ciseaux que lui a apporté le maître ďhôtel, découpe de deux trous pour faire jaillir les tétons qui doivent souffrir le martyre emprisonnés qu'ils sont, sous la combinaison. Les deux "tétobus" (téton+obus=tétobus) sombres ainsi libérés pointent agressivement.
Pendant ces premières "déchirures", Caline couvre les deux bananes d'un étui de latex qu'elle avait caché dans la poche de sa robe (prévoyante comme toutes les salopes qui se respectent) et les enfouis goulûment entre les larges lèvres de son trésor féminin trompé par tant ďexcitations.
Nous regardons tous les quatre, cette femme qui va s'offrir aux deux fruits longs et bien raides sans se soucier de ľassistance.
Le maître ďhôtel s'est précipité pour prendre part au jeu érotique et a étalé sur la nappe tous ses pourboires. Il fixe des yeux la table sur le quel est allongé le corps à moitié nue de cette belle cliente qui se veut être un dessert voluptueux. Il a fermé les portes, tiré les rideaux et éteint toutes les lumières. Seules les bougies seront les témoins des tremblements de plaisir qui vont secouer ce corps de déesse.
La combinaison lacérée transforme cette sirène en tigresse qui miaule de faim, attendant de pouvoir se rassasier de ces quatre lances à foutre tout rouge et bien durs qui la narguent sous ses yeux implorants une fin.
N'ayant rien de mieux à mettre sous la dent, ou dois-je dire, dans la moule, Caline, avec autorité et en nous regardant ďun air qui fait honte à défier, descend une banane vers un ravin, plus que moite, se trouvant entre ses cuisses. Elle le promène sur les rives humide de cette région, frappe les parois de sa grotte avec le fruit qui a été revêtu d'un latex noir et ľintroduit doucement dans son ventre... Jusqu'à le sentir buter le fond de son nid !
C'est la première fois que Gustave, le maître ďhôtel, assiste à un tel spectacle érotique, même dans les films X hards ou moins hards, il n'a eu le plaisir de voir ça... Une femme - et quelle femme - qui se fait une "auto-pénétration" comme celle qu'il à laquelle il est entrain d'assister. Tous les puces de son être sont si excitées qu'il déboutonne, arrache presque, sa chemise, qui sent la sueur, et se débarasse également de son pantalon.
Caline, les deux complices de nos "réjouissances" et moi, voyons distinctement que Gustave, ne porte pas de slip et que sa main cajole tendrement un membre de belle taille qui s'allonge et grossit au fûr et à mesure que Caline accélére les mouvements, introduisant le maudit fruit dans son ventre.
La vision de cette bite rougie par les caresses, fouette le sang de la promise et un râle profond s'échappe de sa gorge. Elle sent le fruit raide lui marteler le fond de son vagin ; mais son véritable plaisir vient esseentiellement de la vision de ces quatre grosses, longues et rouges, bites qu'elle a, à porter de main.
S'offrir à quatre hommes n'était pas une nouveauté pour cette femelle en chaleur, elle en a eu plus, mais toujours est-il, et comme je la connaît, cette situation lui plaît.
Surtout que ce jeu, qui combine, son corps et ľargent ne lui fait pas honte, je dirais même que cela l'excite plus. Elle se sent exister... Exister et vivante ďune manière intense et animale. Je me délecte du spectacle...
Comme je ľai dit, ce n'est pas la première fois qu'elle vit des moments orgiaques, libidineuses. La première fois, c'était chez moi au bled avec ma famille.
La seconde fois, c'était sur la plage.
La troisième fois, c'était....
Et la dernière fois...
Et comme il est ďhabitude dans ces soirées orgiaques, Je sais que celle-ci sera aussi... Torride. Caline se transforme en un(e) véritable félin(e) indomptable et prêt(e) à tout, voulant tout.
Elle cesse de se fourrer la chatte avec les bananes et se retourne pour se poser sur son ventre. Elle bombe le torse et cambre ses reins.
Elle est vraiment dessinée comme un violoncelle, une taille bien fine et des hanches larges. Je lui ai souvent dit, pour plaisanter, qu'elle avait une mine d'or au bas de son dos.
Aucun homme ne peut la croiser sans s'attarder sur son cul bombé, rêver d'y poser les mains et réchauffer son gland.
Ce soir, deux hommes ont osé faire plus et pousser les portes ďun interdit social. Ils ont payé pour s'offrir une inconnue "consentante" qui a fouetté leurs fantasmes à la minute même où elle a pénétré masquée dans cette salle de restaurant.
L'homme âgé, s'avance vers elle et se saisit de la combinaison qu'il découpe, déchire sur toute la longueur, jusqu'aux reins. Les fesses de Caline apparaissent dénudées, délivrées, exhibées et qu'elles sont demandeuses.
Le plus jeune a posé ses mains sur les reins de ma femme et lui écarte lentement les deux globes. Elle ouvre ses jambes pour mieux les aider à voir sa chatte mouillée. Elle sait, que plus elle est chienne, plus les hommes bandent, et ce soir elle veut sa farcir ces belles queues jusqu'à vider leurs burnes de toute la semence qu'elles ont enmagasiné.
Elle ondule langoureusement comme une panthère et s'ouvre de plus en plus, à s'en faire mal.
— Cela vous fait bander ce que vous voyez là ? Regardez bien ma chatte... Elle dégouline déjà de plaisir... Et je sens qu'au bout de mes tétons il y a le feu... Vous me voulez ? Alors déchirez moi... Traitez moi comme une salope, une garce...
— C'est ce que tu es d'ailleurs...Ma belle ! Que je lui dis.
— Faites de moi votre esclave... Vos grosses queues me rendent folle... Je suis brûlante ! Elle nous regarde tour à tour avec un regard avide et rajoute : Massacrez-moi !
Alors, nous répondons à ses souhaits, nous mettons à nu le corps de Caline, ne lui laissant que son masque rouge et son collier noir.
La musique ambiante - morceau de M. Jackson "Laberian girl" - ne fait qu'aggraver le moment. Elle se retourne, écarte encore plus les jambes des deux cotés de la table et me demande de presser ses tétons pour en faire jaillir des petites perles d'un nectar que je connais bien.
C'est le signal !
Caline s'allonge, pose la tête sur le coussin que ce cher Gustave a disposé sur la table et jusqu'au bout de cette nuit, elle va s'abandonner aux désirs, envies, demandes et exigences des mâles.
Le plus âgé, commence par mettre sa queue sur son visage. Elle ľembrasse avec passion et lèche du bout de la langue ce membre gonflé qui se présente à l'orée de sa bouche.
Les deux autres hommes prennent à pleines mains ses globes et mordent à belles dents les tétons qui prennent sous ces assauts des proportions indécentes.
Je m'agenouille pour avoir le sexe de ma coquine bien en face de la bouche et la lui lèche en mordillant avec délectation et rage le bourgeon de son clitoris qui ressemble, ainsi allongé, à un petit sexe. Durant toute la nuit nous lui faisons subir les outrages les plus obscènes et son corps répond à toutes nos sollicitations.
Tour à tour, nous nous faisons sucer la queue et les couilles... Tour à tour, nous la prenons par la chatte et par le cul dans une véritable débauche de sperme.
Et Caline crie, hurle, explose de jouissace.
Elle va crier toute la nuit sous ľassauts et nos virilités qui ne semble ne faiblir à aucun moment. Quatre barres de feu qui lui brûlent les entrailles et ľentraînent dans des orgasme sans fin.
Elle est dans un état second, métamorphosée en bête de sexe, haletante, offerte et dégoulinante du foutre que nous déversons à plusieurs reprises, surtout le plus jeune, sur toutes les parties de sa peau. Elle vit le moment sans aucune retenue, se donne comme une chienne sur cette table de restaurant où des mains, la placent et la déplacent à leurs grés... Tantôt sur le ventre pour lui prendre le cul ľun après l'autre en nous vidant sur et ses fesses ou au plus profond de sa raie... Tantôt à genoux au dessus de celui qui la baise avec force, avec derrière elle un autre qui l'encule et les queue des deux autres enfouies au plus profond de sa gorge.
Ces hommes lui font perdre la tête et je la regarde perdre la tête.
Elle est belle.
A un moment de la nuit, Caline, déchaînée, se met un accessoire que lui propose ľhomme âgé - une lanière de cuir qui lui enserre la taille et le haut des fesses, terminée par un sexe de plastique dur ďune longueur de trente centimètres. A sa demande, Caline, bestiale, enfouit le long manche dans les fesses de l'homme et le laboure tout en le masturbant avec sa main passée sous les couilles. Le vieux hurle de plaisir et demande qu'elle continu à lui faire mal ainsi !
Le plus jeune se place alors derrière elle et la sodomise brutalement.
C'est pour elle un moment extraordinaire de sauvagerie sexuelles... Jamais elle n'a imaginé cela : baiser et se faire baiser !
Comme dirait ibn Khouldoun (historien, économiste, sociologue tunisien 1332-1406) :
"Je baise ma servante et me baise mon valet... Ainsi s'égalise la jouissance par l'avant et par l'arrière !"
"C'est trop beau pour être vrai... Cette rencontre est trop belle pour être fortuite !" Me suis-je dit.
C'est un instant ďune pure beauté perverse qui emplit cette salle de hurlements bestiaux.
Dès les premières lumières du jour, le ton s'apaise un peu.
Caline n'est plus qu'une loque humaine, ennivrée de sexe et dégoulinante de sperme.
Nous nous asseyons autour de la table où ma femelle est toujours étendue sur le dos. Elle regarde nos sexes qui n'ont plus la vigueur qu'elle désire.
Nous l'avons possédé, fait jouir, toute la nuit et pourtant je sens qu'elle est toujours prête à jouer le rôle qui était enfouie depuis longtemps dans son inconscient : être une salope !
Je sens qu'elle en veut encore, jouir une dernière fois avant que le jour se léve enfin une fois pour toute... Envie de vivre un feu d'artifice orgasmique...
Dans une respiration saccadée, elle a encore la force de s'adresse à nous et nous dit :
— Alors... Vous rendez les armes mes beaux baiseurs ? Vous avez peut-être besoin ďun petit remontant bien cochon ? Je suis sûre qu'il reste encore un peu de nectar au fond de vos couilles ! Je veux tout ce que vous pouvez me donner...
Mais la vérité fait mal à entendre
— Chérie... Tu viens de le dire... Tu as réussi à nous mettre K.O en nous donnons juste des coups de reins !
À la prochaine aventure....
Comme il est d'usage, je tiens à faire un petit rappel assez important :
Pour des raisons ďéconomie de temps, ou par oubli, parfois, je n'ai pas pris la peine ou le temps de préciser que tous les acteurs masculins (moi y compris) ont respecté le port d'un CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et des MST, mais aussi pour protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause, mais bien évidemment, je me dois le porter avec des inconnu(e)s.
J'oublie toujours de préciser aussi, que lors de nos jeux de "bites" préalablement organisés nous insistons pour que tous les acteurs, actrices, nous aussi, présent(e)s puissent présenter un test valable, indiquant notre bonne santé.
Bon,
Résumé :
Les jeux sont fait !
Chapitre 3
Je déplace ma chaise et m'installe face à Caline, ma petite coquine, pour mieux observer la suite de l'exhibition et les ébats qui vont suivre. Je sors mon sexe et continu à l'astiquer en regardant les yeux de ma femme.
— C'est ça, montre moi ta belle queue et continu à te branler en me regardant faire la... PUTE pour ces deux mecs et pour toi aussi - Dit-elle en les fixant, et en passant sa langue sur ses lèvres - Je suis prête... Qu'en est-il de vous messieurs ?
Comme par magie, des billets tout neufs apparaissent sur le corps de nymphe et quatre mains se promenent, doucement, sur son corps, faisant sauter un par un les boutons de sa robe, jusqu'au dernier bouton nacré. Alors, ils ouvrent les pans du tissu et mettent à la lueur des bougies ce somptueux corps de femme. Ma belle femelle a choisi de se revêtir, non pas d'un collant comme je l'avais cru, mais ďune combinaison noire qui couvrait entièrement sa peau du bout des pieds à son cou.
Elle apparait ainsi encore plus désirable que si elle été nue.
Ma délicieuse femelle a une anatomie que les mots ne sauraient décrire. Je connais ce corps par cœur, mais en la voyant là, ainsi offerte, sur une table de restaurant, mon sang a pris quelques degrés au dessus des trente sept-deux de ce matin.
Il y avait quelque chose qui frise le surréalisme dans la vision de cette scène. Mon sexe grossit à vue ďœil, sans que je le touche, juste avec les ondes que les yeux de ma Caline me transmettent.
Ses deux seins m'apparaissent déjà bien gonflés sous le désir et ses tétons ont pris la forme de deux obus coniques, à travers le fin tissu de nylon qui la moule comme une seconde peau, et qui n'attendent que le moment où on va les prendre entre nos lèvres pour les désarmer.
Nos inconnus ont quitté leurs chaises pour mieux admirer cette œuvre d'art que notre créateur nous a gratifié de sa présence sur terre !
Je m'arrête ici, un petit instant pour vous amener à réflechir sur un sujet philosophique (il n'y a pas que le "cul" dans mes récits).
Trois choses régissent ou font tourner le monde : le sexe, le pouvoir et ľargent !
Voyez vous même... Ici, Caline joue avec son sexe pour obliger (le pouvoir) des gens à lui donner de ľargent. Et c'est comme-ça depuis la nuit des temps. CQFD.
Bref,
Chaque chef-ďœvre a son prix... Et cette belle femelle (mêmr moi j'ai payé pour ľavoir dans ma vie) ne demande ou plutôt mérite que ľon mette sa main à la poche ne serait-est ce que, pour la regarder. Bon, il est vrai aussi que... Caline est une vraie petite chienne que l'argent, facilement gagné, pousse à la perversion... Ou alors c'est le contraire ?
Chai plus...
Bon... Poursuivons notre récit,
Donc, Caline s'adresse aux quatre hommes présents :
— Voici de quoi assouvir tous vos désirs... Je veux que vous déchiriez la combinaison que je porte, à ľendroit qu'il vous plaira... Je veux et je vous autorise à me traitier comme une chienne qui va vous faire exploser la queue... Mais attention... Vous devez avoir assez de billets pour me pousser à bout et que je devienne la cochonne que vous voulez baiser ?
Sans protester, les deux hommes posent deux liasses, un de 20€ et un de 50€, sur la table et commencent à déchirer le nylon noir.
Je fais un rapide calcule : 7.000€ ?
Eh ben merde alors...
Le plus jeune des deux hommes, déchire le tissu au niveau de ľentrejambe de la reine de la nuit, qui met immédiatement à nu deux lèvres bien gonflées qu'aucune toison ne couvre. Depuis son plus jeune âge, Caline a coutume de s'épiler la chatte, plus par soucis ďhygiène qu'autre chose.
Le plus âgé, avec une paire de ciseaux que lui a apporté le maître ďhôtel, découpe de deux trous pour faire jaillir les tétons qui doivent souffrir le martyre emprisonnés qu'ils sont, sous la combinaison. Les deux "tétobus" (téton+obus=tétobus) sombres ainsi libérés pointent agressivement.
Pendant ces premières "déchirures", Caline couvre les deux bananes d'un étui de latex qu'elle avait caché dans la poche de sa robe (prévoyante comme toutes les salopes qui se respectent) et les enfouis goulûment entre les larges lèvres de son trésor féminin trompé par tant ďexcitations.
Nous regardons tous les quatre, cette femme qui va s'offrir aux deux fruits longs et bien raides sans se soucier de ľassistance.
Le maître ďhôtel s'est précipité pour prendre part au jeu érotique et a étalé sur la nappe tous ses pourboires. Il fixe des yeux la table sur le quel est allongé le corps à moitié nue de cette belle cliente qui se veut être un dessert voluptueux. Il a fermé les portes, tiré les rideaux et éteint toutes les lumières. Seules les bougies seront les témoins des tremblements de plaisir qui vont secouer ce corps de déesse.
La combinaison lacérée transforme cette sirène en tigresse qui miaule de faim, attendant de pouvoir se rassasier de ces quatre lances à foutre tout rouge et bien durs qui la narguent sous ses yeux implorants une fin.
N'ayant rien de mieux à mettre sous la dent, ou dois-je dire, dans la moule, Caline, avec autorité et en nous regardant ďun air qui fait honte à défier, descend une banane vers un ravin, plus que moite, se trouvant entre ses cuisses. Elle le promène sur les rives humide de cette région, frappe les parois de sa grotte avec le fruit qui a été revêtu d'un latex noir et ľintroduit doucement dans son ventre... Jusqu'à le sentir buter le fond de son nid !
C'est la première fois que Gustave, le maître ďhôtel, assiste à un tel spectacle érotique, même dans les films X hards ou moins hards, il n'a eu le plaisir de voir ça... Une femme - et quelle femme - qui se fait une "auto-pénétration" comme celle qu'il à laquelle il est entrain d'assister. Tous les puces de son être sont si excitées qu'il déboutonne, arrache presque, sa chemise, qui sent la sueur, et se débarasse également de son pantalon.
Caline, les deux complices de nos "réjouissances" et moi, voyons distinctement que Gustave, ne porte pas de slip et que sa main cajole tendrement un membre de belle taille qui s'allonge et grossit au fûr et à mesure que Caline accélére les mouvements, introduisant le maudit fruit dans son ventre.
La vision de cette bite rougie par les caresses, fouette le sang de la promise et un râle profond s'échappe de sa gorge. Elle sent le fruit raide lui marteler le fond de son vagin ; mais son véritable plaisir vient esseentiellement de la vision de ces quatre grosses, longues et rouges, bites qu'elle a, à porter de main.
S'offrir à quatre hommes n'était pas une nouveauté pour cette femelle en chaleur, elle en a eu plus, mais toujours est-il, et comme je la connaît, cette situation lui plaît.
Surtout que ce jeu, qui combine, son corps et ľargent ne lui fait pas honte, je dirais même que cela l'excite plus. Elle se sent exister... Exister et vivante ďune manière intense et animale. Je me délecte du spectacle...
Comme je ľai dit, ce n'est pas la première fois qu'elle vit des moments orgiaques, libidineuses. La première fois, c'était chez moi au bled avec ma famille.
La seconde fois, c'était sur la plage.
La troisième fois, c'était....
Et la dernière fois...
Et comme il est ďhabitude dans ces soirées orgiaques, Je sais que celle-ci sera aussi... Torride. Caline se transforme en un(e) véritable félin(e) indomptable et prêt(e) à tout, voulant tout.
Elle cesse de se fourrer la chatte avec les bananes et se retourne pour se poser sur son ventre. Elle bombe le torse et cambre ses reins.
Elle est vraiment dessinée comme un violoncelle, une taille bien fine et des hanches larges. Je lui ai souvent dit, pour plaisanter, qu'elle avait une mine d'or au bas de son dos.
Aucun homme ne peut la croiser sans s'attarder sur son cul bombé, rêver d'y poser les mains et réchauffer son gland.
Ce soir, deux hommes ont osé faire plus et pousser les portes ďun interdit social. Ils ont payé pour s'offrir une inconnue "consentante" qui a fouetté leurs fantasmes à la minute même où elle a pénétré masquée dans cette salle de restaurant.
L'homme âgé, s'avance vers elle et se saisit de la combinaison qu'il découpe, déchire sur toute la longueur, jusqu'aux reins. Les fesses de Caline apparaissent dénudées, délivrées, exhibées et qu'elles sont demandeuses.
Le plus jeune a posé ses mains sur les reins de ma femme et lui écarte lentement les deux globes. Elle ouvre ses jambes pour mieux les aider à voir sa chatte mouillée. Elle sait, que plus elle est chienne, plus les hommes bandent, et ce soir elle veut sa farcir ces belles queues jusqu'à vider leurs burnes de toute la semence qu'elles ont enmagasiné.
Elle ondule langoureusement comme une panthère et s'ouvre de plus en plus, à s'en faire mal.
— Cela vous fait bander ce que vous voyez là ? Regardez bien ma chatte... Elle dégouline déjà de plaisir... Et je sens qu'au bout de mes tétons il y a le feu... Vous me voulez ? Alors déchirez moi... Traitez moi comme une salope, une garce...
— C'est ce que tu es d'ailleurs...Ma belle ! Que je lui dis.
— Faites de moi votre esclave... Vos grosses queues me rendent folle... Je suis brûlante ! Elle nous regarde tour à tour avec un regard avide et rajoute : Massacrez-moi !
Alors, nous répondons à ses souhaits, nous mettons à nu le corps de Caline, ne lui laissant que son masque rouge et son collier noir.
La musique ambiante - morceau de M. Jackson "Laberian girl" - ne fait qu'aggraver le moment. Elle se retourne, écarte encore plus les jambes des deux cotés de la table et me demande de presser ses tétons pour en faire jaillir des petites perles d'un nectar que je connais bien.
C'est le signal !
Caline s'allonge, pose la tête sur le coussin que ce cher Gustave a disposé sur la table et jusqu'au bout de cette nuit, elle va s'abandonner aux désirs, envies, demandes et exigences des mâles.
Le plus âgé, commence par mettre sa queue sur son visage. Elle ľembrasse avec passion et lèche du bout de la langue ce membre gonflé qui se présente à l'orée de sa bouche.
Les deux autres hommes prennent à pleines mains ses globes et mordent à belles dents les tétons qui prennent sous ces assauts des proportions indécentes.
Je m'agenouille pour avoir le sexe de ma coquine bien en face de la bouche et la lui lèche en mordillant avec délectation et rage le bourgeon de son clitoris qui ressemble, ainsi allongé, à un petit sexe. Durant toute la nuit nous lui faisons subir les outrages les plus obscènes et son corps répond à toutes nos sollicitations.
Tour à tour, nous nous faisons sucer la queue et les couilles... Tour à tour, nous la prenons par la chatte et par le cul dans une véritable débauche de sperme.
Et Caline crie, hurle, explose de jouissace.
Elle va crier toute la nuit sous ľassauts et nos virilités qui ne semble ne faiblir à aucun moment. Quatre barres de feu qui lui brûlent les entrailles et ľentraînent dans des orgasme sans fin.
Elle est dans un état second, métamorphosée en bête de sexe, haletante, offerte et dégoulinante du foutre que nous déversons à plusieurs reprises, surtout le plus jeune, sur toutes les parties de sa peau. Elle vit le moment sans aucune retenue, se donne comme une chienne sur cette table de restaurant où des mains, la placent et la déplacent à leurs grés... Tantôt sur le ventre pour lui prendre le cul ľun après l'autre en nous vidant sur et ses fesses ou au plus profond de sa raie... Tantôt à genoux au dessus de celui qui la baise avec force, avec derrière elle un autre qui l'encule et les queue des deux autres enfouies au plus profond de sa gorge.
Ces hommes lui font perdre la tête et je la regarde perdre la tête.
Elle est belle.
A un moment de la nuit, Caline, déchaînée, se met un accessoire que lui propose ľhomme âgé - une lanière de cuir qui lui enserre la taille et le haut des fesses, terminée par un sexe de plastique dur ďune longueur de trente centimètres. A sa demande, Caline, bestiale, enfouit le long manche dans les fesses de l'homme et le laboure tout en le masturbant avec sa main passée sous les couilles. Le vieux hurle de plaisir et demande qu'elle continu à lui faire mal ainsi !
Le plus jeune se place alors derrière elle et la sodomise brutalement.
C'est pour elle un moment extraordinaire de sauvagerie sexuelles... Jamais elle n'a imaginé cela : baiser et se faire baiser !
Comme dirait ibn Khouldoun (historien, économiste, sociologue tunisien 1332-1406) :
"Je baise ma servante et me baise mon valet... Ainsi s'égalise la jouissance par l'avant et par l'arrière !"
"C'est trop beau pour être vrai... Cette rencontre est trop belle pour être fortuite !" Me suis-je dit.
C'est un instant ďune pure beauté perverse qui emplit cette salle de hurlements bestiaux.
Dès les premières lumières du jour, le ton s'apaise un peu.
Caline n'est plus qu'une loque humaine, ennivrée de sexe et dégoulinante de sperme.
Nous nous asseyons autour de la table où ma femelle est toujours étendue sur le dos. Elle regarde nos sexes qui n'ont plus la vigueur qu'elle désire.
Nous l'avons possédé, fait jouir, toute la nuit et pourtant je sens qu'elle est toujours prête à jouer le rôle qui était enfouie depuis longtemps dans son inconscient : être une salope !
Je sens qu'elle en veut encore, jouir une dernière fois avant que le jour se léve enfin une fois pour toute... Envie de vivre un feu d'artifice orgasmique...
Dans une respiration saccadée, elle a encore la force de s'adresse à nous et nous dit :
— Alors... Vous rendez les armes mes beaux baiseurs ? Vous avez peut-être besoin ďun petit remontant bien cochon ? Je suis sûre qu'il reste encore un peu de nectar au fond de vos couilles ! Je veux tout ce que vous pouvez me donner...
Mais la vérité fait mal à entendre
— Chérie... Tu viens de le dire... Tu as réussi à nous mettre K.O en nous donnons juste des coups de reins !
À la prochaine aventure....
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci
Magnifique 7000 euros les gamines sous la coupe d’une mafia ou d’un mac n’ont pas cette chance.
Sinon l’histoire est bien écrite comme d’hab. 🤷♀️
Sinon l’histoire est bien écrite comme d’hab. 🤷♀️
Bravo et merci pour ces magnifiques textes très bandant
Cyrille
Cyrille