Deux couguars s'occupent du jeune mâle dominant. 2
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2018 dans la catégorie Plus on est
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Deux couguars s'occupent du jeune mâle dominant. 2
Deux couguars pour un jeune mâle.
Je me glisse entre ses jambes et engloutis à mon tour les deux couilles dodues. A nous deux, nous faisons disparaître en totalité son service trois pièces. Il faut qu’il ait confiance car en deux coups de dents, on pourrait le castrer et l’émasculer.
Je repousse Christine et délaisse ses œufs, remontant le long du mât pour goûter à mon tour à sa formidable poutre m’exclamant :- Nom de Dieu, mes doigts n’en font pas le tour !
Suite.
Je gobe son gland et quelques centimètres supplémentaires mais ne peux aller plus loin.
Je débute une masturbation vigoureuse en même temps. Mon coup de poignet est de plus en plus rapide.
Les gémissements du mâle se muent en râles puis en grognements de plaisir. Je lui masse les boules pour faire encore activer sa sève qui doit commencer à engorger son mât.
Christine c’est redressée et est debout derrière moi, ses cuisses appuyant sur mon dos.
Ses lèvres pulpeuses se rapprochent de celles de Claude. Rapidement, les langues échangent leur salive. Des gémissements de satisfaction sortent de la gorge de Christine car la bouche de Claude est descendue sur son sein droit et aspire le tétin pendant qu’une main pétrit avec vigueur le sein orphelin.
Aux soubresauts annonciateurs de son éjaculation, je libère sa lance de ma bouche et astique avec plus de vigueur sa verge des deux mains.
Dans un râle de lion dominant, il éjacule enfin. Je ferme les yeux et ouvre la bouche pour tenter d’avaler tout le précieux liquide mais ne sent rien sur moi.
Je rouvre les yeux et vois des jets monstrueux sortir du méat les uns après les autres. La quantité de crème blanche est dantesque et quand la pression diminue enfin, mes cheveux, mon visage et enfin ma bouche récupèrent le précieux nectar. Des coulées de sperme gouttent sur mes joues et mon menton avant de s’écraser sur ma poitrine.
Soudain j’entends Christine :-Putain ce qu’il m’a mis ! Je suis couverte de sperme !
Je me relève et constate que c’est elle qui a été la cible des premières éruptions de lave blanche. Elle avait beau être debout derrière moi, des trainées blanchâtres couvrent son corps des cheveux à sa poitrine. Je me précipite pour effacer les traces délictueuses à grands coups de langue.
Ma vision est pratiquement bonne maintenant que je me suis habituée à l’obscurité et quand je me retourne vers Claude, j’ai comme un choc.
Je me précipite sur l’interrupteur et allume la chambre. Je ne m’étais pas trompée…L’étalon qu’on attendait n’est autre que le jeune garçon qui nous a ouvert.
-Putain, on va se faire coffrer pour détournement de mineur ! S’écrit Christine.
-N’ayez-pas peur, les filles, je n’en ai pas l’air mais j’ai l’âge voulu et les attributs qui vont avec !
Nous baissons les yeux et voyons enfin en pleine lumière cette formidable verge qui ne débande pratiquement pas. Elle est vraiment d’une taille impressionnante et complètement incongrue sur ce corps de jeune garçon. Je ne peux me retenir et m’exclame :-Sainte Mère, t-as vu le calibre ?
- S’il est aussi performant qu’impressionnant, on va bien s’amuser ! Surenchérit Christine.
Claude nous coupe dans nos superlatifs :-La nature m’a joué un tour coté croissance mais elle a compensé à un certain endroit. Vous n’avez-pas respecté mes ordres en allumant et je vais vous le faire payer !
Si Claude n’est pas un Apollon plein de muscles, ça ne l’empêche pas d’avoir la vigueur d’un jeune de son âge. Un vrai taureau de reproduction. Et vu sa renommée, il sait se servir de sa bite. On en est ravies.
Le contraste est saisissant entre lui et mon amie, elle a presque une tête de plus que lui ainsi qu’une dizaine de kilos.
Elle se rapproche du fauteuil où il s’est assis et se penche pour capturer entre ses mamelles la chandelle qui reprend aussitôt de la vigueur.
Claude pose ses mains sur celles de Christine pour presser encore plus les masses mammaires autour de sa teub et donne de furieux coups de reins.
Mais Christine se lasse vite et se redresse, elle grimpe sur le fauteuil s’appuyant des deux mains sur le mur. Elle se retrouve à califourchon sur lui et oriente son berlingot pile au-dessus de ce braquemart dantesque. C’est sa position préférée, je l’ai déjà vu faire tant de fois ces gestes avec d’autres amants.
En le regardant dans les yeux, sa main droite délaisse le mur pour s’immiscer entre leurs corps et termine sa course en se refermant fermement sur le membre rigide.
Claude contrôle son impatience. Il ne veut pas la blesser par trop de précipitation. Il ne bouge pas lorsqu’il sent la pointe de son gland positionnée à l’entrée du conduit.
Elle se laisse descendre pour que le gland pénètre sa vulve béante. Comme dans un film au ralenti, il disparait au fond de son vagin et la lente progression continue.
Elle arrive pratiquement à accueillir dans sa grotte l’intégralité de la colonne de chair en poussant un profond soupir.
Les yeux mi-clos, elle profite pleinement du plaisir de cette première pénétration ne bougeant plus, presque en position assise.
Mais Claude ne veut plus lui laisser l’initiative et lui inflige de profonds coups de reins qui ébranlent Christine.
-Aïe ! Hé, vas-y tout doux mon petit ! L’engueule Christine en faisant des sauts de cabri quand il s’enfonce trop loin.
Mais il prend ça comme une invite et l’empale encore plus profond.
La queue de Claude est vite couverte de cyprine et d’une mousse blanche et échappe de la gaine de Christine qui continue de frotter sa chatte dessus. Le gland retrouve enfin l’entrée du vagin de Christine qui avale sans difficulté l’épaisse queue.
- Putain de merde Paule! Je n’ai jamais été aussi pleine ! Il touche le fond de mon vagin et je dois faire gaffe. Ouuuiii que c’est boooonnn ! AAAAAHHHH! La sensation est incroyable !
Elle s’active frénétiquement sur la queue. Cette sensation d’être remplie décuple sa libido. Ce chibre qui frotte sur la totalité des parois internes de son vagin déclenche des ondes de plaisir immenses.
Mais pour atténuer les ruades de Claude, elle déchausse de sa pine et se retourne, pose les mains sur le dossier du fauteuil et ses pieds sur l’assise pour pouvoir gérer elle-même la pénétration de ce manche de pioche.
Je m’accroupis entre leurs jambes pour regarder le spectacle en gros plan et quand le plantoir rate le trou, je prends en bouche le gros gland violacé pour une fellation rapide avant de réaligner les sexes.
Des décharges électriques parcoururent tout le corps de Christine qui se vide littéralement,noyant la bite de Claude de sa cyprine.
Elle hurle son orgasme atteignant le nirvana pendant que ma bouche se gave de son jus d’amour. La vague l’a emporté loin mais Claude ne veut pas lui laisser un instant de répit.
Il sort son défonce-cul de la chatte de Christine et place son gland contre sa rondelle.
Les spasmes incontrôlés du bassin de celle-ci fait qu’elle s’empale en phase descendante sans même s’en apercevoir sur la verge toujours aussi grosse et dure. Le gland franchit sans coup-férir la frontière arrière.
L’effet est immédiat, Christine repart illico dans un nouvel orgasme.
Après quelques secondes de flottement, il s’aperçoit de la réussite du changement de cible et profite de l’aubaine pour entrer au complet entre les fesses de Christine que je n’ai jamais entendu crier aussi fort.
-Aaaaaaaahhhhhhh ! Oh putain de merde ! Il m’a enculé le petit con ! Oh putain le morceau ! Oh putain ! Oh putain !
(A suivre)
Je me glisse entre ses jambes et engloutis à mon tour les deux couilles dodues. A nous deux, nous faisons disparaître en totalité son service trois pièces. Il faut qu’il ait confiance car en deux coups de dents, on pourrait le castrer et l’émasculer.
Je repousse Christine et délaisse ses œufs, remontant le long du mât pour goûter à mon tour à sa formidable poutre m’exclamant :- Nom de Dieu, mes doigts n’en font pas le tour !
Suite.
Je gobe son gland et quelques centimètres supplémentaires mais ne peux aller plus loin.
Je débute une masturbation vigoureuse en même temps. Mon coup de poignet est de plus en plus rapide.
Les gémissements du mâle se muent en râles puis en grognements de plaisir. Je lui masse les boules pour faire encore activer sa sève qui doit commencer à engorger son mât.
Christine c’est redressée et est debout derrière moi, ses cuisses appuyant sur mon dos.
Ses lèvres pulpeuses se rapprochent de celles de Claude. Rapidement, les langues échangent leur salive. Des gémissements de satisfaction sortent de la gorge de Christine car la bouche de Claude est descendue sur son sein droit et aspire le tétin pendant qu’une main pétrit avec vigueur le sein orphelin.
Aux soubresauts annonciateurs de son éjaculation, je libère sa lance de ma bouche et astique avec plus de vigueur sa verge des deux mains.
Dans un râle de lion dominant, il éjacule enfin. Je ferme les yeux et ouvre la bouche pour tenter d’avaler tout le précieux liquide mais ne sent rien sur moi.
Je rouvre les yeux et vois des jets monstrueux sortir du méat les uns après les autres. La quantité de crème blanche est dantesque et quand la pression diminue enfin, mes cheveux, mon visage et enfin ma bouche récupèrent le précieux nectar. Des coulées de sperme gouttent sur mes joues et mon menton avant de s’écraser sur ma poitrine.
Soudain j’entends Christine :-Putain ce qu’il m’a mis ! Je suis couverte de sperme !
Je me relève et constate que c’est elle qui a été la cible des premières éruptions de lave blanche. Elle avait beau être debout derrière moi, des trainées blanchâtres couvrent son corps des cheveux à sa poitrine. Je me précipite pour effacer les traces délictueuses à grands coups de langue.
Ma vision est pratiquement bonne maintenant que je me suis habituée à l’obscurité et quand je me retourne vers Claude, j’ai comme un choc.
Je me précipite sur l’interrupteur et allume la chambre. Je ne m’étais pas trompée…L’étalon qu’on attendait n’est autre que le jeune garçon qui nous a ouvert.
-Putain, on va se faire coffrer pour détournement de mineur ! S’écrit Christine.
-N’ayez-pas peur, les filles, je n’en ai pas l’air mais j’ai l’âge voulu et les attributs qui vont avec !
Nous baissons les yeux et voyons enfin en pleine lumière cette formidable verge qui ne débande pratiquement pas. Elle est vraiment d’une taille impressionnante et complètement incongrue sur ce corps de jeune garçon. Je ne peux me retenir et m’exclame :-Sainte Mère, t-as vu le calibre ?
- S’il est aussi performant qu’impressionnant, on va bien s’amuser ! Surenchérit Christine.
Claude nous coupe dans nos superlatifs :-La nature m’a joué un tour coté croissance mais elle a compensé à un certain endroit. Vous n’avez-pas respecté mes ordres en allumant et je vais vous le faire payer !
Si Claude n’est pas un Apollon plein de muscles, ça ne l’empêche pas d’avoir la vigueur d’un jeune de son âge. Un vrai taureau de reproduction. Et vu sa renommée, il sait se servir de sa bite. On en est ravies.
Le contraste est saisissant entre lui et mon amie, elle a presque une tête de plus que lui ainsi qu’une dizaine de kilos.
Elle se rapproche du fauteuil où il s’est assis et se penche pour capturer entre ses mamelles la chandelle qui reprend aussitôt de la vigueur.
Claude pose ses mains sur celles de Christine pour presser encore plus les masses mammaires autour de sa teub et donne de furieux coups de reins.
Mais Christine se lasse vite et se redresse, elle grimpe sur le fauteuil s’appuyant des deux mains sur le mur. Elle se retrouve à califourchon sur lui et oriente son berlingot pile au-dessus de ce braquemart dantesque. C’est sa position préférée, je l’ai déjà vu faire tant de fois ces gestes avec d’autres amants.
En le regardant dans les yeux, sa main droite délaisse le mur pour s’immiscer entre leurs corps et termine sa course en se refermant fermement sur le membre rigide.
Claude contrôle son impatience. Il ne veut pas la blesser par trop de précipitation. Il ne bouge pas lorsqu’il sent la pointe de son gland positionnée à l’entrée du conduit.
Elle se laisse descendre pour que le gland pénètre sa vulve béante. Comme dans un film au ralenti, il disparait au fond de son vagin et la lente progression continue.
Elle arrive pratiquement à accueillir dans sa grotte l’intégralité de la colonne de chair en poussant un profond soupir.
Les yeux mi-clos, elle profite pleinement du plaisir de cette première pénétration ne bougeant plus, presque en position assise.
Mais Claude ne veut plus lui laisser l’initiative et lui inflige de profonds coups de reins qui ébranlent Christine.
-Aïe ! Hé, vas-y tout doux mon petit ! L’engueule Christine en faisant des sauts de cabri quand il s’enfonce trop loin.
Mais il prend ça comme une invite et l’empale encore plus profond.
La queue de Claude est vite couverte de cyprine et d’une mousse blanche et échappe de la gaine de Christine qui continue de frotter sa chatte dessus. Le gland retrouve enfin l’entrée du vagin de Christine qui avale sans difficulté l’épaisse queue.
- Putain de merde Paule! Je n’ai jamais été aussi pleine ! Il touche le fond de mon vagin et je dois faire gaffe. Ouuuiii que c’est boooonnn ! AAAAAHHHH! La sensation est incroyable !
Elle s’active frénétiquement sur la queue. Cette sensation d’être remplie décuple sa libido. Ce chibre qui frotte sur la totalité des parois internes de son vagin déclenche des ondes de plaisir immenses.
Mais pour atténuer les ruades de Claude, elle déchausse de sa pine et se retourne, pose les mains sur le dossier du fauteuil et ses pieds sur l’assise pour pouvoir gérer elle-même la pénétration de ce manche de pioche.
Je m’accroupis entre leurs jambes pour regarder le spectacle en gros plan et quand le plantoir rate le trou, je prends en bouche le gros gland violacé pour une fellation rapide avant de réaligner les sexes.
Des décharges électriques parcoururent tout le corps de Christine qui se vide littéralement,noyant la bite de Claude de sa cyprine.
Elle hurle son orgasme atteignant le nirvana pendant que ma bouche se gave de son jus d’amour. La vague l’a emporté loin mais Claude ne veut pas lui laisser un instant de répit.
Il sort son défonce-cul de la chatte de Christine et place son gland contre sa rondelle.
Les spasmes incontrôlés du bassin de celle-ci fait qu’elle s’empale en phase descendante sans même s’en apercevoir sur la verge toujours aussi grosse et dure. Le gland franchit sans coup-férir la frontière arrière.
L’effet est immédiat, Christine repart illico dans un nouvel orgasme.
Après quelques secondes de flottement, il s’aperçoit de la réussite du changement de cible et profite de l’aubaine pour entrer au complet entre les fesses de Christine que je n’ai jamais entendu crier aussi fort.
-Aaaaaaaahhhhhhh ! Oh putain de merde ! Il m’a enculé le petit con ! Oh putain le morceau ! Oh putain ! Oh putain !
(A suivre)
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Bon courage les cougars
Un poulain infatigable