Deux coups de reins et un lascar vient !
Récit érotique écrit par Mowgli [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Deux coups de reins et un lascar vient !
Depuis quelques temps, je lis toutes vos histoires et je me sens devenir accro. De ce fait, j’ai décidé de contribuer à ma manière, en vous racontant comment je suis devenu la pute du tierquar (le quartier, pour les non-puristes). Je dois confesser que j’ai perdu ma virginité très tard … à 25 ans, mais je me suis bien rattrapé depuis. Cependant, j’anticipe peut-être un peu trop, alors laissez-moi commencer par le commencement.
Pour vous faire une image précise de ma personne, je crois être assez agréable à regarder lorsqu’on aime ce style. J’ai des yeux clairs. Ma bouche pourrait être qualifiée de « suceuse », car elle est pleine et purpurine, en un mot pulpeuse. Ma peau est très pâle, ce qui crée un sérieux contraste avec le rouge indécent de mes lèvres et le bleu de mon regard. Le tout est couronné par une touffe de cheveux noirs, broussailleux qui m’a valu dans la cité le nom de Mowgli, ce qui donne un assez bon aperçu de ma dégaine. Une silhouette élancée avec mon 1m80 pour 60k. Pour que l’aperçu soit complet, je suis généralement comparé aussi bien à Nicholas Hoult qu’à Ian Somerhalder ou Jon Hensley.
Si je n’avais jamais vu le loup jusqu’à présent, c’était pour la simple et bonne raison que je n’avais rencontré personne auparavant. Je vous raconterais peut-être ma vie de puceau plus tard, parce que la virginité ne rend pas plus saint… Ce que j’ai décidé de vous révéler à ce jour concerne la rencontre qui a fait basculer ma vie. De blanc à noir, de vestale à catin. Son nom, Driss, restera à jamais graver dans mon cœur et son corps tatouer dans ma mémoire.
En même temps, ce n’est pas le genre de mec qui s’oublie avec son 1m95 et sa carrure de catcheur. Pour faire simple, il possède une silhouette à la Dwayne Johnson. De forme plutôt ovale, son visage possède une beauté sculpturale, grâce à des traits coupés à la serpe. Les cheveux sont coupés court et possède le même noir profond que ses yeux, lui donnant un regard de killer. Pour moi, ce qui le rend carrément craquant est son large sourire au pouvoir rayonnant et au charme destructeur. Je le croisais souvent dans les environs (notamment en passant devant la salle de sport du coin), et à chaque fois, je devais me retenir de ne pas m’écrouler à ses pieds tellement il me faisait chavirer. Evidemment avec sa virilité sauvage, je me doutais que sa sexualité était celle d’un pur hétéro, mais comment ne pas fantasmer devant ce morceau de choix ?
Un soir, je rentre chez moi après une soirée un peu chargée. J’habite le sixième étage, mais j’ai pour habitude de prendre les escaliers (comme palliatif d’un sport quotidien). A peine arrivé au premier étage, j’entends que la porte se rouvre derrière mon passage alors qu’elle venait de se refermer. Je n’y prête pas plus attention, puisque je suis habitué aux allées et venues de l’immeuble, habité majoritairement par des jeunes en quête de toutes sortes de substances. Je continue jusqu’au deuxième étage, en me disant que la personne doit s’arrêter avant moi puisque je suis le seul dingue à prendre les escaliers. Mais au quatrième, je vois une ombre se profilée devant moi ; du coup, je me retourne, prêt à lancer un large bonsoir. Or, quelle ne fut pas ma surprise, en reconnaissant le divin Driss.
J’ose à peine vous raconter ma déconvenue, puisque je me suis éclaté le genou contre les marches alors que le reste de mon corps s’est étalé et que mes lèvres ont étouffé un pauvre « Bonsoir » pitoyable. Faisant à peine attention au « Bien ou bien ? » qu’il me rétorque, je me rattrape tant bien que mal à la rambarde et je prends mes jambes à mon cou, en montant les marches quatre à quatre. Au sixième, je me précipite vers mon palier, avec la volonté de cacher ma honte dans mon appartement. Dans ce genre de situation, j’ai tendance à devenir trop maladroit, alors impossible de rentrer la clé dans ma serrure. Je vous laisse imagine que ça lui laisse largement le temps de me suivre et de me rattraper.
Si dans le milieu, il se fait appeler « le Titan », ce n’est pas pour rien. Et pour les connaisseurs, sa carrure me rappelait à la mémoire le personnage de Gregor Clegane dans le Trône de Fer, la Montagne. Pourtant, il ne faut pas se fier aux apparences parce que si à côté de lui, je ressemble à une vraie crevette, je ne perds pas pour autant ma superbe lorsque je me ressaisis. Je crois que dans ma catégorie, je suis un très bon acteur et couplé à mon caractère volcanique (ou de merde comme vous le voulez), je n’ai pas peur de faire des étincelles. En clair, oubliez avec moi le rôle de la petite pute soumise…
— Eh mec, quand je te parle, tu dois me répondre me dit-il.
— Hein ! … Que ? … Quoi ?
— Je t’ai demandé comment tu allais ? Et au lieu de fuir, tu aurais pu me répondre.
— Ah oui désolé, je suis fracassé alors j’ai du mal à avoir les idées claires. Et je n’ai pas fuis, je n’ai juste pas pour habitude de me taper la honte devant des inconnus.
— T’inquiète mec, ça arrive. Ecoute, on ne va pas discuter comme ça pendant trois heures, alors je m’invite chez toi. Tu ouvre ou tu veux que je le fasse ?
— Euh … ! Ouais, j’ouvre.
Je suis sous le choc. Quoi ? Driss veut discuter avec moi. Non mais c’est quoi le délire. Il est tellement beau, que j’ai du mal à garder ma contenance. Je le laisse passer en premier, pour avoir l’occasion de le mater en toute tranquillité. Comme l’été règne sur la cité, il porte un débardeur qui laisse la place à ses muscles pour s’épanouir, avec un bas de survêtement gris trois fois trop grand pour lui. Il le porte sur un boxer, qui met en valeur son bon cul de rebeu, dont la rondeur ressemble limite à un boule de bowling.
— Tiens, je m’appelle Driss et toi ? C’est quoi ton blase ?
Et là, je ne sais pas pourquoi mais dans la confiance, je lui réponds : « Oui, je sais que tu t’appelle Driss. » Le problème de ma peau diaphane est qu’elle est tellement blanche, qu’elle en devient transparente, ce qui me fait rougir dès que l’émotion est trop forte.
— Sérieux gars ? En même temps, je t’ai capté depuis longtemps avec mes potes. Y’a même Lotfy qui t’appelle Mowgli à cause de tes veuxche. J’avoue que ça te va bien.
Je suis sur le cul de ce qu’il vient de m’annoncer. Enfin, je lui propose quand même de s’asseoir, en lui demandant s’il préfère un café, un thé ou une bière.
— On est entre mec, alors je vais prendre une bière.
Pour me mettre à l’aise, je mets de la musique sans trop savoir quel est l’album dans le lecteur. Les premières notes résonnent sur un morceau de Blondie, rien de mieux pour me sentir bien. Sauf que je ne peux m’empêcher de me trémousser lorsque j’entends de la zic. D’une certaine manière, je perds le contrôle de mon corps, qui se met en action tout seul dans un déhanché digne de Fred Astaire. Après 15 ans de danse, je me débrouille assez bien et mon invité ne se fait pas prier pour le remarquer.
— Putain, comment tu bouges ton boule … c’est rare pour un céfran, mais en te matant, j’aurais du le parier avec mes potes.
Moi qui me glorifie de garder mon sang froid dans n’importe quelle situation, ce mec pourrait me faire mentir, tellement il arrive à me retourner avec désinvolture. Faisant feu de tout bois, je n’hésite pas une seconde à lui poser une question directe et sans détour : « Bon mec, qu’est-ce que tu fais là ? Qu’est-ce que tu veux ? Parce que franchement, tu me mets le chiro à l’envers. » Il se met à rire à gorge déployée, en m’annonçant qu’il s’attendait pas à ce que j’ose lui parler comme ça … mais que pour une fois, il apprécie que quelqu’un lui tienne tête.
— Maintenant, si tu crois t’en tirer comme ça, c’est mort. Viens ici, petit con !
Hypnotisé par son attitude « badass », mon corps me fait défaut, en avançant vers lui avec un regard de défi, celui qui déclare au monde que je n’ai peur de rien. Quelques soit la situation, je sais que je garderais toujours mon âme de guerrier combattant. En réponse, ses yeux s’embrasent de flammes, qui ne laissent présager rien de bon. Affalé sur mon canapé, je ne sais comment il réussit à me faire passer de la station débout face à lui de celle sur ses genoux. Quoiqu’il en soit, me voilà enserré dans ses bras musculeux.
— Fais pas trop le malin, j’en ai maté des coriaces, qui faisaient plus peur que toi.
— Je ne crois pas mec, lui répondis-je, tu ne me connais pas.
Et au lieu de m’en prendre une comme je m’y attendais, il me posa sa main de colosse sur la joue, avec une tendresse qui fit fondre mon cœur de glace. Collé à lui, il devait sentir mon cœur battre tout de même à 100 à l’heure, car il me dit que mon corps trahissait mes pensées. Je ris avec majesté : « Ah ouais gars, c’est ce que tu crois » ; et j’essaye de m’extirper de ses bras en gesticulant dans tous les sens. Evidement, mon entreprise est vaine puisqu’il est bien plus puissant que moi, mais ce salop en profite pour que mes fesses soient positionnées avec précision sur son membre viril. Cependant, faites-moi confiance, impossible de me laisser faire.
— Qu’est-ce que tu fais ? Tu te crois dans un bordel ? Je m’amuse pas à jouer la pute pour deux sous.
— Avec ton corps de poupée Barbie, tu ne vas pas te la jouer avec moi, parce que je te brise d’un seul coup.
— Essaye, si tu crois me faire peur.
— Gars, tu parles trop alors que tu es incapable de sortir de mes bras. Et puis, merde. Ferme ta p’tite gueule.
Pour m’empêcher de parler, il a une technique radicale, qui consiste à appuyer sa large bouche sur la mienne et je dois dire que ça marche. Très vite, je ne contrôle plus rien. J’entrouvre légèrement mes lèvres charnues. Driss comprend le message et m’enfonce sa langue avec ardeur et passion. Alors que le ballet de nos langues commence, ses bras m’enlacent de plus en plus presque jusqu’à l’étouffement. Sans quitter sa bouche, je commence à jouer de mes hanches, pour gagner de l’espace. Comme je l’ai dis, je n’ai aucun mal à me servir de mon corps après des années de dance. Du coup, je ne tarde pas à sentir les premiers effets de mes vagues corporelles.
Ce qui me plaît chez Driss, c’est qu’il n’hésite pas à exprimer tout haut ce qu’il pense tout bas et direct il se laisse aller à des gémissements, me prouvant sa satisfaction. Il pose ses deux grosses mains sur chaque lobe de mon cul, pour m’installer sur sa queue déjà bien tendue. Je suis incapable de dire à quoi elle ressemble, mais je sens qu’elle est d’une longueur et surtout d’une largeur désirables. Sa force est telle qu’il a le pouvoir de m’utiliser comme une vraie poupée, en me changeant de position au gré de ses envies. Même s’il est assez brusque, il ne manque pas de tendresse comme s’il avait peur de me casser en deux. Je suis incapable de savoir avec précision l’ordre et le désordre qui s’est établi dans ce jeu de corps à corps. A chaque instant, je me sens l’impression de voler dans les airs.
Je ne sais trop comment, je me suis retrouvé habillé d’un simple tee-shirt et de mon boxer, alors que monsieur s’est contenté de garder son débardeur et son survêt est baissé sur ses genoux. Devant cette injustice, il me vient des furies de ne pouvoir posséder le contrôle alors je décide de retourner la situation à mon avantage. L’air de rien, j’ouvre pleinement mon cul, pour que sa teub soit enserrée par mes deux fesses, remplaçant mes mains pour une branle d’enfer. Je me détache légèrement de son corps, afin d’obtenir plus d’ampleur dans le mouvement. Mes oscillations se plaisent à suivre le crescendo de la musique et je m’amuse à sentir combien sa queue est brûlante malgré la séparation de nos deux boxers. Pleine de percussion, mon corps suit avec précision les bouleversements de la musique, pour mieux envoûter ce mâle. Tout en l’embrassant plus furieusement, je me plais à pousser des petits cris de plaisir, comme s’ils m’échappaient à l’indépendance de ma volonté. Son corps paraît réceptif à ma danse, puisqu’il se met à jouer sur le même registre de sensualité avec plus de rudesse.
Il me faut attendre peu de temps pour obtenir les résultats de ma vengeance car, en repoussant mon visage, il me regarde droit dans les yeux avec un regard d’incompréhension et de stupeur. Il pousse un râle animal, pendant que mes hanches continuent leur petit jeu, et je sens que son bassin se crispe à quatre ou cinq reprises.
— Putain, Tu es une vraie garce, sa mère. Comment t’as fais ?
— Moi … j’ai rien fais, t’es ouf mec, lui répondis-je feintant l’innocence.
— Tu te fous de moi au quoi … Tu te la joues lopesa et genre tu n’y es pour rien. Après, j’avoue que tu es super doué, parce que c’est la première fois que je jute sans avoir retiré mon boxer. Tu dois être une vraie pute.
— Euh … déjà je ne te permets pas, d’autant plus que mon tableau de chasse est vide alors je vais avoir du mal à tenir la comparaison avec toi par exemple.
— Tu veux dire que tu es un petit puceau ? me demande-t-il incrédule.
— Exactement, répondis-je avec fierté et orgueil.
— Je suis quécho, mec. Mais leçon numéro 1 : il ne faut pas gâcher une goutte du jus de ton mâle ; car maintenant tu es mien, tu m’appartiens.
Comme Rome ne s’est pas faite en une journée, vous verrez que je n’ai pas perdu ma virginité cette seule nuit. Avant de devenir le tepu du tierquar, il s’est passé un bon moment dont vous venez de lire la seule première partie. Alors si vous m’avez lu, que vous avez eu la trique, que vous vous soyez branlés ou que vous n’ayez pu opprimer une éjaculation, n’hésitez pas à m’envoyer un message. Je me sens d’humeur à assurer le service après lecture.
Pour vous faire une image précise de ma personne, je crois être assez agréable à regarder lorsqu’on aime ce style. J’ai des yeux clairs. Ma bouche pourrait être qualifiée de « suceuse », car elle est pleine et purpurine, en un mot pulpeuse. Ma peau est très pâle, ce qui crée un sérieux contraste avec le rouge indécent de mes lèvres et le bleu de mon regard. Le tout est couronné par une touffe de cheveux noirs, broussailleux qui m’a valu dans la cité le nom de Mowgli, ce qui donne un assez bon aperçu de ma dégaine. Une silhouette élancée avec mon 1m80 pour 60k. Pour que l’aperçu soit complet, je suis généralement comparé aussi bien à Nicholas Hoult qu’à Ian Somerhalder ou Jon Hensley.
Si je n’avais jamais vu le loup jusqu’à présent, c’était pour la simple et bonne raison que je n’avais rencontré personne auparavant. Je vous raconterais peut-être ma vie de puceau plus tard, parce que la virginité ne rend pas plus saint… Ce que j’ai décidé de vous révéler à ce jour concerne la rencontre qui a fait basculer ma vie. De blanc à noir, de vestale à catin. Son nom, Driss, restera à jamais graver dans mon cœur et son corps tatouer dans ma mémoire.
En même temps, ce n’est pas le genre de mec qui s’oublie avec son 1m95 et sa carrure de catcheur. Pour faire simple, il possède une silhouette à la Dwayne Johnson. De forme plutôt ovale, son visage possède une beauté sculpturale, grâce à des traits coupés à la serpe. Les cheveux sont coupés court et possède le même noir profond que ses yeux, lui donnant un regard de killer. Pour moi, ce qui le rend carrément craquant est son large sourire au pouvoir rayonnant et au charme destructeur. Je le croisais souvent dans les environs (notamment en passant devant la salle de sport du coin), et à chaque fois, je devais me retenir de ne pas m’écrouler à ses pieds tellement il me faisait chavirer. Evidemment avec sa virilité sauvage, je me doutais que sa sexualité était celle d’un pur hétéro, mais comment ne pas fantasmer devant ce morceau de choix ?
Un soir, je rentre chez moi après une soirée un peu chargée. J’habite le sixième étage, mais j’ai pour habitude de prendre les escaliers (comme palliatif d’un sport quotidien). A peine arrivé au premier étage, j’entends que la porte se rouvre derrière mon passage alors qu’elle venait de se refermer. Je n’y prête pas plus attention, puisque je suis habitué aux allées et venues de l’immeuble, habité majoritairement par des jeunes en quête de toutes sortes de substances. Je continue jusqu’au deuxième étage, en me disant que la personne doit s’arrêter avant moi puisque je suis le seul dingue à prendre les escaliers. Mais au quatrième, je vois une ombre se profilée devant moi ; du coup, je me retourne, prêt à lancer un large bonsoir. Or, quelle ne fut pas ma surprise, en reconnaissant le divin Driss.
J’ose à peine vous raconter ma déconvenue, puisque je me suis éclaté le genou contre les marches alors que le reste de mon corps s’est étalé et que mes lèvres ont étouffé un pauvre « Bonsoir » pitoyable. Faisant à peine attention au « Bien ou bien ? » qu’il me rétorque, je me rattrape tant bien que mal à la rambarde et je prends mes jambes à mon cou, en montant les marches quatre à quatre. Au sixième, je me précipite vers mon palier, avec la volonté de cacher ma honte dans mon appartement. Dans ce genre de situation, j’ai tendance à devenir trop maladroit, alors impossible de rentrer la clé dans ma serrure. Je vous laisse imagine que ça lui laisse largement le temps de me suivre et de me rattraper.
Si dans le milieu, il se fait appeler « le Titan », ce n’est pas pour rien. Et pour les connaisseurs, sa carrure me rappelait à la mémoire le personnage de Gregor Clegane dans le Trône de Fer, la Montagne. Pourtant, il ne faut pas se fier aux apparences parce que si à côté de lui, je ressemble à une vraie crevette, je ne perds pas pour autant ma superbe lorsque je me ressaisis. Je crois que dans ma catégorie, je suis un très bon acteur et couplé à mon caractère volcanique (ou de merde comme vous le voulez), je n’ai pas peur de faire des étincelles. En clair, oubliez avec moi le rôle de la petite pute soumise…
— Eh mec, quand je te parle, tu dois me répondre me dit-il.
— Hein ! … Que ? … Quoi ?
— Je t’ai demandé comment tu allais ? Et au lieu de fuir, tu aurais pu me répondre.
— Ah oui désolé, je suis fracassé alors j’ai du mal à avoir les idées claires. Et je n’ai pas fuis, je n’ai juste pas pour habitude de me taper la honte devant des inconnus.
— T’inquiète mec, ça arrive. Ecoute, on ne va pas discuter comme ça pendant trois heures, alors je m’invite chez toi. Tu ouvre ou tu veux que je le fasse ?
— Euh … ! Ouais, j’ouvre.
Je suis sous le choc. Quoi ? Driss veut discuter avec moi. Non mais c’est quoi le délire. Il est tellement beau, que j’ai du mal à garder ma contenance. Je le laisse passer en premier, pour avoir l’occasion de le mater en toute tranquillité. Comme l’été règne sur la cité, il porte un débardeur qui laisse la place à ses muscles pour s’épanouir, avec un bas de survêtement gris trois fois trop grand pour lui. Il le porte sur un boxer, qui met en valeur son bon cul de rebeu, dont la rondeur ressemble limite à un boule de bowling.
— Tiens, je m’appelle Driss et toi ? C’est quoi ton blase ?
Et là, je ne sais pas pourquoi mais dans la confiance, je lui réponds : « Oui, je sais que tu t’appelle Driss. » Le problème de ma peau diaphane est qu’elle est tellement blanche, qu’elle en devient transparente, ce qui me fait rougir dès que l’émotion est trop forte.
— Sérieux gars ? En même temps, je t’ai capté depuis longtemps avec mes potes. Y’a même Lotfy qui t’appelle Mowgli à cause de tes veuxche. J’avoue que ça te va bien.
Je suis sur le cul de ce qu’il vient de m’annoncer. Enfin, je lui propose quand même de s’asseoir, en lui demandant s’il préfère un café, un thé ou une bière.
— On est entre mec, alors je vais prendre une bière.
Pour me mettre à l’aise, je mets de la musique sans trop savoir quel est l’album dans le lecteur. Les premières notes résonnent sur un morceau de Blondie, rien de mieux pour me sentir bien. Sauf que je ne peux m’empêcher de me trémousser lorsque j’entends de la zic. D’une certaine manière, je perds le contrôle de mon corps, qui se met en action tout seul dans un déhanché digne de Fred Astaire. Après 15 ans de danse, je me débrouille assez bien et mon invité ne se fait pas prier pour le remarquer.
— Putain, comment tu bouges ton boule … c’est rare pour un céfran, mais en te matant, j’aurais du le parier avec mes potes.
Moi qui me glorifie de garder mon sang froid dans n’importe quelle situation, ce mec pourrait me faire mentir, tellement il arrive à me retourner avec désinvolture. Faisant feu de tout bois, je n’hésite pas une seconde à lui poser une question directe et sans détour : « Bon mec, qu’est-ce que tu fais là ? Qu’est-ce que tu veux ? Parce que franchement, tu me mets le chiro à l’envers. » Il se met à rire à gorge déployée, en m’annonçant qu’il s’attendait pas à ce que j’ose lui parler comme ça … mais que pour une fois, il apprécie que quelqu’un lui tienne tête.
— Maintenant, si tu crois t’en tirer comme ça, c’est mort. Viens ici, petit con !
Hypnotisé par son attitude « badass », mon corps me fait défaut, en avançant vers lui avec un regard de défi, celui qui déclare au monde que je n’ai peur de rien. Quelques soit la situation, je sais que je garderais toujours mon âme de guerrier combattant. En réponse, ses yeux s’embrasent de flammes, qui ne laissent présager rien de bon. Affalé sur mon canapé, je ne sais comment il réussit à me faire passer de la station débout face à lui de celle sur ses genoux. Quoiqu’il en soit, me voilà enserré dans ses bras musculeux.
— Fais pas trop le malin, j’en ai maté des coriaces, qui faisaient plus peur que toi.
— Je ne crois pas mec, lui répondis-je, tu ne me connais pas.
Et au lieu de m’en prendre une comme je m’y attendais, il me posa sa main de colosse sur la joue, avec une tendresse qui fit fondre mon cœur de glace. Collé à lui, il devait sentir mon cœur battre tout de même à 100 à l’heure, car il me dit que mon corps trahissait mes pensées. Je ris avec majesté : « Ah ouais gars, c’est ce que tu crois » ; et j’essaye de m’extirper de ses bras en gesticulant dans tous les sens. Evidement, mon entreprise est vaine puisqu’il est bien plus puissant que moi, mais ce salop en profite pour que mes fesses soient positionnées avec précision sur son membre viril. Cependant, faites-moi confiance, impossible de me laisser faire.
— Qu’est-ce que tu fais ? Tu te crois dans un bordel ? Je m’amuse pas à jouer la pute pour deux sous.
— Avec ton corps de poupée Barbie, tu ne vas pas te la jouer avec moi, parce que je te brise d’un seul coup.
— Essaye, si tu crois me faire peur.
— Gars, tu parles trop alors que tu es incapable de sortir de mes bras. Et puis, merde. Ferme ta p’tite gueule.
Pour m’empêcher de parler, il a une technique radicale, qui consiste à appuyer sa large bouche sur la mienne et je dois dire que ça marche. Très vite, je ne contrôle plus rien. J’entrouvre légèrement mes lèvres charnues. Driss comprend le message et m’enfonce sa langue avec ardeur et passion. Alors que le ballet de nos langues commence, ses bras m’enlacent de plus en plus presque jusqu’à l’étouffement. Sans quitter sa bouche, je commence à jouer de mes hanches, pour gagner de l’espace. Comme je l’ai dis, je n’ai aucun mal à me servir de mon corps après des années de dance. Du coup, je ne tarde pas à sentir les premiers effets de mes vagues corporelles.
Ce qui me plaît chez Driss, c’est qu’il n’hésite pas à exprimer tout haut ce qu’il pense tout bas et direct il se laisse aller à des gémissements, me prouvant sa satisfaction. Il pose ses deux grosses mains sur chaque lobe de mon cul, pour m’installer sur sa queue déjà bien tendue. Je suis incapable de dire à quoi elle ressemble, mais je sens qu’elle est d’une longueur et surtout d’une largeur désirables. Sa force est telle qu’il a le pouvoir de m’utiliser comme une vraie poupée, en me changeant de position au gré de ses envies. Même s’il est assez brusque, il ne manque pas de tendresse comme s’il avait peur de me casser en deux. Je suis incapable de savoir avec précision l’ordre et le désordre qui s’est établi dans ce jeu de corps à corps. A chaque instant, je me sens l’impression de voler dans les airs.
Je ne sais trop comment, je me suis retrouvé habillé d’un simple tee-shirt et de mon boxer, alors que monsieur s’est contenté de garder son débardeur et son survêt est baissé sur ses genoux. Devant cette injustice, il me vient des furies de ne pouvoir posséder le contrôle alors je décide de retourner la situation à mon avantage. L’air de rien, j’ouvre pleinement mon cul, pour que sa teub soit enserrée par mes deux fesses, remplaçant mes mains pour une branle d’enfer. Je me détache légèrement de son corps, afin d’obtenir plus d’ampleur dans le mouvement. Mes oscillations se plaisent à suivre le crescendo de la musique et je m’amuse à sentir combien sa queue est brûlante malgré la séparation de nos deux boxers. Pleine de percussion, mon corps suit avec précision les bouleversements de la musique, pour mieux envoûter ce mâle. Tout en l’embrassant plus furieusement, je me plais à pousser des petits cris de plaisir, comme s’ils m’échappaient à l’indépendance de ma volonté. Son corps paraît réceptif à ma danse, puisqu’il se met à jouer sur le même registre de sensualité avec plus de rudesse.
Il me faut attendre peu de temps pour obtenir les résultats de ma vengeance car, en repoussant mon visage, il me regarde droit dans les yeux avec un regard d’incompréhension et de stupeur. Il pousse un râle animal, pendant que mes hanches continuent leur petit jeu, et je sens que son bassin se crispe à quatre ou cinq reprises.
— Putain, Tu es une vraie garce, sa mère. Comment t’as fais ?
— Moi … j’ai rien fais, t’es ouf mec, lui répondis-je feintant l’innocence.
— Tu te fous de moi au quoi … Tu te la joues lopesa et genre tu n’y es pour rien. Après, j’avoue que tu es super doué, parce que c’est la première fois que je jute sans avoir retiré mon boxer. Tu dois être une vraie pute.
— Euh … déjà je ne te permets pas, d’autant plus que mon tableau de chasse est vide alors je vais avoir du mal à tenir la comparaison avec toi par exemple.
— Tu veux dire que tu es un petit puceau ? me demande-t-il incrédule.
— Exactement, répondis-je avec fierté et orgueil.
— Je suis quécho, mec. Mais leçon numéro 1 : il ne faut pas gâcher une goutte du jus de ton mâle ; car maintenant tu es mien, tu m’appartiens.
Comme Rome ne s’est pas faite en une journée, vous verrez que je n’ai pas perdu ma virginité cette seule nuit. Avant de devenir le tepu du tierquar, il s’est passé un bon moment dont vous venez de lire la seule première partie. Alors si vous m’avez lu, que vous avez eu la trique, que vous vous soyez branlés ou que vous n’ayez pu opprimer une éjaculation, n’hésitez pas à m’envoyer un message. Je me sens d’humeur à assurer le service après lecture.
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