Deux femmes en une journée (2 ème partie)
Récit érotique écrit par Billyboy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Deux femmes en une journée (2 ème partie)
Je fus rapidement réveillé par ma chère Catherine qui ne se priva pas d’embrasser mon torse et mon visage. Elle avait ouvert les volets et était à 4 pattes, en nuisette à m’embrasser. Je me réveillais donc heureux pour compenser du dur réveil du matin. Je l’enlaçais tendrement, lui rendit ces baisers et fit un petit câlin. Rapidement j’eu une érection qu’elle sentit. Elle la caressa en poussant un petit gémissement. Mais ma lucidité me revint. Marie était une fille qui mouillait beaucoup. Rien qu’hier soir je sentais sa mouille couler sur mes cuisses, de plus j’avais mis un préservatif pour elle.
J’ai tout de suite pensé que si cette femme venait à me sucer, elle sentirait l’odeur de l’excitation de sa fille et aussi du latex. Je prétextais donc tendrement que je mourrais de faim.
Elle ne se fit pas prier et me prépara un petit déjeuner sur la terrasse du jardin. Catherine se montrait très affectueuse avec moi. Je devais représenter pour elle, l’homme qu’elle n’a jamais eu. J’étais donc là à savourer mon petit déjeuner. On parlait de tout et de rien comme d’habitude, un vrai petit couple. Le soleil déjà bien brillant rendait sa nuisette transparent, je pouvais voir ses magnifiques seins à travers. Elle ne s’en doutait même pas. Le petit déjeuner parfait.
Alors que je la voyais en fin de repas me faire du pied et autres caresses, je compris que j’étais encore en danger et fila sous la douche après mettre rapidement levé pour débarrasser. Rapidement je me savonnais le sexe en priorité puisqu’elle me dit :
- Attends-moi j’arrive !
Elle me rejoint donc sous la douche et bien évidemment une caresse entraînant une autre…
Nous commencèrent le câlin sous la douche, les préliminaires sur les toilettes avec le charme d’avoir Nostalgie en fond sonore et, l’acte très charnel et intense sur le carrelage froid. Elle fit beaucoup plus de bruit que d’habitude et était plus déchaînée. Elle me disait d’aller plus fort et plus vite. En même temps pour une fois qu’on était enfin seuls chez elle. Apres ce bon gros câlin nous avions regardé un film dans le salon pour se détendre. Elle était contre mon torse comme une adolescente avec son premier amour. Elle me caressait le ventre, les cuisses, la nuque durant tout le film. Elle était vraiment en chaleur je pouvais as y croire.
- Dit moi chérie tu es bien câline dis donc…
- Oh tu sais…je l’ai toujours été mais bon avec les enfants…
- Faudra que tu me montres ce que ça donnes, car dans la salle de bain, ça m’a beaucoup plu.
- Ca viendra avec le temps promis…
Vers la fin du film, elle avait la tête posée sur mes cuisses, et je lui caressais les cheveux. Des que le générique apparut, sans un mot, elle défit mon jean et baissa mon caleçon pour commencer à me sucer lentement. Elle adorait faire ça. Je l’admirais faire. Ce qui m’excitais le plus outre le fait de la situation plus que pas commun est qu’elle creusait ses joues pour aspirer et donc mieux savourer mon sexe. C’est là que je me suis dit qu’elle aimait vraiment le sexe d’homme.
- Tu aimes ma chérie ?
- Oui mon cœur, elle est si bonne…
- Continue alors… Je lui dis cette phrase tendrement mais appuya sur sa tête autoritairement comme pour la forcé.
Elle la prit en bouche sans discuter et j’en profitais pour appuyer encore qu’elle aille au fond. Elle n’y arrivait pas mais allait toujours un petit peu plus loin. J’en profitais donc pour caresser ses reins, son dos et ses fesses pour l’encourager. Les pieds sur la table basse, et elle à 4 pattes sur le canapé à me sucer goulûment, je regardais une photo sur la bibliothèque où elle était là souriante avec ses deux enfants. Je me sentais comme « le père ». Je ne pus m’empêcher de jouir de la situation. Soudainement son téléphone sonna, elle me suça quelques petites secondes pour bien boire la salive qui restait et alla décrocher. Son téléphone était sur la table du salon. C’était Marc, ils parlèrent de choses inintéressantes.
Je me levais et l’enlaçais pour l’embrasser dans le cou. Elle se tourna vers moi me souriant et me faisait signe d’arrêter mais la tentation était trop forte. Je l’entendais parler et me mis à malaxer sa poitrine. Elle devint rouge de gêne. Comme elle était restée en nuisette, c’était pour moi facile de la masturber. Elle mouillait abondamment et j’enfonçais un doigt lentement facilement. Alors que je faisais des va et viens lent et suçais ses seins, je sentis qu’elle attrapa mon sexe pour me masturber. Tandis qu’elle parlait à son fils, elle poussait de petits soupirs discrets. Je décidais donc de pousser le vice encore plus loin. Je lui fis signe de s’allonger sur la table en verre, ce qu’elle fit.
Je m’assis et commença à la lécher lentement tout en continuant à la doigter. Je ne voulais pas aller vite de peur qu’elle gémisse brusquement. Rapidement elle poussa de long soupirs tout en parlant que Marc n’entendis même pas. Comme ses fesses étaient au ras de la table et ses jambes repliées sur les côtés, j’avais une belle vue sur sa fente mais aussi sur son anus. Je me suis mit donc le sourire aux lèvres à boire sa mouille tout en titillant son anus d’un doigt. Elle ne protesta pas mais c’est quand j’enfonçais mon doigt, qu’elle me saisit le poignet. De mon autre main libre je l’enlevais et l’enfonçais en forçant un peu l’entrée. Il glissa difficilement mais je pus enfoncer mon ongle. Elle se crispa un peu et poussas un petit gémissement de surprise. Je commençais un va et viens lent tout en léchant son sexe. Elle était à bout et me tenait à nouveau le poignet.
Elle finit par raccrocher :
- Oh chéri arrête s’il te plait, pas par là. Elle me suppliait en gémissant d’arrêter.
- Encore un peu ma belle, pas longtemps.
- Non s’il te plait je n’ai…jamais fait par là.
Je me souviens encore quand elle a hésité à le dire sur un ton désolant et la gêne qui envahissait son visage en me regardant me relever. J’avais toujours mon doigt dans son trou.
- Tu es vierge ?
- Oui…
Je ne savais pu quoi dire. Je retirais mon doigt tout doucement et la releva contre moi pour l’enlacer. Je m’excusais et l’embrassais mais restais penaud. Je lui dis que j’aimerais beaucoup essayer en cherchant à enfoncer mon gland dans sa chatte. Elle écarta naturellement les cuisses en me disant que sur Internet, il devait avoir des manières de bien faire ça. Je lui demandais si elle était sure, que peut-être c’était un peu rapide. Nous faisions l’amour lentement et passionnément toujours enlacé contre moi.
- Chérie je ne veux pas te brusquer tu sais.
- Je sais mais ça à l’air de te tenir à cœur.
- Beaucoup oui…mais tu n’a pas l’air prête. On peut attendre t’inquiètes pas.
Elle poussa sur mon torse et me regardait. J’arrêtais mes lents coups de sexe. Ses yeux brillaient.
- Chéri, je veux essayer avec toi. Avec mon mari je n’avais pas confiance mais avec toi c’est vraiment différent. Elle rougit.
Je ne savais plus quoi dire. Je me contentais de lui sourire comme un idiot heureux d’obtenir son privilège. Je l’embrassais pour la remercier et repris mes mouvements. Elle m’enlaça à nouveau, soupirait sur mon torse et ma gorge. Sur le coté, contre un mur était posé un grand miroir. Je pouvais me voir dedans en train de lui faire l’amour. Ses jambes autour de moi et ses pieds tendus. C’était vraiment trop sensuel.
Puis s’allongea sur la table les bras au dessus de sa tête et elle se laissait aller. Sa poitrine tournait en cercle au rythme de mes coups de reins.
- Alors tu crois que quand on sera seuls bientôt on pourra essayer ?
- Oui mon cœur, me soupira t-elle.
Mais pourquoi attendre la prochaine fois ? On est seuls là. J’accélérais mes vas et viens progressivement ce qui la fit gémir un peu plus fort et vite.
- T’es si prête que ça ? J’étais surpris en m’accrochant à ses cuisses levées contre mon torse.
- Oh oui ! Continues mon chéri je sens que ça vient !
En effet je la voyais se titiller le clitoris et elle n’arrêtait pas de se déhancher. J’accélérais donc brusquement mes coups ce qui la fit jouir en quelques secondes dans de grands cris. Toujours à se crisper et se caresser le ventre et les seins, les yeux fermées en criant mon prénom. Je ralentissais satisfait mais elle se redressa rapidement sur le côté, me poussa pour saisir ma bite et me suça rapidement et avidement. Je saisi sa tête à deux mains et appuyais dessus à son rythme tout en bougeant mon bassin. Ce qui fit que ma bite s’enfonçait très profondément dans sa bouche. Mais cette fois ci elle ne protesta pas. Je n’ai pu me retenir qu’ une petite minute à peu près et cracha tout mon sperme au fond de sa gorge.
Elle avala par grande gorgée en me regardant. Je pu jouir dans un grand râle et me fit nettoyer la queue juste après. A nouveau un gros câlin se fit. Elle remit sa nuisette et fila dans la chambre là où était l’ordi.
- Chéri va te laver je vais chercher des informations sur la sodomie.
- Oui chérie…
Je restais là, bouche bée, la bite pendante au milieu du salon, ne reconnaissant plus ma chérie-amante. Sous la douche je me lavais soigneusement pour la deuxième fois et commençais à sentir la fatigue. En sortant de la sale de bain en caleçon, je la vis faire à manger toute guillerette.
- Tiens chérie je t’ai fait à manger, tu dois avoir faim après tout ça. En même temps il était bientôt 13 heures et c’est vrai que j’avais faim.
Je m’assis et commença à manger mon escalope avec des pâtes. Sur le coté elle avait imprimé un article sur le dépucelage anal. Je la regardais un peu troublé, elle me sourit.
- T’as besoin de force tu sais…Elle s’assit sur mes genoux et caressait mon torse.
Je le lus en mangeant tandis qu’elle me bécotait le cou. Rapidement elle se mit à me sucer quand elle vit que je bandais. A genoux sur le carrelage de sa cuisine, elle me suçait toujours si lentement. Je lui conseillais d’aller sous la table pour que j’évite d’être tourné. Elle accepta sans sourciller et continua son œuvre. Je lisais soigneusement en me remplissant le ventre.
Après le déjeuner englouti, on fila dans sa chambre. Je faisais exprès de faire grincer les marches en guise de vengeance. Elle avait étendu un grand drap de soie au milieu de la pièce, là où la lumière passait à travers le transistor.
- Allonges toi mon homme…
Je m’allongeais la bite déjà bien tendu par sa fellation de y a 2 minutes. Elle s’avança telle une panthère sur moi, s’agenouilla et me repris en bouche profondément toujours si lentement. Elle me regardait comme jamais. D’habitude elle fermait les yeux. Ses yeux bleus me troublaient, je caressais ses cheveux, puis subitement se mit à me sucer plus rapidement les yeux fermés. Je pus appuyer sur sa tête comme je voulais doucement. Elle commença à pousser de petits gémissements. Progressivement je la vis se tourner pour se mettre en 69 sur moi.
- Vas y chéri prépares moi.
Obéissant je me mis à lécher sa chatte plus que trempée. La première fois qu’elle mouillait autant. Pendant mon cunni de débutant, je me suis mis en mode « automatique » en me disant que c’était l’excitation de cette première fois qui la faisait autant mouiller. Je ne pensais pas à savoir comment bien la lécher mais plutôt comment la sodomiser sans douleur. Je me permettais donc en voyant son petit trou brun de mouiller un de mes doigts et le passer en cercle sur son trou. Que c’était excitant de le voir se rétracter et contracter à chacun de mes passages. Elle tortillait des fesses et me suçait plus intensément.
J’en profita pour y enfoncer mon ongle doucement comme indiquer dans l’article. Je devais d’abord le préparer. Tout doucement je l’enfonçais en forçant. Je devais bien son petit trou était vraiment étroit. Il glissa péniblement sous un long gémissement. J’attendais un peu que son trou s’habitue mais elle commença à s’asseoir sur moi pour me faire comprendre de l’enfoncer. Ce que je fis, je l’enfonçais lentement à la moitié. Elle s’arrêtait de me sucer en me soupirant d’aller doucement, comment je pouvais lui résister ?
Je m’arrêtais et commençais à faire de petits va et viens lent. Comme si je la doigtais devant un film érotique. Je m’occupais toujours de son sexe lubrifié, sans forcer mon sexe glisserait au fond mais bon l’heure n’étais pas à ce trou. Quand il atteint le fond, je fit de grands va et viens lent. Elle gémissait en me léchant le gland en cercle. Je m’aventurais à enfoncer mon majeur en rythme avec l’index. Cela passa plus difficilement puisqu’elle me broya le sexe de sa main tout le long de la pénétration du majeur, j’aurais du mettre l’auriculaire ça aurait été moins long.
Quand la douleur passa, elle se remit à me sucer de plus belle, plus vite et profond. J’accélérais la cadence de mes vas et viens au rythme de ses coups de bouche. Son trou semblait se dilater progressivement. Je me relevais pour la prendre en levrette. Elle se mit à quatre pattes, les reins bien cambrés.
- Prends-moi chéri et fort !
Je me fis pas prier et enfonça ma queue profondément dans sa chatte. Ca glissait comme dans du beurre. Je m’accrochais à ses hanches et écartais ses fesses de mes pouces pour contempler son anus. Je la baisais un bon moment en levrette, suffisamment pour que ses cris de plaisir m’excitent un bon coup au point de lui enfoncer mon pouce dans le cul en la baisant bien fort.
Elle criait dans le petit oreiller qu’elle avait mit et je ralentis pour mieux doigter son cul plus intensément.
- Vas y bébé tu peux y aller mais doucement hein…
- Oui ma chérie, n’hésite pas à me dire si je te fais trop mal.
La boule au ventre je pensais encore à cette phrase « J’allais dépuceler l’anus de la mère à mon meilleure ami ». Rien que de penser ça, ça me rendais fou de bonheur. Je posais mon gland à l’entrée de son anus. Elle avait écarté ses fesses, la tête posée sur l’oreiller. Je l’enfonçais doucement, il se tordit un peu et rentra en elle. Juste mon gland de rentré, je lui caressais les reins en la félicitant. Elle soupirait et soufflait. Il était temps que je la dépucelle vraiment. Doucement j’enfonçais mon sexe entièrement en elle d’un seul trait sous ses gémissements. Son trou m’accueillait bien. Au fond je lui demandais si tout allait bien. Elle semblait avoir mal mais se titillait le clito doucement en me rassurant. Je commençais donc à la sodomiser en douceur en regardant ma queue s’enfoncer tout entière. Ses petits soupirs se transformaient en long gémissements. Elle se décrispa et commençait à prendre du plaisir.
- Oui mon cœur continue comme ça, ça devient bon là.
J’augmentais la cadence doucement puis avec le temps y allait sans vergogne. Elle ne se plaint pas et me suggéra même de me chevaucher. Je le fis et la voyait prendre son pied par son trou visité depuis peu. Elle me regardait et alternait à fermer les yeux et se laisser aller. Les pieds à terre, mains sur mon torse à aller à son rythme. De temps à autre je lui donnais un petit coup qu’elle se rappelle qui est la femme ici. On finit par jouir ensemble. Moi dans son cul après l’avoir bien prise fortement. Et elle à se titiller le clitoris en même temps.
La jouissance était bien plus forte que la première et deuxième fois de la journée. Je me sentais vidé et vraiment exténué. Elle s’affala sur moi épuisé aussi et toute heureuse me couvrit de baisers.
- Hum, merci mon chéri c’était trop bon !
- Je ne t’ai pas fait trop mal ?
- Au début oui un peu mais après c’était vraiment trop bon. Putain le pied.
- On recommencera ?
- Oui mon cœur, autant de fois que tu voudras…
Elle léchait ma transpiration dans le cou et sur mon torse. On était encore essoufflés. Je me sentais partir et quand je me suis réveillé, le soleil avait déjà viré et j’étais seul. Je remis mon caleçon et descendit. Elle était en bas au téléphone avec une amie. Elle me caressa quand je vins l’embrasser dans le cou et malaxer sa poitrine. Elle raccrocha.
- Bonjour vous…
- Merci pour ce moment mon cœur. Je savais que je ne serais pas déçu…
- Tu sais que j’aime te faire plaisir.
- Au faite je pense que tu vas devoir y aller il est plus de quatre heures et ma fille va rentrer. Au faite ce week-end, les enfants sont avec leur père donc si tu veux passer un week-end avec ta petite femme…
- D’accord mais il ne faudra pas m’épuiser comme tu as fait grosse gourmande.
- Tu vas voir ce qu’elle va te faire la grosse gourmande demain et dimanche.
Je me rhabillais tranquillement et discutais de ce qu’on ferait puis après un câlin des plus tendre, je filais chez moi. Vidé et heureux de ce qui m’arrivait de ces magnifiques deux jours, et surtout me préparant à la revoir le lendemain.
J’ai tout de suite pensé que si cette femme venait à me sucer, elle sentirait l’odeur de l’excitation de sa fille et aussi du latex. Je prétextais donc tendrement que je mourrais de faim.
Elle ne se fit pas prier et me prépara un petit déjeuner sur la terrasse du jardin. Catherine se montrait très affectueuse avec moi. Je devais représenter pour elle, l’homme qu’elle n’a jamais eu. J’étais donc là à savourer mon petit déjeuner. On parlait de tout et de rien comme d’habitude, un vrai petit couple. Le soleil déjà bien brillant rendait sa nuisette transparent, je pouvais voir ses magnifiques seins à travers. Elle ne s’en doutait même pas. Le petit déjeuner parfait.
Alors que je la voyais en fin de repas me faire du pied et autres caresses, je compris que j’étais encore en danger et fila sous la douche après mettre rapidement levé pour débarrasser. Rapidement je me savonnais le sexe en priorité puisqu’elle me dit :
- Attends-moi j’arrive !
Elle me rejoint donc sous la douche et bien évidemment une caresse entraînant une autre…
Nous commencèrent le câlin sous la douche, les préliminaires sur les toilettes avec le charme d’avoir Nostalgie en fond sonore et, l’acte très charnel et intense sur le carrelage froid. Elle fit beaucoup plus de bruit que d’habitude et était plus déchaînée. Elle me disait d’aller plus fort et plus vite. En même temps pour une fois qu’on était enfin seuls chez elle. Apres ce bon gros câlin nous avions regardé un film dans le salon pour se détendre. Elle était contre mon torse comme une adolescente avec son premier amour. Elle me caressait le ventre, les cuisses, la nuque durant tout le film. Elle était vraiment en chaleur je pouvais as y croire.
- Dit moi chérie tu es bien câline dis donc…
- Oh tu sais…je l’ai toujours été mais bon avec les enfants…
- Faudra que tu me montres ce que ça donnes, car dans la salle de bain, ça m’a beaucoup plu.
- Ca viendra avec le temps promis…
Vers la fin du film, elle avait la tête posée sur mes cuisses, et je lui caressais les cheveux. Des que le générique apparut, sans un mot, elle défit mon jean et baissa mon caleçon pour commencer à me sucer lentement. Elle adorait faire ça. Je l’admirais faire. Ce qui m’excitais le plus outre le fait de la situation plus que pas commun est qu’elle creusait ses joues pour aspirer et donc mieux savourer mon sexe. C’est là que je me suis dit qu’elle aimait vraiment le sexe d’homme.
- Tu aimes ma chérie ?
- Oui mon cœur, elle est si bonne…
- Continue alors… Je lui dis cette phrase tendrement mais appuya sur sa tête autoritairement comme pour la forcé.
Elle la prit en bouche sans discuter et j’en profitais pour appuyer encore qu’elle aille au fond. Elle n’y arrivait pas mais allait toujours un petit peu plus loin. J’en profitais donc pour caresser ses reins, son dos et ses fesses pour l’encourager. Les pieds sur la table basse, et elle à 4 pattes sur le canapé à me sucer goulûment, je regardais une photo sur la bibliothèque où elle était là souriante avec ses deux enfants. Je me sentais comme « le père ». Je ne pus m’empêcher de jouir de la situation. Soudainement son téléphone sonna, elle me suça quelques petites secondes pour bien boire la salive qui restait et alla décrocher. Son téléphone était sur la table du salon. C’était Marc, ils parlèrent de choses inintéressantes.
Je me levais et l’enlaçais pour l’embrasser dans le cou. Elle se tourna vers moi me souriant et me faisait signe d’arrêter mais la tentation était trop forte. Je l’entendais parler et me mis à malaxer sa poitrine. Elle devint rouge de gêne. Comme elle était restée en nuisette, c’était pour moi facile de la masturber. Elle mouillait abondamment et j’enfonçais un doigt lentement facilement. Alors que je faisais des va et viens lent et suçais ses seins, je sentis qu’elle attrapa mon sexe pour me masturber. Tandis qu’elle parlait à son fils, elle poussait de petits soupirs discrets. Je décidais donc de pousser le vice encore plus loin. Je lui fis signe de s’allonger sur la table en verre, ce qu’elle fit.
Je m’assis et commença à la lécher lentement tout en continuant à la doigter. Je ne voulais pas aller vite de peur qu’elle gémisse brusquement. Rapidement elle poussa de long soupirs tout en parlant que Marc n’entendis même pas. Comme ses fesses étaient au ras de la table et ses jambes repliées sur les côtés, j’avais une belle vue sur sa fente mais aussi sur son anus. Je me suis mit donc le sourire aux lèvres à boire sa mouille tout en titillant son anus d’un doigt. Elle ne protesta pas mais c’est quand j’enfonçais mon doigt, qu’elle me saisit le poignet. De mon autre main libre je l’enlevais et l’enfonçais en forçant un peu l’entrée. Il glissa difficilement mais je pus enfoncer mon ongle. Elle se crispa un peu et poussas un petit gémissement de surprise. Je commençais un va et viens lent tout en léchant son sexe. Elle était à bout et me tenait à nouveau le poignet.
Elle finit par raccrocher :
- Oh chéri arrête s’il te plait, pas par là. Elle me suppliait en gémissant d’arrêter.
- Encore un peu ma belle, pas longtemps.
- Non s’il te plait je n’ai…jamais fait par là.
Je me souviens encore quand elle a hésité à le dire sur un ton désolant et la gêne qui envahissait son visage en me regardant me relever. J’avais toujours mon doigt dans son trou.
- Tu es vierge ?
- Oui…
Je ne savais pu quoi dire. Je retirais mon doigt tout doucement et la releva contre moi pour l’enlacer. Je m’excusais et l’embrassais mais restais penaud. Je lui dis que j’aimerais beaucoup essayer en cherchant à enfoncer mon gland dans sa chatte. Elle écarta naturellement les cuisses en me disant que sur Internet, il devait avoir des manières de bien faire ça. Je lui demandais si elle était sure, que peut-être c’était un peu rapide. Nous faisions l’amour lentement et passionnément toujours enlacé contre moi.
- Chérie je ne veux pas te brusquer tu sais.
- Je sais mais ça à l’air de te tenir à cœur.
- Beaucoup oui…mais tu n’a pas l’air prête. On peut attendre t’inquiètes pas.
Elle poussa sur mon torse et me regardait. J’arrêtais mes lents coups de sexe. Ses yeux brillaient.
- Chéri, je veux essayer avec toi. Avec mon mari je n’avais pas confiance mais avec toi c’est vraiment différent. Elle rougit.
Je ne savais plus quoi dire. Je me contentais de lui sourire comme un idiot heureux d’obtenir son privilège. Je l’embrassais pour la remercier et repris mes mouvements. Elle m’enlaça à nouveau, soupirait sur mon torse et ma gorge. Sur le coté, contre un mur était posé un grand miroir. Je pouvais me voir dedans en train de lui faire l’amour. Ses jambes autour de moi et ses pieds tendus. C’était vraiment trop sensuel.
Puis s’allongea sur la table les bras au dessus de sa tête et elle se laissait aller. Sa poitrine tournait en cercle au rythme de mes coups de reins.
- Alors tu crois que quand on sera seuls bientôt on pourra essayer ?
- Oui mon cœur, me soupira t-elle.
Mais pourquoi attendre la prochaine fois ? On est seuls là. J’accélérais mes vas et viens progressivement ce qui la fit gémir un peu plus fort et vite.
- T’es si prête que ça ? J’étais surpris en m’accrochant à ses cuisses levées contre mon torse.
- Oh oui ! Continues mon chéri je sens que ça vient !
En effet je la voyais se titiller le clitoris et elle n’arrêtait pas de se déhancher. J’accélérais donc brusquement mes coups ce qui la fit jouir en quelques secondes dans de grands cris. Toujours à se crisper et se caresser le ventre et les seins, les yeux fermées en criant mon prénom. Je ralentissais satisfait mais elle se redressa rapidement sur le côté, me poussa pour saisir ma bite et me suça rapidement et avidement. Je saisi sa tête à deux mains et appuyais dessus à son rythme tout en bougeant mon bassin. Ce qui fit que ma bite s’enfonçait très profondément dans sa bouche. Mais cette fois ci elle ne protesta pas. Je n’ai pu me retenir qu’ une petite minute à peu près et cracha tout mon sperme au fond de sa gorge.
Elle avala par grande gorgée en me regardant. Je pu jouir dans un grand râle et me fit nettoyer la queue juste après. A nouveau un gros câlin se fit. Elle remit sa nuisette et fila dans la chambre là où était l’ordi.
- Chéri va te laver je vais chercher des informations sur la sodomie.
- Oui chérie…
Je restais là, bouche bée, la bite pendante au milieu du salon, ne reconnaissant plus ma chérie-amante. Sous la douche je me lavais soigneusement pour la deuxième fois et commençais à sentir la fatigue. En sortant de la sale de bain en caleçon, je la vis faire à manger toute guillerette.
- Tiens chérie je t’ai fait à manger, tu dois avoir faim après tout ça. En même temps il était bientôt 13 heures et c’est vrai que j’avais faim.
Je m’assis et commença à manger mon escalope avec des pâtes. Sur le coté elle avait imprimé un article sur le dépucelage anal. Je la regardais un peu troublé, elle me sourit.
- T’as besoin de force tu sais…Elle s’assit sur mes genoux et caressait mon torse.
Je le lus en mangeant tandis qu’elle me bécotait le cou. Rapidement elle se mit à me sucer quand elle vit que je bandais. A genoux sur le carrelage de sa cuisine, elle me suçait toujours si lentement. Je lui conseillais d’aller sous la table pour que j’évite d’être tourné. Elle accepta sans sourciller et continua son œuvre. Je lisais soigneusement en me remplissant le ventre.
Après le déjeuner englouti, on fila dans sa chambre. Je faisais exprès de faire grincer les marches en guise de vengeance. Elle avait étendu un grand drap de soie au milieu de la pièce, là où la lumière passait à travers le transistor.
- Allonges toi mon homme…
Je m’allongeais la bite déjà bien tendu par sa fellation de y a 2 minutes. Elle s’avança telle une panthère sur moi, s’agenouilla et me repris en bouche profondément toujours si lentement. Elle me regardait comme jamais. D’habitude elle fermait les yeux. Ses yeux bleus me troublaient, je caressais ses cheveux, puis subitement se mit à me sucer plus rapidement les yeux fermés. Je pus appuyer sur sa tête comme je voulais doucement. Elle commença à pousser de petits gémissements. Progressivement je la vis se tourner pour se mettre en 69 sur moi.
- Vas y chéri prépares moi.
Obéissant je me mis à lécher sa chatte plus que trempée. La première fois qu’elle mouillait autant. Pendant mon cunni de débutant, je me suis mis en mode « automatique » en me disant que c’était l’excitation de cette première fois qui la faisait autant mouiller. Je ne pensais pas à savoir comment bien la lécher mais plutôt comment la sodomiser sans douleur. Je me permettais donc en voyant son petit trou brun de mouiller un de mes doigts et le passer en cercle sur son trou. Que c’était excitant de le voir se rétracter et contracter à chacun de mes passages. Elle tortillait des fesses et me suçait plus intensément.
J’en profita pour y enfoncer mon ongle doucement comme indiquer dans l’article. Je devais d’abord le préparer. Tout doucement je l’enfonçais en forçant. Je devais bien son petit trou était vraiment étroit. Il glissa péniblement sous un long gémissement. J’attendais un peu que son trou s’habitue mais elle commença à s’asseoir sur moi pour me faire comprendre de l’enfoncer. Ce que je fis, je l’enfonçais lentement à la moitié. Elle s’arrêtait de me sucer en me soupirant d’aller doucement, comment je pouvais lui résister ?
Je m’arrêtais et commençais à faire de petits va et viens lent. Comme si je la doigtais devant un film érotique. Je m’occupais toujours de son sexe lubrifié, sans forcer mon sexe glisserait au fond mais bon l’heure n’étais pas à ce trou. Quand il atteint le fond, je fit de grands va et viens lent. Elle gémissait en me léchant le gland en cercle. Je m’aventurais à enfoncer mon majeur en rythme avec l’index. Cela passa plus difficilement puisqu’elle me broya le sexe de sa main tout le long de la pénétration du majeur, j’aurais du mettre l’auriculaire ça aurait été moins long.
Quand la douleur passa, elle se remit à me sucer de plus belle, plus vite et profond. J’accélérais la cadence de mes vas et viens au rythme de ses coups de bouche. Son trou semblait se dilater progressivement. Je me relevais pour la prendre en levrette. Elle se mit à quatre pattes, les reins bien cambrés.
- Prends-moi chéri et fort !
Je me fis pas prier et enfonça ma queue profondément dans sa chatte. Ca glissait comme dans du beurre. Je m’accrochais à ses hanches et écartais ses fesses de mes pouces pour contempler son anus. Je la baisais un bon moment en levrette, suffisamment pour que ses cris de plaisir m’excitent un bon coup au point de lui enfoncer mon pouce dans le cul en la baisant bien fort.
Elle criait dans le petit oreiller qu’elle avait mit et je ralentis pour mieux doigter son cul plus intensément.
- Vas y bébé tu peux y aller mais doucement hein…
- Oui ma chérie, n’hésite pas à me dire si je te fais trop mal.
La boule au ventre je pensais encore à cette phrase « J’allais dépuceler l’anus de la mère à mon meilleure ami ». Rien que de penser ça, ça me rendais fou de bonheur. Je posais mon gland à l’entrée de son anus. Elle avait écarté ses fesses, la tête posée sur l’oreiller. Je l’enfonçais doucement, il se tordit un peu et rentra en elle. Juste mon gland de rentré, je lui caressais les reins en la félicitant. Elle soupirait et soufflait. Il était temps que je la dépucelle vraiment. Doucement j’enfonçais mon sexe entièrement en elle d’un seul trait sous ses gémissements. Son trou m’accueillait bien. Au fond je lui demandais si tout allait bien. Elle semblait avoir mal mais se titillait le clito doucement en me rassurant. Je commençais donc à la sodomiser en douceur en regardant ma queue s’enfoncer tout entière. Ses petits soupirs se transformaient en long gémissements. Elle se décrispa et commençait à prendre du plaisir.
- Oui mon cœur continue comme ça, ça devient bon là.
J’augmentais la cadence doucement puis avec le temps y allait sans vergogne. Elle ne se plaint pas et me suggéra même de me chevaucher. Je le fis et la voyait prendre son pied par son trou visité depuis peu. Elle me regardait et alternait à fermer les yeux et se laisser aller. Les pieds à terre, mains sur mon torse à aller à son rythme. De temps à autre je lui donnais un petit coup qu’elle se rappelle qui est la femme ici. On finit par jouir ensemble. Moi dans son cul après l’avoir bien prise fortement. Et elle à se titiller le clitoris en même temps.
La jouissance était bien plus forte que la première et deuxième fois de la journée. Je me sentais vidé et vraiment exténué. Elle s’affala sur moi épuisé aussi et toute heureuse me couvrit de baisers.
- Hum, merci mon chéri c’était trop bon !
- Je ne t’ai pas fait trop mal ?
- Au début oui un peu mais après c’était vraiment trop bon. Putain le pied.
- On recommencera ?
- Oui mon cœur, autant de fois que tu voudras…
Elle léchait ma transpiration dans le cou et sur mon torse. On était encore essoufflés. Je me sentais partir et quand je me suis réveillé, le soleil avait déjà viré et j’étais seul. Je remis mon caleçon et descendit. Elle était en bas au téléphone avec une amie. Elle me caressa quand je vins l’embrasser dans le cou et malaxer sa poitrine. Elle raccrocha.
- Bonjour vous…
- Merci pour ce moment mon cœur. Je savais que je ne serais pas déçu…
- Tu sais que j’aime te faire plaisir.
- Au faite je pense que tu vas devoir y aller il est plus de quatre heures et ma fille va rentrer. Au faite ce week-end, les enfants sont avec leur père donc si tu veux passer un week-end avec ta petite femme…
- D’accord mais il ne faudra pas m’épuiser comme tu as fait grosse gourmande.
- Tu vas voir ce qu’elle va te faire la grosse gourmande demain et dimanche.
Je me rhabillais tranquillement et discutais de ce qu’on ferait puis après un câlin des plus tendre, je filais chez moi. Vidé et heureux de ce qui m’arrivait de ces magnifiques deux jours, et surtout me préparant à la revoir le lendemain.
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