Deux soeurs sur un bateau
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Deux soeurs sur un bateau
Magali recevait un patient dans le cadre de son activité de podologue et comme toujours, encline au bavardage, elle l'interrogea sur le cours de ses vacances car on était au début de l'été. L'homme, d'âge mûr comme elle, raconta qu'il était adepte du naturisme avec sa femme et fréquentait une plage réservée à cet effet. "J'adore me baigner nu, c'est une sensation délicieuse", expliqua t il.
Magali retorqua que le maillot ne la gênait pas mais précisa néanmoins qu'en d'autres temps éloignés, elle avait fait cette expérience au cours d'une sortie en bateau.
L'homme aurait bien demandé des précisions car cette femme dynamique, au corps menu mais nerveux, au visage agréable et à la voix sensuelle, suscitait sa curiosité, en tout bien tout honneur. Mais il s'abstint de peur d'être remis à sa place.
Pourtant, ce souvenir était agréable à Magali. Elle se remémora cet épisode brûlant à tous les sens du mot. Écoutons la.
"C'était quelques mois après mon divorce avec Albert au bout de vingt ans de mariage. Je n'avais pas le moral alors que les vacances d'été commençaient. Ma soeur Caroline et son mari Laurent ne voulaient pas me laisser seule. Ils m'ont proposé de les accompagner en Corse dans leur location. C'était sympa mais de les entendre faire l'amour presque tous les soirs me fichait encore le bourdon. J'étais désormais sexuellement disponible mais sans la moindre perspective comme si j'étais devenue has been.
Ils ont eu l'idée de louer un ketch pour faire du cabotage sur la belle côte corse. Comme Laurent n'était pas assez expérimenté, ils ont aussi loué les services d'un skipper local, un nomme Mario, barbu et chevelu, tatoué aux bras et au torse, pas vraiment mon genre d'homme mais très sympa. Il dormait sur le pont pendant qu'on se partageait les couchettes dans la cabine.
Il faisait une grosse chaleur et on ne quittait pas notre maillot de bain, du moins à l'approche des côtes. Au large, Caroline et Laurent se mettaient à poil pour bronzer et j'ai dû suivre bien que la présence de Mario me gênait un peu. Mais il a fini par nous imiter et ce fut le choc. Il avait un sacré paquet entre les jambes et un torse vraiment splendide. Et un petit cul, je ne vous dit pas. La femelle endormie en moi s'est réveillée illico.
Il faisait tellement chaud qu'arrivés au large, on plongeait dans la Méditerranée avec délectation et j'appréciais alors d'être nue dans l'eau comme ma soeur et mon beau-frère. Mario restait à bord pour parer à toute éventualité. Quand il m'a tendu la main pour remonter, je me suis retrouvée nez à nez, si on peut dire, avec son costume trois pièces. Malgré la chaleur, j'ai senti un frisson me courir tout le long de l'échine. C'est vraiment alors que j'ai compris à quel point mon corps avait besoin de sexe. Moi qui le croyait périmé, victime des affres de l'âge, au demeurant nullement canonique, mais quand même plus juvénile, j'ai ressenti comme une renaissance. C'est que je n'avais pas fait l'amour depuis un sacré bail, et pas seulement depuis mon divorce.
Avec ma soeur, on a étendu nos serviettes sur le pont pour sécher, elle sur le dos, et moi sur le ventre. Laurent vaquait à des occupations dans la cabine, Mario restait à la barre, on avançait gentiment dans le vent calme. Caroline m'entreprit alors sur un registre inhabituel :
- Je ne dirais pas que Mario te déshabille des yeux puisque tu es à poil mais visiblement, il en veut à ta vertu.
- Ma vertu lui oppose mon âge, je dois bien avoir vingt ans de plus que lui, lui répondis-je.
- Et alors? Ne me dis pas que t'envoyer en l'air avec un mec aussi bien gaulé te déplairait.
- Il me semble que l'espace est un peu réduit pour ça, rétorquai-je.
- Bof. On baise bien parfois dans les toilettes d'un restaurant.
Je ne répondis pas car, de fait, avec mon ex, c'était arrivé au temps où tout allait bien entre nous. Mais ce temps là était passé.
Là dessus, voilà que Laurent réapparait et s'assied à côté de Caroline.
- Tu es magnifique quand tu as la peau mouillée, lui dit-il.
Et de commencer à la caresser. Contrairement à moi qui suis du genre menue et tonique avec de petits seins et un petit cul mais avec la chair ferme, je tiens à le préciser, Caroline est une pulpeuse avec une poitrine lourde et tombante et un fessier joufflu, ce qui tranche avec sa taille aussi réduite que la mienne, soit environ un mètre soixante. Autre différence, elle a les cheveux prématurément gris et refuse de se les teindre alors que j'ai toujours ma tignasse châtain clair avec pubis assorti. Le corps voluptueux de ma soeur ne cesse d'inspirer, si j'en juge par leurs ébats fréquents. A plat ventre, je tourne la tête vers eux et je vois qu'il commence à bander alors qu'il lui titille la pointe des seins. Caroline soupire mais ne le freine en rien alors que je suis quand même juste à côté. Puis sa main glisse entre ses cuisses, atteint son sexe et commence à la masturber. Je vais me mettre à réagir quand ma soeur se relève, prend Laurent par la main et lui dit :
- Viens dans la cabine, on sera plus tranquille.
Et voilà, ils vont encore baiser, ces tourtereaux, me dis-je. Il faut dire que leur liaison est assez récente. Ils sont tous les deux séparés ou divorcés d'une première union et ils en sont encore à se découvrir dans le sexe, qui est à l'évidence leur grande affaire. Toujours en train de bronzer sur le pont, j'entends les soupirs d'extase de ma soeur dans la cabine et je me demande si jene vais pas me boucher les oreilles.
C'est alors qu'une ombre surgit derrière moi. Je sursaute. C'est Mario. Mais je ne bouge plus. Ou plutôt si, alors que je suis sur le ventre. Quand il commence à me caresser le dos, j'écarte légèrement les jambes, comme par réflexe. Sa main longe le sillon entre mes fesses et atteint mon sexe. Il est encore temps de le rembarrer. Au contraire, j'écarte encore plus les jambes qui font un V avec le reste de mon corps. Son doigt est actif et c'est à mon tour de gémir, de soupirer. Puis il me prend par les hanches, me soulève et je me retrouve à quatre pattes sur le pont avec vue sur la mer. Je n'aspire plus qu'à une chose : qu'il entre, qu'il me fouille, qu'il me soulage de toutes les tensions accumulées dans mon corps en ébullition.
Sa pénétration est virulente, rectiligne, massive et je me réjouis de l'accueillir aussi facilement alors que je suis sur ce plan en chômage technique depuis un bon de temps. Histoire de lui montrer que je ne suis pas le moins du monde une frigide, une vertueuse, je l'accompagne du geste (roulements de hanches) et de la voix. C'est drôle : Caroline et moi, on exprime verbalement, à quelques mètres d'intervalle, le même registre classique des femmes bien baisées, comme en stéréo :
- Oui oui encore encore c'est bon vas-y t'arrête pas baise-moi fort...
Comme s'il y avait une forme d'atavisme familial, par-delà la différence des corps.
On jouit bruyamment, l'orgasme nous fouette quasi en même temps, elle dans la cabine, moi sur le pont et sans la voir, je devine qu'elle doit finir son mec à la langue, ce que je fais aussi.
Evidemment, la différence est que Mario est un inédit entre mes cuisses alors que les deux autres sont coutumiers du fait. Mais tous les deux peuvent se vanter d'avoir fait jouir les deux soeurs, et d'avoir pris leur pied en même temps avec deux reines du plumard, si on peut dire vu que ça s'est passé en pleine mer..."
***
Le patient de Magali à quitté son cabinet. Il ne le sait pas mais son évocation de son naturisme a réveillé la sensualité de la podologue et le souvenir de ce bain de mer sans maillot. Et surtout tout ce qui en est résulte. Elle se remémore le beau Mario, son corps superbe, cette bite fabuleuse qui faisait en érection un angle droit avec son ventre et le bonheur sexuel qu'elle lui a procurée. Elle est censée être en pause entre deux patients et elle s'assied dans son fauteuil. Elle ouvre sa blouse et glisse une main dans son slip. Les souvenirs arrivent en foule...
"Il n'était plus question de tricher. Caroline et Laurent savaient désormais que j'avais fait l'amour avec Mario sur le pont, j'avais suffisamment exprimé mon plaisir pendant qu'eux forniquaient une nouvelle fois dans la cabine.
- Alors, c'était bien ? a demandé ma sœur, un sourire en coin.
Ma petite moue était évocatrice, pas la peine d'en rajouter. On a décidé de se rendre à un petit port pour faire des courses et je marchais main dans la main avec Mario, fière d'exhiber cette liaison avec un homme beaucoup plus jeune, de l'embrasser en public, de le laisser me caresser et j'y voyais la promesse de nouveaux accouplement que mon corps désirait ardemment comme quelqu'un qui, après avoir été sevré de nourriture, se retrouve à une table de grand restaurant. La question était juste de savoir où et quand vu la promiscuité du bateau.
Quand nous avons repris le large, Caroline est venue à mon secours :
- Tu sais, vous pouvez utiliser la cabine quand vous voudrez.
Et de fait, une fois au mouillage pour le déjeuner au large, après un nouveau bain nus, j'ai pris Mario par la main et je l'ai entrainé vers une des couchettes. Il avait autant envie que moi de baiser, sa bandaison était magnifique et nos préliminaires ont été vite expédiés tant j'avais hâte d'être pénétrée et lui de me pénétrer. Assise en travers de la couchette, lui debout enfoncé profondément en moi, mes jambes dans le creux de ses bras, on copulait, on forniquait, on baisait comme j'avais rarement baisé dans le passé. Parce que je me sentais abondamment envahie bien sûr, mais aussi par ce contexte, ce bateau, cette couchette, ce jeune mâle en rut, rien de ce que j'avais connu avant.
Mais ce n'était encore rien à côté de ce qui allait arriver et rien que d'y penser, j'en dégouline encore dans mes doigts. Caroline et Laurent ont surgi, nus je le rappelle, et ma soeur m'a lancé :
- Désolée Magali mais on ne peut plus tenir à vous entendre, toi surtout. On a envie de faire ça avec vous. Pousse-toi un peu.
Et je me suis exécutée sans protester. Baiser à côté de ma soeur, voilà ce qui ne me serait jamais venue à l'esprit. C'est pourtant ce qui s'est passé. Couchées côte à côte, nos deux partenaires debout côte à côte également, on s'est fait mettre copieusement de conserve et je dois le reconnaitre à ma grande honte avec le recul, j'ai adoré ça. Jamais je ne m'étais sentie autant en symbiose avec ma soeur cadette. Heureusement qu'on était au large car nos vocalises auraient pu croire qu'on se faisait assassiner si on avait été encore amarrées au port.
Les deux garçons nous ont retournées et on s'est fait prendre par derrière, à genoux sur la couchette, le cul ardent.
- Putain qu'est-ce qu'elles sont bonnes, a gémi Laurent, qui a manifesté alors l'intention de sodomiser Caroline. En d'autres temps, la grosse queue de Mario aurait pu m'effrayer, voire me dissuader, de subir le même traitement car bien entendu, il a voulu imiter Laurent, mais j'étais dans une telle exaltation érotique que j'étais prête à tout accepter. C'est entré un peu difficilement car j'avais perdu l'entrainement mais une fois "dedans", j'ai perdu les pédales, comme Caro du reste. On a joui du cul à peu près en même temps et ils ont tout lâché de même dans nos rectums respectifs. Quel pied ! Rien que d'y penser encore, je ruisselle."
Ce souvenir érotique déclenché par la réflexion de son patient sur la volupté de se baigner nu a réveillé brutalement la libido de Magali. L'image de la queue de Mario hante son esprit. Elle ne sait ce qu'il est devenu et elle ne le retrouvera pas.
Pour autant, elle comprend qu'elle a à nouveau besoin d'une belle bite bien raide. Elle se remémore ses anciens amants qu'elle a chassé de sa mémoire parce qu'elle se considérait "rangée des voitures". Est-elle encore baisable ? Elle se déshabille devant son armoire à glace. Son corps mûr comporte certes certains défauts dus à l'âge, son ventre est moins plat, ses seins se sont élargis mais son petit cul est encore ferme grâce à ses footings réguliers. Elle vient de constater sous ses doigts que son sexe génère encore de suffisantes sécrétions. Et surtout, sa tête suit. Elle a encore envie de baiser. Pas de faire l'amour, non. De baiser, cochonnement. Avec un beau cochon. Elle sait qu'elle est douée pour l'acte sexuel, on le lui a assez dit et sa soeur aussi d'ailleurs est douée, ça doit être de famille. Leur duo érotique dans le bateau est un de leurs souvenirs marquants. Elle n'a quand même pas tout perdu avec le temps, c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas.
Reste à trouver l'homme qui la fera à nouveau jubiler. Elle saisit son carnet d'adresses. Elle y retrouve ses ex amants : un médecin rhumatologue qui lui envoyait des patients, un jeune facteur attiré par les femmes mûres, un informaticien venu la dépanner à domicile, un jardinier à la main pas que verte, un patient aussi qui avait deviné sa sensualité et qui l'avait excitée par ses propos libidineux.
Un peintre en bâtiment qui avait rafraîchi son cabinet fut l'élu. Un trentenaire très viril qui l'avait sautée à la hussarde, pantalon aux chevilles, sur son lit médicalisé. Elle avait adoré ça et ils avaient renoué nus dans son lit pour des ébats tumultueux jusqu'à ce que l'épouse du peintre s'en mêle et le menace de divorcer, ce qui avait abrégé cette relation torride. Elle l'avait revu il y a quelques jours en train de peindre une porte. Il lui avait fait une proposition explicite qu'elle avait déclinée par manque de confiance en son corps. Mais le souvenir de sa bite épaisse la décida : elle l'appela. Soi disant pour repeindre son salon et demander un devis.
Elle se bâtissait déjà le scénario. Elle l'accueillerait dans son salon nue sous sa blouse, déboutonnée un peu en haut, un peu en bas, il apercevrait le haut de ses seins et peut-être son sexe quand elle croiserait les jambes. Il la pousserait dans un coin et lui dirait "t'as envie hein ?". Elle répondrait en lui tendant ses lèvres et en tâtant son entrejambes pour le faire bander s'il ne bandait pas déjà. Elle s'accroupirait, dégagerait sa queue, la sucerait puis enlèverait sa blouse, se montrerait nue, à plat ventre sur son canapé pour l'exciter avec son cul bien ferme et il la retournerait pour la prendre d'abord en missionnaire et sa grosse bite la remplirait, la fouillerait, une jambes sur le dossier du sofa, l'autre enlaçant ses reins.
Elle l'implorerait de ne pas jouir trop vite, c'était trop bon, et elle le ferait durer en lui imposant un 69 avant de se mettre à genoux sur le canapé et de lui présenter son petit cul. Elle savait qu'il voudrait la sodomiser mais elle lui dirait "non pas tout de suite" car alors, il ne pourrait pas s'empêcher de gicler. Ce serait une bonne levrette bien classique puis elle le ferait s'allonger et elle le chevaucherait.
Elle se souvenait de son torse musclé, tatoué, légèrement velu et rien que d'y penser, elle mouillait. Elle prendrait appui sur ses pectoraux pour rouler ses hanches et se la mettre bien profond, elle se mettrait sur ses pieds pour allonger la bite et il verrait alors qu'elle n'avait rien perdu de son savoir-faire érotique. Elle se retournerait pour lui montrer son cul en mouvement, position qui lui permettrait de durer encore un peu, elle le savait d'expérience.
Puis elle l'entrainerait nue vers sa chambre pour le bouquet final et lui demanderait de la "défoncer" car elle serait vraiment à point et lui aussi. Elle jouirait bruyamment en célébrant sa bite, en remuant sous lui comme une folle du cul, et il remplirait sa matrice de son sperme épais, l'arrosant du reste de sa semence jusqu'à ses cheveux. Elle serait radieuse, elle rirait même et il se retrouverait sous la douche pour d'ultimes câlins. Il constaterait ensuite que son salon n'avait pas vraiment besoin d'un coup de peinture mais si elle y tenait vraiment, il pourrait lui faire un devis. Et elle lui dirait qu'elle y réfléchirait.
En attendant cette visite, et en se projetant vers elle, Magali s'est masturbée une nouvelle fois. Que diraient ses deux filles, Margot et Daphné, toutes deux mariées et mères de famille, si elles savaient leur mère avec un tel appétit sexuel et ne pensant plus qu'à "baiser" ? Magali est souvent déçue de les savoir aussi prudes et de les avoir entendues déplorer son libertinage passé. Cette fois, elle leur cachera sa renaissance. Mais Caroline, elle, saura. Au nom de cette intimité aquatique qui a resserré leur sororité.
Magali recevait un patient dans le cadre de son activité de podologue et comme toujours, encline au bavardage, elle l'interrogea sur le cours de ses vacances car on était au début de l'été. L'homme, d'âge mûr comme elle, raconta qu'il était adepte du naturisme avec sa femme et fréquentait une plage réservée à cet effet. "J'adore me baigner nu, c'est une sensation délicieuse", expliqua t il.
Magali retorqua que le maillot ne la gênait pas mais précisa néanmoins qu'en d'autres temps éloignés, elle avait fait cette expérience au cours d'une sortie en bateau.
L'homme aurait bien demandé des précisions car cette femme dynamique, au corps menu mais nerveux, au visage agréable et à la voix sensuelle, suscitait sa curiosité, en tout bien tout honneur. Mais il s'abstint de peur d'être remis à sa place.
Pourtant, ce souvenir était agréable à Magali. Elle se remémora cet épisode brûlant à tous les sens du mot. Écoutons la.
"C'était quelques mois après mon divorce avec Albert au bout de vingt ans de mariage. Je n'avais pas le moral alors que les vacances d'été commençaient. Ma soeur Caroline et son mari Laurent ne voulaient pas me laisser seule. Ils m'ont proposé de les accompagner en Corse dans leur location. C'était sympa mais de les entendre faire l'amour presque tous les soirs me fichait encore le bourdon. J'étais désormais sexuellement disponible mais sans la moindre perspective comme si j'étais devenue has been.
Ils ont eu l'idée de louer un ketch pour faire du cabotage sur la belle côte corse. Comme Laurent n'était pas assez expérimenté, ils ont aussi loué les services d'un skipper local, un nomme Mario, barbu et chevelu, tatoué aux bras et au torse, pas vraiment mon genre d'homme mais très sympa. Il dormait sur le pont pendant qu'on se partageait les couchettes dans la cabine.
Il faisait une grosse chaleur et on ne quittait pas notre maillot de bain, du moins à l'approche des côtes. Au large, Caroline et Laurent se mettaient à poil pour bronzer et j'ai dû suivre bien que la présence de Mario me gênait un peu. Mais il a fini par nous imiter et ce fut le choc. Il avait un sacré paquet entre les jambes et un torse vraiment splendide. Et un petit cul, je ne vous dit pas. La femelle endormie en moi s'est réveillée illico.
Il faisait tellement chaud qu'arrivés au large, on plongeait dans la Méditerranée avec délectation et j'appréciais alors d'être nue dans l'eau comme ma soeur et mon beau-frère. Mario restait à bord pour parer à toute éventualité. Quand il m'a tendu la main pour remonter, je me suis retrouvée nez à nez, si on peut dire, avec son costume trois pièces. Malgré la chaleur, j'ai senti un frisson me courir tout le long de l'échine. C'est vraiment alors que j'ai compris à quel point mon corps avait besoin de sexe. Moi qui le croyait périmé, victime des affres de l'âge, au demeurant nullement canonique, mais quand même plus juvénile, j'ai ressenti comme une renaissance. C'est que je n'avais pas fait l'amour depuis un sacré bail, et pas seulement depuis mon divorce.
Avec ma soeur, on a étendu nos serviettes sur le pont pour sécher, elle sur le dos, et moi sur le ventre. Laurent vaquait à des occupations dans la cabine, Mario restait à la barre, on avançait gentiment dans le vent calme. Caroline m'entreprit alors sur un registre inhabituel :
- Je ne dirais pas que Mario te déshabille des yeux puisque tu es à poil mais visiblement, il en veut à ta vertu.
- Ma vertu lui oppose mon âge, je dois bien avoir vingt ans de plus que lui, lui répondis-je.
- Et alors? Ne me dis pas que t'envoyer en l'air avec un mec aussi bien gaulé te déplairait.
- Il me semble que l'espace est un peu réduit pour ça, rétorquai-je.
- Bof. On baise bien parfois dans les toilettes d'un restaurant.
Je ne répondis pas car, de fait, avec mon ex, c'était arrivé au temps où tout allait bien entre nous. Mais ce temps là était passé.
Là dessus, voilà que Laurent réapparait et s'assied à côté de Caroline.
- Tu es magnifique quand tu as la peau mouillée, lui dit-il.
Et de commencer à la caresser. Contrairement à moi qui suis du genre menue et tonique avec de petits seins et un petit cul mais avec la chair ferme, je tiens à le préciser, Caroline est une pulpeuse avec une poitrine lourde et tombante et un fessier joufflu, ce qui tranche avec sa taille aussi réduite que la mienne, soit environ un mètre soixante. Autre différence, elle a les cheveux prématurément gris et refuse de se les teindre alors que j'ai toujours ma tignasse châtain clair avec pubis assorti. Le corps voluptueux de ma soeur ne cesse d'inspirer, si j'en juge par leurs ébats fréquents. A plat ventre, je tourne la tête vers eux et je vois qu'il commence à bander alors qu'il lui titille la pointe des seins. Caroline soupire mais ne le freine en rien alors que je suis quand même juste à côté. Puis sa main glisse entre ses cuisses, atteint son sexe et commence à la masturber. Je vais me mettre à réagir quand ma soeur se relève, prend Laurent par la main et lui dit :
- Viens dans la cabine, on sera plus tranquille.
Et voilà, ils vont encore baiser, ces tourtereaux, me dis-je. Il faut dire que leur liaison est assez récente. Ils sont tous les deux séparés ou divorcés d'une première union et ils en sont encore à se découvrir dans le sexe, qui est à l'évidence leur grande affaire. Toujours en train de bronzer sur le pont, j'entends les soupirs d'extase de ma soeur dans la cabine et je me demande si jene vais pas me boucher les oreilles.
C'est alors qu'une ombre surgit derrière moi. Je sursaute. C'est Mario. Mais je ne bouge plus. Ou plutôt si, alors que je suis sur le ventre. Quand il commence à me caresser le dos, j'écarte légèrement les jambes, comme par réflexe. Sa main longe le sillon entre mes fesses et atteint mon sexe. Il est encore temps de le rembarrer. Au contraire, j'écarte encore plus les jambes qui font un V avec le reste de mon corps. Son doigt est actif et c'est à mon tour de gémir, de soupirer. Puis il me prend par les hanches, me soulève et je me retrouve à quatre pattes sur le pont avec vue sur la mer. Je n'aspire plus qu'à une chose : qu'il entre, qu'il me fouille, qu'il me soulage de toutes les tensions accumulées dans mon corps en ébullition.
Sa pénétration est virulente, rectiligne, massive et je me réjouis de l'accueillir aussi facilement alors que je suis sur ce plan en chômage technique depuis un bon de temps. Histoire de lui montrer que je ne suis pas le moins du monde une frigide, une vertueuse, je l'accompagne du geste (roulements de hanches) et de la voix. C'est drôle : Caroline et moi, on exprime verbalement, à quelques mètres d'intervalle, le même registre classique des femmes bien baisées, comme en stéréo :
- Oui oui encore encore c'est bon vas-y t'arrête pas baise-moi fort...
Comme s'il y avait une forme d'atavisme familial, par-delà la différence des corps.
On jouit bruyamment, l'orgasme nous fouette quasi en même temps, elle dans la cabine, moi sur le pont et sans la voir, je devine qu'elle doit finir son mec à la langue, ce que je fais aussi.
Evidemment, la différence est que Mario est un inédit entre mes cuisses alors que les deux autres sont coutumiers du fait. Mais tous les deux peuvent se vanter d'avoir fait jouir les deux soeurs, et d'avoir pris leur pied en même temps avec deux reines du plumard, si on peut dire vu que ça s'est passé en pleine mer..."
***
Le patient de Magali à quitté son cabinet. Il ne le sait pas mais son évocation de son naturisme a réveillé la sensualité de la podologue et le souvenir de ce bain de mer sans maillot. Et surtout tout ce qui en est résulte. Elle se remémore le beau Mario, son corps superbe, cette bite fabuleuse qui faisait en érection un angle droit avec son ventre et le bonheur sexuel qu'elle lui a procurée. Elle est censée être en pause entre deux patients et elle s'assied dans son fauteuil. Elle ouvre sa blouse et glisse une main dans son slip. Les souvenirs arrivent en foule...
"Il n'était plus question de tricher. Caroline et Laurent savaient désormais que j'avais fait l'amour avec Mario sur le pont, j'avais suffisamment exprimé mon plaisir pendant qu'eux forniquaient une nouvelle fois dans la cabine.
- Alors, c'était bien ? a demandé ma sœur, un sourire en coin.
Ma petite moue était évocatrice, pas la peine d'en rajouter. On a décidé de se rendre à un petit port pour faire des courses et je marchais main dans la main avec Mario, fière d'exhiber cette liaison avec un homme beaucoup plus jeune, de l'embrasser en public, de le laisser me caresser et j'y voyais la promesse de nouveaux accouplement que mon corps désirait ardemment comme quelqu'un qui, après avoir été sevré de nourriture, se retrouve à une table de grand restaurant. La question était juste de savoir où et quand vu la promiscuité du bateau.
Quand nous avons repris le large, Caroline est venue à mon secours :
- Tu sais, vous pouvez utiliser la cabine quand vous voudrez.
Et de fait, une fois au mouillage pour le déjeuner au large, après un nouveau bain nus, j'ai pris Mario par la main et je l'ai entrainé vers une des couchettes. Il avait autant envie que moi de baiser, sa bandaison était magnifique et nos préliminaires ont été vite expédiés tant j'avais hâte d'être pénétrée et lui de me pénétrer. Assise en travers de la couchette, lui debout enfoncé profondément en moi, mes jambes dans le creux de ses bras, on copulait, on forniquait, on baisait comme j'avais rarement baisé dans le passé. Parce que je me sentais abondamment envahie bien sûr, mais aussi par ce contexte, ce bateau, cette couchette, ce jeune mâle en rut, rien de ce que j'avais connu avant.
Mais ce n'était encore rien à côté de ce qui allait arriver et rien que d'y penser, j'en dégouline encore dans mes doigts. Caroline et Laurent ont surgi, nus je le rappelle, et ma soeur m'a lancé :
- Désolée Magali mais on ne peut plus tenir à vous entendre, toi surtout. On a envie de faire ça avec vous. Pousse-toi un peu.
Et je me suis exécutée sans protester. Baiser à côté de ma soeur, voilà ce qui ne me serait jamais venue à l'esprit. C'est pourtant ce qui s'est passé. Couchées côte à côte, nos deux partenaires debout côte à côte également, on s'est fait mettre copieusement de conserve et je dois le reconnaitre à ma grande honte avec le recul, j'ai adoré ça. Jamais je ne m'étais sentie autant en symbiose avec ma soeur cadette. Heureusement qu'on était au large car nos vocalises auraient pu croire qu'on se faisait assassiner si on avait été encore amarrées au port.
Les deux garçons nous ont retournées et on s'est fait prendre par derrière, à genoux sur la couchette, le cul ardent.
- Putain qu'est-ce qu'elles sont bonnes, a gémi Laurent, qui a manifesté alors l'intention de sodomiser Caroline. En d'autres temps, la grosse queue de Mario aurait pu m'effrayer, voire me dissuader, de subir le même traitement car bien entendu, il a voulu imiter Laurent, mais j'étais dans une telle exaltation érotique que j'étais prête à tout accepter. C'est entré un peu difficilement car j'avais perdu l'entrainement mais une fois "dedans", j'ai perdu les pédales, comme Caro du reste. On a joui du cul à peu près en même temps et ils ont tout lâché de même dans nos rectums respectifs. Quel pied ! Rien que d'y penser encore, je ruisselle."
Ce souvenir érotique déclenché par la réflexion de son patient sur la volupté de se baigner nu a réveillé brutalement la libido de Magali. L'image de la queue de Mario hante son esprit. Elle ne sait ce qu'il est devenu et elle ne le retrouvera pas.
Pour autant, elle comprend qu'elle a à nouveau besoin d'une belle bite bien raide. Elle se remémore ses anciens amants qu'elle a chassé de sa mémoire parce qu'elle se considérait "rangée des voitures". Est-elle encore baisable ? Elle se déshabille devant son armoire à glace. Son corps mûr comporte certes certains défauts dus à l'âge, son ventre est moins plat, ses seins se sont élargis mais son petit cul est encore ferme grâce à ses footings réguliers. Elle vient de constater sous ses doigts que son sexe génère encore de suffisantes sécrétions. Et surtout, sa tête suit. Elle a encore envie de baiser. Pas de faire l'amour, non. De baiser, cochonnement. Avec un beau cochon. Elle sait qu'elle est douée pour l'acte sexuel, on le lui a assez dit et sa soeur aussi d'ailleurs est douée, ça doit être de famille. Leur duo érotique dans le bateau est un de leurs souvenirs marquants. Elle n'a quand même pas tout perdu avec le temps, c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas.
Reste à trouver l'homme qui la fera à nouveau jubiler. Elle saisit son carnet d'adresses. Elle y retrouve ses ex amants : un médecin rhumatologue qui lui envoyait des patients, un jeune facteur attiré par les femmes mûres, un informaticien venu la dépanner à domicile, un jardinier à la main pas que verte, un patient aussi qui avait deviné sa sensualité et qui l'avait excitée par ses propos libidineux.
Un peintre en bâtiment qui avait rafraîchi son cabinet fut l'élu. Un trentenaire très viril qui l'avait sautée à la hussarde, pantalon aux chevilles, sur son lit médicalisé. Elle avait adoré ça et ils avaient renoué nus dans son lit pour des ébats tumultueux jusqu'à ce que l'épouse du peintre s'en mêle et le menace de divorcer, ce qui avait abrégé cette relation torride. Elle l'avait revu il y a quelques jours en train de peindre une porte. Il lui avait fait une proposition explicite qu'elle avait déclinée par manque de confiance en son corps. Mais le souvenir de sa bite épaisse la décida : elle l'appela. Soi disant pour repeindre son salon et demander un devis.
Elle se bâtissait déjà le scénario. Elle l'accueillerait dans son salon nue sous sa blouse, déboutonnée un peu en haut, un peu en bas, il apercevrait le haut de ses seins et peut-être son sexe quand elle croiserait les jambes. Il la pousserait dans un coin et lui dirait "t'as envie hein ?". Elle répondrait en lui tendant ses lèvres et en tâtant son entrejambes pour le faire bander s'il ne bandait pas déjà. Elle s'accroupirait, dégagerait sa queue, la sucerait puis enlèverait sa blouse, se montrerait nue, à plat ventre sur son canapé pour l'exciter avec son cul bien ferme et il la retournerait pour la prendre d'abord en missionnaire et sa grosse bite la remplirait, la fouillerait, une jambes sur le dossier du sofa, l'autre enlaçant ses reins.
Elle l'implorerait de ne pas jouir trop vite, c'était trop bon, et elle le ferait durer en lui imposant un 69 avant de se mettre à genoux sur le canapé et de lui présenter son petit cul. Elle savait qu'il voudrait la sodomiser mais elle lui dirait "non pas tout de suite" car alors, il ne pourrait pas s'empêcher de gicler. Ce serait une bonne levrette bien classique puis elle le ferait s'allonger et elle le chevaucherait.
Elle se souvenait de son torse musclé, tatoué, légèrement velu et rien que d'y penser, elle mouillait. Elle prendrait appui sur ses pectoraux pour rouler ses hanches et se la mettre bien profond, elle se mettrait sur ses pieds pour allonger la bite et il verrait alors qu'elle n'avait rien perdu de son savoir-faire érotique. Elle se retournerait pour lui montrer son cul en mouvement, position qui lui permettrait de durer encore un peu, elle le savait d'expérience.
Puis elle l'entrainerait nue vers sa chambre pour le bouquet final et lui demanderait de la "défoncer" car elle serait vraiment à point et lui aussi. Elle jouirait bruyamment en célébrant sa bite, en remuant sous lui comme une folle du cul, et il remplirait sa matrice de son sperme épais, l'arrosant du reste de sa semence jusqu'à ses cheveux. Elle serait radieuse, elle rirait même et il se retrouverait sous la douche pour d'ultimes câlins. Il constaterait ensuite que son salon n'avait pas vraiment besoin d'un coup de peinture mais si elle y tenait vraiment, il pourrait lui faire un devis. Et elle lui dirait qu'elle y réfléchirait.
En attendant cette visite, et en se projetant vers elle, Magali s'est masturbée une nouvelle fois. Que diraient ses deux filles, Margot et Daphné, toutes deux mariées et mères de famille, si elles savaient leur mère avec un tel appétit sexuel et ne pensant plus qu'à "baiser" ? Magali est souvent déçue de les savoir aussi prudes et de les avoir entendues déplorer son libertinage passé. Cette fois, elle leur cachera sa renaissance. Mais Caroline, elle, saura. Au nom de cette intimité aquatique qui a resserré leur sororité.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Moi souvenir … j’étais travesti
Un magnifique souvenir en effet! Magali n'a pas laissé passer cette belle occasion!
Micky,
Souvenir quand tu nous tiens.
C'est comme cela qu'en une phrase je résumerai ce magnifique et explicite écrit, sur cette femme mure libre sexuellement.
J'ai le sentiment que sa prochaine rencontre avec son peintre va être très explosive...
Félicitation et bravo.
Didier
Souvenir quand tu nous tiens.
C'est comme cela qu'en une phrase je résumerai ce magnifique et explicite écrit, sur cette femme mure libre sexuellement.
J'ai le sentiment que sa prochaine rencontre avec son peintre va être très explosive...
Félicitation et bravo.
Didier