Deuxième été sans Emilie (5)
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Deuxième été sans Emilie (5)
Nu, dégoulinant d’eau, je regardais Nina dont la robe mouillée, qu’elle avait prise dans la garde-robe de feu ma grand-mère, lui collait à la peau, révélant ses courbes, ses seins, et le fait que ,depuis ce matin, à ma demande ,elle ne portait pas de culotte.
Je pris une serviette, m’essuyai, et l’enroulai autour de mes hanches.
— Ça ne sert à rien, me dit-elle, ta bite dépasse toujours.
Je me penchai et constatai qu’effectivement mon sexe en érection écartait les pans du tissu éponge.
— Je trouve ça très mignon, me dit-elle, ça donne envie de la manger toute crue.
Sans attendre, joignant le geste à la parole, elle prit en bouche mon sexe bandé. Elle m’avait avoué qu’avant moi elle n’avait eu que peu d’expérience sexuelle, et que son copain, trop prude, à l’éducation trop coincée, s’était retiré de sa bouche le jour où elle avait voulu le sucer. Ceci dit, et même si ma bite était la première qu’elle suçait vraiment, elle s’y prenait très bien. Elle savait jouer avec mon gland, le lécher, le mordiller, le sucer du bout des lèvres. Elle faisait courir sa bouche et sa langue sur mon sexe, de haut en bas, gobait mes couilles, avant de remonter. Ses mains s’activaient aussi, me branlant, me caressant. Elle avait déjà démontré un certain talent, et même un talent certain pour la chose dans le garage. Là, adossé au mur froid de la salle de bain, je me laissais pomper, les yeux littéralement fermés, profitant du plaisir de cette bouche experte et pourtant novice. J’étais sur le point de jouir dans sa bouche quand, sentant sans doute mon sexe se raidir sous sa langue, elle me mit un doigt dans le cul. Sans préavis, d’un coup sec, elle me doigta, je libérai en même temps un torrent de sperme entre ses lèvres. Je poussai un grand cri de plaisir et de soulagement.
Nina garda ma bite bien au chaud dans sa bouche pendant que je m’y déversais. Son doigt toujours planté en moi. Elle libéra mon sexe vidé, et en plantant son regard dans le mien avala mon nectar, non sans faire une grimace quand la liqueur chaude et âpre lui coula au fond de la gorge.
— Tu as aimé, me demanda-t-elle une fois que je fus revenu sur Terre?
Pouvais-je lui dire non? Mon corps avait parlé pour moi, j’étais encore parcouru de frissons.
— Oui, lui dis-je donc, j’ai aimé. Mais j’ai du mal à croire que tu n’avais jamais sucé de bite avant moi, tu t’y prends comme une reine, et le petit doigt au cul à la fin était parfait.
— Je te jure que tu es le premier que je prends dans ma bouche comme ça. Je ne sais pas d’où tout cela me vient. C’est presque instinctif.
Je l’embrassai , longuement. Je regrettais l’absence d’Émilie. Je savais qu’elles s’entendraient bien. Émilie ferait découvrir à Nina d’autres plaisirs, d’autres sensations. J’en parlai à Nina qui sembla un peu réticente à l’idée de faire l’amour à une femme.
— Je ne sais pas, dit-elle, je n’ai jamais été attirée par les filles. Ce n’est pas forcément un truc qui me branche. Je ne dis pas que je ne voudrais pas faire l’expérience, mais je crois que je préfèrerais les mecs. Je suis trop heureuse quand tu me fais jouir. Quand je sens ta langue sur moi, fouillant en moi, me suçant. Et puis quand tu me prends comme tout à l’heure, moi soumise, ouverte, toi sur moi me dominant, m’emplissant de ton sexe dur, écartant mes chairs pour y prendre du plaisir. Rien que d’en parler je mouille. Et le gout de ton sexe. Je ne pensais pas que j’aimerais autant le gout d’un sexe. Sentir pulser sous ma langue, sentir vibrer sous mes lèvres ton sexe gorgé de désir, et le sentir exploser en moi, répandant ton sperme chaud sur ma langue, ce sperme chaud, gluant, qui me brule la gorge quand je l’avale. Mais j’aime ça. Je me remplis de toi. Littéralement. Tu es en moi. Dans mon ventre. Je vais te digérer, et ton sperme fera partie de mon corps.
Je l’écoutais, elle parlait de sexe comme jamais je n’avais entendu parler. J’avais baisé, des hommes, des femmes. J’avais connu un week-end orgiaque où, à 5, nous avions exploré toutes les combinaisons. J’avais pris mon pied, joui, éjaculé. J’avais donné du plaisir avec ma langue, mes doigts, mon sexe, mais jamais de tous mes amants, personne n’avait parlé de sexe comme ça. Nina parlait de fusion, de plaisir total, d’envie, de désir, d’instinct. Elle parlait de mon sexe comme d’une œuvre d’art vivante, un totem de plaisir. Elle parlait de son corps comme d’un autel dédié à l’amour, de ses seins, de son sexe comme des instruments de musique. Elle parlait, et se caressait en même temps. Elle était trop frustrée pour résister à ses pulsions. Avec moi ,elle découvrait le sexe.
— Je ne pensais pas que l’orgasme pouvait être aussi libérateur, et aussi additif, me dit-elle. Je ne pensais pas que je pouvais vibrer comme ça sous la langue d’un homme, je ne pensais pas que je pouvais répandre autant de moi, autant de mon jus, que je pourrais gouter ce jus et l’aimer, je ne pensais pas que mon corps pouvait accueillir un sexe d’homme comme un ami trop longtemps parti, s’ouvrant, l’entourant, le gardant au chaud.
Elle était mystique, et poétique. Ses mots sortaient presque sans filtre, exprimant ce qu’elle ressentait au plus profond d’elle. Émilie était une salope, elle aimait le sexe pour le plaisir, pour l’orgasme. Égoïste, un peu. Nina aimait faire l’amour pour d’autres raisons, plus spirituelles. Elle n’était pas une salope, même si, avec moi, elle pourrait accepter d’en être une.
— Je veux que tu m’apprennes des choses, des positions, des pratiques, que tu ouvres mon esprit et mon corps au sexe. Au vrai.
Je m’habillai. Elle ôta sa robe mouillée et fouilla dans les affaires de ma grand-mère. Elle trouva une autre robe. Noire. Mais nullement sexy. Je la laissais seule le temps de passer à l’épicerie du village pour y prendre deux trois choses a mangé. En rentrant, Nina avait mis la table. Je retrouvais les vieux couverts et assiettes de ma jeunesse quand je venais passer quelques jours de vacances. J’avais pris un poulet rôti et une poche de chips. Je trouvai une bouteille de vin et nous trinquâmes. Nous étions presque un couple normal, en vacances, venant d’arriver dans leur location et déjeunant sur le pouce.
— Nous deux, ça va donner quoi après ?
Nina me regardait au-dessus de son verre en me posant cette question. Je préférais, quand tout excitée ,elle me demandait la suite.
— Comment ça ?
— Nous deux, là c’est bien, on mange ensemble, on vient de faire l’amour, on est bien, mais tu as une copine, moi j’ai un mec, tu as ta vie, moi je pars en Espagne. Ce soir, demain on va rentrer, chacun chez soi, et après. Tu crois qu’on va se revoir? Que tu vas continuer à me faire l’amour, comme aujourd’hui, alors que tu auras retrouvé Émilie ?
Je voyais des larmes monter dans ses yeux, un vibrato dans sa voix. Elle tremblait.
— Je…
— Ne dis rien, s’il te plait, ne dis rien, je ne sais pas si je pourrais te croire, viens m’embrasser, viens avec moi, maintenant, ici, tout de suite, prends moi, je t’en supplie.
Je me levai et la rejoignis. Des larmes coulaient sur ses joues. Je les recueillais entre mes lèvres. Je l’embrassai. Nina se colla à moi. Me serra très fort contre elle. Sa langue dans ma bouche. Ses mains sur mes fesses. Ses seins contre mon torse. Elle m’agrippait comme si sa vie en dépendait.
Se détachant de moi elle ôta sa robe et l’envoya valser à l’autre bout de la pièce offrant son corps nu à mon regard. Ce n’était pas la première fois que je la voyais nue, mais tremblante, fragile, fiévreuse je la trouvais encore plus belle et désirable. Je la pris par les hanches, et l’installai sur la table. J’écartai ses cuisses. Son sexe luisait de désir. Je me penchai pour lui lécher, mais elle m’arrêta.
— Non, je ne veux pas. Je veux que tu me prennes tout de suite. Comme ça sur la table.
Je baissai mon pantalon,sortis mon sexe et la pénétrai sans attendre. Je me glissai en elle. Elle soupira. Renversa la tête en arrière. Je commençais mes va-et-vient dans sa chatte brulante. Elle me regardait,son regard fixé sur mon membre disparaissant en elle.
— Je sais que c’est le plaisir, le sexe qui parle, mais je crois que je suis en train de tomber amoureuse. Je ne devrais pas. Je ne sais rien de toi à part que tu me fais jouir. Que j’aime ton corps. Ton sexe. Ta bouche. Que j’aime te donner du plaisir avec ma bouche, mes mains, mon sexe. Je ne veux pas être amoureuse de toi. Et pourtant.
Je la bâillonnais d’une main tout en continuant à la baiser. Je ne voulais pas l’entendre. Je ne voulais pas penser que je lui faisais l’amour. Je voulais la baiser. Je ne voulais pas, comme elle, tomber amoureux. Je me fis plus violent, plus brutal. J’augmentais la cadence. Je ne pensais plus à elle,à son plaisir. Mais je me concentrais sur le mien. Je voulais jouir sur elle. Non en elle. Je voulais lui envoyer de longues giclées de sperme sur le ventre. Je voulais profiter d’elle.
Elle écarta ma main. Elle souriait. Ses grands yeux plongèrent dans les miens.
— Je t’aime. Tu n’y peux rien. Baise-moi comme tu veux, mais je t’aime quand même.
Que le point de jouir je me retirais et me branlais pour éjaculer sur elle. Elle mit ses mains en coupe sous mon gland et recueillit mon sperme. Je reculais, titubant. Me posais sur une chaise et la bite encore en main je la regardais boire mon foutre.
— Je ne t’oblige à rien, dit-elle après m’avoir bu, tu peux me laisser sur le bord de la route, m’oublier. Je ne te demande pas le mariage. La vie à deux. Je t’aime. Pour tout ce que m’as fait en deux jours. Tout ce que tu m’as apporté. Je t’aime c’est tout.
Elle se leva. Vint m’embrasser. Un peu de mon foutre sur les lèvres. Et quitta la pièce en ramassant la robe noire de ma grand-mère.
Je pris une serviette, m’essuyai, et l’enroulai autour de mes hanches.
— Ça ne sert à rien, me dit-elle, ta bite dépasse toujours.
Je me penchai et constatai qu’effectivement mon sexe en érection écartait les pans du tissu éponge.
— Je trouve ça très mignon, me dit-elle, ça donne envie de la manger toute crue.
Sans attendre, joignant le geste à la parole, elle prit en bouche mon sexe bandé. Elle m’avait avoué qu’avant moi elle n’avait eu que peu d’expérience sexuelle, et que son copain, trop prude, à l’éducation trop coincée, s’était retiré de sa bouche le jour où elle avait voulu le sucer. Ceci dit, et même si ma bite était la première qu’elle suçait vraiment, elle s’y prenait très bien. Elle savait jouer avec mon gland, le lécher, le mordiller, le sucer du bout des lèvres. Elle faisait courir sa bouche et sa langue sur mon sexe, de haut en bas, gobait mes couilles, avant de remonter. Ses mains s’activaient aussi, me branlant, me caressant. Elle avait déjà démontré un certain talent, et même un talent certain pour la chose dans le garage. Là, adossé au mur froid de la salle de bain, je me laissais pomper, les yeux littéralement fermés, profitant du plaisir de cette bouche experte et pourtant novice. J’étais sur le point de jouir dans sa bouche quand, sentant sans doute mon sexe se raidir sous sa langue, elle me mit un doigt dans le cul. Sans préavis, d’un coup sec, elle me doigta, je libérai en même temps un torrent de sperme entre ses lèvres. Je poussai un grand cri de plaisir et de soulagement.
Nina garda ma bite bien au chaud dans sa bouche pendant que je m’y déversais. Son doigt toujours planté en moi. Elle libéra mon sexe vidé, et en plantant son regard dans le mien avala mon nectar, non sans faire une grimace quand la liqueur chaude et âpre lui coula au fond de la gorge.
— Tu as aimé, me demanda-t-elle une fois que je fus revenu sur Terre?
Pouvais-je lui dire non? Mon corps avait parlé pour moi, j’étais encore parcouru de frissons.
— Oui, lui dis-je donc, j’ai aimé. Mais j’ai du mal à croire que tu n’avais jamais sucé de bite avant moi, tu t’y prends comme une reine, et le petit doigt au cul à la fin était parfait.
— Je te jure que tu es le premier que je prends dans ma bouche comme ça. Je ne sais pas d’où tout cela me vient. C’est presque instinctif.
Je l’embrassai , longuement. Je regrettais l’absence d’Émilie. Je savais qu’elles s’entendraient bien. Émilie ferait découvrir à Nina d’autres plaisirs, d’autres sensations. J’en parlai à Nina qui sembla un peu réticente à l’idée de faire l’amour à une femme.
— Je ne sais pas, dit-elle, je n’ai jamais été attirée par les filles. Ce n’est pas forcément un truc qui me branche. Je ne dis pas que je ne voudrais pas faire l’expérience, mais je crois que je préfèrerais les mecs. Je suis trop heureuse quand tu me fais jouir. Quand je sens ta langue sur moi, fouillant en moi, me suçant. Et puis quand tu me prends comme tout à l’heure, moi soumise, ouverte, toi sur moi me dominant, m’emplissant de ton sexe dur, écartant mes chairs pour y prendre du plaisir. Rien que d’en parler je mouille. Et le gout de ton sexe. Je ne pensais pas que j’aimerais autant le gout d’un sexe. Sentir pulser sous ma langue, sentir vibrer sous mes lèvres ton sexe gorgé de désir, et le sentir exploser en moi, répandant ton sperme chaud sur ma langue, ce sperme chaud, gluant, qui me brule la gorge quand je l’avale. Mais j’aime ça. Je me remplis de toi. Littéralement. Tu es en moi. Dans mon ventre. Je vais te digérer, et ton sperme fera partie de mon corps.
Je l’écoutais, elle parlait de sexe comme jamais je n’avais entendu parler. J’avais baisé, des hommes, des femmes. J’avais connu un week-end orgiaque où, à 5, nous avions exploré toutes les combinaisons. J’avais pris mon pied, joui, éjaculé. J’avais donné du plaisir avec ma langue, mes doigts, mon sexe, mais jamais de tous mes amants, personne n’avait parlé de sexe comme ça. Nina parlait de fusion, de plaisir total, d’envie, de désir, d’instinct. Elle parlait de mon sexe comme d’une œuvre d’art vivante, un totem de plaisir. Elle parlait de son corps comme d’un autel dédié à l’amour, de ses seins, de son sexe comme des instruments de musique. Elle parlait, et se caressait en même temps. Elle était trop frustrée pour résister à ses pulsions. Avec moi ,elle découvrait le sexe.
— Je ne pensais pas que l’orgasme pouvait être aussi libérateur, et aussi additif, me dit-elle. Je ne pensais pas que je pouvais vibrer comme ça sous la langue d’un homme, je ne pensais pas que je pouvais répandre autant de moi, autant de mon jus, que je pourrais gouter ce jus et l’aimer, je ne pensais pas que mon corps pouvait accueillir un sexe d’homme comme un ami trop longtemps parti, s’ouvrant, l’entourant, le gardant au chaud.
Elle était mystique, et poétique. Ses mots sortaient presque sans filtre, exprimant ce qu’elle ressentait au plus profond d’elle. Émilie était une salope, elle aimait le sexe pour le plaisir, pour l’orgasme. Égoïste, un peu. Nina aimait faire l’amour pour d’autres raisons, plus spirituelles. Elle n’était pas une salope, même si, avec moi, elle pourrait accepter d’en être une.
— Je veux que tu m’apprennes des choses, des positions, des pratiques, que tu ouvres mon esprit et mon corps au sexe. Au vrai.
Je m’habillai. Elle ôta sa robe mouillée et fouilla dans les affaires de ma grand-mère. Elle trouva une autre robe. Noire. Mais nullement sexy. Je la laissais seule le temps de passer à l’épicerie du village pour y prendre deux trois choses a mangé. En rentrant, Nina avait mis la table. Je retrouvais les vieux couverts et assiettes de ma jeunesse quand je venais passer quelques jours de vacances. J’avais pris un poulet rôti et une poche de chips. Je trouvai une bouteille de vin et nous trinquâmes. Nous étions presque un couple normal, en vacances, venant d’arriver dans leur location et déjeunant sur le pouce.
— Nous deux, ça va donner quoi après ?
Nina me regardait au-dessus de son verre en me posant cette question. Je préférais, quand tout excitée ,elle me demandait la suite.
— Comment ça ?
— Nous deux, là c’est bien, on mange ensemble, on vient de faire l’amour, on est bien, mais tu as une copine, moi j’ai un mec, tu as ta vie, moi je pars en Espagne. Ce soir, demain on va rentrer, chacun chez soi, et après. Tu crois qu’on va se revoir? Que tu vas continuer à me faire l’amour, comme aujourd’hui, alors que tu auras retrouvé Émilie ?
Je voyais des larmes monter dans ses yeux, un vibrato dans sa voix. Elle tremblait.
— Je…
— Ne dis rien, s’il te plait, ne dis rien, je ne sais pas si je pourrais te croire, viens m’embrasser, viens avec moi, maintenant, ici, tout de suite, prends moi, je t’en supplie.
Je me levai et la rejoignis. Des larmes coulaient sur ses joues. Je les recueillais entre mes lèvres. Je l’embrassai. Nina se colla à moi. Me serra très fort contre elle. Sa langue dans ma bouche. Ses mains sur mes fesses. Ses seins contre mon torse. Elle m’agrippait comme si sa vie en dépendait.
Se détachant de moi elle ôta sa robe et l’envoya valser à l’autre bout de la pièce offrant son corps nu à mon regard. Ce n’était pas la première fois que je la voyais nue, mais tremblante, fragile, fiévreuse je la trouvais encore plus belle et désirable. Je la pris par les hanches, et l’installai sur la table. J’écartai ses cuisses. Son sexe luisait de désir. Je me penchai pour lui lécher, mais elle m’arrêta.
— Non, je ne veux pas. Je veux que tu me prennes tout de suite. Comme ça sur la table.
Je baissai mon pantalon,sortis mon sexe et la pénétrai sans attendre. Je me glissai en elle. Elle soupira. Renversa la tête en arrière. Je commençais mes va-et-vient dans sa chatte brulante. Elle me regardait,son regard fixé sur mon membre disparaissant en elle.
— Je sais que c’est le plaisir, le sexe qui parle, mais je crois que je suis en train de tomber amoureuse. Je ne devrais pas. Je ne sais rien de toi à part que tu me fais jouir. Que j’aime ton corps. Ton sexe. Ta bouche. Que j’aime te donner du plaisir avec ma bouche, mes mains, mon sexe. Je ne veux pas être amoureuse de toi. Et pourtant.
Je la bâillonnais d’une main tout en continuant à la baiser. Je ne voulais pas l’entendre. Je ne voulais pas penser que je lui faisais l’amour. Je voulais la baiser. Je ne voulais pas, comme elle, tomber amoureux. Je me fis plus violent, plus brutal. J’augmentais la cadence. Je ne pensais plus à elle,à son plaisir. Mais je me concentrais sur le mien. Je voulais jouir sur elle. Non en elle. Je voulais lui envoyer de longues giclées de sperme sur le ventre. Je voulais profiter d’elle.
Elle écarta ma main. Elle souriait. Ses grands yeux plongèrent dans les miens.
— Je t’aime. Tu n’y peux rien. Baise-moi comme tu veux, mais je t’aime quand même.
Que le point de jouir je me retirais et me branlais pour éjaculer sur elle. Elle mit ses mains en coupe sous mon gland et recueillit mon sperme. Je reculais, titubant. Me posais sur une chaise et la bite encore en main je la regardais boire mon foutre.
— Je ne t’oblige à rien, dit-elle après m’avoir bu, tu peux me laisser sur le bord de la route, m’oublier. Je ne te demande pas le mariage. La vie à deux. Je t’aime. Pour tout ce que m’as fait en deux jours. Tout ce que tu m’as apporté. Je t’aime c’est tout.
Elle se leva. Vint m’embrasser. Un peu de mon foutre sur les lèvres. Et quitta la pièce en ramassant la robe noire de ma grand-mère.
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