deuxième histoire (suite)
Récit érotique écrit par transparent [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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deuxième histoire (suite)
Deuxième histoire :
Je reviens vers notre table en portant les deux verres. D’un geste du crâne, elle repousse ses cheveux en arrière. Elle allume une cigarette, puis m’interroge du regard. J’en prend une dans le paquet qu’elle me tend. Ce n’est plus celle que j’ai rencontré sur la place de ce petit village. Beaucoup plus assurée.
Elle, c’est Jessica. On échange sur la fac, les vieux professeurs, sur nos vies respectives
Puis ainsi sans trop le faire exprès, il est tard. Il fait un peu froid, on marche vers la station de métro cote à cote. Les phrases sont maintenant un peu plus trainantes.
C’est quoi ton programme pour la suite, après tes examens ?
Je n’ai rien de prévu, ma mère part voir sa sœur en Normandie. Mes copines se cassent toutes en vacances. Moi J’ai un petit boulot dans une association pour apprendre le français aux étrangers. Je vais voir si je peux trouver un autre job à coté. Et toi ?
Ça te dirait un job dans mon cabinet, on cherche quelqu’un qui possède des connaissances juridiques, pour faire des tâches répétitives. Si ça t’intéresse ? …
Bien sur que ça m’intéresse.
Je ne te promets rien, mais je vais en parler, car je sais qu’on cherche quelqu’un.
En descendant les marches, je suis passé devant elle. Dans le métro, la foule, les mouvements de la rame, font que l’on se tien tout proche l’un de l’autre. Je sens qu’elle cherche le contact.
Je lui explique que je descends à la prochaine. Je me penche pour déposer un baiser sur sa joue, elle m’entoure de son bras. Nous restons collés juste un peu plus longtemps qu’il ne faudrait. Un bref instant.
Elle pu entrer au service du cabinet dans les semaines qui suivirent cette soirée. Les horaires aménagés lui permettent à la fois d’avoir du temps de libre, et de donner ses cours de français dans cette association. A la fin de la première semaine, je la croise une fois de plus dans les couloirs. Elle me sourit amicalement.
Interrogatif, je lui lance, sans m’arrêter : On mange ensemble tout à l’heure ?
Ouais avec joie me dit-elle.
Le maquillage, la robe courte et droite, font qu’elle apparait plus âgée.
A 13h, on se retrouve devant l’immeuble et je lui fais signe de me suivre.
Vient y a un petit resto sympa pas très loin. C’est moi qui t’invite pour fêter ta première semaine.
Les talons lui font une démarche sexy.
On chemine ainsi deux trois minutes sans échanger un mot. Puis, enfin, on prend place dans un coin de la salle de ce petit restaurant de quartier.
Elle passe machinalement une mèche de cheveux derrière son oreille.
Alors comment ça s’est passé, pour ta première semaine ?
Bien, pas grand chose à dire, j’étais un peu stressée, mais les gens sont sympas. Ce n’est pas trop compliqué, je suis rassurée.
On commande deux verres de vin en apéritif, puis elle m’apprend que ses premiers résultats d’examens sont bons.
Alors trinquons Jess.
En ce moment tout va bien, mes résultats sont bons, je t’ai rencontré alors que j’étais bloquées au milieu de nulle part, puis j’ai grâce à toi ce job en plus. C’est vraiment cool, une belle période. Pour vu que ça dure ! … Encore merci, c’est grâce à toi ce travail.
La conversation, après les banalités sur le travail, les gens du bureau, nous conduit vers les films à l’affiche et nous décidons d’aller voir un film ensemble après le travail.
Ce soir-là, après le cinéma, nous étions en train de fumer à la terrasse d’un bar, dans cette chaude soirée d’été, quand debout contre le comptoir qui donnait sur la rue, je l’ai enlacé de mon bras à la taille. Elle se serra un peu plus contre moi. Le bruit autour de nous faisait que nous étions contraints de nous parler de très prêt. Je sentais ses seins contre moi, son bras dans mon dos, son haleine sur mes lèvres. Puis au milieu d’une phrase, je n’écoutais plus ce qu’elle disait depuis un moment. Je l’ai embrassé. Ça a duré longtemps. Ses cheveux sur mon visage, ses mains sur mes épaules, puis dans mes cheveux. Quand nous bouches, enfin se séparent, son visage se jette vers moi à nouveau. Je sentais de mes doigts, l’humidité de sa sueur sous le tissu de sa robe. Elle m’entoure de ses bras autour de mon cou et plonge sa bouche dans mon col. Elle cherche ma peau de ses dents. Autour les verres, les bruits des discussions, la musique, la fumée.
On est rentré chez elle après ça. Nous étions pris par une réelle urgence. La cité universitaire était mal éclairée à l’extérieur. Mais elle connaissait les lieux. On grimpe par le biais d’un vieil ascenseur au troisième. On entend dans le couloir dans lequel on sent une odeur de cuisine, les bruits des chambres, les télévisions, les conversations téléphoniques dans des langues étrangères. Elle sort les clefs de son sac et ouvre une porte à gauche.
Je passe après elle, je referme la porte. Je pousse le verrou. Elle se retourne vers moi, je l’attrape par la taille, la soulève, la pose sur le bureau derrière elle, dans cette pièce aux dimensions réduites. Elle m’entoure de ses jambes, de ses bras, me dépose un tendre baisé du bout des lèvres sur mon nez. J’ai envie de toi, me dit-elle en me regardant dans les yeux.
De suite après nos vêtements volent, c’est joyeux et désordonné. On est sur son lit une place, elle les seins nues, en culotte. Elle attrape de ses mains mon boxer. Elle prend de ses lèvres ma bite qui sort comme un diable de sa boîte. Elle commence à me sucer, les cheveux masquant son visage. Je me laisse faire, j’apprécie le moment. La température est caniculaire dans la chambre.
Après ce traitement délicieux qu’elle m’inflige, je saisi ses belles épaules, pour lui signifier de remonter vers moi. Je la bascule sur le lit. Je lui retire sa culotte qui est trempée. Je plonge mon visage entre ses jambes, tout en saisissant ses seins à pleine mains. Ils sont fermes, les tétons sont petits roses et tendus. Je les sens sous la paume de mes mains. Elle agrippe ma tête, ses doigts dans mes cheveux. J’alterne entre son sexe, ses seins, son cou. Lorsque je l’embrasse sur la bouche, nos lèvres ont le gout de sa mouille.
Je me lève pour ouvrir la porte fenêtre, qui donne sur l’extérieur, la nuit et le parking, pour faire entrer un peu de fraicheur.
Nos corps sont tous deux trempes de sueur. Entre ses seins il y a cette imprégnation humide qui brille légèrement.
Je présente ma bite à l’entrée de son sexe, je frotte dessus. Elle plonge ses yeux dans les miens, elle se mord la lèvre inférieure.
Mon gland pénètre et je la regarde en souriant. Son visage se redresse un peu, il me semble qu’elle tremble.
Je ressors, je me retire lentement, avant de revenir doucement encore dans son sexe.
Je prends un de ses seins à pleine main, je rentre encore, je m’avance plus profondément. Je vais lentement, je souris. Je lutte contre moi, je n’ai qu’une envie la défoncer.
Je saisi sa jambe, je la retourne, pour la positionner en levrette.
Je lui écarte bien les jambes, elle comprend et s’exécute.
Je tape mon sexe sur le sien, je rentre, sort, je continue à y aller lentement.
Puis je l’attrape par les cheveux, la redresse, lui attrape un sein. Nos corps sont collant de sueur.
J’attrape ses hanches, quand elle pose son visage sur l’oreiller. Alors je commence à y aller vraiment. On entend à chaque va et vient, le bruit de sa mouille, de son cul qui claque contre le bas de mon ventre.
Elle gémit de plus en plus fort. Elle plonge son visage dans les oreillers, je comprends qu’elle ne veut pas que ses voisins l’entendent.
La tension monte.
Je me retire, pince un de ses tétons, lorsqu’elle se redresse pour venir m’embrasser. Elle m’attrape les cheveux de sa main droite, pour maintenir mon visage contre le sien. Elle est essoufflée, elle ruisselle de sueur et moi aussi.
Je m’assoie dans le lit, elle vient sur moi, ce n’est pas facile, le lit n’est pas très grand.
Ses seins devant ma bouche son plus qu’un appel, je les agace de mes dents. Elle m’attrape de ses deux mains pour me signifier de continuer ce traitement, pendant qu’elle monte et descend sur ma bite.
Ses bruits de mouille envahissent toute la pièce. Elle gémi fort maintenant. Je cherche de mes doigts entre ses fesses l’entrée de son cul. Pendant se temps elle poursuit ses montées et descente sur ma bite. Mon visage est entre ses deux seins, qu’elle resserre encore de ses mains. Elle cri à présent.
Quand je sens que je viens, elle se plaque avec violence contre moi, me renverse dans le lit, se met à trembler. Son sexe se contracte dans des spasmes répétitifs, elle est en train de jouir et moi aussi. Je me tends à l’extrême. On se serre fort.
Quelques temps après, on reprend esprit, en sentant l’air frais du dehors. L’air frais sur nos corps qui n’est plus qu’un seul corps.
Elle redresse son visage devant le mien, me sourit, m’embrasse tendrement.
Nos cheveux, nos visages, les draps, tout n’est que sueur.
Mon sexe ressort du sien. Elle remonte un peu, se blottie contre moi, ajuste son corps contre le mien. Me passe une main dans les cheveux.
La chambre en désordre, est immobile. Dehors au loin, on entend les véhicules qui passent dans la nuit.
Plus tard, elle s’est endormie et je quitte la chambre en silence. Nous avons échangé quelques mots durant le Week end par texto. Le lundi, elle passe dans mon bureau. Elle frappe, entre à mon invitation, referme la porte derrière elle. On s’embrasse, d’un long baisé. J’ouvre sa veste, prend un sein à travers le tissu de son chemisier.
Puis je lui dis suce moi.
Je constate de suite dans son regard qu’elle est partagée entre stupeur et envie.
Sans me quitter des yeux, ses cheveux serrés dans un chignon stricte, elle s’agenouille. Elle ouvre ma braguette, plonge sa main dans l’ouverture, pour saisir le boxer, sortir mon sexe. Quand elle l’a en bouche, je lui dis, met tes mains dans ton dos.
J’enfonce mes mains dans les poches de mon pantalon, puis de mes hanches, j’entame de longs va et vient dans sa bouche offerte. Durant tout ce temps, on est les yeux dans les yeux. On entend les autres membres du personnel qui passent dans le couloir devant la porte, les bruits des imprimantes, des téléphones.
A un moment, je ressors de sa bouche ouverte. Je l’interroge, veux tu continuer ?
Ses yeux toujours dans les miens, elle me dit oui, je veux que tu jouisses dans ma bouche.
On va jouer à un jeu Jessica, tu veux ?
Elle sourit de son sourire complice et coquin que je connais à présent.
J’enchaine, en lui expliquant. C’est un jeu simple, je te proposerai des choses et le jeu se poursuit tant que tu dis oui. Si on a confiance l’un en l’autre, on peut jouer indéfiniment. Si ma proposition ne t’excite pas, ne te fait pas sourire, tu dis non et le jeu s’arrête.
Tu veux que je devienne ta soumise ? C’est ça, un truc dans le genre ?
Je dirais plutôt que je serai le serviteur de ton plaisir. Mais libre à toi de voir les choses selon ton point de vue.
On en reparlera…
Pour l’instant je vais jouir dans ta bouche.
Elle reprit mon sexe en bouche, en posant ses mains sur mes cuisses. Moi j’ai pris sa tête à deux mains et je me suis servi d’elle en m’enfonçant de plus en plus loin en elle. J’allais de plus en plus vite. Quand j’allais enfin jouir, d’elle même elle enfonça ma bite au fond de sa gorge et resta ainsi un instant pendant que je me vidais.
Ses yeux brillaient et je pouvais y lire distinctement l’envie, le plaisir, le défi.
Je reviens vers notre table en portant les deux verres. D’un geste du crâne, elle repousse ses cheveux en arrière. Elle allume une cigarette, puis m’interroge du regard. J’en prend une dans le paquet qu’elle me tend. Ce n’est plus celle que j’ai rencontré sur la place de ce petit village. Beaucoup plus assurée.
Elle, c’est Jessica. On échange sur la fac, les vieux professeurs, sur nos vies respectives
Puis ainsi sans trop le faire exprès, il est tard. Il fait un peu froid, on marche vers la station de métro cote à cote. Les phrases sont maintenant un peu plus trainantes.
C’est quoi ton programme pour la suite, après tes examens ?
Je n’ai rien de prévu, ma mère part voir sa sœur en Normandie. Mes copines se cassent toutes en vacances. Moi J’ai un petit boulot dans une association pour apprendre le français aux étrangers. Je vais voir si je peux trouver un autre job à coté. Et toi ?
Ça te dirait un job dans mon cabinet, on cherche quelqu’un qui possède des connaissances juridiques, pour faire des tâches répétitives. Si ça t’intéresse ? …
Bien sur que ça m’intéresse.
Je ne te promets rien, mais je vais en parler, car je sais qu’on cherche quelqu’un.
En descendant les marches, je suis passé devant elle. Dans le métro, la foule, les mouvements de la rame, font que l’on se tien tout proche l’un de l’autre. Je sens qu’elle cherche le contact.
Je lui explique que je descends à la prochaine. Je me penche pour déposer un baiser sur sa joue, elle m’entoure de son bras. Nous restons collés juste un peu plus longtemps qu’il ne faudrait. Un bref instant.
Elle pu entrer au service du cabinet dans les semaines qui suivirent cette soirée. Les horaires aménagés lui permettent à la fois d’avoir du temps de libre, et de donner ses cours de français dans cette association. A la fin de la première semaine, je la croise une fois de plus dans les couloirs. Elle me sourit amicalement.
Interrogatif, je lui lance, sans m’arrêter : On mange ensemble tout à l’heure ?
Ouais avec joie me dit-elle.
Le maquillage, la robe courte et droite, font qu’elle apparait plus âgée.
A 13h, on se retrouve devant l’immeuble et je lui fais signe de me suivre.
Vient y a un petit resto sympa pas très loin. C’est moi qui t’invite pour fêter ta première semaine.
Les talons lui font une démarche sexy.
On chemine ainsi deux trois minutes sans échanger un mot. Puis, enfin, on prend place dans un coin de la salle de ce petit restaurant de quartier.
Elle passe machinalement une mèche de cheveux derrière son oreille.
Alors comment ça s’est passé, pour ta première semaine ?
Bien, pas grand chose à dire, j’étais un peu stressée, mais les gens sont sympas. Ce n’est pas trop compliqué, je suis rassurée.
On commande deux verres de vin en apéritif, puis elle m’apprend que ses premiers résultats d’examens sont bons.
Alors trinquons Jess.
En ce moment tout va bien, mes résultats sont bons, je t’ai rencontré alors que j’étais bloquées au milieu de nulle part, puis j’ai grâce à toi ce job en plus. C’est vraiment cool, une belle période. Pour vu que ça dure ! … Encore merci, c’est grâce à toi ce travail.
La conversation, après les banalités sur le travail, les gens du bureau, nous conduit vers les films à l’affiche et nous décidons d’aller voir un film ensemble après le travail.
Ce soir-là, après le cinéma, nous étions en train de fumer à la terrasse d’un bar, dans cette chaude soirée d’été, quand debout contre le comptoir qui donnait sur la rue, je l’ai enlacé de mon bras à la taille. Elle se serra un peu plus contre moi. Le bruit autour de nous faisait que nous étions contraints de nous parler de très prêt. Je sentais ses seins contre moi, son bras dans mon dos, son haleine sur mes lèvres. Puis au milieu d’une phrase, je n’écoutais plus ce qu’elle disait depuis un moment. Je l’ai embrassé. Ça a duré longtemps. Ses cheveux sur mon visage, ses mains sur mes épaules, puis dans mes cheveux. Quand nous bouches, enfin se séparent, son visage se jette vers moi à nouveau. Je sentais de mes doigts, l’humidité de sa sueur sous le tissu de sa robe. Elle m’entoure de ses bras autour de mon cou et plonge sa bouche dans mon col. Elle cherche ma peau de ses dents. Autour les verres, les bruits des discussions, la musique, la fumée.
On est rentré chez elle après ça. Nous étions pris par une réelle urgence. La cité universitaire était mal éclairée à l’extérieur. Mais elle connaissait les lieux. On grimpe par le biais d’un vieil ascenseur au troisième. On entend dans le couloir dans lequel on sent une odeur de cuisine, les bruits des chambres, les télévisions, les conversations téléphoniques dans des langues étrangères. Elle sort les clefs de son sac et ouvre une porte à gauche.
Je passe après elle, je referme la porte. Je pousse le verrou. Elle se retourne vers moi, je l’attrape par la taille, la soulève, la pose sur le bureau derrière elle, dans cette pièce aux dimensions réduites. Elle m’entoure de ses jambes, de ses bras, me dépose un tendre baisé du bout des lèvres sur mon nez. J’ai envie de toi, me dit-elle en me regardant dans les yeux.
De suite après nos vêtements volent, c’est joyeux et désordonné. On est sur son lit une place, elle les seins nues, en culotte. Elle attrape de ses mains mon boxer. Elle prend de ses lèvres ma bite qui sort comme un diable de sa boîte. Elle commence à me sucer, les cheveux masquant son visage. Je me laisse faire, j’apprécie le moment. La température est caniculaire dans la chambre.
Après ce traitement délicieux qu’elle m’inflige, je saisi ses belles épaules, pour lui signifier de remonter vers moi. Je la bascule sur le lit. Je lui retire sa culotte qui est trempée. Je plonge mon visage entre ses jambes, tout en saisissant ses seins à pleine mains. Ils sont fermes, les tétons sont petits roses et tendus. Je les sens sous la paume de mes mains. Elle agrippe ma tête, ses doigts dans mes cheveux. J’alterne entre son sexe, ses seins, son cou. Lorsque je l’embrasse sur la bouche, nos lèvres ont le gout de sa mouille.
Je me lève pour ouvrir la porte fenêtre, qui donne sur l’extérieur, la nuit et le parking, pour faire entrer un peu de fraicheur.
Nos corps sont tous deux trempes de sueur. Entre ses seins il y a cette imprégnation humide qui brille légèrement.
Je présente ma bite à l’entrée de son sexe, je frotte dessus. Elle plonge ses yeux dans les miens, elle se mord la lèvre inférieure.
Mon gland pénètre et je la regarde en souriant. Son visage se redresse un peu, il me semble qu’elle tremble.
Je ressors, je me retire lentement, avant de revenir doucement encore dans son sexe.
Je prends un de ses seins à pleine main, je rentre encore, je m’avance plus profondément. Je vais lentement, je souris. Je lutte contre moi, je n’ai qu’une envie la défoncer.
Je saisi sa jambe, je la retourne, pour la positionner en levrette.
Je lui écarte bien les jambes, elle comprend et s’exécute.
Je tape mon sexe sur le sien, je rentre, sort, je continue à y aller lentement.
Puis je l’attrape par les cheveux, la redresse, lui attrape un sein. Nos corps sont collant de sueur.
J’attrape ses hanches, quand elle pose son visage sur l’oreiller. Alors je commence à y aller vraiment. On entend à chaque va et vient, le bruit de sa mouille, de son cul qui claque contre le bas de mon ventre.
Elle gémit de plus en plus fort. Elle plonge son visage dans les oreillers, je comprends qu’elle ne veut pas que ses voisins l’entendent.
La tension monte.
Je me retire, pince un de ses tétons, lorsqu’elle se redresse pour venir m’embrasser. Elle m’attrape les cheveux de sa main droite, pour maintenir mon visage contre le sien. Elle est essoufflée, elle ruisselle de sueur et moi aussi.
Je m’assoie dans le lit, elle vient sur moi, ce n’est pas facile, le lit n’est pas très grand.
Ses seins devant ma bouche son plus qu’un appel, je les agace de mes dents. Elle m’attrape de ses deux mains pour me signifier de continuer ce traitement, pendant qu’elle monte et descend sur ma bite.
Ses bruits de mouille envahissent toute la pièce. Elle gémi fort maintenant. Je cherche de mes doigts entre ses fesses l’entrée de son cul. Pendant se temps elle poursuit ses montées et descente sur ma bite. Mon visage est entre ses deux seins, qu’elle resserre encore de ses mains. Elle cri à présent.
Quand je sens que je viens, elle se plaque avec violence contre moi, me renverse dans le lit, se met à trembler. Son sexe se contracte dans des spasmes répétitifs, elle est en train de jouir et moi aussi. Je me tends à l’extrême. On se serre fort.
Quelques temps après, on reprend esprit, en sentant l’air frais du dehors. L’air frais sur nos corps qui n’est plus qu’un seul corps.
Elle redresse son visage devant le mien, me sourit, m’embrasse tendrement.
Nos cheveux, nos visages, les draps, tout n’est que sueur.
Mon sexe ressort du sien. Elle remonte un peu, se blottie contre moi, ajuste son corps contre le mien. Me passe une main dans les cheveux.
La chambre en désordre, est immobile. Dehors au loin, on entend les véhicules qui passent dans la nuit.
Plus tard, elle s’est endormie et je quitte la chambre en silence. Nous avons échangé quelques mots durant le Week end par texto. Le lundi, elle passe dans mon bureau. Elle frappe, entre à mon invitation, referme la porte derrière elle. On s’embrasse, d’un long baisé. J’ouvre sa veste, prend un sein à travers le tissu de son chemisier.
Puis je lui dis suce moi.
Je constate de suite dans son regard qu’elle est partagée entre stupeur et envie.
Sans me quitter des yeux, ses cheveux serrés dans un chignon stricte, elle s’agenouille. Elle ouvre ma braguette, plonge sa main dans l’ouverture, pour saisir le boxer, sortir mon sexe. Quand elle l’a en bouche, je lui dis, met tes mains dans ton dos.
J’enfonce mes mains dans les poches de mon pantalon, puis de mes hanches, j’entame de longs va et vient dans sa bouche offerte. Durant tout ce temps, on est les yeux dans les yeux. On entend les autres membres du personnel qui passent dans le couloir devant la porte, les bruits des imprimantes, des téléphones.
A un moment, je ressors de sa bouche ouverte. Je l’interroge, veux tu continuer ?
Ses yeux toujours dans les miens, elle me dit oui, je veux que tu jouisses dans ma bouche.
On va jouer à un jeu Jessica, tu veux ?
Elle sourit de son sourire complice et coquin que je connais à présent.
J’enchaine, en lui expliquant. C’est un jeu simple, je te proposerai des choses et le jeu se poursuit tant que tu dis oui. Si on a confiance l’un en l’autre, on peut jouer indéfiniment. Si ma proposition ne t’excite pas, ne te fait pas sourire, tu dis non et le jeu s’arrête.
Tu veux que je devienne ta soumise ? C’est ça, un truc dans le genre ?
Je dirais plutôt que je serai le serviteur de ton plaisir. Mais libre à toi de voir les choses selon ton point de vue.
On en reparlera…
Pour l’instant je vais jouir dans ta bouche.
Elle reprit mon sexe en bouche, en posant ses mains sur mes cuisses. Moi j’ai pris sa tête à deux mains et je me suis servi d’elle en m’enfonçant de plus en plus loin en elle. J’allais de plus en plus vite. Quand j’allais enfin jouir, d’elle même elle enfonça ma bite au fond de sa gorge et resta ainsi un instant pendant que je me vidais.
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