Deuxième oral - histoire érotique

On dit qu'on n'oubli jamais la première fois, et c'est vrai, mais la deuxième fois peut être aussi un très beau souvenir.
Ma première pipe a été rapide et plein de déception pour moi. Après notre aparté dans les toilettes L. et moi n'avions pas renouvelé l'expérience et l'année scolaire s'est finie avec le bac sans que ni l'un ni l'autre n'évoquions cet épisode. Bien sûr nous nous sommes parfois caressés dans les soirées ou dans la cour du lycée à l'abri des regards mais la timidité (nous étions en 1990) et l'inexpérience des deux a fait que nous en sommes restés à cela.
Je suis entrée en fac de lettre et entamée une nouvelle année alors que L. était partie étudié à Lyon et peu à peu notre relation s'est arrêté sans que ni l'un, ni l'autre n'eûmes besoin de le préciser. Je m'étais inscrite au cours de théâtre et nous avions un groupe plutôt soudés. En mai nous avions organisé une petite fête avec toute la troupe pour fêter la fin de l'année scolaire (hé oui ce sont les joies de la fac :-). Je m'étais proposé pour faire des crêpes mais comme je n'avais pas de voiture B. s'est proposé gentiment de me véhiculé. Nous avions ramené la grosse marmite de pâtes à crêpes et à 3H00 du matin il a fallut qu'il me ramène chez moi avec tout mes ustensiles. J'avais pour lui un petit pincement au cœur mais nous ne nous étions pas spécialement rapproché dans l'année étant donné qu'en dehors du théâtre nous n'avions pas du tout les mêmes centres d'intérêts.
A l'époque j’habitais encore chez mes parents et notre maison était construite derrière 2 autres. Il fallait rouler sur plusieurs mètres dans une allée bordée de chaque côté par les murs de nos voisins puis ouvrir le portail avant de pouvoir rentrer dans notre jardin. Nous avions discuté devant ce portail jusqu'à l'aube avant de nous quitter en nous promettant de nous revoir le soir même. Si ce portail pouvait parler il vous raconterait nombre de nos soirées passé là à nous embrasser et à nous peloter jusqu'au début du jour suivant. Sans parler de tous le reste :-)
J'avais commencé mon code de la route mais pas encore la conduite aussi un soir de la dernière semaine de juin j’ai demandé à B. de m'apprendre à conduire. Il m'amena hors de la ville dans les petites routes de campagnes et m'a laissé conduire un petit moment. J'ai fini par m'arrêter sur le bord de la route et nous avons commencé à nous embrasser. Il me caressait les seins et moi je ne savais pas quoi faire de mes mains. Je n'osais pas prendre d'initiative de peur d'être prise pour une salope. Il a pris ma main et la amené vers son sexe. Je l'ai laissé faire et j'ai commencé à le caressé à travers son jean. Je le sentais tendu et chaque fois que je le touchais il réagissait. j'ai dégrafé ses boutons et dans le clair de lune je vis pour la deuxième fois un sexe d'homme. Celui-ci était plus gros que celui de L. B. a arrêté de m'embrasser et a reculé son siège pour plus de confort. Je me suis penché et j'ai commencé à le prendre en bouche. Je l'ai sentie se tendre dès que je l'ai embouché et je dois avouer que je commençais moi aussi à mouiller dans ma culotte. Je l'ai branlé puis j'ai passé ma langue sur son gland et je savais qu'à ce moment il ferait n'importe quoi pour que je continue. C'est une sensation que j'ai toujours adoré : tenir un homme juste avec ma bouche. Il gémissait et attendait avec impatience que je continue. Je l'ai alors pompé très rapidement et il a joui en me tenant fermement la tête. J'ai avalé son foutre avec grand plaisir. Et oui je me suis rendu compte que j'aime le goût du sperme mais aussi que rien ne faisait plus plaisir à un homme qu'une femme capable de boire sa jouissance. Après une minute de calme je croyais que j'étais bonne pour me soulageais toute seule dans mon lit quand il m'a proposé de passé derrière. Je l'ai regardé avec de des yeux interrogateur et il m'a dit qu'il n'y avait pas de raison qu'il soit le seul à jouir cette nuit. J'appréhendais un peu ce moment car je n'étais pas vraiment prête à perdre ma virginité. Devant mon hésitation il m'a embrassé et dit qu'il n'y avait pas que les femmes qui pouvaient se servir de leur bouche. J'étais vraiment gênée car je savait plus ou moins ce qu'il voulait faire mais en même temps personne ne me l'avait fait jusqu'à présent. Il a vraiment été formidable et je le remercie encore aujourd'hui car grâce à sa gentillesse j'ai gardé un très bon souvenir de mon premier cunnilingus.
Il m'a fait retirer mon jean puis fait asseoir sur la banquette arrière avec les pieds hors de la voiture. Il s'est mis à genou devant moi et dit de me coucher sur la banquette pour apprécier sa gâterie. J'ai sentie son souffre sur mon sexe et je mouillais abondamment. Je savais que je n'oublierais pas sa langue à partir du moment où je l'ai sentie sur mes lèvres. Il m'a léché doucement et a écarté mes lèvres pour accéder à mon clito qu'il a longuement titillé avant de le branler avec sa langue. C'est encore meilleur que mes doigts et pourtant je me masturbais déjà depuis 2 ans. Il m'a mangé le sexe et que c'était bon. Je ne me souviens pas bien de tout ce qu'il m'a fait mais je me souviens très bien du moment où je me suis arquée et jouie avec sa bouche sur ma chatte.
Souvenirs, souvenirs, si vous avez apprécié faites-le moi savoir :-)