Deuxième séance d'apprentissage
Récit érotique écrit par DouceVolcane [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 2 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2010 dans la catégorie Dominants et dominés
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Deuxième séance d'apprentissage
Deuxième rendez-vous.
Après cette première expérience, je n’arrêtais pas de fantasmer sur de nouvelles situations où je m’imaginais soumise. Thierry avait su révéler cet aspect de moi et j’avais envie de vivre ça pleinement.
Quelques jours plus tard, il m’a téléphoné pour me proposer un nouveau déjeuner. Je n’ai pas refusé évidemment. Je me suis arrangée pour me libérer. Il m’avait donné rendez-vous chez lui encore cette fois. Je venais en voiture et je devais l’appeler en arrivant pour qu’il vienne m’ouvrir l’accès au parking privé de son immeuble. J’avais mis pour l’occasion une robe en coton stretch; très prêt du corps, elle me moulait parfaitement, un string discret en dentelle noire et des chaussures ouvertes à talons. J’avais envie de lui plaire et d’éveiller son désir. Quand je suis arrivée, il m’attendait à la porte du parking, il est monté dans la voiture et m’a dirigée jusqu’à une place de parking. J’ai coupé le moteur, je m’apprêtais à retirer les clefs et à sortir mais il a mis sa main sur la mienne et m’a dit d’attendre. Il a glissé sa main dans mon cou, a rapproché mon visage du sien et m’a embrassée la bouche fougueusement.
Il m’a regardé droit dans les yeux et m’a dit : « Retire ta culotte et donne la moi ».
J’ai retiré mon string, j’étais un peu gênée car il était déjà humide tellement je mouillais.
Je le lui ai donné, il l’a pris et a sourit en me disant « Et bien ! Déjà mouillé ! Montre-moi ça !
Relève ta robe que je vois ta chatte ». J’ai relevé ma robe à mi-cuisses, « remonte la plus que ça ! ». Je l’ai remontée de façon à bien lui montrer mon sexe, je sentais que je mouillais de plus en plus. Il a glissé sa main entre mes cuisses et caressé ma chatte. « Hummm tu mouilles beaucoup ! T’es carrément trempée petite salope ! » Je commençais à gémir doucement sous ses caresses, il m’a dit « tais-toi ! Je ne veux pas entendre un bruit ! » Et il a enfoncé d’un coup un doigt dans ma chatte. Évidemment j’ai laissé échapper un petit cri que je n’ai pas su retenir et là, il m’a giflé. « Je t’ai dit que je ne voulais pas entendre un bruit petite pute » et il a continué à me caresser doucement. Je n’avais plus reçu de gifle depuis mon enfance et je me suis trouvée déroutée. Il l’a senti et m’a embrassée. Il continuait à me caresser et de nouveau il a enfoncé fort et d’un coup un doigt dans ma chatte ce qui m’a encore fait pousser un petit cri. Il m’a giflée à nouveau et là, j’ai compris que c’était un jeu. Ça m’excitait. Ses caresses étaient de plus en plus pressantes, il m’enfonçait maintenant 2 doigts et à chaque gémissement de ma part, il me giflait en me traitant de pute ou de salope. Jamais je n’aurais pensé aimer cela mais ça m’excitait terriblement. Je sentais ma chatte inondée de mouille.
Thierry me dit « T’aime ça te faire caresser la chatte dans les parkings ! T’es vraiment qu’une pute ! » Ces mots m’ont enivrés et j’ai jouis instantanément sous ses caresses. Il a mis sa main sur ma bouche pour étouffer mes cris et m’a dit « Hummmm, oui… vas-y petite putain, jouis ! » Il m’a fait lécher ses doigts et m’a caressé les cheveux. Il m’a laissé quelques secondes pour reprendre mes esprits et m’a dit en ouvrant la portière « Viens ! ».
Je n’ai pas osé lui redemander mon string. J’ai réajusté ma robe en sortant de la voiture. Je cherchais la sortie piéton des yeux, j’avais à peine fait un pas dans cette direction qu’il m’a prise par la taille en me stoppant et m’a dit « Je ne t’ai pas dit de baisser ta robe ! Relève là comme tout à l’heure » Mon sang n’a fait qu’un tour ! Si quelqu'un arrivait et me voyait comme ça… non je ne pouvais pas faire ça ! Il a pris mon menton dans sa main et a répété d’un ton très directif en plongeant son regard dans le mien : « Remonte ta robe ! Je veux voir ta chatte et ton cul ! » En disant cela, il avait glissé sa main entre mes cuisses et il me caressait, j’ai chuchoté « je t ‘en prie, je ne peux pas faire ça » « Oh mais si tu peux le faire ! » Et j’ai senti sa main qui relevait ma robe, je n’osais pas l’en empêcher. Il a glissé sa langue dans ma bouche après ce baiser il m’a regardée en disant « Aller fais le pour moi ». Mon cœur battait vite, j’ai remonté ma robe au dessus de mes fesses, elle tenait toute seule comme ça, je regrettais presque d’avoir choisit cette robe ce matin mais j’avais un sentiment mêlé de honte et de plaisir en le faisant. Thierry a caressé mes fesses et m’a dit d’avancer jusqu’à la sortie à une quinzaine de mètres, comme ça. J’étais terrorisée à l’idée de croiser quelqu'un mais ça m’excitait énormément. Je sentais mon clito gonflé et ma mouille qui coulait le long de mes cuisses. Arrivé à la porte de sortie, il est passé devant moi, a ouvert la porte et m’a laissée passer. Je me suis dirigée vers les ascenseurs mais Thierry m’a prise par le bras et m’a dit : « non, pas par là » ; Il a ouvert une autre porte, celle qui accédait aux caves de l’immeubles et nous nous sommes retrouvé dans une espèce de sas de 7 ou 8 m2.
Il m’a mise face à lui et m’a dit : « Tu m’as désobéis tout à l’heure… Je ne devrais pas avoir à te demander les choses deux fois ! Tu mérites une correction ! »
Il s’est reculé d’un pas et m’a dit : « Retire ta robe ! ». J’ai regardé autour de moi, la lumière était sombre mais tout était silencieux. J’ai commencé à retirer ma robe ; voilà, j’étais nue devant lui, je ne portais plus que mes petites chaussures à talons. Il m’a dit de me mettre à genoux, ce que j’ai fait. Il a commencé à défaire sa ceinture et déboutonner son pantalon.
Je supposais que j’allais devoir le sucer… j’en avais une envie folle mais j’ai entendu des bruits de mécanisme… c’était l’ascenseur. Je pensais « Pourvu que personne ne vienne ».
Thierry n’était pas gêné le moins du monde : il a baissé un peu son pantalon et son boxer, juste le nécessaire pour sortir sa queue. « Suce moi salope » Hummmm
Oh ouiii je vais bien te sucer je me suis dit en ouvrant ma bouche et en commençant à le lécher. Je léchais son gland en tournant ma langue tout autour et ensuite je léchais sa queue sur toute la longueur pour bien l’humidifier pour qu’elle glisse mieux avant de l’enfoncer dans ma bouche. Les bruits de l’ascenseur ont cessé et on entendait des bruits de pas derrière la porte. Thierry a pris ma tête dans ses mains pour m’obliger à garder sa queue dans ma bouche. À ce moment précis, j’avais envie que la porte s’ouvre et que l’on nous voit mais les bruits de pas se sont éloignés vers le parking. Thierry a lâché ma tête et j’ai gardé son sexe quelques secondes de plus enfoncé au maximum dans ma bouche pour lui montrer que j’aimais cette situation. Je le faisais aller et venir plus ou moins profondément dans ma gorge en alternant. C’était bon ! J’adorais ça (J’adore toujours d’ailleurs lol). Je continuais à le sucer comme ça quand j’ai senti un coup de ceinture claquer sur mes fesses. Je n’avais pas remarqué qu’il avait retiré sa ceinture, toute à mon plaisir de le sucer que j’étais. La « clac » m’a surprise mais beaucoup excitée. Il m’a dit « voilà ce que c’est que de me désobéir ! » et j’ai senti le bout en cuir de la ceinture claquer à nouveau sur mes fesses. Je redoublais mon ardeur à bien le sucer et me cambrais bien pour lui offrir mes fesses. Je sentais ma chatte dégouliner littéralement. Je ne pouvais pas m’empêcher de pousser des petits gémissements de plaisir en gardant sa queue dans ma bouche et en la léchant. J’ai continué à le sucer comme ça pendant qu’il me donnait des coups de ceinture sur les fesses. À chaque coup, j’enfonçais sa queue au maximum dans ma bouche à l’entrée de ma gorge. Je me cambrais tellement que parfois, le bout de la ceinture claquait sur ma chatte et enflammait mon clitoris. Hummmm j’aimais ça ! Et je faisais de mon mieux pour rester cambrée au maximum en espérant que chaque coup claque sur ma chatte.
Je me sentais terriblement bien. Plus il frappait, mieux je le suçais tout au moins me donnais-je à fond. Il a fini par stopper les coups et j’ai continué à le sucer comme ça avec le cœur qui battait à 100 à l’heure. Il m’a dit de ralentir mes mouvements de va et vient. « Attends je veux me retenir encore un peu… j’en ai pas fini avec toi ». Il a sorti sa queue de ma bouche, s’est baissé vers moi, et a enfoncé deux doigts dans ma chatte inondée ; j’étais chancelante, il m’a murmuré à l’oreille « Hummm t’es chaude ma petite pute ! T’as aimé ça dis moi ! » Je lui ai répondu un « ouiiii » dans un soupir de bien être. « Allonge toi sur le ventre salope ». Je me suis allongée à même le sol. C’était froid mais j’étais dans un tel état de désir que j’aurais fait tout ce qu’il voulait. Il s’est allongé sur moi, je sentais sa queue sur mes fesses, j’ai écarté les jambes sans attendre qu’il me le demande. J’ai senti sa queue glisser dans ma chatte, hummm c’était délicieux. Il m’a prise doucement en me glissant à l’oreille « elle est bonne ta chatte petite pute ! Tu veux que je te la défonce ? » J’ai répondu en gémissant « ouiiii, hummm…c’est trop bon ! » « Dis moi que t’es ma putain si tu veux que je continue ! » « Oh ouiii je suis ta putain ! » Je ne voulais surtout pas qu’il s’arrête. J’avais même oublié où j’étais et les bruits de mécanisme de l’ascenseur ne me faisaient plus rien. Je n’y faisais plus du tout attention.
Je me sentais comme une chienne en chaleur toute à son plaisir et j’aimais ça. Thierry a accéléré ses assauts, je sentais l’orgasme monter en moi et je crois bien que j’ai jouis au moment où il a éjaculé dans ma chatte. Cette fois j’ai crié et il ne m’en a pas empêché. Il a continué des mouvements doux jusqu’à ce que mes soubresauts se calment.
J’avais rarement jouis aussi intensément.
Il s’est relevé, m’a aidé à me relever à mon tour, m’a prise dans ses bras et m’a embrassée avec gourmandise et une infinie douceur.
Il a ramassé ma robe, m’a aider à la mettre et après s’être rhabiller, m’a prise par la main.
« Tu as faim ? Je connais nouveau resto dans le quartier, il est très bien. » Bien sur que j’avais faim lol avec toutes ces émotions !
Je me suis recoiffée et ré-ajustée rapidement devant le miroir dans l’ascenseur. Thierry ne m’avait toujours pas rendu mon string et je sentais son sperme chaud couler de ma chatte. Fatalement, je me suis retrouvée avec une tâche de sperme sur ma robe mais je m’en fichais : je me sentais bien.
Thierry m’a fait remarqué cette tâche et m’a dit : « je suis désolé, j’ai taché ta robe on dirait ».
Je lui ai répondu que ça n’était pas grave et que je m’en fichais. Il m’a sourit et m’a dit en prenant tendrement cette fois mon menton dans sa main : « Hummm, j’t’adore en petite salope ! Mais quand même, je ne peux pas te laisser sortir comme ça… On va arranger ça chez moi.»
Je suis une femme indépendante avec du caractère et jamais je ne permettrais à un homme de lever la main sur moi, pourtant, dans ce contexte précis et bien défini, j’éprouvais un plaisir incroyable à m’offrir et à me soumettre aux désirs d’un homme qui avait gagné ma confiance et qui m’avait accordé la sienne. Je savais que cette situation demandait une complicité entière et j’étais heureuse de pouvoir vivre ça. Curieusement, le fait que Thierry me soumette comme ça en me traitant se salope et de pute me faisait me sentir très femme.
Je n’avais l’intention de m’arrêter là lol
…/… à suivre
Après cette première expérience, je n’arrêtais pas de fantasmer sur de nouvelles situations où je m’imaginais soumise. Thierry avait su révéler cet aspect de moi et j’avais envie de vivre ça pleinement.
Quelques jours plus tard, il m’a téléphoné pour me proposer un nouveau déjeuner. Je n’ai pas refusé évidemment. Je me suis arrangée pour me libérer. Il m’avait donné rendez-vous chez lui encore cette fois. Je venais en voiture et je devais l’appeler en arrivant pour qu’il vienne m’ouvrir l’accès au parking privé de son immeuble. J’avais mis pour l’occasion une robe en coton stretch; très prêt du corps, elle me moulait parfaitement, un string discret en dentelle noire et des chaussures ouvertes à talons. J’avais envie de lui plaire et d’éveiller son désir. Quand je suis arrivée, il m’attendait à la porte du parking, il est monté dans la voiture et m’a dirigée jusqu’à une place de parking. J’ai coupé le moteur, je m’apprêtais à retirer les clefs et à sortir mais il a mis sa main sur la mienne et m’a dit d’attendre. Il a glissé sa main dans mon cou, a rapproché mon visage du sien et m’a embrassée la bouche fougueusement.
Il m’a regardé droit dans les yeux et m’a dit : « Retire ta culotte et donne la moi ».
J’ai retiré mon string, j’étais un peu gênée car il était déjà humide tellement je mouillais.
Je le lui ai donné, il l’a pris et a sourit en me disant « Et bien ! Déjà mouillé ! Montre-moi ça !
Relève ta robe que je vois ta chatte ». J’ai relevé ma robe à mi-cuisses, « remonte la plus que ça ! ». Je l’ai remontée de façon à bien lui montrer mon sexe, je sentais que je mouillais de plus en plus. Il a glissé sa main entre mes cuisses et caressé ma chatte. « Hummm tu mouilles beaucoup ! T’es carrément trempée petite salope ! » Je commençais à gémir doucement sous ses caresses, il m’a dit « tais-toi ! Je ne veux pas entendre un bruit ! » Et il a enfoncé d’un coup un doigt dans ma chatte. Évidemment j’ai laissé échapper un petit cri que je n’ai pas su retenir et là, il m’a giflé. « Je t’ai dit que je ne voulais pas entendre un bruit petite pute » et il a continué à me caresser doucement. Je n’avais plus reçu de gifle depuis mon enfance et je me suis trouvée déroutée. Il l’a senti et m’a embrassée. Il continuait à me caresser et de nouveau il a enfoncé fort et d’un coup un doigt dans ma chatte ce qui m’a encore fait pousser un petit cri. Il m’a giflée à nouveau et là, j’ai compris que c’était un jeu. Ça m’excitait. Ses caresses étaient de plus en plus pressantes, il m’enfonçait maintenant 2 doigts et à chaque gémissement de ma part, il me giflait en me traitant de pute ou de salope. Jamais je n’aurais pensé aimer cela mais ça m’excitait terriblement. Je sentais ma chatte inondée de mouille.
Thierry me dit « T’aime ça te faire caresser la chatte dans les parkings ! T’es vraiment qu’une pute ! » Ces mots m’ont enivrés et j’ai jouis instantanément sous ses caresses. Il a mis sa main sur ma bouche pour étouffer mes cris et m’a dit « Hummmm, oui… vas-y petite putain, jouis ! » Il m’a fait lécher ses doigts et m’a caressé les cheveux. Il m’a laissé quelques secondes pour reprendre mes esprits et m’a dit en ouvrant la portière « Viens ! ».
Je n’ai pas osé lui redemander mon string. J’ai réajusté ma robe en sortant de la voiture. Je cherchais la sortie piéton des yeux, j’avais à peine fait un pas dans cette direction qu’il m’a prise par la taille en me stoppant et m’a dit « Je ne t’ai pas dit de baisser ta robe ! Relève là comme tout à l’heure » Mon sang n’a fait qu’un tour ! Si quelqu'un arrivait et me voyait comme ça… non je ne pouvais pas faire ça ! Il a pris mon menton dans sa main et a répété d’un ton très directif en plongeant son regard dans le mien : « Remonte ta robe ! Je veux voir ta chatte et ton cul ! » En disant cela, il avait glissé sa main entre mes cuisses et il me caressait, j’ai chuchoté « je t ‘en prie, je ne peux pas faire ça » « Oh mais si tu peux le faire ! » Et j’ai senti sa main qui relevait ma robe, je n’osais pas l’en empêcher. Il a glissé sa langue dans ma bouche après ce baiser il m’a regardée en disant « Aller fais le pour moi ». Mon cœur battait vite, j’ai remonté ma robe au dessus de mes fesses, elle tenait toute seule comme ça, je regrettais presque d’avoir choisit cette robe ce matin mais j’avais un sentiment mêlé de honte et de plaisir en le faisant. Thierry a caressé mes fesses et m’a dit d’avancer jusqu’à la sortie à une quinzaine de mètres, comme ça. J’étais terrorisée à l’idée de croiser quelqu'un mais ça m’excitait énormément. Je sentais mon clito gonflé et ma mouille qui coulait le long de mes cuisses. Arrivé à la porte de sortie, il est passé devant moi, a ouvert la porte et m’a laissée passer. Je me suis dirigée vers les ascenseurs mais Thierry m’a prise par le bras et m’a dit : « non, pas par là » ; Il a ouvert une autre porte, celle qui accédait aux caves de l’immeubles et nous nous sommes retrouvé dans une espèce de sas de 7 ou 8 m2.
Il m’a mise face à lui et m’a dit : « Tu m’as désobéis tout à l’heure… Je ne devrais pas avoir à te demander les choses deux fois ! Tu mérites une correction ! »
Il s’est reculé d’un pas et m’a dit : « Retire ta robe ! ». J’ai regardé autour de moi, la lumière était sombre mais tout était silencieux. J’ai commencé à retirer ma robe ; voilà, j’étais nue devant lui, je ne portais plus que mes petites chaussures à talons. Il m’a dit de me mettre à genoux, ce que j’ai fait. Il a commencé à défaire sa ceinture et déboutonner son pantalon.
Je supposais que j’allais devoir le sucer… j’en avais une envie folle mais j’ai entendu des bruits de mécanisme… c’était l’ascenseur. Je pensais « Pourvu que personne ne vienne ».
Thierry n’était pas gêné le moins du monde : il a baissé un peu son pantalon et son boxer, juste le nécessaire pour sortir sa queue. « Suce moi salope » Hummmm
Oh ouiii je vais bien te sucer je me suis dit en ouvrant ma bouche et en commençant à le lécher. Je léchais son gland en tournant ma langue tout autour et ensuite je léchais sa queue sur toute la longueur pour bien l’humidifier pour qu’elle glisse mieux avant de l’enfoncer dans ma bouche. Les bruits de l’ascenseur ont cessé et on entendait des bruits de pas derrière la porte. Thierry a pris ma tête dans ses mains pour m’obliger à garder sa queue dans ma bouche. À ce moment précis, j’avais envie que la porte s’ouvre et que l’on nous voit mais les bruits de pas se sont éloignés vers le parking. Thierry a lâché ma tête et j’ai gardé son sexe quelques secondes de plus enfoncé au maximum dans ma bouche pour lui montrer que j’aimais cette situation. Je le faisais aller et venir plus ou moins profondément dans ma gorge en alternant. C’était bon ! J’adorais ça (J’adore toujours d’ailleurs lol). Je continuais à le sucer comme ça quand j’ai senti un coup de ceinture claquer sur mes fesses. Je n’avais pas remarqué qu’il avait retiré sa ceinture, toute à mon plaisir de le sucer que j’étais. La « clac » m’a surprise mais beaucoup excitée. Il m’a dit « voilà ce que c’est que de me désobéir ! » et j’ai senti le bout en cuir de la ceinture claquer à nouveau sur mes fesses. Je redoublais mon ardeur à bien le sucer et me cambrais bien pour lui offrir mes fesses. Je sentais ma chatte dégouliner littéralement. Je ne pouvais pas m’empêcher de pousser des petits gémissements de plaisir en gardant sa queue dans ma bouche et en la léchant. J’ai continué à le sucer comme ça pendant qu’il me donnait des coups de ceinture sur les fesses. À chaque coup, j’enfonçais sa queue au maximum dans ma bouche à l’entrée de ma gorge. Je me cambrais tellement que parfois, le bout de la ceinture claquait sur ma chatte et enflammait mon clitoris. Hummmm j’aimais ça ! Et je faisais de mon mieux pour rester cambrée au maximum en espérant que chaque coup claque sur ma chatte.
Je me sentais terriblement bien. Plus il frappait, mieux je le suçais tout au moins me donnais-je à fond. Il a fini par stopper les coups et j’ai continué à le sucer comme ça avec le cœur qui battait à 100 à l’heure. Il m’a dit de ralentir mes mouvements de va et vient. « Attends je veux me retenir encore un peu… j’en ai pas fini avec toi ». Il a sorti sa queue de ma bouche, s’est baissé vers moi, et a enfoncé deux doigts dans ma chatte inondée ; j’étais chancelante, il m’a murmuré à l’oreille « Hummm t’es chaude ma petite pute ! T’as aimé ça dis moi ! » Je lui ai répondu un « ouiiii » dans un soupir de bien être. « Allonge toi sur le ventre salope ». Je me suis allongée à même le sol. C’était froid mais j’étais dans un tel état de désir que j’aurais fait tout ce qu’il voulait. Il s’est allongé sur moi, je sentais sa queue sur mes fesses, j’ai écarté les jambes sans attendre qu’il me le demande. J’ai senti sa queue glisser dans ma chatte, hummm c’était délicieux. Il m’a prise doucement en me glissant à l’oreille « elle est bonne ta chatte petite pute ! Tu veux que je te la défonce ? » J’ai répondu en gémissant « ouiiii, hummm…c’est trop bon ! » « Dis moi que t’es ma putain si tu veux que je continue ! » « Oh ouiii je suis ta putain ! » Je ne voulais surtout pas qu’il s’arrête. J’avais même oublié où j’étais et les bruits de mécanisme de l’ascenseur ne me faisaient plus rien. Je n’y faisais plus du tout attention.
Je me sentais comme une chienne en chaleur toute à son plaisir et j’aimais ça. Thierry a accéléré ses assauts, je sentais l’orgasme monter en moi et je crois bien que j’ai jouis au moment où il a éjaculé dans ma chatte. Cette fois j’ai crié et il ne m’en a pas empêché. Il a continué des mouvements doux jusqu’à ce que mes soubresauts se calment.
J’avais rarement jouis aussi intensément.
Il s’est relevé, m’a aidé à me relever à mon tour, m’a prise dans ses bras et m’a embrassée avec gourmandise et une infinie douceur.
Il a ramassé ma robe, m’a aider à la mettre et après s’être rhabiller, m’a prise par la main.
« Tu as faim ? Je connais nouveau resto dans le quartier, il est très bien. » Bien sur que j’avais faim lol avec toutes ces émotions !
Je me suis recoiffée et ré-ajustée rapidement devant le miroir dans l’ascenseur. Thierry ne m’avait toujours pas rendu mon string et je sentais son sperme chaud couler de ma chatte. Fatalement, je me suis retrouvée avec une tâche de sperme sur ma robe mais je m’en fichais : je me sentais bien.
Thierry m’a fait remarqué cette tâche et m’a dit : « je suis désolé, j’ai taché ta robe on dirait ».
Je lui ai répondu que ça n’était pas grave et que je m’en fichais. Il m’a sourit et m’a dit en prenant tendrement cette fois mon menton dans sa main : « Hummm, j’t’adore en petite salope ! Mais quand même, je ne peux pas te laisser sortir comme ça… On va arranger ça chez moi.»
Je suis une femme indépendante avec du caractère et jamais je ne permettrais à un homme de lever la main sur moi, pourtant, dans ce contexte précis et bien défini, j’éprouvais un plaisir incroyable à m’offrir et à me soumettre aux désirs d’un homme qui avait gagné ma confiance et qui m’avait accordé la sienne. Je savais que cette situation demandait une complicité entière et j’étais heureuse de pouvoir vivre ça. Curieusement, le fait que Thierry me soumette comme ça en me traitant se salope et de pute me faisait me sentir très femme.
Je n’avais l’intention de m’arrêter là lol
…/… à suivre
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle histoire.J'aime beaucoup.A39 ans,suis soumise a jeune maîtresse
de 20 ans,adore être humiliée et obéir à ses désirs les plus pervers.
de 20 ans,adore être humiliée et obéir à ses désirs les plus pervers.
Aucune nouvelle depuis 6 mois,et la suite j'attends avec impatience la suite de cette soumission.
bien belle histoire, j'attenda avec impatience tes nouvelles expériences surtout si
elles t'ont encore plus avilie...
Lise
elles t'ont encore plus avilie...
Lise
tu es bonne, raconte nous si il y a une suite, même en amour on ne frappe pas une femme
même si elle est chaude sauf avec une verge bien dure, j'en veux encore réponds aux
invites de tes ex
même si elle est chaude sauf avec une verge bien dure, j'en veux encore réponds aux
invites de tes ex
Merci pour vos commentaires, je vais me remettre à l'écriture pour la suite c'est promis, d'autant que j'ai des nouvelles expériences à vous raconter...
fantastique dommage qu il n y ai pas eu de suite biz
Salut j'ai beaucoup aimé tes deux histoires!!! Elles sont très excitantes...j'ai hâte de découvrir la suite
Nathalie
Nathalie
Belle histoire avec la logique du BDSM qui permettent de s'abandonner pour vivre
d'autres plaisirs.
TSM
d'autres plaisirs.
TSM
Bravo pour vos textes. Le second à ma préférence (l'exhibitionnisme potentiel ajoute une
dimmension excitante à la soumission). Une suite en préparation peut-être ?
En attendant, mes textes, sur le même thème, devraient vous plaire. Bonnes lectures
coquines.
Auteur : ZALAVA
dimmension excitante à la soumission). Une suite en préparation peut-être ?
En attendant, mes textes, sur le même thème, devraient vous plaire. Bonnes lectures
coquines.
Auteur : ZALAVA
Vous avez raison, un homme ne doit jamais lever la main sur une femme, aucune raison ne
peut le justifier.
C'est très bien de faire l'amour dans un endroi ou l'on peut être surpris, cela augmente
l'exitation surtout dans un parking être nue dans les phares d'une voiture.
Il faut continuer vos récit, expacer juste un peut plus votre texte, c'est plus facile à
lire.
peut le justifier.
C'est très bien de faire l'amour dans un endroi ou l'on peut être surpris, cela augmente
l'exitation surtout dans un parking être nue dans les phares d'une voiture.
Il faut continuer vos récit, expacer juste un peut plus votre texte, c'est plus facile à
lire.