Devenir la putain de son patron

- Par l'auteur HDS Philippe74 -
Récit érotique écrit par Philippe74 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Devenir la putain de son patron Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Devenir la putain de son patron
J'ai 19 ans, j'aime bien la bite. De ma chambre je cherchais sur mon ordi un dominateur d'une cinquantaine d'année car j'avais entendu dire que dans cette tranche d'âge là, ils sont beaucoup plus autoritaire et c'est exactement ce que je cherche, j'ai vraiment envie d'être la salope d'un homme.
J'avais laissé un message sur une annonce, le gars habite pas très loin de la maison, en expliquant mes expériences avec des mecs de mon âge et il m'a prit en live pour discuter.
- Salut, tu cherches quoi, un Maitre ?
- Un Maitre ? Je n'ai pas d'expérience avec un Maitre.
- Je peux t'apprendre et te dresser si tu veux, moi je cherche une larve.
- Une larve je veux bien.
- Tu aimes obéir ?
- Ça oui !
- De larve tu peux progresser et devenir une chienne. J'aime les jeunes salopes dans ton genre, j'en fais des putes que je loue à des potes. Tu veux devenir ma putain ? Tu te feras baiser par des vieux si c'est ça que tu cherches et moi je serais ton Maitre.
- Je veux bien, mais je ne peux pas recevoir.
- Je veux te tester d'abord. Viens les couilles rasées, je te baiserais par la bouche pour commencer et ensuite je te pisserais dessus pour te baptiser. Tu n'auras pas le droit de te branler et tu m'appelleras Maitre, toi tu seras ma couilles molles, ok ?
- Oui Maitre.
- Rejoins-moi demain sur le parking du cimetière à 15 heures. T'as quoi comme voiture ?
- Une Clio blanche immatriculée BX XXX RZ.
- Tu viendras te garer à côté du 4X4 noir, tu descendras pour te mettre à genoux de mon côté. Je te défoncerais par la bouche sur le parking et je te pisserais dessus tout habillé. Juste avant de commencer tu me donneras ton 06 copié sur un bout de papier, si tu me conviens je te rappellerais. T'as compris couilles molles ?
- Oui Maitre.
J'avais mon rendez-vous, j'étais super excité. Je connais les pratiques uro, je n'ai jamais essayé mais je n'étais pas contre, je prendrais un change avec moi. Je me suis branlé en pensant à demain puis je suis descendu rejoindre mes parents pour diner.
Le lendemain je suis allé au rendez-vous comme prévu, je me suis garé à côté du 4X4, il n'y avait personne d'autre sur le parking. Comme il me l'avait demandé je me suis agenouillé par terre côté conducteur avec, à la main, le bout de papier sur lequel j'avais inscrits mon numéro de téléphone, il est descendu avec la queue bien raide à la main et j'ai reconnu mon patron ! J'étais mort de honte.
- Tiens tiens...mais c'est Cédric ! C'est très bien comme ça, j'ai maintenant une larve à disposition même pour la semaine. Garde ton 06 je le connais et ouvre ta bouche !
J'étais vraiment gêné de faire ça avec quelqu'un que je connais, je peux vous garantir que je ne bandais pas, lui, ça n'avait pas l'air de le déranger, il m'a foutue sa bite dans la bouche et j'ai sucé en l'entendant rigoler.
- Cédric, Cédric est une couille molle. Cédric veut devenir ma putain, Cédric veut bouffer de la bite alors commence par bouffer celle-là salope !
Bien trop tard pour faire semblant de rien, alors j'ai fais ce pour quoi j'étais venu, j'ai cherché, j'ai trouvé. Tant pis où peut-être, tant mieux, j'ai pompé. Sa queue était volumineuse, grande, toute veineuse, surplombant deux belles couilles poilues, bien remplies et je me suis souvenu qu'il était marié, salaud !
- Mets tes mains dans le dos ma petite salope, on va passer aux choses sérieuses, j'ai pas toute ma journée, bouffe ! Montre-moi que t'es un bon vide couilles !
Je n'avais pas grand chose à faire, juste rester avec la bouche ouverte, il faisait tout le travail en me tenant par la tête, j'en prenais plein la gueule et je sentais poindre une érection, signe que cela ne me déplaisais pas de trop.
- Regarde-moi salope, regarde ton Maitre et avale !
Des doses de foutre sont venues remplir ma bouche en quantité impressionnante, il avait un drôle de goût mais j'ai tout avalé, il était ravi.
- A quatre pattes maintenant c'est l'heure du baptême ! On va fêter ça avec mon champagne. Aujourd'hui c'est sur ta tête, cette semaine ça sera certainement dans ta bouche, j'aime pisser sur les lopes et t'en est une mon petit Cédric. Tu n'imagines pas à quel point tu vas rendre ton patron heureux. Je vais ta faire aménager un local au sein de l'entreprise ou tu pourras recevoir mes amis en toutes tranquillités. Tu vas pouvoir te faire baiser pendant tes horaires de travail et me servir de vide couilles selon mes besoins. Bouge pas, comme ça oui c'est bien, tu sens comme c'est chaud ?
- Oui Maitre.
- Remercie ton Maitre poliment, montre-lui que tu es content.
- Merci Maitre, merci de faire de moi votre larve et votre putain.
- C'est bien, t'es un bon garçon ! Demain tu viendras une demi heure plus tôt pour me sucer dans mon bureau, si tu es sage je m'occuperais de ton cul au soir. Maintenant tu peux rentrer je n'ai plus besoin de toi.
- Au revoir Maitre, merci.
Je pense avoir fait bonne impression, j'aurais préféré une personne que je ne connais pas, mais avec mon patron pourquoi pas ? J'aurais peut-être plus de facilité à être augmenté ! Je me suis changé après son départ mais je sens quand même l'urine et j'ai le goût de sperme dans la bouche. Je me suis installé au volant de ma voiture et avant de partir je me suis branlé. Je rentrais dans le monde de la soumission par la grande porte, j'allais découvrir de nouvelles perversions avec des adultes, sympa !
Le lundi matin vers 06h30 j'étais dans son bureau, toujours aussi gêné je me suis agenouillé pour le pomper, lui, il était assis sur son fauteuil de patron, il me regardait faire en me parlant ;
- Maintenant que je sais que tu es une larve, que t'en es conscient et que tu aimes obéir, je vais m'occuper de toi personnellement. Tu vas faire connaissance de mes amis, je te les présenterais un par un pour commencer et ensuite j'organiserais une séance de groupe. T'as déjà eu l'occasion d'avoir plusieurs mecs pour te baiser ?
- Non Maitre, mais je veux bien essayer.
- T'as pas le choix salope ! Lèche mes couilles femelle ! Tu dois bien comprendre que maintenant tu m'appartiens. Tu seras baisé, tu serviras de vide couilles et tu seras filmé. Vas-y pompe, vide-moi les burnes, honore ton Maitre et va bosser branleur. Oui comme ça, continue ma pute, fais jouir ton Maitre.
C'est bien la première fois que j'avale du sperme aussi tôt dans la matinée, ensuite je suis allé lui chercher un café et les copains sont arrivés. La journée s'est passé normalement, rien à signaler, c'est au soir après le départ de tout le monde que je suis retourné dans son bureau. Il m'a demandé de me mettre entièrement à poil, chose que j'ai fais, puis, debout les mains sur la tête il m'a contrôlé.
- Pas de poils, un joli cul, et une belle bite ! J'adore les larves avec une belle bite, on dit que c'est les meilleures chiennes. Laisse-moi faire quelques photos pour mes potes, t'es vraiment bien foutu, ils vont adorer te démonter. Branle-toi !
Je ne m'attendais pas à ça, j'étais pris entre honte et excitation, avec son portable il me filmait, par provocation je regardais l'objectif et j'ai jouis pendant qu'il rigolait.
- C'est ça salope, fais-toi plaisir, dis-moi que t'es une putain.
- Ho oui patron, je suis une putain, je veux être à vous, c'est trop bon.
- C'est bien Cédric t'es une bonne petite pute, maintenant pose tes mains sur mon bureau et écartes tes jambes, je vais t'enculer. Tu veux bien que je t'encule ?
- Oui Maitre.
- Demande le moi poliment.
- Vous voulez bien m'enculer Maitre s'il vous plait ?
Il est venu me prendre debout en me couchant le torse sur son bureau. Ses mains sont venues me tenir par les hanches, j'étais en extase complète, complètement détendu à me faire prendre par un adulte viril qui me cassait le cul sans ménagement. Je crois que c'est à ce moment là que j'ai vraiment pris conscience que j'étais une salope, la différence d'âge y était pour beaucoup. J'ai senti sa crispation suivit par de puissants jets de sperme dans mon anatomie, il me remplissait de son jus et j'étais heureux de lui faire plaisir.
- Rentre chez toi maintenant. Demain matin même heure pour me sucer et au soir tu serviras de vide couilles pour l'un de mes potes, une objection ?
- Non Maitre.
J'avais une heure de retard quand je suis arrivé chez moi, j'ai expliqué à mes parents que j'avais discuté de mon avenir avec mon patron, ils étaient bien content de voir comment je m'impliquais dans le monde du travail sans savoir ce que je faisais réellement et ce n'est pas moi qui vais leurs dire !
Toute la semaine s'est écoulée de la même manière : pipe au patron à 06h30 puis le soir vers 17h30 dans le réfectoire à satisfaire un de ses amis à chaque fois différent. La honte ne me quittait pas, j'avais à chaque fois la même impréhension, ils avaient tous dans la cinquantaine à profiter d'un jeune entièrement à poil qui ne pouvait pas cacher son plaisir vu l'érection quasi permanente entre les jambes. Des chefs d'entreprises, des représantants, tous mariés avec la même envie de se vider les couilles sur un gamin. Jamais je n'aurais pensé que les adultes pouvaient tromper leurs épouses de cette manière et moi je devenais de plus en plus putain.
Je me masturbe pendant qu'on me sodomise et j'ai remarqué que mes jouissances étaient beaucoup plus fortes comparées aux branlettes du soir dans mon lit. J'en ai déduis que mon patron avait raison, j'étais belle et bien une salope. D'ailleurs comment peut-il en être autrement quand je vois comment je me comporte avec lui le matin car, prenant de l'assurance (où de l'expérience) je le gratifie d'un léchage d'anus en règle que je reproduis sur les autres, les hommes adorent ça !
Mes parents ont prit l'habitude de mes retards, ils sont de plus en plus fiers de moi, s'ils savaient que leur fils chéri glisse dans la soumission vitesse grand "V", ils auraient un tout autre jugement à mon égard. Ils sont loin de savoir, par exemple, que vendredi soir j'ai servi, pour la deuxième fois, d'urinoir personnel à mon patron. Celui-ci m'a remercié à sa façon pour ma semaine exemplaire en m'urinant sur le corps devant son ami qui venait de m'utiliser pour lui montrer mon degré d'obéissance et j'ai accepté, ce jour là de revenir à l'entreprise le lendemain après-midi pour ma première séance de groupe. Une autre surprise m'attendait.
Le samedi je ne travaille pas, je me suis levé un peu plus tard pour prendre mon petit déjeuner en me demandant comment l'après-midi allait ce passer. Je savais qu'il y aurait six hommes, que j'allais en prendre plein mon cul et ça me faisait peur. Je ne savais pas dans quelle catégorie je devais ranger ça : gang-bang, tournante, partouze ? J'allais surement revenir le cul rouge car je reçois pas mal de fessées quand je me fais baiser, parfois je prend même des baffes par mon patron quand je le suce, il est plus violent que les autres. Il m'a confié qu'il n'avait aucun respect à mon égard vu mon comportement surtout que juste avant, je lui avais avoué que j'aimais ce qu'il me faisait. Avec cette perversité d'adulte, j'ai regardé mon père au moment du diner en me demandant si lui aussi commettait ce genre de chose dans son travail, j'aimerai bien le savoir, mais je n'allais certainement pas lui demander !
L'heure passe, il est bientôt 15 heures et j'ai rendez-vous avec l'inconnu. J'arrive à l'entreprise, je me gare sur le parking, je compte les voitures présente, il y en a sept avec la mienne, le compte est bon ils sont tous là. J'entre, mon patron/Maitre me reçois, je me déshabille direct pour être emmené dans l'entrepôt à quatre pattes tenu en laisse. C'est nouveau pour moi d'être promené de la sorte, je me sens chienne à souhait, en relevant la tête j'aperçois une caméra sur trépied et cinq hommes sans pantalon la bite à la main. Mon patron me dirige vers eux, gentiment il me dit :
- Suce les queues !
Ça me fait tout drôle d'en voir autant d'un coup, j'ai l'impression d'être comme les mecs des vidéos que j'ai l'habitude de regarder. Je passe de queue en queue, je suce, je pompe, je me régale. Je n'ai plus honte, je suis la salope de service et j'en profite. Les hommes sont contents, ils m'encerclent il y a des bites de partout, chacun veut se faire sucer en premier, je ne sais plus ou donner de la tête. Mon patron les encourage à me prendre. Un homme me relève du sol, il me prend par derrière pendant que plié en deux j'en suce un autre. C'est mon premier contact avec deux hommes en même temps, j'en veux encore plus, j'attrape une queue dans chaque main, je les branle, si j'avais su que c'était aussi bon j'aurais fait ça bien avant, mais vaut mieux tard que jamais.
Mon patron a enlevé ma laisse, tout le monde me passe dessus, j'aperçois du coin de l’œil qu'il a la caméra en main, il me filme en gros plan la bouche remplie, je ne sais pas ce qu'il va faire avec cette vidéo mais je m'en fout je pompe. Je ne contrôle rien, c'est merveilleux, on me tripote, on me caresse, on me pince le bout des seins, ils se relayent pour m'enculer à la chaine, je subis même une double pénétration anale qui me fait un peu souffrir et quelqu'un profite de ma bouche ouverte pour s'engouffrer, j'ai trois queues en moi, une dans chaque main et les premières doses de sperme déferlent.
Je sens un liquide chaud me parcourir l'échine, le jet remonte sur ma nuque puis sur l'arrière de ma tête, quelqu'un me pisse dessus suivit par d'autres. J'entends mon patron les inciter à viser la bouche, je suis à genoux assis sur mes talons, j'ai les yeux fermés, la langue sortie j'avale du foutre mélangé à l'urine, je suis comme dans un gang-bang allemand et je me branle pour la seconde fois. Les sources se tarissent, les queues se dispersent, je trempe dans une marre d'urine froide, je suis exténué comme après un marathon, il tourne autour de moi avec la caméra puis demande de relever la tête.
- Regarde la caméra, remercie mes amis et dis nous que tu as aimé.
- Merci à tous, j'ai passé un bon moment avec vous.
- Tu es prêt à recommencer ?
- Oui, avec plaisir.
- Qu'es ce que t'es ?
- Un vide couilles et un urinoir à votre service.
Il m'a autorisé à prendre une douche, mais avant d'y aller, profitant que j'étais incapable de bander, il m'a posé avec l'aide d'un de ses copains, une cage de chasteté.
- Tu vas connaitre les joies d'être une chienne à part entière. A partir de maintenant ta bite ne servira qu'à pisser. T'es une chienne et les chiennes ne se branlent pas ! Ton cul, ta bouche et ta queue m'appartiennent, t'as bien compris ça ? Tu es ma putain, celle de mes amis, et aux amis de mes amis. Si tu es sage tu auras droit aux branlettes sinon tu vas connaitre la cravache et le fouet. Tes samedis après-midi sont prit pour quelques années, n'oublie jamais que tu n'es qu'une pute. Maintenant va prendre ta douche et nettoie-moi cette porcherie !
Je réalise ou je viens de mettre les pieds ou plutôt mon cul, je prend conscience petit à petit de ce que je vais vivre et je me dis que je l'ai bien cherché, du moment que mes parents ne le savent pas, ça ne me gêne pas du tout.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonne histoire, j'adore "dresser" mes lopes . Jusqu'à présent j'en ai mâté 4 .

Cette histoire est très excitante, on ressent vraiment le plaisir et on imagine bien les scènes. Tu dois être une belle cochonne toi!

Histoire Erotique
Trop bien ton histoire ! Ça donne envie d être à ta place . Vivement la suite !

Histoire Erotique
bonjour tres belle histoire qui te donne envie d etre cedric hate de lire la suite a bientot

Histoire Erotique
J'ai beaucoup aimé ton récit.
J'espère qu'il y aura une suite.
Merci de ce bon moment de jouissance



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