Devenir une Kahba
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Récit érotique écrit par Mlle A [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Devenir une Kahba
Je me sens forte, belle en appréciant le bruit sec de mes talons sur les pavés. Finalement, j’ai décroché un quatrième bouton pour donner à qui désire regarder une vue sur les galbes de mes seins excités. Je fixe les Mecs, surtout ceux en couple, en souriant. Cette croupe moulée dans la jupe qui laisse deviner mes cuisses galbées et bronzées.
Des années que je n’avais pas ressenti cela. Rien n’a changé, des envies cachées simplement pour tenter de devenir une adulte respectable. Comment empêcher mes pointes dures de se frotter à la soie du chemisier. Deux missiles à saisir au vol.
La Grand-rue, m’attachant à faire les vitrines des magasins de chaussures. J’adore porter des talons hauts et cela met en valeur mes jambes, ma croupe. Le regard des hommes, des nanas, je ne peux le nier, me font devenir humide. La moindre cellule de mon cerveau est électrisée.
Plantée devant la vitrine de Cosmo Paris, je bave devant une paire d’escarpins. En reflet dans la vitrine, j’aperçois deux mecs à quelques mètres qui me reluquent. Un embrasement immédiat. Je reprends ma marche en accentuant les mouvements de mes hanches.
Je pose mon cul en terrasse d’un bar en prenant soin de laisser ma jupe remonter sans négliger d’accentuer la cambrure des reins. Deux ombres face à moi. Je lève les yeux sur ces deux jeunes mâles qui me déshabillent du regard. Sacrée montée d’endorphine.
La tenue que l’on s’imagine des jeunes mecs de la cité. Survêt, un polo de marque, tennis idem et la sacoche Lacoste autour du cou. En fait, je n’ai aucune expérience sur le sujet. Ai-je eu tort ou raison. Mais je n’ai pas le choix. Je leur souris.
— Salut. On peut se poser avec toi ? On te suit depuis tout à l’heure.
— Oui, bien sûr. Je n’avais pas remarqué, et pourquoi ?
Ma locution est nerveuse, basse, presque un chuchotement. Une réelle honte de me livrer ainsi et de ressentir une excitation non connue depuis des années. Les deux se posent en rapprochant les chaises. Ils fixent mes cuisses, mes pointes qui déforment la soie sans la moindre gêne.
— Tu mens, tu nous as vus dans la vitrine, tu aimes allumer les jeunes mecs. T’as quel âge et ton mec est où ?
Je reste silencieuse plusieurs secondes. Cette arrogance me fait monter dans les Watts du plaisir cérébral. L’un me frôle la main gauche. S’attarde sur l’alliance. Je frémis au contact. Nul besoin de vous dire l’état de mon string. Toutefois, je repousse sa main en la caressant.
— J’ai 36 ans et mon mec est au boulot.
Je fixe les deux, brisée par l’envie de me faire défoncer là. Je n’en ai pas le droit. Je dois juste me laisser draguer. Laisser des mains inconnues me toucher uniquement. Je sens les frissons du plaisir me défoncer le ventre.
— Tu pourrais être ma mère salope et tu te laisses aborder par deux jeunes. Je suis certain que tu mouilles là ?
Bref, je reçois avec plaisir les coups d’œil appuyés sur mes jambes, mes hanches, mes seins. J’ouvre même en moi quelque chose qui accueille le désir que je sens suinter d’eux. Je vais jusqu’à bouger négligemment d’une façon provocante... J’évite leurs regards pour ne pas laisser les digues du plaisir tout emporter.
Tu dois être la proie de plusieurs mecs, me revient en tête. Je ne peux qu’obéir. Je me penche vers l’un d’eux. Mes lèvres frôlant son oreille, il se tend. Ma main effleure son membre de belle facture.
Je dois obéir à mon maître. Pas de sexe.
Je me lève, recevant comme une récompense son insulte de pute blanche. Ma quête continue. J’arpente désormais les dalles qui m’amènent au Polygone au moment où je suis accostée par un groupe de plusieurs mecs.
— Salut. T’es canon. Tu viens avec nous ?
Ils m’entourent et même s’ils ne me touchent pas, c’est tout comme. Ils me détaillent sans se gêner.
Encore trop enfiévrée de ma rencontre précédente, je refuse, sachant que cette fois, je ne pourrai pas ne pas céder. Je me dégage et file.
— C’est ça, dégage, pute de bourgeoise.
Quelques regards sur moi, j’ai si honte. Décidément, j’ai un sacré succès en ce moment. Je me calme lentement et me pose en terrasse au Grand Café Riche sur la Comédie. En attendant ma commande, je consulte mes messages, les e-mails.
Je repense alors que je réponds à mon conjoint à ces deux jeunes qui m’ont draguée avec assurance avant de m’insulter. Je fais le lien avec mon aventure du Tram. Et pendant quelques secondes, j’imagine que l’un des deux était mon frotteur.
Effet immédiat sur mes pointes qui se dressent et se dévoilent sous le fin tissu du chemisier.
Reprends-toi, Lucie. Tu pars en vrille.!
Voilà mes pensées au moment où le serveur m’apporte mon Perrier tranche. Je le remercie et ne peux ignorer son regard sur ma poitrine. Baissant les yeux, il reste quelques secondes de trop. Libérée de sa présence, je jette un regard autour pour tomber sur celui de trois jeunes que mon conjoint définirait comme « racailles ».
Ils sont trois, avachis sur les fauteuils. Ils me fixent, discutent entre eux et, sans être prétentieuse, je suis le sujet de la conversation. Je ne peux soutenir ces regards et retourne à l’écran de mon téléphone. Je ne peux plus ignorer cette excitation à être l’objet de leurs convoitises. Et ce putain de string qui se colle à mon sexe moite.
Je tremble légèrement en prenant entre mes lèvres la paille. Je regarde franchement la tablée de jeunes mecs.
Ils me fixent, cuisses écartées, la main sur l’entrejambe. Aucune erreur possible, ils se touchent la bite en me regardant. Humiliée, je fixe du regard la fontaine des Trois Grâces pour tenter de cacher mon trouble.
— Salut. Cela te dit de venir faire un tour avec nous. ?
Un beau mâle, je l’avoue, s’est posé à ma table. Il me fixe, mate mes pointes tendues, mes cuisses dévoilées. Il prend mon téléphone, regarde mes messages sans se gêner. Je ne peux lui donner un âge, 18 ans au maximum.
— T’es maqué avec ce mec ?
Il me montre la photo de Rodolphe. Je ne comprends pas mon attitude. Je tremble, mordille mes lèvres nerveuses comme une gamine. Il continue à fouiller les dossiers. Il ouvre la galerie, découvre mes photos, certaines peu vêtues. Je laisse faire trop mortifiée par cette saloperie d’exaltation soudaine.
— Tu réponds, Salope. C’est ton mec. ?
— Oui, c’est Rodolphe.
— Une tête et un prénom de cocu. Non ?
La bouche n’entrouverte aucun son. Je dois le dégager. Je suis trempée. Je sens une larme couler sur ma joue. Il me montre mes photos sexy. Les deux autres sont arrivés. Ils me lancent des insultes à voix basse.
— Toi, tu es une pute à rebeu.
Enfin une réaction. J’arrache le téléphone de ses mains. Cela en est trop pour moi-même si je veux qu’ils me défoncent là.
— C’est bien sale, blanche, tu reviendras en rampant.
Je cours désormais, j’ôte mes talons hauts. Je pleure en zigzaguant entre les gens. Je suis brisée, je galope pour m’éloigner de ces mâles qui ont allumé le feu entre mes cuisses de femelle. Appuyée contre un mur, je tente de retrouver un semblant de raison. Je ne peux nier que j’ai aimé être ainsi traitée.
Je dois passer pour une folle, les mains sur les cuisses, penchée en avant, pieds nus. J’en ai mal au ventre, de violentes décharges électriques qui me traversent et semblent exploser entre mes cuisses. Pourquoi suis-je un aimant pour ces jeunes ? J’ai la sensation qu’ils lisent en moi, qu’ils montent à l’assaut en sachant que je vais céder.
Rentrée je me détaille dans le miroir. Juste une pute à rebeus. Ils ont raison.
Immédiatement je décris mon ressenti à cet homme inconnu. Je détaille tout une nouvelle fois excitée. Quelques minutes plus tard, la réponse tombe.
— Demain tu devras bouffer la Q de plusieurs Arabes. Avec photos à l'appui. Et désormais tu m'appelleras Monsieur Nassim.
— Bien Monsieur Nassim.
Des années que je n’avais pas ressenti cela. Rien n’a changé, des envies cachées simplement pour tenter de devenir une adulte respectable. Comment empêcher mes pointes dures de se frotter à la soie du chemisier. Deux missiles à saisir au vol.
La Grand-rue, m’attachant à faire les vitrines des magasins de chaussures. J’adore porter des talons hauts et cela met en valeur mes jambes, ma croupe. Le regard des hommes, des nanas, je ne peux le nier, me font devenir humide. La moindre cellule de mon cerveau est électrisée.
Plantée devant la vitrine de Cosmo Paris, je bave devant une paire d’escarpins. En reflet dans la vitrine, j’aperçois deux mecs à quelques mètres qui me reluquent. Un embrasement immédiat. Je reprends ma marche en accentuant les mouvements de mes hanches.
Je pose mon cul en terrasse d’un bar en prenant soin de laisser ma jupe remonter sans négliger d’accentuer la cambrure des reins. Deux ombres face à moi. Je lève les yeux sur ces deux jeunes mâles qui me déshabillent du regard. Sacrée montée d’endorphine.
La tenue que l’on s’imagine des jeunes mecs de la cité. Survêt, un polo de marque, tennis idem et la sacoche Lacoste autour du cou. En fait, je n’ai aucune expérience sur le sujet. Ai-je eu tort ou raison. Mais je n’ai pas le choix. Je leur souris.
— Salut. On peut se poser avec toi ? On te suit depuis tout à l’heure.
— Oui, bien sûr. Je n’avais pas remarqué, et pourquoi ?
Ma locution est nerveuse, basse, presque un chuchotement. Une réelle honte de me livrer ainsi et de ressentir une excitation non connue depuis des années. Les deux se posent en rapprochant les chaises. Ils fixent mes cuisses, mes pointes qui déforment la soie sans la moindre gêne.
— Tu mens, tu nous as vus dans la vitrine, tu aimes allumer les jeunes mecs. T’as quel âge et ton mec est où ?
Je reste silencieuse plusieurs secondes. Cette arrogance me fait monter dans les Watts du plaisir cérébral. L’un me frôle la main gauche. S’attarde sur l’alliance. Je frémis au contact. Nul besoin de vous dire l’état de mon string. Toutefois, je repousse sa main en la caressant.
— J’ai 36 ans et mon mec est au boulot.
Je fixe les deux, brisée par l’envie de me faire défoncer là. Je n’en ai pas le droit. Je dois juste me laisser draguer. Laisser des mains inconnues me toucher uniquement. Je sens les frissons du plaisir me défoncer le ventre.
— Tu pourrais être ma mère salope et tu te laisses aborder par deux jeunes. Je suis certain que tu mouilles là ?
Bref, je reçois avec plaisir les coups d’œil appuyés sur mes jambes, mes hanches, mes seins. J’ouvre même en moi quelque chose qui accueille le désir que je sens suinter d’eux. Je vais jusqu’à bouger négligemment d’une façon provocante... J’évite leurs regards pour ne pas laisser les digues du plaisir tout emporter.
Tu dois être la proie de plusieurs mecs, me revient en tête. Je ne peux qu’obéir. Je me penche vers l’un d’eux. Mes lèvres frôlant son oreille, il se tend. Ma main effleure son membre de belle facture.
Je dois obéir à mon maître. Pas de sexe.
Je me lève, recevant comme une récompense son insulte de pute blanche. Ma quête continue. J’arpente désormais les dalles qui m’amènent au Polygone au moment où je suis accostée par un groupe de plusieurs mecs.
— Salut. T’es canon. Tu viens avec nous ?
Ils m’entourent et même s’ils ne me touchent pas, c’est tout comme. Ils me détaillent sans se gêner.
Encore trop enfiévrée de ma rencontre précédente, je refuse, sachant que cette fois, je ne pourrai pas ne pas céder. Je me dégage et file.
— C’est ça, dégage, pute de bourgeoise.
Quelques regards sur moi, j’ai si honte. Décidément, j’ai un sacré succès en ce moment. Je me calme lentement et me pose en terrasse au Grand Café Riche sur la Comédie. En attendant ma commande, je consulte mes messages, les e-mails.
Je repense alors que je réponds à mon conjoint à ces deux jeunes qui m’ont draguée avec assurance avant de m’insulter. Je fais le lien avec mon aventure du Tram. Et pendant quelques secondes, j’imagine que l’un des deux était mon frotteur.
Effet immédiat sur mes pointes qui se dressent et se dévoilent sous le fin tissu du chemisier.
Reprends-toi, Lucie. Tu pars en vrille.!
Voilà mes pensées au moment où le serveur m’apporte mon Perrier tranche. Je le remercie et ne peux ignorer son regard sur ma poitrine. Baissant les yeux, il reste quelques secondes de trop. Libérée de sa présence, je jette un regard autour pour tomber sur celui de trois jeunes que mon conjoint définirait comme « racailles ».
Ils sont trois, avachis sur les fauteuils. Ils me fixent, discutent entre eux et, sans être prétentieuse, je suis le sujet de la conversation. Je ne peux soutenir ces regards et retourne à l’écran de mon téléphone. Je ne peux plus ignorer cette excitation à être l’objet de leurs convoitises. Et ce putain de string qui se colle à mon sexe moite.
Je tremble légèrement en prenant entre mes lèvres la paille. Je regarde franchement la tablée de jeunes mecs.
Ils me fixent, cuisses écartées, la main sur l’entrejambe. Aucune erreur possible, ils se touchent la bite en me regardant. Humiliée, je fixe du regard la fontaine des Trois Grâces pour tenter de cacher mon trouble.
— Salut. Cela te dit de venir faire un tour avec nous. ?
Un beau mâle, je l’avoue, s’est posé à ma table. Il me fixe, mate mes pointes tendues, mes cuisses dévoilées. Il prend mon téléphone, regarde mes messages sans se gêner. Je ne peux lui donner un âge, 18 ans au maximum.
— T’es maqué avec ce mec ?
Il me montre la photo de Rodolphe. Je ne comprends pas mon attitude. Je tremble, mordille mes lèvres nerveuses comme une gamine. Il continue à fouiller les dossiers. Il ouvre la galerie, découvre mes photos, certaines peu vêtues. Je laisse faire trop mortifiée par cette saloperie d’exaltation soudaine.
— Tu réponds, Salope. C’est ton mec. ?
— Oui, c’est Rodolphe.
— Une tête et un prénom de cocu. Non ?
La bouche n’entrouverte aucun son. Je dois le dégager. Je suis trempée. Je sens une larme couler sur ma joue. Il me montre mes photos sexy. Les deux autres sont arrivés. Ils me lancent des insultes à voix basse.
— Toi, tu es une pute à rebeu.
Enfin une réaction. J’arrache le téléphone de ses mains. Cela en est trop pour moi-même si je veux qu’ils me défoncent là.
— C’est bien sale, blanche, tu reviendras en rampant.
Je cours désormais, j’ôte mes talons hauts. Je pleure en zigzaguant entre les gens. Je suis brisée, je galope pour m’éloigner de ces mâles qui ont allumé le feu entre mes cuisses de femelle. Appuyée contre un mur, je tente de retrouver un semblant de raison. Je ne peux nier que j’ai aimé être ainsi traitée.
Je dois passer pour une folle, les mains sur les cuisses, penchée en avant, pieds nus. J’en ai mal au ventre, de violentes décharges électriques qui me traversent et semblent exploser entre mes cuisses. Pourquoi suis-je un aimant pour ces jeunes ? J’ai la sensation qu’ils lisent en moi, qu’ils montent à l’assaut en sachant que je vais céder.
Rentrée je me détaille dans le miroir. Juste une pute à rebeus. Ils ont raison.
Immédiatement je décris mon ressenti à cet homme inconnu. Je détaille tout une nouvelle fois excitée. Quelques minutes plus tard, la réponse tombe.
— Demain tu devras bouffer la Q de plusieurs Arabes. Avec photos à l'appui. Et désormais tu m'appelleras Monsieur Nassim.
— Bien Monsieur Nassim.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J adore elle saura trouver ses clients
Lucie va aller au bout, c'est désormais évident!
La pression monte ! La suite est attendue avec gourmandise.
Quelle beauté

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