Devenu lope pour baiser ma femme - suite
Récit érotique écrit par Abcde [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Devenu lope pour baiser ma femme - suite
Suite de Soumis pour baiser ma femme (2)Je vous ai raconté comment j’ai accepté que ma femme Adeline se fasse baiser sous mon toit et devant moi par son amant Gilles. Je vous ai expliqué comment Gilles et Adeline m’ont fait participer. Je me suis retrouvé comme une lope soumise. J’acceptais la chose car cela me permettait de garder ma femme et de pouvoir lui lécher la chatte assez souvent et je vous l’ai dit, j’adore son petit abricot.
Quelques semaines ont passé et nous sommes allés un week-end chez Gilles. Dès notre arrivée, Adeline a déposé ses affaires dans leur chambre et moi j’ai posé mon sac dans le couloir. Nous avons promené en bord de mer l’après midi. Eux étaient enlacés et s’embrassaient langoureusement et moi, je suivais. Le soir, on s’installe dans le salon, eux sur le canapé et moi sur un fauteuil. Là, ils commencent à se caresser. Gilles caresse ses seins longuement puis remonte ses mains sur les cuisses d’Adeline, lui passe sa main dans son string et commence à la masturber et à la doigter. Je suis aux premières loges pour tout voir mais cela ne les gêne plus. C’est au tour de ma femme d’enlever le tee-shirt de Gilles puis de lui dégrafer le pantalon. Elle en sort sa belle bite bien vigoureuse et la prend dans sa bouche pour lui tailler une bonne pipe. D’un signe de main Gilles m’indique de me mettre en sous-vêtement, donc en string.
Je bande très dur. Gilles le fait remarquer à Adeline « Tu as vu, ça fait vraiment plaisir à ta lopette que tu prennes ton pied avec une belle queue », je ne dis rien et fais un petit sourire. Les deux amants continuent leurs ébats. Adeline, grimpe sur Gilles pour s’empaler et faire des va et vient devant moi. Je vois ma femme de dos, ses cuisses bien ouvertes et quand elle remonte son corps, je vois cette belle paire de couilles et cette belle bite trempée. Au bout de plusieurs minutes, les deux amants gémissent ensemble. Ils s’immobilisent puis se séparent pour s’asseoir l’un à côté de l’autre. Cette fois c’est Gilles qui m’appelle et me dit « viens là, tu ne vas pas rester sans rien faire, on va te faire participer, viens nettoyer la chatte de ta femme et ma queue avec ta bouche de saloppe » Je suis humilié par son langage mais je dois bien avouer que je me suis installé dans cette situation de lope et il ne me reste qu’à obéir. Je m’agenouille devant ma femme qui a les cuisses bien écartées et je lui lèche le clitoris et la vulve en aspirant tout le foutre que son amant a déversé. Puis je me dirige vers la bite qui a bien réduit de volume pour la nettoyer avec ma langue.
Le soir arrive et Gilles dit « Je t’ai acheté un collier de façon à ce que tu ne déranges pas cette nuit ». Là, il sort un collier qu’il est allé acheter dans un sex-shop cette semaine et m’attache au pied du fauteuil. Il m’arrive ce qui, je croyais n’existait que dans des histoires ou fantasmes.
Le lendemain, c’est Adeline qui m’a détaché de façon à ce que je les serve à table et au lit. Il faut leur porter le champagne dans la chambre quand ils baisent. Je regarde attentivement ma femme écarter sa chatte épilée et équipée d’un beau clitoris qui sort bien mais c’est Gilles qui met les mains et enfonce ses doigts.
A un moment donné, la sonnerie de la porte retentit. C’est un pote à Gilles. Je vais quitter le salon car je suis en string. Gilles me dit de rester là. Xavier, l’ami de Gilles dit à ma femme « il a un beau petit cul ton mec », je commence à m’inquiéter mais je suis fier que mon cul ait été qualifié de la sorte. Adeline lui répond « tu peux l’enculer si ça te fait plaisir, lui se permettait de m’imposer ça il y a quelques temps et pas toujours avec mon assentiment ». Bien volontiers, lui répond-il, j’ai pas baisé cette semaine. Là, je crois être dans un rêve ou un cauchemar. Tout le monde se déshabille, Gilles et Adeline recommencent leurs ébats sur le canapé et Xavier qui a enlevé son slip m’approche sa bite de la bouche et me dit « allez fais moi durcir la queue et après je te prends comme une chienne ». Son gland était à deux centimètres de mon nez. Une belle verge avec prépuce. Au point où j’en étais, j’obéis. Je prends cette belle queue en bouche et lui taille une bonne pipe. Quand il bande bien dur, il sort d’une de ses poches un gel lubrifiant et m’enduit bien le cul. Il me doigte longuement avec un, puis deux puis trois doigts. Adeline qui observe la scène me dit « tu as de la chance, toi, tu m’enculais à sec ». Quand Xavier a senti que mon cul était bien dilaté, il a enfourné son membre viril dans mon petit cul. « J’adore déflorer » dit-il en commençant ses va et vient.
Les deux amants s’étaient arrêtés pour admirer mon dépucelage. Au bout de plusieurs minutes, Xavier a retiré sa queue et j’ai senti plusieurs jets de sperme bien chaud sur le bas de mon dos et sur mes fesses. Je venais de me faire enculer. Je n’avais rien à dire, il était vrai que j’avais sodomisé mon épouse plusieurs fois.
Le soir arrivé, nous devions rentrer à la maison. Ma grande satisfaction, ces soirs là, c’est que ma femme me raconte tous les détails de ce que son amant lui a fait tout le week-end, comment elle a joui, elle me décrit la queue, les couilles et les muscles de Gilles. Et moi, je passe ma tête entre ses jambes et je la lèche jusqu’à ce que je jouisse.
Je ne sais pas si le week-end prochain, c’est Gilles qui vientb à la maison ou si c’est nous qui allons chez lui…
Quelques semaines ont passé et nous sommes allés un week-end chez Gilles. Dès notre arrivée, Adeline a déposé ses affaires dans leur chambre et moi j’ai posé mon sac dans le couloir. Nous avons promené en bord de mer l’après midi. Eux étaient enlacés et s’embrassaient langoureusement et moi, je suivais. Le soir, on s’installe dans le salon, eux sur le canapé et moi sur un fauteuil. Là, ils commencent à se caresser. Gilles caresse ses seins longuement puis remonte ses mains sur les cuisses d’Adeline, lui passe sa main dans son string et commence à la masturber et à la doigter. Je suis aux premières loges pour tout voir mais cela ne les gêne plus. C’est au tour de ma femme d’enlever le tee-shirt de Gilles puis de lui dégrafer le pantalon. Elle en sort sa belle bite bien vigoureuse et la prend dans sa bouche pour lui tailler une bonne pipe. D’un signe de main Gilles m’indique de me mettre en sous-vêtement, donc en string.
Je bande très dur. Gilles le fait remarquer à Adeline « Tu as vu, ça fait vraiment plaisir à ta lopette que tu prennes ton pied avec une belle queue », je ne dis rien et fais un petit sourire. Les deux amants continuent leurs ébats. Adeline, grimpe sur Gilles pour s’empaler et faire des va et vient devant moi. Je vois ma femme de dos, ses cuisses bien ouvertes et quand elle remonte son corps, je vois cette belle paire de couilles et cette belle bite trempée. Au bout de plusieurs minutes, les deux amants gémissent ensemble. Ils s’immobilisent puis se séparent pour s’asseoir l’un à côté de l’autre. Cette fois c’est Gilles qui m’appelle et me dit « viens là, tu ne vas pas rester sans rien faire, on va te faire participer, viens nettoyer la chatte de ta femme et ma queue avec ta bouche de saloppe » Je suis humilié par son langage mais je dois bien avouer que je me suis installé dans cette situation de lope et il ne me reste qu’à obéir. Je m’agenouille devant ma femme qui a les cuisses bien écartées et je lui lèche le clitoris et la vulve en aspirant tout le foutre que son amant a déversé. Puis je me dirige vers la bite qui a bien réduit de volume pour la nettoyer avec ma langue.
Le soir arrive et Gilles dit « Je t’ai acheté un collier de façon à ce que tu ne déranges pas cette nuit ». Là, il sort un collier qu’il est allé acheter dans un sex-shop cette semaine et m’attache au pied du fauteuil. Il m’arrive ce qui, je croyais n’existait que dans des histoires ou fantasmes.
Le lendemain, c’est Adeline qui m’a détaché de façon à ce que je les serve à table et au lit. Il faut leur porter le champagne dans la chambre quand ils baisent. Je regarde attentivement ma femme écarter sa chatte épilée et équipée d’un beau clitoris qui sort bien mais c’est Gilles qui met les mains et enfonce ses doigts.
A un moment donné, la sonnerie de la porte retentit. C’est un pote à Gilles. Je vais quitter le salon car je suis en string. Gilles me dit de rester là. Xavier, l’ami de Gilles dit à ma femme « il a un beau petit cul ton mec », je commence à m’inquiéter mais je suis fier que mon cul ait été qualifié de la sorte. Adeline lui répond « tu peux l’enculer si ça te fait plaisir, lui se permettait de m’imposer ça il y a quelques temps et pas toujours avec mon assentiment ». Bien volontiers, lui répond-il, j’ai pas baisé cette semaine. Là, je crois être dans un rêve ou un cauchemar. Tout le monde se déshabille, Gilles et Adeline recommencent leurs ébats sur le canapé et Xavier qui a enlevé son slip m’approche sa bite de la bouche et me dit « allez fais moi durcir la queue et après je te prends comme une chienne ». Son gland était à deux centimètres de mon nez. Une belle verge avec prépuce. Au point où j’en étais, j’obéis. Je prends cette belle queue en bouche et lui taille une bonne pipe. Quand il bande bien dur, il sort d’une de ses poches un gel lubrifiant et m’enduit bien le cul. Il me doigte longuement avec un, puis deux puis trois doigts. Adeline qui observe la scène me dit « tu as de la chance, toi, tu m’enculais à sec ». Quand Xavier a senti que mon cul était bien dilaté, il a enfourné son membre viril dans mon petit cul. « J’adore déflorer » dit-il en commençant ses va et vient.
Les deux amants s’étaient arrêtés pour admirer mon dépucelage. Au bout de plusieurs minutes, Xavier a retiré sa queue et j’ai senti plusieurs jets de sperme bien chaud sur le bas de mon dos et sur mes fesses. Je venais de me faire enculer. Je n’avais rien à dire, il était vrai que j’avais sodomisé mon épouse plusieurs fois.
Le soir arrivé, nous devions rentrer à la maison. Ma grande satisfaction, ces soirs là, c’est que ma femme me raconte tous les détails de ce que son amant lui a fait tout le week-end, comment elle a joui, elle me décrit la queue, les couilles et les muscles de Gilles. Et moi, je passe ma tête entre ses jambes et je la lèche jusqu’à ce que je jouisse.
Je ne sais pas si le week-end prochain, c’est Gilles qui vientb à la maison ou si c’est nous qui allons chez lui…
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