Dévergondage forcé de Patricia.
Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 13 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Osiris ont reçu un total de 54 524 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 7 362 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Dévergondage forcé de Patricia.
Je vais vous raconter l’histoire qui s’est passée un lundi après midi chez ma belle-sœur. C’est une femme d’une soixantaine d’années avec des formes généreuses. Elle est mariée, mais son mari la délaisse et s’occupe surtout des autres femmes depuis de nombreuses années.
Moi, je suis son beau-frère et c’est moi qui raconte notre aventure en tant que témoin.
Un jour, j’ai aidé un réfugié Africain à faire quelques démarches administratives. Il s’appelait Karim. IL était grand, mince, beau et avait environ une quarantaine d’années, il parlait un peu le français suffisamment pour le comprendre.
Le lundi, Patricia ne travaille pas, Nous sommes passés avec Karim à quelques kilomètres de sa maison. J’ai donc appelé ma belle-sœur pour quelle nous offre un café en précisant bien sûr que je n’étais pas seul et elle accepta.
Nous voilà arrivés chez elle, on s’installe dans le salon car dehors il pleut. Nous prenons un café et Karim explique son parcours pour fuir son pays dévasté par la guerre. Patricia nous propose une cigarette, Karim refuse, il est musulman et ne doit pas fumé. Nous sortons avec la belle sœur pour fumer en laissant nos tasses à demi remplies sur la table, Karim restants a l’intérieur car il avait froid. Au bout de cinq minutes, nous rentrons un peu frigorifiés. Nous terminons notre café. C’est à ce moment que tout bascule. Je me réveille au bout d’une demi-heure sur ma chaise et je suis attaché pieds et mains noués, la vision trouble. Je vois Patricia endormie sur le divan en face de moi avec une couverture sur elle. Karim était là en train d’attendre, assis sur autre chaise. Je lui demande ce qui se passe. La tête dans les nuages. Il me répond que cela fait une éternité qu’il n’a pas fait l’amour et qu’il n’a jamais baisé une femme blanche de cet âge et qu’il nous a drogué. Il va nous montrer la supériorité des noirs dans ce domaine par rapport à nous, pauvres petits blancs. Je le traite de tous les noms mais il ne bronche pas, il attend le réveil de la belle endormie.
Patricia se réveille maintenant et découvre aussi la situation, elle est allongée sur le dos , les mains attachées dans le dos et entièrement nue sous la couverture. Elle me demande de l’aide, mais s’aperçoit très vite que je suis cloué sur ma chaise.
Il s’approcha d’elle et lui dit qu’elle va connaître l’amour à la façon Africaine. Qu’il ne va pas être violent, et qu’il n’allait pas lui faire du mal, au contraire. En s’approchant de son oreille, il lui dit : » je vais me servir de tous tes orifices en douceur et je suis persuadé que c’est toi qui me demanderas de continuer »
Patricia lui cracha au visage et le traita de tous les noms.
Acte N°1
Il commença à approcher sa bouche de celle de Patricia en sortant sa langue pour forcer l’ouverture, Elle serra les dents et tourna la tête violemment pour empêcher la pénétration, Il n’insista pas. Il descendit la couverture sur le ventre et les deux gros seins apparaissent les tétons à peine visibles.
Là, elle ne peut pas bouger et doit subir les caprices de Karim. Il prend un sein dans sa main, le malaxe un peu et le présente à sa bouche. Il commença à aspirer la tétine et tourna sa langue dure autour du téton dans un bruit de succion. Il regarda en souriant le résultat. La pointe était complètement sortie et le tour du sein avait changé de couleur pour être plus foncé. Ensuite, c’est au tour du deuxième. En même temps, sa main droite glissa sous la couverture beaucoup plus bas.
Je voyais nettement la couverture bouger et Patricia ouvrait la bouche de temps en temps, son corps était parcouru de petits soubresauts. Au bout d’un quart d’heure de ce traitement, il retira sa main- et constata que ses doigts étaient très luisants. Il les renifla et les mis dans sa bouche. Il rigola et dit, je crois que maintenant, tu commences à être prête pour continuer. Toujours aucune parole de la belle sœur.
Maintenant, c’est à mon tour. Il commença à se mettre entièrement nu. Tu vas me préparer.
De ma place, toujours sur ma chaise, je suis étonné par son sexe, je croyais que le sexe des noirs était démesuré. Il n’est pas très gros, plutôt fin mais très long. Sinon, c’est un bel homme assez musclé. Il s’approcha du visage en tenant sa verge rigide et la dirigea vers la bouche qui, dans un dernier sursaut de résistance resta close. Allez, ouvre la bouche et avale- moi .Pas de réponse.
Bien, dit-il! Comme tu voudras. Il lui pinça le nez tout en appuyant sa bite sur les lèvres.
Doucement, mais sûrement, le gland disparu dans la cavité, la bouche ouverte formée un O. C’est bien, maintenant, tourne ta langue autour et laisse la rentrée. Je veux jouir dedans. Il lui prit la tête avec ses mains et la fit coulisser doucement. Après une trentaine de va et vient, il se mit à grogner et sa verge tressauta en se déversant par saccades. Patricia en recracha une bonne partie mais il lui restait un filet de sperme sur le côté. Il en profita pour enfourner sa langue et là, surprise, la bouche de ma belle-sœur resta ouverte et répondit aux baisers et à la langue de son tourmenteur.
Acte N°2
Je vais te détacher et te changer de position, mais promets- moi de ne pas en profiter. Elle répondit oui, par un petit signe de tête. Il l’aida à se lever et à s’installer au travers d’un fauteuil de salon en se servant d’un accoudoir pour lui soutenir son ventre. Patricia se retrouva pliée en deux sur ses jambes, les fesses en l’air et le buste penché sur le second accoudoir.
A mon grand étonnement, ma présence ne semblait pas la contrarier par rapport à ce qu’elle subissait. Pourtant, de ma place, je pouvais voir le moindre détail de son intimité.
Sans attendre plus longtemps, Karim se plaça derrière et présenta sa longue trompe sur la fente. Il se servit de son gland pour écarter les grandes lèvres sur toute la hauteur du sexe pour la masturber avec son gland.
J’ai compris que Patricia était prête pour l’assaut. Sa vulve brillée. Bref, ma belle-sœur mouillée beaucoup.
Soudain, il poussa ses reins d’un seul coup et la verge disparue en entier dans la vulve. Ma belle-sœur poussa un grand cri étouffé et ses jambes se mirent à trembler. Il la soutenu en lui tenant ses hanches et commença un terrible va-et-vient.
C’est à ce moment et pour la première fois depuis le début de cette aventure, que j’entendis ma belle-sœur soupirée, geindre et même pleurait de bonheur et de plaisir. Elle n’avait plus de retenue.
Moi, mon sexe me faisait mal, tellement qu’il bandait dans mon pantalon. Personne ne s’en préoccupé. La scène était tellement torride que j’éjaculé dans mon slip.
Bien sûrs, sans surprise, les deux amants furent pris de spasmes et de tremblements presque en même temps, il déversa à nouveau son jus encore en grosse quantité dans la vulve béante. Karim, se mis à genoux et lui nettoya la chatte par de grands coups de langue. Il releva Patricia avec délicatesse et lui fit partager sa langue rempli de foutre avec la sienne.
Acte N°3
Toujours en forme, notre bonhomme lui susurra à l’oreille qui lui resté encore une autre cavité à combler, comme il lui avait dit au début.
Patricia compris et ne voulait surtout pas la suite. Avec des sanglots, elle lui dit que ça fait mal et que c’est très sale. Je ne sais pas ce qu'il lui à nouveau raconté mais il la positionna dans la même position que tout à l’heure. Elle sanglotait mais se laissa manipuler.
Il était venu avec un sac à dos en bandoulière dans lequel se trouver ses documents, il prit dedans un petit flacon rempli d’une espèce de crème rouge. Apparemment, c’était une préparation de son village Africain qui sert à la pénétration. IL précise que c’est une pommade qui réchauffe les muqueuses.
Il prit une bonne dose sur un de ses doigts et doucement l’enfonça sur toute la longueur dans les fesses de la belle qui sanglotait de plus belle. Après un massage lent, Patricia ressentit une chaleur dans son anus. Pas désagréable, mais chaud quand même. Ce qu’elle ne savait pas, c’est que son cul se dilatait. Je voyais de ma place sa pastille se creuser et s’ouvrir d’environ 2 cm.
Maintenant, tu es prête, lui dit-il. Non, je ne veux pas, je ne suis pas prête. Non, c’est sale, ce trou ne sert pas à ça, clame-t-elle
Sans attendre une autre réponse, il positionna sa pointe au centre la rosette et poussa un peu. Avec la préparation, son gland rentra facilement. La belle sœur commença à se plaindre. Il passa sa main droite sous le ventre et commença à la masturber avec un peu de crème qui lui restait, un petit couinement sorti de la bouche de la belle enculée. Tout en continuant à la masturber je vis la tige s’enfoncer inexorablement dans le cul, elle se retira doucement et replongea à nouveau.
Elle coulissa maintenant très profondément dans le fondement. Le ventre de Karim cogné sur les grosses fesses avec un bruit de claquement. Je voyais, le visage de Patricia qui ouvrait la bouche en grand, comme pour mieux aspirer de l’air. De longs gémissements et de puissants râles sortaient de sa bouche. Tout son corps se couvrait de perles de sueur. Elle était en pleine extase.
Soudain, son corps se crispa, son sexe incontrôlable laissa échapper un filet d’urine qui termina sur le sol. Sa rondelle se resserra très fort par saccades sur la longue tige de Karim. Elle venait d’avoir son premier orgasme anal. Karim, le grand mâle noir, avait vaincu cette femelle blanche.
Il se laissa aller et se vida de son sperme chaud qu’il avait encore en réserve dans les entrailles de la
belle.
Finale
Je suis toujours sur ma chaise attaché comme une saucisse. Karim propose à Patricia de prendre une douche en commun pour se remettre de toutes ses émotions. Je ne peux malheureusement les voir, la douche étant la pièce voisine. Par contre, au bout d’un moment, le bruit de l’eau était couvert à nouveau par des cris et des coups de fesses sur la paroi en verre. Décidément, ses Africain ont vraiment la forme.
Épilogue
Karim vient me voir et ne me détache toujours pas. Il vient d’appeler un pote qui vient le chercher en voiture. Il se fout de ma gueule, en me remerciant pour ce fameux après-midi. Il prend son sac et le voilà parti. Patricia sort de la douche en robe de chambre. Elle a une tête très fatiguée, elle a mal partout et marche difficilement. Elle vient vers moi et avant de me détacher, m'embrasse en me remerciant et me dit "grâce à toi Je me sens à nouveau vivante". Elle me détache enfin en me précisant qu'il est inutile de reparler dans l'avenir de ce moment si particulier. Nous reprenons un café avec une cigarette et je la quitte tout péneau.
Moi, je suis son beau-frère et c’est moi qui raconte notre aventure en tant que témoin.
Un jour, j’ai aidé un réfugié Africain à faire quelques démarches administratives. Il s’appelait Karim. IL était grand, mince, beau et avait environ une quarantaine d’années, il parlait un peu le français suffisamment pour le comprendre.
Le lundi, Patricia ne travaille pas, Nous sommes passés avec Karim à quelques kilomètres de sa maison. J’ai donc appelé ma belle-sœur pour quelle nous offre un café en précisant bien sûr que je n’étais pas seul et elle accepta.
Nous voilà arrivés chez elle, on s’installe dans le salon car dehors il pleut. Nous prenons un café et Karim explique son parcours pour fuir son pays dévasté par la guerre. Patricia nous propose une cigarette, Karim refuse, il est musulman et ne doit pas fumé. Nous sortons avec la belle sœur pour fumer en laissant nos tasses à demi remplies sur la table, Karim restants a l’intérieur car il avait froid. Au bout de cinq minutes, nous rentrons un peu frigorifiés. Nous terminons notre café. C’est à ce moment que tout bascule. Je me réveille au bout d’une demi-heure sur ma chaise et je suis attaché pieds et mains noués, la vision trouble. Je vois Patricia endormie sur le divan en face de moi avec une couverture sur elle. Karim était là en train d’attendre, assis sur autre chaise. Je lui demande ce qui se passe. La tête dans les nuages. Il me répond que cela fait une éternité qu’il n’a pas fait l’amour et qu’il n’a jamais baisé une femme blanche de cet âge et qu’il nous a drogué. Il va nous montrer la supériorité des noirs dans ce domaine par rapport à nous, pauvres petits blancs. Je le traite de tous les noms mais il ne bronche pas, il attend le réveil de la belle endormie.
Patricia se réveille maintenant et découvre aussi la situation, elle est allongée sur le dos , les mains attachées dans le dos et entièrement nue sous la couverture. Elle me demande de l’aide, mais s’aperçoit très vite que je suis cloué sur ma chaise.
Il s’approcha d’elle et lui dit qu’elle va connaître l’amour à la façon Africaine. Qu’il ne va pas être violent, et qu’il n’allait pas lui faire du mal, au contraire. En s’approchant de son oreille, il lui dit : » je vais me servir de tous tes orifices en douceur et je suis persuadé que c’est toi qui me demanderas de continuer »
Patricia lui cracha au visage et le traita de tous les noms.
Acte N°1
Il commença à approcher sa bouche de celle de Patricia en sortant sa langue pour forcer l’ouverture, Elle serra les dents et tourna la tête violemment pour empêcher la pénétration, Il n’insista pas. Il descendit la couverture sur le ventre et les deux gros seins apparaissent les tétons à peine visibles.
Là, elle ne peut pas bouger et doit subir les caprices de Karim. Il prend un sein dans sa main, le malaxe un peu et le présente à sa bouche. Il commença à aspirer la tétine et tourna sa langue dure autour du téton dans un bruit de succion. Il regarda en souriant le résultat. La pointe était complètement sortie et le tour du sein avait changé de couleur pour être plus foncé. Ensuite, c’est au tour du deuxième. En même temps, sa main droite glissa sous la couverture beaucoup plus bas.
Je voyais nettement la couverture bouger et Patricia ouvrait la bouche de temps en temps, son corps était parcouru de petits soubresauts. Au bout d’un quart d’heure de ce traitement, il retira sa main- et constata que ses doigts étaient très luisants. Il les renifla et les mis dans sa bouche. Il rigola et dit, je crois que maintenant, tu commences à être prête pour continuer. Toujours aucune parole de la belle sœur.
Maintenant, c’est à mon tour. Il commença à se mettre entièrement nu. Tu vas me préparer.
De ma place, toujours sur ma chaise, je suis étonné par son sexe, je croyais que le sexe des noirs était démesuré. Il n’est pas très gros, plutôt fin mais très long. Sinon, c’est un bel homme assez musclé. Il s’approcha du visage en tenant sa verge rigide et la dirigea vers la bouche qui, dans un dernier sursaut de résistance resta close. Allez, ouvre la bouche et avale- moi .Pas de réponse.
Bien, dit-il! Comme tu voudras. Il lui pinça le nez tout en appuyant sa bite sur les lèvres.
Doucement, mais sûrement, le gland disparu dans la cavité, la bouche ouverte formée un O. C’est bien, maintenant, tourne ta langue autour et laisse la rentrée. Je veux jouir dedans. Il lui prit la tête avec ses mains et la fit coulisser doucement. Après une trentaine de va et vient, il se mit à grogner et sa verge tressauta en se déversant par saccades. Patricia en recracha une bonne partie mais il lui restait un filet de sperme sur le côté. Il en profita pour enfourner sa langue et là, surprise, la bouche de ma belle-sœur resta ouverte et répondit aux baisers et à la langue de son tourmenteur.
Acte N°2
Je vais te détacher et te changer de position, mais promets- moi de ne pas en profiter. Elle répondit oui, par un petit signe de tête. Il l’aida à se lever et à s’installer au travers d’un fauteuil de salon en se servant d’un accoudoir pour lui soutenir son ventre. Patricia se retrouva pliée en deux sur ses jambes, les fesses en l’air et le buste penché sur le second accoudoir.
A mon grand étonnement, ma présence ne semblait pas la contrarier par rapport à ce qu’elle subissait. Pourtant, de ma place, je pouvais voir le moindre détail de son intimité.
Sans attendre plus longtemps, Karim se plaça derrière et présenta sa longue trompe sur la fente. Il se servit de son gland pour écarter les grandes lèvres sur toute la hauteur du sexe pour la masturber avec son gland.
J’ai compris que Patricia était prête pour l’assaut. Sa vulve brillée. Bref, ma belle-sœur mouillée beaucoup.
Soudain, il poussa ses reins d’un seul coup et la verge disparue en entier dans la vulve. Ma belle-sœur poussa un grand cri étouffé et ses jambes se mirent à trembler. Il la soutenu en lui tenant ses hanches et commença un terrible va-et-vient.
C’est à ce moment et pour la première fois depuis le début de cette aventure, que j’entendis ma belle-sœur soupirée, geindre et même pleurait de bonheur et de plaisir. Elle n’avait plus de retenue.
Moi, mon sexe me faisait mal, tellement qu’il bandait dans mon pantalon. Personne ne s’en préoccupé. La scène était tellement torride que j’éjaculé dans mon slip.
Bien sûrs, sans surprise, les deux amants furent pris de spasmes et de tremblements presque en même temps, il déversa à nouveau son jus encore en grosse quantité dans la vulve béante. Karim, se mis à genoux et lui nettoya la chatte par de grands coups de langue. Il releva Patricia avec délicatesse et lui fit partager sa langue rempli de foutre avec la sienne.
Acte N°3
Toujours en forme, notre bonhomme lui susurra à l’oreille qui lui resté encore une autre cavité à combler, comme il lui avait dit au début.
Patricia compris et ne voulait surtout pas la suite. Avec des sanglots, elle lui dit que ça fait mal et que c’est très sale. Je ne sais pas ce qu'il lui à nouveau raconté mais il la positionna dans la même position que tout à l’heure. Elle sanglotait mais se laissa manipuler.
Il était venu avec un sac à dos en bandoulière dans lequel se trouver ses documents, il prit dedans un petit flacon rempli d’une espèce de crème rouge. Apparemment, c’était une préparation de son village Africain qui sert à la pénétration. IL précise que c’est une pommade qui réchauffe les muqueuses.
Il prit une bonne dose sur un de ses doigts et doucement l’enfonça sur toute la longueur dans les fesses de la belle qui sanglotait de plus belle. Après un massage lent, Patricia ressentit une chaleur dans son anus. Pas désagréable, mais chaud quand même. Ce qu’elle ne savait pas, c’est que son cul se dilatait. Je voyais de ma place sa pastille se creuser et s’ouvrir d’environ 2 cm.
Maintenant, tu es prête, lui dit-il. Non, je ne veux pas, je ne suis pas prête. Non, c’est sale, ce trou ne sert pas à ça, clame-t-elle
Sans attendre une autre réponse, il positionna sa pointe au centre la rosette et poussa un peu. Avec la préparation, son gland rentra facilement. La belle sœur commença à se plaindre. Il passa sa main droite sous le ventre et commença à la masturber avec un peu de crème qui lui restait, un petit couinement sorti de la bouche de la belle enculée. Tout en continuant à la masturber je vis la tige s’enfoncer inexorablement dans le cul, elle se retira doucement et replongea à nouveau.
Elle coulissa maintenant très profondément dans le fondement. Le ventre de Karim cogné sur les grosses fesses avec un bruit de claquement. Je voyais, le visage de Patricia qui ouvrait la bouche en grand, comme pour mieux aspirer de l’air. De longs gémissements et de puissants râles sortaient de sa bouche. Tout son corps se couvrait de perles de sueur. Elle était en pleine extase.
Soudain, son corps se crispa, son sexe incontrôlable laissa échapper un filet d’urine qui termina sur le sol. Sa rondelle se resserra très fort par saccades sur la longue tige de Karim. Elle venait d’avoir son premier orgasme anal. Karim, le grand mâle noir, avait vaincu cette femelle blanche.
Il se laissa aller et se vida de son sperme chaud qu’il avait encore en réserve dans les entrailles de la
belle.
Finale
Je suis toujours sur ma chaise attaché comme une saucisse. Karim propose à Patricia de prendre une douche en commun pour se remettre de toutes ses émotions. Je ne peux malheureusement les voir, la douche étant la pièce voisine. Par contre, au bout d’un moment, le bruit de l’eau était couvert à nouveau par des cris et des coups de fesses sur la paroi en verre. Décidément, ses Africain ont vraiment la forme.
Épilogue
Karim vient me voir et ne me détache toujours pas. Il vient d’appeler un pote qui vient le chercher en voiture. Il se fout de ma gueule, en me remerciant pour ce fameux après-midi. Il prend son sac et le voilà parti. Patricia sort de la douche en robe de chambre. Elle a une tête très fatiguée, elle a mal partout et marche difficilement. Elle vient vers moi et avant de me détacher, m'embrasse en me remerciant et me dit "grâce à toi Je me sens à nouveau vivante". Elle me détache enfin en me précisant qu'il est inutile de reparler dans l'avenir de ce moment si particulier. Nous reprenons un café avec une cigarette et je la quitte tout péneau.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Osiris
6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Elle est forcée au départ, puis à la fin, elle aime ça.
tres bien
Encore 1 mec qui a du ressentiment envers les blancs.
Et après on dit que nous les blanc sommes racistes mais là comme par hasard le racisme anti blanc n’existe pas.
Et après on dit que nous les blanc sommes racistes mais là comme par hasard le racisme anti blanc n’existe pas.
C’est limite du viol ça ne respecte pas la charte vu qu’il y a utilisation de drogue !!!
Lecteur, tu n'as pas compris le texte je crois, ce n'est pas sa femme, mais sa belle-sœur
Quitte cette pute