Dilemme pour Marion, qui choisir le père ou le fils 3
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Dilemme pour Marion, qui choisir le père ou le fils 3
À chaque fois que cela lui est possible, le coquin, il se frotte à sa belle-mère Marion.
Les jours passent, Justin toujours aussi amoureux, la drague lorsqu'elle passe dans le couloir étroit, collé à elle, il cherche ses lèvres vainement. Marion le repousse de moins en moins, elle pousse de gros soupirs à chaque espèce agressions, qu'il commet à son encontre.
À table, ils échangent des regards presque complices, les caresses rapides et légères qu'il fait à l'insu de son papa sur les mains et les bras de la femme qu'il convoite, le rendent un peu euphorique. Marion le regarde autrement, ses regards sont plus doux, elle sent que quelque chose en elle se passe, que l'amour platonique qu'elle portait à son beau-fils, ces dernières semaines, change. Comme ce sont les congés, Marcel avec son copain Marc vont souvent à la pêche, où jouer aux boules.
Cela fait bien l'affaire de son fils amoureux, qui se rend dans la chambre de sa belle-mère, et doucement retire son boxer et se glisse subrepticement dans le lit, Marion dort encore. Délicatement le coquin se colle contre elle, il sent la chaleur du corps qu'il désire tant. Elle est sur le flanc et lui tourne le dos, il lui caresse la hanche doucement, lui donne de petits baisers sur la nuque et le cou. Marion frémit, elle se met à ronronner comme une chatte que l'on flatte de la main.
Justin glisse sa main sous le fin tissu de la nuisette et la monte jusqu'à la taille de la dormeuse. Il lui caresse le ventre délicatement, approche ses doigts du temple endormi. Mais lorsque que les visiteurs passent sur la fente tiède et soyeuse. Marion pour un petit grognement et se met sur le dos.
Justin continue de lui flatter la fente avec ses doigts. Doucement, elle se met à suinter, les grandes lèvres à enfler. Marion croit qu'elle rêve, elle respire rapidement et ouvre les yeux. Elle croit que c'est son mari qui profite de son sommeil pour la caresser. Mais la réalité en est tout autre. Elle sursaute et serre fortement les cuisses en disant :
-Justin, mais qu'est-ce que tu fais dans mon lit !
Elle sent la verge tendue contre sa cuisse. Elle se trouble et dit en béguant :
-Oh Justin, Justin, mais qu'est-ce que j'ai fait au bon Dieu pour avoir un beau-fils comme toi !
Il se redresse et, sans dire un mot, pose ses lèvres sur les siennes. Elle veut dire quelque chose, mais le gredin profite qu'elle entrouvre la bouche pour y faire entrer sa langue. Il la noue à la sienne, elle ne le repousse pas, au contraire, elle le prend par le cou et répond à son baiser ardant.
Justin n'en revient pas, sa belle-mère vient de capituler. Le baiser dure un bon moment. La main de Justin parcourt le corps fébrile de sa belle-mère qui frémit de plus en plus. Justin s'enhardit, il repousse les draps, et arrache de haut en bas la nuisette de Marion. Il l'ouvre et regarde le corps magnifique qui le fait tant fantasmer.
Il caresse les lobes mammaires, joue avec les mamelons épais qui trônent au centre d'aréoles brunes, et malaxe en profondeur les seins. Marion gémit de bonheur, elle dit faiblement :
-Je suis à toi mon chéri, fais de moi ta chose !
Justin sourit, c'est des mots qu'il espérait depuis longtemps. Il répond :
-Je vais t'aimer comme jamais, tu ne l'as été ma chérie !
Il pose sa bouche sur les mamelons, et avec un savoir-faire que malgré son jeune âge, le bougre possède. Il suce et les tète à en faire geindre son amante. Les bouts deviennent rapidement durs, ils épaississent de plus en plus, les succions de Justin sont très efficaces. Marion gémit en caressant le dos de son jeune amant, elle a la force de dire :
-Oh toi, toi, Justin, tu me rends folle !
Justin délaisse les mamelons et répond :
-Soyons fou mon amour !
Sa bouche et sa langue parcourent chaque parcelle de peau, et s'approchent lentement vers le temple de l'amour. Quelques coups de langue bien ajustés, fouillent un instant le nombril, avant de reprendre la progression. Plus la bouche s'approche de son abricot, plus la respiration de Marion s'accélère. Mécaniquement, la belle-maman ouvre les jambes pour livrer à son amant sa place forte, qui n'a d'ailleurs plus rien de forte. La vulve suinte abondamment, avant de poser sa bouche dessus, Justin hume fortement les effluves odorantes que dégage le fruit trop mûr.
Mais dès qu'il pose sa bouche sur le brasier, Marion se cabre comme un cheval, en gémissant comme une bête malade. La langue agile de son amant s'enfonce profondément dans son vagin pour en fouiller chaque recoin. Les râles de la belle-maman sont rauques et longs. Elle agite son bassin, en appuyant sur la tête de son beau-fils, qui lui dévore la chatte. Une première jouissance la fait hurler, un flot de cyprine remplit la bouche de l'affamé, qui avale sans rechigner le doux breuvage.
Justin lui aspire le clito qui est très enflé, il a la grosseur d'une grosse noisette. Le coquin le suce et le tète avec une voracité redoutable. Marion se cabre, une deuxième jouissance la fait hurler de plaisir. Marion répète :
-Mon Dieu, mon Dieu, Justin, tu me fais mourir mon chéri !
Gavé de bon jus, il se redresse. Sa queue est dressée comme un mât de cocagne. Marion, les yeux vitreux, regarde le membre qui ne va pas tarder à lui forer le ventre. Elle le saisit et automatiquement, l'agite fortement, un instant avant de le décalotter et de le prendre en bouche. Justin ignorait que sa belle-mère était une fellatrice hors pair. Sa bouche le fait gémir de plaisir. Les succions efficaces de Marion portent leurs fruits. Justin envoie dans la bouche de sa bien-aimée, une puissante giclée de sperme.
Elle délaisse la verge et pince ses lèvres, elle regarde son beau-fils et avale lentement la décharge qu'elle vient de subir. Elle ouvre la bouche pour montrer qu'elle a tout avalée. Justin l'embrasse fougueusement comme pour la remercier pour cet exploit. Il prend place entre les cuisses de Marion qui les ouvre au maximum pour recevoir le sceptre royal dans son corps.
Progressivement, Justin enfonce sa bite dans le ventre de Marion qui s'accroche à lui en gémissant. La verge gorgée de sang, œuvre efficacement dans le ventre de Marion, elle ne cesse de geindre en disant :
-Oui, oui, mon chéri, oh comme tu es gros, vas-y, vas-y oui, oui !
Le glaive épais voyage dans son fourreau de chair, en faisant couiner de plaisir Marion. Les coups de reins deviennent plus violents, les râles de l'amante plus bruyants. Les allers et retours dans sa gaine brulante, font grincer les dents à la soumise amoureuse. Marion, d'un coup, se cambre comme un pont et explose de jouissance. Elle souffle comme un dragon, en voyant sa cyprine sur les couilles de son jeune amant. Justin se bloque, et envoie dans le ventre de son amour plusieurs giclées de semence visqueuses.
Les deux amants restent un moment soudés l'un à l'autre, avant de décider de se désaccoupler. Marion se met à sangloter, Justin se demande ce qui se passe, Marion dit entre deux reniflements :
-Mon Dieu, Justin, je suis une catin, j'ai trompé Marcel, le plus odieux, c'est avec son fils, oh comme j'ai honte !
Justin tente de la disculper :
-Mais nous nous aimons, c'est la nature !
Marion se redresse et dit :
-Je vais lui avouer mon infidélité, je regrette déjà, le mal que je vais lui faire, lui un homme si bon, il ne mérite pas ça, oh comme j'ai honte de moi !
Les jours passent, Justin toujours aussi amoureux, la drague lorsqu'elle passe dans le couloir étroit, collé à elle, il cherche ses lèvres vainement. Marion le repousse de moins en moins, elle pousse de gros soupirs à chaque espèce agressions, qu'il commet à son encontre.
À table, ils échangent des regards presque complices, les caresses rapides et légères qu'il fait à l'insu de son papa sur les mains et les bras de la femme qu'il convoite, le rendent un peu euphorique. Marion le regarde autrement, ses regards sont plus doux, elle sent que quelque chose en elle se passe, que l'amour platonique qu'elle portait à son beau-fils, ces dernières semaines, change. Comme ce sont les congés, Marcel avec son copain Marc vont souvent à la pêche, où jouer aux boules.
Cela fait bien l'affaire de son fils amoureux, qui se rend dans la chambre de sa belle-mère, et doucement retire son boxer et se glisse subrepticement dans le lit, Marion dort encore. Délicatement le coquin se colle contre elle, il sent la chaleur du corps qu'il désire tant. Elle est sur le flanc et lui tourne le dos, il lui caresse la hanche doucement, lui donne de petits baisers sur la nuque et le cou. Marion frémit, elle se met à ronronner comme une chatte que l'on flatte de la main.
Justin glisse sa main sous le fin tissu de la nuisette et la monte jusqu'à la taille de la dormeuse. Il lui caresse le ventre délicatement, approche ses doigts du temple endormi. Mais lorsque que les visiteurs passent sur la fente tiède et soyeuse. Marion pour un petit grognement et se met sur le dos.
Justin continue de lui flatter la fente avec ses doigts. Doucement, elle se met à suinter, les grandes lèvres à enfler. Marion croit qu'elle rêve, elle respire rapidement et ouvre les yeux. Elle croit que c'est son mari qui profite de son sommeil pour la caresser. Mais la réalité en est tout autre. Elle sursaute et serre fortement les cuisses en disant :
-Justin, mais qu'est-ce que tu fais dans mon lit !
Elle sent la verge tendue contre sa cuisse. Elle se trouble et dit en béguant :
-Oh Justin, Justin, mais qu'est-ce que j'ai fait au bon Dieu pour avoir un beau-fils comme toi !
Il se redresse et, sans dire un mot, pose ses lèvres sur les siennes. Elle veut dire quelque chose, mais le gredin profite qu'elle entrouvre la bouche pour y faire entrer sa langue. Il la noue à la sienne, elle ne le repousse pas, au contraire, elle le prend par le cou et répond à son baiser ardant.
Justin n'en revient pas, sa belle-mère vient de capituler. Le baiser dure un bon moment. La main de Justin parcourt le corps fébrile de sa belle-mère qui frémit de plus en plus. Justin s'enhardit, il repousse les draps, et arrache de haut en bas la nuisette de Marion. Il l'ouvre et regarde le corps magnifique qui le fait tant fantasmer.
Il caresse les lobes mammaires, joue avec les mamelons épais qui trônent au centre d'aréoles brunes, et malaxe en profondeur les seins. Marion gémit de bonheur, elle dit faiblement :
-Je suis à toi mon chéri, fais de moi ta chose !
Justin sourit, c'est des mots qu'il espérait depuis longtemps. Il répond :
-Je vais t'aimer comme jamais, tu ne l'as été ma chérie !
Il pose sa bouche sur les mamelons, et avec un savoir-faire que malgré son jeune âge, le bougre possède. Il suce et les tète à en faire geindre son amante. Les bouts deviennent rapidement durs, ils épaississent de plus en plus, les succions de Justin sont très efficaces. Marion gémit en caressant le dos de son jeune amant, elle a la force de dire :
-Oh toi, toi, Justin, tu me rends folle !
Justin délaisse les mamelons et répond :
-Soyons fou mon amour !
Sa bouche et sa langue parcourent chaque parcelle de peau, et s'approchent lentement vers le temple de l'amour. Quelques coups de langue bien ajustés, fouillent un instant le nombril, avant de reprendre la progression. Plus la bouche s'approche de son abricot, plus la respiration de Marion s'accélère. Mécaniquement, la belle-maman ouvre les jambes pour livrer à son amant sa place forte, qui n'a d'ailleurs plus rien de forte. La vulve suinte abondamment, avant de poser sa bouche dessus, Justin hume fortement les effluves odorantes que dégage le fruit trop mûr.
Mais dès qu'il pose sa bouche sur le brasier, Marion se cabre comme un cheval, en gémissant comme une bête malade. La langue agile de son amant s'enfonce profondément dans son vagin pour en fouiller chaque recoin. Les râles de la belle-maman sont rauques et longs. Elle agite son bassin, en appuyant sur la tête de son beau-fils, qui lui dévore la chatte. Une première jouissance la fait hurler, un flot de cyprine remplit la bouche de l'affamé, qui avale sans rechigner le doux breuvage.
Justin lui aspire le clito qui est très enflé, il a la grosseur d'une grosse noisette. Le coquin le suce et le tète avec une voracité redoutable. Marion se cabre, une deuxième jouissance la fait hurler de plaisir. Marion répète :
-Mon Dieu, mon Dieu, Justin, tu me fais mourir mon chéri !
Gavé de bon jus, il se redresse. Sa queue est dressée comme un mât de cocagne. Marion, les yeux vitreux, regarde le membre qui ne va pas tarder à lui forer le ventre. Elle le saisit et automatiquement, l'agite fortement, un instant avant de le décalotter et de le prendre en bouche. Justin ignorait que sa belle-mère était une fellatrice hors pair. Sa bouche le fait gémir de plaisir. Les succions efficaces de Marion portent leurs fruits. Justin envoie dans la bouche de sa bien-aimée, une puissante giclée de sperme.
Elle délaisse la verge et pince ses lèvres, elle regarde son beau-fils et avale lentement la décharge qu'elle vient de subir. Elle ouvre la bouche pour montrer qu'elle a tout avalée. Justin l'embrasse fougueusement comme pour la remercier pour cet exploit. Il prend place entre les cuisses de Marion qui les ouvre au maximum pour recevoir le sceptre royal dans son corps.
Progressivement, Justin enfonce sa bite dans le ventre de Marion qui s'accroche à lui en gémissant. La verge gorgée de sang, œuvre efficacement dans le ventre de Marion, elle ne cesse de geindre en disant :
-Oui, oui, mon chéri, oh comme tu es gros, vas-y, vas-y oui, oui !
Le glaive épais voyage dans son fourreau de chair, en faisant couiner de plaisir Marion. Les coups de reins deviennent plus violents, les râles de l'amante plus bruyants. Les allers et retours dans sa gaine brulante, font grincer les dents à la soumise amoureuse. Marion, d'un coup, se cambre comme un pont et explose de jouissance. Elle souffle comme un dragon, en voyant sa cyprine sur les couilles de son jeune amant. Justin se bloque, et envoie dans le ventre de son amour plusieurs giclées de semence visqueuses.
Les deux amants restent un moment soudés l'un à l'autre, avant de décider de se désaccoupler. Marion se met à sangloter, Justin se demande ce qui se passe, Marion dit entre deux reniflements :
-Mon Dieu, Justin, je suis une catin, j'ai trompé Marcel, le plus odieux, c'est avec son fils, oh comme j'ai honte !
Justin tente de la disculper :
-Mais nous nous aimons, c'est la nature !
Marion se redresse et dit :
-Je vais lui avouer mon infidélité, je regrette déjà, le mal que je vais lui faire, lui un homme si bon, il ne mérite pas ça, oh comme j'ai honte de moi !
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vite la suite, je suis impatiente
Géniale histoire, j'adore
Lisette
Lisette
Toujours aussi excitant la suite risque d’être encore plus jouissif