Direction les vacances
Récit érotique écrit par Pasham35 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Direction les vacances
Frédéric avait loué une petite villa avec piscine dans le sud de la France pour partir en vacance avec sa fille, Erika. Il était divorcé de sa mère chez qui vivait sa fille le reste de l’année. Il était impatient de partager un peu de temps avec elle.
Quelques semaines avant de partir, Erika lui demanda, lui supplia plutôt, de bien vouloir emmener avec eux sa meilleure amie, Ambre. Ses projets de vacances étaient tombés à l’eau au dernier moment et elle se retrouvait seule en ce mois d’août. Cependant, il avait peur qu’Ambre n’accapare sa fille et ne lui vole le temps qu’il pourrait passer avec elle. Frédéric ne fit pas part de ses inquiétudes à Erika et, à contre cœur, accepta, dans le seul but de faire plaisir à sa fille.
C’est donc un peu maussade que Frédéric prit la route de bonne heure avec sa fille et son amie. Toutefois la joie communicative des filles et l’attention d’Erika à ne pas exclure son père lui fit passer sa mauvaise humeur au fil de la route.
Erika et Ambre étaient deux filles d’une vingtaine d’année assez différentes. La fille de Frédéric était grande, la peau hâlée comme sa mère, brune et belle. Elle était volubile, bavarde, dynamique, espiègle et toujours d’humeur enjouée. Frédéric était très fier de sa fille.
Ambre, était de taille moyenne, blonde et la peau blanche comme la nacre. Elle n’était pas spécialement jolie, mais ses yeux d’un bleu intense étaient troublants et lui donnait assurément du charme. Bien que plus extravertie en présence d’Erika, elle était réservée avec la plupart des gens. Elle avait une voix douce, presque envoûtante, qui lui procurait une attirance magnétique.
Arrivés tard dans la soirée, les trois vacanciers défirent leur bagages et s’installèrent dans la jolie maison à l’architecture typique du sud. Après un apéro et un repas simple, Frédéric ne veilla pas très tard, fatigué par le trajet. Il entendit les filles discuter et rire près de la piscine un certain temps avant de s’endormir, terrassé de fatigue par le voyage.
Le lendemain, après une balade matinale et un agréable barbecue, les deux copines et le père de famille choisirent de profiter de la piscine. Frédéric était déjà installé sur un transat lorsqu’Erika arriva en maillot deux pièces, un paréo autour de la taille.
Ambre les rejoignit quelques minutes plus tard vêtue d’un maillot une pièce. En la voyant, Erika s’exclama en surjouant son aversion:
- C’est quoi cette horreur ? Tu n’es pas d’accord papa ?
Embêté d’être pris à témoin, le père de la jeune femme marmonna une réponse qui voulait ménager tout le monde. Il regarda Ambre un peu plus attentivement. Il est vrai qu’elle avait un joli corps et qu’il était plutôt d’accord avec sa fille. Ambre portait souvent des vêtements amples et à cet instant il trouva ça effectivement dommage.
Ambre se regarda, ne voyant pas ce qui choquait son amie.
- Tu es belle comme tout, tu devrais mettre un maillot deux pièces qui te mette en valeur.
- Je ne sais pas, hésita la jeune femme.
- Viens, je vais te prêter un de mes maillots et tout à l’heure on ira t’en acheter un autre ! Et pendant qu’on y est on va compléter ta garde robe !
Les deux jeunes femmes revinrent quelques minutes plus tard. Ambre portait à présent un maillot 2 pièces violet qui mettait ses jolies formes en valeur. Elle semblait un peu gênée au début de se balader ainsi. Les deux jeunes femmes se mirent de la crème solaire, et s’allongèrent au soleil.
En milieu d’après-midi, elles se rhabillèrent et partirent à pieds dans le centre ville animé non loin de leur villa. Erika était bien décidée à faire acheter de nouveaux vêtements à Ambre qui se prenait doucement au jeu de son amie.
Elles revinrent en fin de journée avec un sac plein de vêtements. Erika s’avança près de son père qui, après une petite sieste, avait reprit la lecture de son livre.
- Regarde papa, on a prit ce maillot pour Ambre. Il n’est pas mieux que son horrible maillot ?
- Oui, c’est sûr, approuva Frédéric en fixant le petit ensemble vert.
- Elle a aussi craqué pour cette jolie robe.
Ambre regardait son amie montrer ses achats à son père, un peu embarrassée.
- Et aussi cette jupe super sexy pour chopper des garçons en ville, dit-elle en faisant un clin d’œil à son amie.
Frédéric fixait la jupe noire, très très courte et qui présentait une petite fente sur le côté gauche.
- Vous ne vous êtes pas trompée de taille, c’est très court ! Fit remarquer Frédéric avec un sourire.
- Elle a même acheté de la lingerie ! enchaîna Erika en exhibant un string jaune.
- Mais ça va pas ! s’exclama Ambre, embarrassée.
Elle arracha le petit bout de tissus des mains de son amie, remit précipitamment les vêtements dans le sac, et retourna dans la maison, les joues rouge de honte et en colère contre Erika.
Cette dernière qui riait encore de sa blague, suivit son amie.
Le soir-même, ils passèrent tous les trois la soirée à la ville pour profiter d’un bon restaurant.De retour à la maison, ils profitèrent de l’agréable fraîcheur de la nuit tombante au bord de la piscine. Vers 23h, ils rentrèrent à la maison. Frédéric rangea dans le frigo la bouteille de soda qu’ils avaient siroté dans la relative obscurité de la terrasse.
Lorsqu’il arriva au pied de l’escalier, Erika était déjà sur le palier, suivit par Ambre. Cette dernière avait revêtue la mini jupe noire qu’elle avait acheté plus tôt dans l’après-midi. Frédéric avait résisté tant bien que mal toute la soirée à ne pas trop laisser traîner ses yeux sur les cuisses nues de la jeune femme, mais ce qu’il vit alors fût trop pour lui.
Lui en bas de l’escalier, elle en haut et arborant une jupe si courte offrit la vue de sa culotte noire au père d’Erika. Alors qu’il aurait dû baisser les yeux pour ne pas profiter de la situation, son regard resta hypnotisé par le haut des cuisses d’Ambre et de sa culotte noire enveloppant joliment ses fesses rondes.
Elle arriva sur la palier, fit quelques pas et la vue magnifique qu’avait Frédéric s’évanouit. Il arriva à son tour sur le palier, troublé. Il fila rapidement vers sa chambre, un peu gêné de croiser le regard de la jeune femme.
Le matin, Frédéric terminait son petit déjeuner lorsqu’Erika et Ambre le rejoignirent. Son regard se porta inévitablement sur l’amie de sa fille. Ses cheveux étaient en bataille, elle arborait encore une marque d’oreiller sur la joue mais il la trouvait belle. Jamais bien sûr il n’avait envisagé Ambre de cette façon. Il était perturbé par ses sentiments.
Son attention se porta alors sur le pyjama de la jeune femme. Elle portait un ensemble rose pâle, constitué d’un short court et d’un t-shirt. Ses yeux se fixèrent sur la ferme poitrine de la jeune femme. S’il avait l’impression de distinguer l’aréole sous le fin tissus, il distinguait par contre parfaitement les mamelons assez développés de la jeune femme.
Frédéric resta là quelques minutes, puis embarrassé, s’éclipsa.
En fin de matinée, alors que la chaleur était déjà très présente, les deux jeunes femmes s’installèrent sur le transat. Le portable d’Erika retentit alors.
- C’est Fabien ! S’exclama-t-elle.
Fabien était le petit ami d’Erika. Ils s’étaient rencontrés il y a peu et passaient beaucoup de temps au téléphone.
Elle décrocha et s’avança vers la maison pour s’isoler. Ambre s’exclama alors :
- Erika ! et ma crème !?
- Demande à mon père ! Rétorqua simplement Erika qui ne se préoccupait plus de son amie.
- Pourriez-vous m’aider avec la crème solaire ? Finit par demander timidement Ambre, visiblement embarrassée. Je serai toute rouge si je l’attends pour qu’elle m’aide.
- Heu...oui bien sûr, répondit Frédéric un peu gêné aussi.
L’homme se leva et se dirigea vers le transat de la jeune femme. Elle s’était allongée sur le ventre afin que le père de sa copine puisse lui mettre de la crème dans le dos.
Frédéric resta quelques instants sans bouger, le tube de crème solaire dans la main, embarrassé devant le joli corps féminin allongé devant lui.
Il fit couler une noisette de crème sur les épaules d’Ambre qui eu un frisson au contact du liquide frais. L’homme posa ses doigts sur la crème et commença de délicats mouvements circulaires. Le contact de la peau douce sous ses doigts le mit en émoi. Il était célibataire depuis qu’il avait divorcé et n’avait pas retrouvé de compagne depuis. Aussi, toucher la peau douce de la jeune femme du bout des doigts lui procurait plus de trouble que cela n’aurait dû.
Lentement, il massa les épaules puis les bras. Il versa un peu de crème dans le creux du dos de la jeune femme et l’étala soigneusement sur toute la peau nacrée. Lorsque ses doigts frôlèrent l’élastique du maillot vert amande un frisson le parcourut et il s’arrêta.
- Vous pouvez m’en mettre sur les jambes également s’il vous plaît ?
- Oui… bien sûr… balbutia Frédéric.
Il fit couler un petit filet de liquide sur la cuisse gauche qu’il massa, sans remonter trop haut. Son trouble était aussi grand que la peau de la jeune femme était douce. Son regard s’arrêta sur les jolies courbes des fesses d’Ambre. Le maillot légèrement échancré offrait à sa vue plus de peau qu’il n’aurait voulut en voir. Ne parvenant pas à détourner son regard, ce dernier glissa le long des fesses, puis entre ses cuisses, attiré vers son intimité.
- Vous pouvez mettre de la crème jusqu’au maillot s’il vous plaît ? demanda l’amie d’Erika que Frédéric trouvait de moins en moins inhibée !
- Oui, répondit Frédéric d’un ton hésitant, sortant de sa torpeur.
Il refit couler un peu de crème sur le haut des cuisses de la jeune femme. Elle eut un petit mouvement du bassin en sentant la crème fraîche couler sur sa peau brûlante. Avec un peu de maladresse, Frédéric étala la crème jusqu’à la base des fesses puis s’aventura sur celles-ci afin d’atteindre l’élastique du maillot. Le postérieur d’Ambre bougeait sous le massage des mains maladroites de Frédéric.
Son imagination se perdit dans cet endroit si plaisant aussi massa-t-il la délicate peau de la jeune femme plus longtemps qu’il n’y avait besoin. Si cette dernière s’en rendit compte, elle ne s’en offusqua pas. Il finit par se sentir honteux de regarder ainsi le corps d’Ambre qui pourrait être sa fille et détourna les yeux.
Il essaya de reprendre ses esprits et s’en retourna sur son transat.
- Merci, dit Ambre de sa voix envoûtante qui amplifia la confusion du père.
Sur son transat, Frédéric ne pût s’empêcher de porter à nouveau son regard sur le corps peu vêtu de la jeune femme.
Avant le séjour, la présence d’Ambre ne l’avait jamais troublé. Elle était une amie de sa fille et rien d’autre. Mais depuis le début de leurs vacances, en voyant la jeune femme peu vêtue, elle qui portait toujours des vêtements amples, il se sentait attiré par elle.
Et depuis qu’il l’avait touché, sentit sous ses doigts sa peau douce, son esprit vagabondait dans des rêveries de plaisir. Son corps réagit à ses fantasmes et il sentit son sexe durcir dans son maillot.
Il plongea finalement dans la piscine, autant pour essayer de se calmer que pour ne pas que la jeune femme surprenne son trouble.
Alors que l’excitation retombait, après un long moment à nager, Ambre se retourna pour s’asseoir. Elle prit la crème et en appliqua avec grâce le long de ses jambes. Elle parcourut son ventre plat puis protégea ses bras, son cou et son visage. Enfin, elle fit couler un filer de liquide entre ses seins et massa le haut de ceux-ci jusqu’à son sou. Sa poitrine ne bougeait que légèrement sous les mouvements de sa délicate main pour faire pénétrer la protection solaire. Chacun de ses mouvements sur son corps était accompagné d’un regard appuyé en direction de Frédéric.
Quand elle eût fini, Frédéric était à nouveau troublé, excité même. Il reprit ses longueurs dans la piscine et se dit que cet émoi avait au moins le bon côté de lui faire faire du sport.
Erika revint, au moins 45 minutes après les avoir quittés. Elle se protégea à son tour avec l’aide de son amie et s’exposa au soleil. En présence de sa fille, Frédéric retrouva un peu de sérénité.
Après cet évènement, Frédéric ne pu s’empêcher de voir Ambre avec une pointe de désir et la nouvelle attention que lui témoignait la jeune femme le troublait. Son regard s’arrêtait volontiers sur ses yeux bleus comme des lagons, sur ses seins fermes, sur ses hanches, ses fesses ou ses jambes nues. Tout son corps lui plaisait, l’attirait comme jamais.
Ce qui le troubla encore plus cependant, c’était qu’il avait l’impression que l’attitude de la jeune femme avait changé à son égard. Auparavant réservée vis-à-vis de lui, il lui semblait qu’elle était un peu plus libérée, voire se plaisait à l’aguicher discrètement . Il tenta de chasser cette pensée en se traitant d’idiot.
Lors des balades, il observait du coin de l’œil la démarche gracile de la jeune femme, ses jambes nacrées illuminées par le soleil de Provence, sa beauté dans ses légères robes d’été que lui avait fait acheter Erika, ses seins pointant sous le fin tissus fleurit.
Attablés à un bar, il ne pouvait s’empêcher de laisser ses yeux se perdre sur ses cuisses ou ses mains délicates tandis que sa voix douce chantait à ses oreilles. Il avait l’impression d’être redevenu un ado emporté par la déferlante de ses hormones.
Le soir, l’émotion de Frédéric ne retombait pas, bien au contraire ! Lorsque Ambre débarquait dans le salon uniquement vêtue de son pyjama le quadragénaire était envoûté. Elle se déplaçait dans un short en coton rose très court et un t-shirt sous lequel il pouvait distinguer la moindre forme de sa poitrine nue.
Et c’est toujours très excité qu’il partait se coucher. Il en fut pris de honte après, mais un soir il ne put résister à se masturber en repensant à Ambre. La jeune femme envahissait de plus en plus ses pensées.
Et tout au long de la journée, il lui semblait que l’amie d’Erika lui lançait des regards aguicheurs, toujours en prenant soin qu’Erika ne les surprenne pas. Elle se penchait ostensiblement pour offrir un peu plus de son décolleté ou de ses fesses à l’homme avec qui elle se plaisait à jouer. Un doigt qui effleure une main, une épaule, une cuisse et le père d’Erika était troublé.
La jeune femme timide semblait bien loin, et Frédéric découvrait sa vraie nature.
Un soir alors qu’ils prenaient l’apéro sur un petit salon de jardin, Ambre troubla Frédéric. Assise en fasse de lui, elle croisait et décroisaient régulièrement les jambes. La petite table basse qui les séparaient ne cachait rien de ses jambes. Aussi, le regard du père de famille se perdait sur le haut des cuisses de la jeune femme. Lorsqu’Erika s’éclipsa quelques minutes, Ambre en profita pour ouvrir un peu plus les jambes et offrir la vue de sa culotte.
A son retour, Erika, qui n’avait pas remarqué le manège de son amie, trouva son père fortement déstabilisé et s’en étonna.
- Ca va papa ? Demanda-t-elle un peu étonnée.
- Oui, tout va bien. C’est l’alcool qui doit me monter à la tête mentit-il d’une voix peu assurée.
Quelques jours passèrent, et rien ne se produisit jusqu’à ce que l’appel de Fabien fasse quitter à nouveau Erika de son transat où elle bronzait avec son amie, comme au premier jour.
Ambre en profita pour demander à Frédéric :
- Pourriez-vous me remettre de la crème s’il vous plaît ?
Elle ne le demanda pas avec timidité comme la première fois, mais avec assurance.
Frédéric était tiraillé. Il ne savait pas s’il devait fuir, partir pour ne pas déraper, ou au contraire bondir vers la jeune femme, faire ce qu’elle demandait et savourer l’instant.
- Oui, répondit finalement l’homme après un moment d’hésitation.
Il n’avait pas encore rejoint la jeune femme qu’il sentait l’excitation monter en lui.
Ambre passa les mains dans son dos et dégrafa le haut de son maillot qu’elle déposa au sol. Deux beaux seins, fiers, aussi fermes que parfaitement ronds, apparurent aux yeux écarquillés de Frédéric.
- Cela ne vous dérange pas que je fasse du topless ? Je voudrai éviter les marques de bronzage, ajouta-t-elle pour se justifier.
- Non… balbutia Frédéric après avoir déglutit.
Ambre se rallongea et laissa le père de son ami l’enduire de crème. S’il était jusque là circonspect sur les intentions de la jeune femme, plus aucun doute n’était permis. Elle le cherchait bien.
Ils étaient majeurs tous les deux, il décida de saisir l’occasion qui se présentait à lui et d’explorer un peu plus le magnifique corps de l’amie de sa fille.
Il débuta son exploration à la base du cou de la jeune femme après y avoir fait couler un filet de crème. Sa main caressa la gorge douce en poursuivant jusqu’aux lobes de ses oreilles. Les doigts glissèrent le long du cou et découvrirent ses épaules avant de descendre le long de ses bras. Arrivés au creux des paumes d’Ambre, cette dernière serra ses doigts sur la main de l’homme avant de le relâcher quelques instant plus tard pour qu’il poursuive son agréable exploration.
Il remettait de temps en temps de la crème sur la peau douce de la jeune femme avant de continuer son voyage. Il remonta le long du bras en serpentant comme une rivière courant au milieu d’une prairie.
Il fit couler un filet de crème au creux des seins d’Ambre qui frissonna. Délicatement, il trempa ses doigts dans le liquide et remonta la colline de sa poitrine. Il massa doucement ses seins, sentant, non sans excitation, les tétons roses pâles durcir sous ses doigts. Il les fit rouler entre son index et son pouce, les pinça. Ambre avait les yeux fermés et le plaisir se lisait sur son visage. Elle frissonnait, respirait un peu plus fort.
Après avoir longuement joué avec les seins de la jeune femme, il redescendit en direction de son ventre. Il traversa la plaine douce en zigzaguant puis plongea au fond de son nombril. Son index fouilla le petit orifice et ressorti. La main enduite de crème rencontra la frontière de son maillot.
Délicatement, ses doigts soulevèrent le tissus et glissèrent sous la culotte. Ils rencontrèrent une douce savane avec laquelle ils jouèrent un peu avant de revenir en arrière.
Frédéric mit une noisette de crème sur les cuisses d’Ambre qu’il étala avec sensualité. D’abord au niveau des genoux, puis remontant doucement le long de la jambe. Alors qu’il cherchait à enduire l’intérieur des cuisses, la jeune femme écarta un peu les jambes pour faciliter son exploration. La main plongeait le long de la peau douce comme la pêche entre les jambes puis remontait. Se faisant, il avançait lentement vers le haut de la cuisse. Il remonta tant et si bien que ses doigts frôlèrent l’intimité de la jeune femme au travers du tissus du maillot.
Ambre se mit à onduler du bassin au même rythme que la main qui explorait son corps, à haleter. Frédéric avait laissé sa main tout en haut de la jambe, la faisant monter et descendre à l’intérieur de la cuisse en frottant sans équivoque la vulve gonflée d’excitation de la jeune femme. A force de caresser l’intimité d’Ambre, une tâche d’humidité apparût sur le tissus vert du maillot. Déjà très excité par la situation, Frédéric sentit son membre se durcir encore plus dans son maillot.
- Tu peux te tourner, dit le père de famille à la copine de sa fille.
Ambre obtempéra et s’allongea sur le ventre. Frédéric enduisit tout le dos de la jeune femme avec le plus de sensualité qu’il pouvait. Il mit de la crème à la base des fesses qu’il massa en douceur. Les doigts glissèrent sous le maillot pour prendre à pleine main une fesse et la malaxer. Il fit de même avec sa voisine pour le plus grand plaisir de la jeune femme.
Il massa l’arrière des cuisses et campa à l’intérieur de celles-ci, frôlant à chaque mouvement le tissus du maillot qui épousait chaque forme de la vulve. Après quelques instants, Frédéric vint s’asseoir sur le côté opposé du transat.
Délicatement, il attrapa chaque côté du maillot et le fit glisser le long des jambes. Ambre se tortilla pour l’aider dans sa tâche. Il arrêta sa course lorsque la culotte se trouva à mi-cuisse.
Un spectacle merveilleux se dévoila sous ses yeux.
Les fesses entièrement nues de la jeune femme et surtout une vulve magnifique qui s’offrait à lui. Il posa sa main non enduite de crème sur les fesses qu’il massa avec excitation. Sa main descendit pour caresser la vulve toute lisse. Son index glissa entre les deux grosses lèvres humides qui s’écartèrent pour le laisser passer. Il faisait des mouvements verticaux le long de la fente. Les petits gémissements que faisaient Ambre l’encourageait à continuer.
Délicatement son majeur vint titiller le clitoris gonflé. Il l’excitât un peu, le fit tourner sous son doigt et appuya délicatement dessus. La jeune femme n’en pouvait plus, le plaisir devenait intense. Sentant l’imminence d’un orgasme, Frédéric cessa ses intenses caresses et revint malaxer les fesses et les cuisses de la jeune femme.
Après quelques minutes à faire redescendre l’excitation, Frédéric retourna vers la vulve d’Ambre. Son majeur glissa le long de sa fente et chercha l’entrée de son vagin. Doucement, le doigt s’introduisit dans l’antre bouillonnante et entama un agréable va-et-vient. La jeune femme se remit à onduler du bassin au rythme des pénétrations.
La respiration d’Ambre se fit de plus en plus forte, son bassin dansant de plus en plus frénétiquement jusqu’à la libération. Elle étouffa ses gémissements en serrant les lèvres. Les caresses intensives du père de son amis prolongèrent son orgasme un long moment. Lorsque le plaisir fût passé. Frédéric retira son doigt, remonta délicatement le maillot et déposa un baiser sur l’épaule de la jeune femme.
- Te voilà prête pour bronzer.
Alors qu’Ambre remettait le haut de son maillot, Frédéric se dirigea vers la piscine, sa queue prête à déchirer son maillot. A peine était-t-il rentré dans l’eau qu’Erika revint sur la terrasse. A son comportement, elle ne semblait pas avoir vu ce qu’il s’était passé entre son amie et son père, au grand soulagement de ce dernier. Cette après-midi là, le quarantenaire fit plus de longueurs qu’il n’en avait jamais fait !
Le lendemain matin, alors que Frédéric débarrassait la table du petit déjeuner, Erika remonta à l’étage pour se préparer. Ambre profita alors de l’occasion pour se coller au père de son amie. Elle l’embrassa fougueusement, puis rapidement s’agenouilla devant lui.
Elle baissa le short de pyjama et libéra son sexe encore mou qu’elle mit dans la bouche. Elle sentit le membre grossir très vite sur sa langue. Ses lèvres parcouraient toute la queue tendue, sa langue léchait chaque centimètre de la hampe de chair.
Frédéric avait la tête baissée, profitant d’admirer cette jeune femme lui donner du plaisir.
Ambre caressait ses couilles, faisait danser sa langue sur le gland gonflé. L’orgasme approchant, Frédéric en avertit la jeune femme. Elle leva les yeux vers lui, lui sourit et remit bien la queue dans sa bouche et redoubla ses caresses.
Avec un léger râle étouffé, Frédéric éjacula dans la bouche de la jeune femme qui faisait glisser sa main sur la queue qu’elle serrait pour en extraire la moindre goutte de sperme.
En se relevant, elle se lécha les lèvres, déposa un rapide baiser sur la bouche de son amant et s’éclipsa.
La veille du départ, les filles avaient décidées de sortir une dernière fois. Frédéric resta quant à lui à la villa, les laissant s’amuser entre elles. Alors qu’elles s’apprêtaient à sortir, le téléphone d’Erika sonna.
- C’est Fabien, je fais vite je te jure ! Dit Erika à son amie en retournant s’isoler dans la chambre.
Frédéric, qui se tenait non loin de là s’approcha d’Ambre. Leur regard se croisa et en un instant il était collé à elle, plaquée contre le mur.
Leurs bouches se dévoraient, leurs mains se caressaient. Frédéric plongea sa main sous la jupe de la jeune femme et caressa avec excitation le tissus de son sous-vêtement, dont il sentit la dentelle sous ses doigts.
Ambre massait le torse de l’homme puis prit ses fesses à pleine main qu’elle malaxa avec excitation.
Frédéric glissa sa main dans la lingerie d’Ambre et à l’aide de son doigt joua avec son clitoris. La jeune femme, les yeux fermés, haletait de plaisir. Le doigt de l’homme s’aventura le long de la fente et s’introduisit dans le vagin humide qu’il doigta avec plaisir.
Il s’accroupit devant la jeune femme, relava sa jupe, et fit glisser le string jaune qu’Erika s’était amusée à lui mettre sous le nez. Il embrassa la douce toison blonde de son pubis.
Ambre leva la jambe droite pour offrir son intimité. Frédéric posa sa langue sur la chatte humide de la jeune femme et lui fit un divin cunnilingus. Il s’appliqua à lécher toutes la vulve douce, à mordiller les lèvres, à aspirer le petit bouton.
Alors qu’il prenait beaucoup de plaisir à en donner à la jeune femme, Ambre fut traversée par les spasmes de l’orgasme. Elle se mordit les lèvres pour ne pas faire trop de bruit. Frédéric continua quelques instants à lécher la chatte de la jeune femme puis se releva.
Alors qu’Ambre allait ramasser son string, Frédéric fut plus rapide qu’elle et s’en saisit. Il le mit dans sa poche en lui disant :
- Je le garde en souvenir !
Quelques instants après Erika revint.
- Allez on y va ! On va être en retard.
Ambre rajusta sa jupe discrètement en disant :
- Attends ! je dois repasser dans ma chambre.
- Non pas le temps, on y va. Tu as fais quoi pendant que j’étais au téléphone ? Ajouta Erika.
Ambre, embarrassée, n’insista pas et jeta un regard noir à Frédéric en sortant de la villa.
Frédéric, à présent seul dans la maison, porta le string jaune à son nez pour en savourer toutes les divines effluves et ressortit une incroyable excitation de savoir Ambre nue sous sa jupe pour passer la soirée.
Il se mit au lit vers 23h après s’être masturbé avec le string de la jeune femme.
Au milieu de la nuit, il fut réveillé par des bruits de pas, des bruissements de tissus. Il sentit une personne se glisser dans son lit. Une main délicate se posa sur son torse nu. A moitié endormit mais conscient de ce qui se passait, il se laissa faire.
Frédéric reconnu le parfum sucré d’Ambre qu’il inhala profondément. La jeune femme parcourait son torse musclé. Malgré ses 45 ans, Frédéric faisait plus jeune que son âge et restait athlétique. Seuls quelques cheveux et poils grisonnant ici ou là pouvaient trahir son âge.
La main parcourut doucement le torse de l’homme puis Frédéric sentit les lèvres humides d’Ambre se poser sur les siennes puis lui murmura :
- Ne pas porter de lingerie m’a drôlement excitée. J’ai pensé à ça toute la soirée.
Il lui rendit son baiser et ils s’embrassèrent avec fougue, leurs langues s’enroulant l’une autour de l’autre. Il posa la main sur sa visiteuse et constata qu’elle était complètement nue. Cette dernière laissa glisser la main le long du corps de Frédéric et malaxa ses cuisses avant de s’introduire dans son boxer. Elle s’empara du membre à moitié dur. Au fur et à mesure des caresses qu’elle lui prodiguait, elle sentait la queue frémir dans sa main et grossir. Elle le masturba un moment avant de se glisser sous les draps. Elle baissa le boxer et engloutit la queue dans sa bouche. Elle la suça avec voracité, léchant le membre sur toute sa longueur, massant ses couilles avec douceur.
Tandis qu’il savourait les caresses buccales de la jeune femme, Frédéric attarda ses doigts sur sa vulve humide. Il caressa la fente sur toute sa longueur, titillant son clitoris, pénétrant son vagin dégoulinant de mouille.
Ambre se retourna et se mit à califourchon sur l’homme. Elle attrapa la queue et la guida vers sa chatte humide. Elle plaça le gland à l’entrée de son vagin et descendit sur le membre pour qu’il s’enfonce en elle. Elle ondula du bassin pour rythmer les mouvements du sexe de Frédéric en elle. Tout en s’excitant sur sa queue, elle se pencha sur le père de son amie et l’embrassa avec passion.
Frédéric s’agrippait tantôt aux fesses de la jeune femme, tantôt empoignait ses seins en jouant avec ses malmenons dressés. Il bougeait en rythme avec la jeune femme pour enfoncer son pieux au plus profond de son amante.
Il releva son torse et avança son visage pour gober les tétons, les lécher, les aspirer, les mordiller.
Ambre fût prise par un orgasme. Elle se força à ne pas faire trop de bruit, de peur de réveiller Erika. Emportée par son plaisir, elle ne bougeait plus. Son partenaire donnait de puissants coup de rein pour enfoncer sa queue au plus profond du ventre de la jeune femme.
Frédéric était en plein rêve. Quelle bonheur de faire l’amour avec une femme, de la faire jouir. Cela faisait tellement longtemps qu’il n’avait pas connu ce plaisir.
Frédéric fit basculer la jeune femme sur le dos et lui écarta les jambes. Il approcha sa tête de sa vulve et la lécha. Il avait une folle envie de lui dévorer la chatte, de la lécher, de la faire frémir. Ambre se laissa emporter par les agréables caresses de son partenaire.
Lorsqu’il se fut régalé de son clitoris, de ses lèvres et de son vagin dégoulinant de cyprine il mit son bassin entre ses jambes. Tenant sa queue d’une main, il caressa longuement toute la vulve bouillante avec son gland puis la pénétra. Rapidement ses coups de reins furent fougueux, puissants. Son bassin tapait contre celui de sa partenaire. D’une main il massait ses seins, se penchait pour l’embrasser à pleine bouche.
Ambre se mit à quatre pattes pour se faire prendre en levrette. Frédéric se mit derrière elle et reprit son ardente prestation.. Ambre apprécia de se faire prendre ainsi, de se faire besogner avec énergie, telles des bêtes. Elle se laissa aller à quelques paroles qui firent redoubler son amant de fougue :
- Vas-y défonce moi la chatte ! Plus fort !
Ambre s’allongea sur le ventre et son partenaire poursuivit ses fougueuses attentions. Il se pencha vers la jeune femme et la couvrit de baisers, dans le cou, la nuque les épaules, goba les lobes de ses oreilles. Un nouvel orgasme parcourut le corps de la jeune femme.
D’entendre Ambre jouir, fut le plaisir ultime pour Frédéric qui fut pris également par un orgasme. Sans un bruit la jeune sentit avec plaisir le sperme de son amant se répandre dans son vagin.
Ils s’allongèrent sur le côté, Frédéric blotti dans le dos d’Ambre et l’embrassant dans la nuque et l’épaule. Son bras entourait la jeune femme, sa main massant avec douceur ses seins tandis que cette dernière laissait ses doigts vagabonder sur la cuisse de son amant.
Bien trop vite, elle finit par prendre congés pour s’en retourner dans sa chambre à pas feutrés.
Les vacances terminées, Frédéric revoyait Ambre régulièrement lorsqu’elle venait à la maison voir Erika, mais plus jamais il ne se passa quelque chose entre eux. Aucun des deux n’avait exprimé de désir envers l’autre dans leur environnement habituel.
L’aventure était passagère, les vacances, le soleil avaient décuplés leurs envies, enjolivé le moment, mit une touche de magie sur une relation improbable.
Frédéric se tourna vers l’avenir, heureux de cette expérience mais aucunement nostalgique. Il s’inscrivit sur un site de rencontre, bien décidé de rencontrer une femme avec qui partager d’agréables moments, partager des joies et des peines, simplement partager sa vie.
Et pour cela, il en remercia intérieurement Ambre qui avait réveillé ses sens, rouvert son cœur à l’amour et libéré son esprit de la peur de s’engager à nouveau.
Quelques semaines avant de partir, Erika lui demanda, lui supplia plutôt, de bien vouloir emmener avec eux sa meilleure amie, Ambre. Ses projets de vacances étaient tombés à l’eau au dernier moment et elle se retrouvait seule en ce mois d’août. Cependant, il avait peur qu’Ambre n’accapare sa fille et ne lui vole le temps qu’il pourrait passer avec elle. Frédéric ne fit pas part de ses inquiétudes à Erika et, à contre cœur, accepta, dans le seul but de faire plaisir à sa fille.
C’est donc un peu maussade que Frédéric prit la route de bonne heure avec sa fille et son amie. Toutefois la joie communicative des filles et l’attention d’Erika à ne pas exclure son père lui fit passer sa mauvaise humeur au fil de la route.
Erika et Ambre étaient deux filles d’une vingtaine d’année assez différentes. La fille de Frédéric était grande, la peau hâlée comme sa mère, brune et belle. Elle était volubile, bavarde, dynamique, espiègle et toujours d’humeur enjouée. Frédéric était très fier de sa fille.
Ambre, était de taille moyenne, blonde et la peau blanche comme la nacre. Elle n’était pas spécialement jolie, mais ses yeux d’un bleu intense étaient troublants et lui donnait assurément du charme. Bien que plus extravertie en présence d’Erika, elle était réservée avec la plupart des gens. Elle avait une voix douce, presque envoûtante, qui lui procurait une attirance magnétique.
Arrivés tard dans la soirée, les trois vacanciers défirent leur bagages et s’installèrent dans la jolie maison à l’architecture typique du sud. Après un apéro et un repas simple, Frédéric ne veilla pas très tard, fatigué par le trajet. Il entendit les filles discuter et rire près de la piscine un certain temps avant de s’endormir, terrassé de fatigue par le voyage.
Le lendemain, après une balade matinale et un agréable barbecue, les deux copines et le père de famille choisirent de profiter de la piscine. Frédéric était déjà installé sur un transat lorsqu’Erika arriva en maillot deux pièces, un paréo autour de la taille.
Ambre les rejoignit quelques minutes plus tard vêtue d’un maillot une pièce. En la voyant, Erika s’exclama en surjouant son aversion:
- C’est quoi cette horreur ? Tu n’es pas d’accord papa ?
Embêté d’être pris à témoin, le père de la jeune femme marmonna une réponse qui voulait ménager tout le monde. Il regarda Ambre un peu plus attentivement. Il est vrai qu’elle avait un joli corps et qu’il était plutôt d’accord avec sa fille. Ambre portait souvent des vêtements amples et à cet instant il trouva ça effectivement dommage.
Ambre se regarda, ne voyant pas ce qui choquait son amie.
- Tu es belle comme tout, tu devrais mettre un maillot deux pièces qui te mette en valeur.
- Je ne sais pas, hésita la jeune femme.
- Viens, je vais te prêter un de mes maillots et tout à l’heure on ira t’en acheter un autre ! Et pendant qu’on y est on va compléter ta garde robe !
Les deux jeunes femmes revinrent quelques minutes plus tard. Ambre portait à présent un maillot 2 pièces violet qui mettait ses jolies formes en valeur. Elle semblait un peu gênée au début de se balader ainsi. Les deux jeunes femmes se mirent de la crème solaire, et s’allongèrent au soleil.
En milieu d’après-midi, elles se rhabillèrent et partirent à pieds dans le centre ville animé non loin de leur villa. Erika était bien décidée à faire acheter de nouveaux vêtements à Ambre qui se prenait doucement au jeu de son amie.
Elles revinrent en fin de journée avec un sac plein de vêtements. Erika s’avança près de son père qui, après une petite sieste, avait reprit la lecture de son livre.
- Regarde papa, on a prit ce maillot pour Ambre. Il n’est pas mieux que son horrible maillot ?
- Oui, c’est sûr, approuva Frédéric en fixant le petit ensemble vert.
- Elle a aussi craqué pour cette jolie robe.
Ambre regardait son amie montrer ses achats à son père, un peu embarrassée.
- Et aussi cette jupe super sexy pour chopper des garçons en ville, dit-elle en faisant un clin d’œil à son amie.
Frédéric fixait la jupe noire, très très courte et qui présentait une petite fente sur le côté gauche.
- Vous ne vous êtes pas trompée de taille, c’est très court ! Fit remarquer Frédéric avec un sourire.
- Elle a même acheté de la lingerie ! enchaîna Erika en exhibant un string jaune.
- Mais ça va pas ! s’exclama Ambre, embarrassée.
Elle arracha le petit bout de tissus des mains de son amie, remit précipitamment les vêtements dans le sac, et retourna dans la maison, les joues rouge de honte et en colère contre Erika.
Cette dernière qui riait encore de sa blague, suivit son amie.
Le soir-même, ils passèrent tous les trois la soirée à la ville pour profiter d’un bon restaurant.De retour à la maison, ils profitèrent de l’agréable fraîcheur de la nuit tombante au bord de la piscine. Vers 23h, ils rentrèrent à la maison. Frédéric rangea dans le frigo la bouteille de soda qu’ils avaient siroté dans la relative obscurité de la terrasse.
Lorsqu’il arriva au pied de l’escalier, Erika était déjà sur le palier, suivit par Ambre. Cette dernière avait revêtue la mini jupe noire qu’elle avait acheté plus tôt dans l’après-midi. Frédéric avait résisté tant bien que mal toute la soirée à ne pas trop laisser traîner ses yeux sur les cuisses nues de la jeune femme, mais ce qu’il vit alors fût trop pour lui.
Lui en bas de l’escalier, elle en haut et arborant une jupe si courte offrit la vue de sa culotte noire au père d’Erika. Alors qu’il aurait dû baisser les yeux pour ne pas profiter de la situation, son regard resta hypnotisé par le haut des cuisses d’Ambre et de sa culotte noire enveloppant joliment ses fesses rondes.
Elle arriva sur la palier, fit quelques pas et la vue magnifique qu’avait Frédéric s’évanouit. Il arriva à son tour sur le palier, troublé. Il fila rapidement vers sa chambre, un peu gêné de croiser le regard de la jeune femme.
Le matin, Frédéric terminait son petit déjeuner lorsqu’Erika et Ambre le rejoignirent. Son regard se porta inévitablement sur l’amie de sa fille. Ses cheveux étaient en bataille, elle arborait encore une marque d’oreiller sur la joue mais il la trouvait belle. Jamais bien sûr il n’avait envisagé Ambre de cette façon. Il était perturbé par ses sentiments.
Son attention se porta alors sur le pyjama de la jeune femme. Elle portait un ensemble rose pâle, constitué d’un short court et d’un t-shirt. Ses yeux se fixèrent sur la ferme poitrine de la jeune femme. S’il avait l’impression de distinguer l’aréole sous le fin tissus, il distinguait par contre parfaitement les mamelons assez développés de la jeune femme.
Frédéric resta là quelques minutes, puis embarrassé, s’éclipsa.
En fin de matinée, alors que la chaleur était déjà très présente, les deux jeunes femmes s’installèrent sur le transat. Le portable d’Erika retentit alors.
- C’est Fabien ! S’exclama-t-elle.
Fabien était le petit ami d’Erika. Ils s’étaient rencontrés il y a peu et passaient beaucoup de temps au téléphone.
Elle décrocha et s’avança vers la maison pour s’isoler. Ambre s’exclama alors :
- Erika ! et ma crème !?
- Demande à mon père ! Rétorqua simplement Erika qui ne se préoccupait plus de son amie.
- Pourriez-vous m’aider avec la crème solaire ? Finit par demander timidement Ambre, visiblement embarrassée. Je serai toute rouge si je l’attends pour qu’elle m’aide.
- Heu...oui bien sûr, répondit Frédéric un peu gêné aussi.
L’homme se leva et se dirigea vers le transat de la jeune femme. Elle s’était allongée sur le ventre afin que le père de sa copine puisse lui mettre de la crème dans le dos.
Frédéric resta quelques instants sans bouger, le tube de crème solaire dans la main, embarrassé devant le joli corps féminin allongé devant lui.
Il fit couler une noisette de crème sur les épaules d’Ambre qui eu un frisson au contact du liquide frais. L’homme posa ses doigts sur la crème et commença de délicats mouvements circulaires. Le contact de la peau douce sous ses doigts le mit en émoi. Il était célibataire depuis qu’il avait divorcé et n’avait pas retrouvé de compagne depuis. Aussi, toucher la peau douce de la jeune femme du bout des doigts lui procurait plus de trouble que cela n’aurait dû.
Lentement, il massa les épaules puis les bras. Il versa un peu de crème dans le creux du dos de la jeune femme et l’étala soigneusement sur toute la peau nacrée. Lorsque ses doigts frôlèrent l’élastique du maillot vert amande un frisson le parcourut et il s’arrêta.
- Vous pouvez m’en mettre sur les jambes également s’il vous plaît ?
- Oui… bien sûr… balbutia Frédéric.
Il fit couler un petit filet de liquide sur la cuisse gauche qu’il massa, sans remonter trop haut. Son trouble était aussi grand que la peau de la jeune femme était douce. Son regard s’arrêta sur les jolies courbes des fesses d’Ambre. Le maillot légèrement échancré offrait à sa vue plus de peau qu’il n’aurait voulut en voir. Ne parvenant pas à détourner son regard, ce dernier glissa le long des fesses, puis entre ses cuisses, attiré vers son intimité.
- Vous pouvez mettre de la crème jusqu’au maillot s’il vous plaît ? demanda l’amie d’Erika que Frédéric trouvait de moins en moins inhibée !
- Oui, répondit Frédéric d’un ton hésitant, sortant de sa torpeur.
Il refit couler un peu de crème sur le haut des cuisses de la jeune femme. Elle eut un petit mouvement du bassin en sentant la crème fraîche couler sur sa peau brûlante. Avec un peu de maladresse, Frédéric étala la crème jusqu’à la base des fesses puis s’aventura sur celles-ci afin d’atteindre l’élastique du maillot. Le postérieur d’Ambre bougeait sous le massage des mains maladroites de Frédéric.
Son imagination se perdit dans cet endroit si plaisant aussi massa-t-il la délicate peau de la jeune femme plus longtemps qu’il n’y avait besoin. Si cette dernière s’en rendit compte, elle ne s’en offusqua pas. Il finit par se sentir honteux de regarder ainsi le corps d’Ambre qui pourrait être sa fille et détourna les yeux.
Il essaya de reprendre ses esprits et s’en retourna sur son transat.
- Merci, dit Ambre de sa voix envoûtante qui amplifia la confusion du père.
Sur son transat, Frédéric ne pût s’empêcher de porter à nouveau son regard sur le corps peu vêtu de la jeune femme.
Avant le séjour, la présence d’Ambre ne l’avait jamais troublé. Elle était une amie de sa fille et rien d’autre. Mais depuis le début de leurs vacances, en voyant la jeune femme peu vêtue, elle qui portait toujours des vêtements amples, il se sentait attiré par elle.
Et depuis qu’il l’avait touché, sentit sous ses doigts sa peau douce, son esprit vagabondait dans des rêveries de plaisir. Son corps réagit à ses fantasmes et il sentit son sexe durcir dans son maillot.
Il plongea finalement dans la piscine, autant pour essayer de se calmer que pour ne pas que la jeune femme surprenne son trouble.
Alors que l’excitation retombait, après un long moment à nager, Ambre se retourna pour s’asseoir. Elle prit la crème et en appliqua avec grâce le long de ses jambes. Elle parcourut son ventre plat puis protégea ses bras, son cou et son visage. Enfin, elle fit couler un filer de liquide entre ses seins et massa le haut de ceux-ci jusqu’à son sou. Sa poitrine ne bougeait que légèrement sous les mouvements de sa délicate main pour faire pénétrer la protection solaire. Chacun de ses mouvements sur son corps était accompagné d’un regard appuyé en direction de Frédéric.
Quand elle eût fini, Frédéric était à nouveau troublé, excité même. Il reprit ses longueurs dans la piscine et se dit que cet émoi avait au moins le bon côté de lui faire faire du sport.
Erika revint, au moins 45 minutes après les avoir quittés. Elle se protégea à son tour avec l’aide de son amie et s’exposa au soleil. En présence de sa fille, Frédéric retrouva un peu de sérénité.
Après cet évènement, Frédéric ne pu s’empêcher de voir Ambre avec une pointe de désir et la nouvelle attention que lui témoignait la jeune femme le troublait. Son regard s’arrêtait volontiers sur ses yeux bleus comme des lagons, sur ses seins fermes, sur ses hanches, ses fesses ou ses jambes nues. Tout son corps lui plaisait, l’attirait comme jamais.
Ce qui le troubla encore plus cependant, c’était qu’il avait l’impression que l’attitude de la jeune femme avait changé à son égard. Auparavant réservée vis-à-vis de lui, il lui semblait qu’elle était un peu plus libérée, voire se plaisait à l’aguicher discrètement . Il tenta de chasser cette pensée en se traitant d’idiot.
Lors des balades, il observait du coin de l’œil la démarche gracile de la jeune femme, ses jambes nacrées illuminées par le soleil de Provence, sa beauté dans ses légères robes d’été que lui avait fait acheter Erika, ses seins pointant sous le fin tissus fleurit.
Attablés à un bar, il ne pouvait s’empêcher de laisser ses yeux se perdre sur ses cuisses ou ses mains délicates tandis que sa voix douce chantait à ses oreilles. Il avait l’impression d’être redevenu un ado emporté par la déferlante de ses hormones.
Le soir, l’émotion de Frédéric ne retombait pas, bien au contraire ! Lorsque Ambre débarquait dans le salon uniquement vêtue de son pyjama le quadragénaire était envoûté. Elle se déplaçait dans un short en coton rose très court et un t-shirt sous lequel il pouvait distinguer la moindre forme de sa poitrine nue.
Et c’est toujours très excité qu’il partait se coucher. Il en fut pris de honte après, mais un soir il ne put résister à se masturber en repensant à Ambre. La jeune femme envahissait de plus en plus ses pensées.
Et tout au long de la journée, il lui semblait que l’amie d’Erika lui lançait des regards aguicheurs, toujours en prenant soin qu’Erika ne les surprenne pas. Elle se penchait ostensiblement pour offrir un peu plus de son décolleté ou de ses fesses à l’homme avec qui elle se plaisait à jouer. Un doigt qui effleure une main, une épaule, une cuisse et le père d’Erika était troublé.
La jeune femme timide semblait bien loin, et Frédéric découvrait sa vraie nature.
Un soir alors qu’ils prenaient l’apéro sur un petit salon de jardin, Ambre troubla Frédéric. Assise en fasse de lui, elle croisait et décroisaient régulièrement les jambes. La petite table basse qui les séparaient ne cachait rien de ses jambes. Aussi, le regard du père de famille se perdait sur le haut des cuisses de la jeune femme. Lorsqu’Erika s’éclipsa quelques minutes, Ambre en profita pour ouvrir un peu plus les jambes et offrir la vue de sa culotte.
A son retour, Erika, qui n’avait pas remarqué le manège de son amie, trouva son père fortement déstabilisé et s’en étonna.
- Ca va papa ? Demanda-t-elle un peu étonnée.
- Oui, tout va bien. C’est l’alcool qui doit me monter à la tête mentit-il d’une voix peu assurée.
Quelques jours passèrent, et rien ne se produisit jusqu’à ce que l’appel de Fabien fasse quitter à nouveau Erika de son transat où elle bronzait avec son amie, comme au premier jour.
Ambre en profita pour demander à Frédéric :
- Pourriez-vous me remettre de la crème s’il vous plaît ?
Elle ne le demanda pas avec timidité comme la première fois, mais avec assurance.
Frédéric était tiraillé. Il ne savait pas s’il devait fuir, partir pour ne pas déraper, ou au contraire bondir vers la jeune femme, faire ce qu’elle demandait et savourer l’instant.
- Oui, répondit finalement l’homme après un moment d’hésitation.
Il n’avait pas encore rejoint la jeune femme qu’il sentait l’excitation monter en lui.
Ambre passa les mains dans son dos et dégrafa le haut de son maillot qu’elle déposa au sol. Deux beaux seins, fiers, aussi fermes que parfaitement ronds, apparurent aux yeux écarquillés de Frédéric.
- Cela ne vous dérange pas que je fasse du topless ? Je voudrai éviter les marques de bronzage, ajouta-t-elle pour se justifier.
- Non… balbutia Frédéric après avoir déglutit.
Ambre se rallongea et laissa le père de son ami l’enduire de crème. S’il était jusque là circonspect sur les intentions de la jeune femme, plus aucun doute n’était permis. Elle le cherchait bien.
Ils étaient majeurs tous les deux, il décida de saisir l’occasion qui se présentait à lui et d’explorer un peu plus le magnifique corps de l’amie de sa fille.
Il débuta son exploration à la base du cou de la jeune femme après y avoir fait couler un filet de crème. Sa main caressa la gorge douce en poursuivant jusqu’aux lobes de ses oreilles. Les doigts glissèrent le long du cou et découvrirent ses épaules avant de descendre le long de ses bras. Arrivés au creux des paumes d’Ambre, cette dernière serra ses doigts sur la main de l’homme avant de le relâcher quelques instant plus tard pour qu’il poursuive son agréable exploration.
Il remettait de temps en temps de la crème sur la peau douce de la jeune femme avant de continuer son voyage. Il remonta le long du bras en serpentant comme une rivière courant au milieu d’une prairie.
Il fit couler un filet de crème au creux des seins d’Ambre qui frissonna. Délicatement, il trempa ses doigts dans le liquide et remonta la colline de sa poitrine. Il massa doucement ses seins, sentant, non sans excitation, les tétons roses pâles durcir sous ses doigts. Il les fit rouler entre son index et son pouce, les pinça. Ambre avait les yeux fermés et le plaisir se lisait sur son visage. Elle frissonnait, respirait un peu plus fort.
Après avoir longuement joué avec les seins de la jeune femme, il redescendit en direction de son ventre. Il traversa la plaine douce en zigzaguant puis plongea au fond de son nombril. Son index fouilla le petit orifice et ressorti. La main enduite de crème rencontra la frontière de son maillot.
Délicatement, ses doigts soulevèrent le tissus et glissèrent sous la culotte. Ils rencontrèrent une douce savane avec laquelle ils jouèrent un peu avant de revenir en arrière.
Frédéric mit une noisette de crème sur les cuisses d’Ambre qu’il étala avec sensualité. D’abord au niveau des genoux, puis remontant doucement le long de la jambe. Alors qu’il cherchait à enduire l’intérieur des cuisses, la jeune femme écarta un peu les jambes pour faciliter son exploration. La main plongeait le long de la peau douce comme la pêche entre les jambes puis remontait. Se faisant, il avançait lentement vers le haut de la cuisse. Il remonta tant et si bien que ses doigts frôlèrent l’intimité de la jeune femme au travers du tissus du maillot.
Ambre se mit à onduler du bassin au même rythme que la main qui explorait son corps, à haleter. Frédéric avait laissé sa main tout en haut de la jambe, la faisant monter et descendre à l’intérieur de la cuisse en frottant sans équivoque la vulve gonflée d’excitation de la jeune femme. A force de caresser l’intimité d’Ambre, une tâche d’humidité apparût sur le tissus vert du maillot. Déjà très excité par la situation, Frédéric sentit son membre se durcir encore plus dans son maillot.
- Tu peux te tourner, dit le père de famille à la copine de sa fille.
Ambre obtempéra et s’allongea sur le ventre. Frédéric enduisit tout le dos de la jeune femme avec le plus de sensualité qu’il pouvait. Il mit de la crème à la base des fesses qu’il massa en douceur. Les doigts glissèrent sous le maillot pour prendre à pleine main une fesse et la malaxer. Il fit de même avec sa voisine pour le plus grand plaisir de la jeune femme.
Il massa l’arrière des cuisses et campa à l’intérieur de celles-ci, frôlant à chaque mouvement le tissus du maillot qui épousait chaque forme de la vulve. Après quelques instants, Frédéric vint s’asseoir sur le côté opposé du transat.
Délicatement, il attrapa chaque côté du maillot et le fit glisser le long des jambes. Ambre se tortilla pour l’aider dans sa tâche. Il arrêta sa course lorsque la culotte se trouva à mi-cuisse.
Un spectacle merveilleux se dévoila sous ses yeux.
Les fesses entièrement nues de la jeune femme et surtout une vulve magnifique qui s’offrait à lui. Il posa sa main non enduite de crème sur les fesses qu’il massa avec excitation. Sa main descendit pour caresser la vulve toute lisse. Son index glissa entre les deux grosses lèvres humides qui s’écartèrent pour le laisser passer. Il faisait des mouvements verticaux le long de la fente. Les petits gémissements que faisaient Ambre l’encourageait à continuer.
Délicatement son majeur vint titiller le clitoris gonflé. Il l’excitât un peu, le fit tourner sous son doigt et appuya délicatement dessus. La jeune femme n’en pouvait plus, le plaisir devenait intense. Sentant l’imminence d’un orgasme, Frédéric cessa ses intenses caresses et revint malaxer les fesses et les cuisses de la jeune femme.
Après quelques minutes à faire redescendre l’excitation, Frédéric retourna vers la vulve d’Ambre. Son majeur glissa le long de sa fente et chercha l’entrée de son vagin. Doucement, le doigt s’introduisit dans l’antre bouillonnante et entama un agréable va-et-vient. La jeune femme se remit à onduler du bassin au rythme des pénétrations.
La respiration d’Ambre se fit de plus en plus forte, son bassin dansant de plus en plus frénétiquement jusqu’à la libération. Elle étouffa ses gémissements en serrant les lèvres. Les caresses intensives du père de son amis prolongèrent son orgasme un long moment. Lorsque le plaisir fût passé. Frédéric retira son doigt, remonta délicatement le maillot et déposa un baiser sur l’épaule de la jeune femme.
- Te voilà prête pour bronzer.
Alors qu’Ambre remettait le haut de son maillot, Frédéric se dirigea vers la piscine, sa queue prête à déchirer son maillot. A peine était-t-il rentré dans l’eau qu’Erika revint sur la terrasse. A son comportement, elle ne semblait pas avoir vu ce qu’il s’était passé entre son amie et son père, au grand soulagement de ce dernier. Cette après-midi là, le quarantenaire fit plus de longueurs qu’il n’en avait jamais fait !
Le lendemain matin, alors que Frédéric débarrassait la table du petit déjeuner, Erika remonta à l’étage pour se préparer. Ambre profita alors de l’occasion pour se coller au père de son amie. Elle l’embrassa fougueusement, puis rapidement s’agenouilla devant lui.
Elle baissa le short de pyjama et libéra son sexe encore mou qu’elle mit dans la bouche. Elle sentit le membre grossir très vite sur sa langue. Ses lèvres parcouraient toute la queue tendue, sa langue léchait chaque centimètre de la hampe de chair.
Frédéric avait la tête baissée, profitant d’admirer cette jeune femme lui donner du plaisir.
Ambre caressait ses couilles, faisait danser sa langue sur le gland gonflé. L’orgasme approchant, Frédéric en avertit la jeune femme. Elle leva les yeux vers lui, lui sourit et remit bien la queue dans sa bouche et redoubla ses caresses.
Avec un léger râle étouffé, Frédéric éjacula dans la bouche de la jeune femme qui faisait glisser sa main sur la queue qu’elle serrait pour en extraire la moindre goutte de sperme.
En se relevant, elle se lécha les lèvres, déposa un rapide baiser sur la bouche de son amant et s’éclipsa.
La veille du départ, les filles avaient décidées de sortir une dernière fois. Frédéric resta quant à lui à la villa, les laissant s’amuser entre elles. Alors qu’elles s’apprêtaient à sortir, le téléphone d’Erika sonna.
- C’est Fabien, je fais vite je te jure ! Dit Erika à son amie en retournant s’isoler dans la chambre.
Frédéric, qui se tenait non loin de là s’approcha d’Ambre. Leur regard se croisa et en un instant il était collé à elle, plaquée contre le mur.
Leurs bouches se dévoraient, leurs mains se caressaient. Frédéric plongea sa main sous la jupe de la jeune femme et caressa avec excitation le tissus de son sous-vêtement, dont il sentit la dentelle sous ses doigts.
Ambre massait le torse de l’homme puis prit ses fesses à pleine main qu’elle malaxa avec excitation.
Frédéric glissa sa main dans la lingerie d’Ambre et à l’aide de son doigt joua avec son clitoris. La jeune femme, les yeux fermés, haletait de plaisir. Le doigt de l’homme s’aventura le long de la fente et s’introduisit dans le vagin humide qu’il doigta avec plaisir.
Il s’accroupit devant la jeune femme, relava sa jupe, et fit glisser le string jaune qu’Erika s’était amusée à lui mettre sous le nez. Il embrassa la douce toison blonde de son pubis.
Ambre leva la jambe droite pour offrir son intimité. Frédéric posa sa langue sur la chatte humide de la jeune femme et lui fit un divin cunnilingus. Il s’appliqua à lécher toutes la vulve douce, à mordiller les lèvres, à aspirer le petit bouton.
Alors qu’il prenait beaucoup de plaisir à en donner à la jeune femme, Ambre fut traversée par les spasmes de l’orgasme. Elle se mordit les lèvres pour ne pas faire trop de bruit. Frédéric continua quelques instants à lécher la chatte de la jeune femme puis se releva.
Alors qu’Ambre allait ramasser son string, Frédéric fut plus rapide qu’elle et s’en saisit. Il le mit dans sa poche en lui disant :
- Je le garde en souvenir !
Quelques instants après Erika revint.
- Allez on y va ! On va être en retard.
Ambre rajusta sa jupe discrètement en disant :
- Attends ! je dois repasser dans ma chambre.
- Non pas le temps, on y va. Tu as fais quoi pendant que j’étais au téléphone ? Ajouta Erika.
Ambre, embarrassée, n’insista pas et jeta un regard noir à Frédéric en sortant de la villa.
Frédéric, à présent seul dans la maison, porta le string jaune à son nez pour en savourer toutes les divines effluves et ressortit une incroyable excitation de savoir Ambre nue sous sa jupe pour passer la soirée.
Il se mit au lit vers 23h après s’être masturbé avec le string de la jeune femme.
Au milieu de la nuit, il fut réveillé par des bruits de pas, des bruissements de tissus. Il sentit une personne se glisser dans son lit. Une main délicate se posa sur son torse nu. A moitié endormit mais conscient de ce qui se passait, il se laissa faire.
Frédéric reconnu le parfum sucré d’Ambre qu’il inhala profondément. La jeune femme parcourait son torse musclé. Malgré ses 45 ans, Frédéric faisait plus jeune que son âge et restait athlétique. Seuls quelques cheveux et poils grisonnant ici ou là pouvaient trahir son âge.
La main parcourut doucement le torse de l’homme puis Frédéric sentit les lèvres humides d’Ambre se poser sur les siennes puis lui murmura :
- Ne pas porter de lingerie m’a drôlement excitée. J’ai pensé à ça toute la soirée.
Il lui rendit son baiser et ils s’embrassèrent avec fougue, leurs langues s’enroulant l’une autour de l’autre. Il posa la main sur sa visiteuse et constata qu’elle était complètement nue. Cette dernière laissa glisser la main le long du corps de Frédéric et malaxa ses cuisses avant de s’introduire dans son boxer. Elle s’empara du membre à moitié dur. Au fur et à mesure des caresses qu’elle lui prodiguait, elle sentait la queue frémir dans sa main et grossir. Elle le masturba un moment avant de se glisser sous les draps. Elle baissa le boxer et engloutit la queue dans sa bouche. Elle la suça avec voracité, léchant le membre sur toute sa longueur, massant ses couilles avec douceur.
Tandis qu’il savourait les caresses buccales de la jeune femme, Frédéric attarda ses doigts sur sa vulve humide. Il caressa la fente sur toute sa longueur, titillant son clitoris, pénétrant son vagin dégoulinant de mouille.
Ambre se retourna et se mit à califourchon sur l’homme. Elle attrapa la queue et la guida vers sa chatte humide. Elle plaça le gland à l’entrée de son vagin et descendit sur le membre pour qu’il s’enfonce en elle. Elle ondula du bassin pour rythmer les mouvements du sexe de Frédéric en elle. Tout en s’excitant sur sa queue, elle se pencha sur le père de son amie et l’embrassa avec passion.
Frédéric s’agrippait tantôt aux fesses de la jeune femme, tantôt empoignait ses seins en jouant avec ses malmenons dressés. Il bougeait en rythme avec la jeune femme pour enfoncer son pieux au plus profond de son amante.
Il releva son torse et avança son visage pour gober les tétons, les lécher, les aspirer, les mordiller.
Ambre fût prise par un orgasme. Elle se força à ne pas faire trop de bruit, de peur de réveiller Erika. Emportée par son plaisir, elle ne bougeait plus. Son partenaire donnait de puissants coup de rein pour enfoncer sa queue au plus profond du ventre de la jeune femme.
Frédéric était en plein rêve. Quelle bonheur de faire l’amour avec une femme, de la faire jouir. Cela faisait tellement longtemps qu’il n’avait pas connu ce plaisir.
Frédéric fit basculer la jeune femme sur le dos et lui écarta les jambes. Il approcha sa tête de sa vulve et la lécha. Il avait une folle envie de lui dévorer la chatte, de la lécher, de la faire frémir. Ambre se laissa emporter par les agréables caresses de son partenaire.
Lorsqu’il se fut régalé de son clitoris, de ses lèvres et de son vagin dégoulinant de cyprine il mit son bassin entre ses jambes. Tenant sa queue d’une main, il caressa longuement toute la vulve bouillante avec son gland puis la pénétra. Rapidement ses coups de reins furent fougueux, puissants. Son bassin tapait contre celui de sa partenaire. D’une main il massait ses seins, se penchait pour l’embrasser à pleine bouche.
Ambre se mit à quatre pattes pour se faire prendre en levrette. Frédéric se mit derrière elle et reprit son ardente prestation.. Ambre apprécia de se faire prendre ainsi, de se faire besogner avec énergie, telles des bêtes. Elle se laissa aller à quelques paroles qui firent redoubler son amant de fougue :
- Vas-y défonce moi la chatte ! Plus fort !
Ambre s’allongea sur le ventre et son partenaire poursuivit ses fougueuses attentions. Il se pencha vers la jeune femme et la couvrit de baisers, dans le cou, la nuque les épaules, goba les lobes de ses oreilles. Un nouvel orgasme parcourut le corps de la jeune femme.
D’entendre Ambre jouir, fut le plaisir ultime pour Frédéric qui fut pris également par un orgasme. Sans un bruit la jeune sentit avec plaisir le sperme de son amant se répandre dans son vagin.
Ils s’allongèrent sur le côté, Frédéric blotti dans le dos d’Ambre et l’embrassant dans la nuque et l’épaule. Son bras entourait la jeune femme, sa main massant avec douceur ses seins tandis que cette dernière laissait ses doigts vagabonder sur la cuisse de son amant.
Bien trop vite, elle finit par prendre congés pour s’en retourner dans sa chambre à pas feutrés.
Les vacances terminées, Frédéric revoyait Ambre régulièrement lorsqu’elle venait à la maison voir Erika, mais plus jamais il ne se passa quelque chose entre eux. Aucun des deux n’avait exprimé de désir envers l’autre dans leur environnement habituel.
L’aventure était passagère, les vacances, le soleil avaient décuplés leurs envies, enjolivé le moment, mit une touche de magie sur une relation improbable.
Frédéric se tourna vers l’avenir, heureux de cette expérience mais aucunement nostalgique. Il s’inscrivit sur un site de rencontre, bien décidé de rencontrer une femme avec qui partager d’agréables moments, partager des joies et des peines, simplement partager sa vie.
Et pour cela, il en remercia intérieurement Ambre qui avait réveillé ses sens, rouvert son cœur à l’amour et libéré son esprit de la peur de s’engager à nouveau.
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