DIX HUIT ANS
Récit érotique écrit par Claude Lamour [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
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DIX HUIT ANS
Dix huit ans
« Joyeux anniiiiversaireeeeee, joyeux anniiiiversaireeeee… »
La lumière de la salle c’est éteinte. Une lueur tremblotante arrive du couloir.
« Joyeux anniiiversaireee…. Cécile…. joyeux anniiiiversaireeeeee…………. »
Dans les cris et les applaudissements, un magnifique gâteau est déposé sur la table. Dix huit petites bougies, disposées en forme de cœur, font briller les yeux de mes amis et scintiller leurs verres de champagne. Je prend une grande inspiration et…
« Pfffffffffffffffffffffffff !!!!!!! »
…souffle toutes les flammes d’un coup. Les applaudissements reprennent, la lumière revient et la musique recommence à jouer. Je suis couverte de cadeaux et de bisous. Une cinquantaine de personnes sont présentent, mais je n’en connais que la moitié. Les autres, sont des amis de mes amis. Plus on est de fou… Mes parents sont partis pour le week-end et m’ont donnée carte blanche pour organiser ma petite fête, dans le petit pavillon de banlieue. Mon grand frère est là aussi. Ca me fait plaisir, car ayant quitté la maison, je le vois moins souvent.
J’entame la découpe de l’immense gâteau, remplissant un nombre incalculable d’assiettes. Une main saisie mon poignet.
« Viens, on vas se refaire une beauté. »
C’est Valérie. Une magnifique plante de quarante ans, que j’aime beaucoup et qui compte énormément dans ma vie. Elle m’entraîne dans la salle de bain du premier, en riant. Devant le miroir, nous retouchons mutuellement nos maquillages, débitant des âneries qui ne peuvent faire rire que nous. Je recoiffe ses longs cheveux noirs. Ils sont lisses, fins et soyeux. Elle me donne un bisou sur la bouche et voyant ma surprise, recommence à rire aux éclats.
« Aller ! Viens danser ma belle. »
Me reprenant la main, elle me tire et nous sortons en sautillant dans le couloir, comme deux enfants. Nous passons devant ma chambre, mais au moment où nous atteignons l’escalier, Valérie s’arrête et me regarde d’une façon étrange. Puis, sans lâcher ma main, elle fait demi tour et se dirigeant vers ma chambre, elle me dit.
« Viens. »
Nous entrons, elle referme promptement la porte et s’y adosse. Tout vas si vite, que je manque de tomber et me retrouvant face à elle, je me retiens à son épaule tout en riant.
« Tu es folle ? Qu’est ce que tu fabrique ? »
Mais Valérie ne rie plus. Ses grands yeux sombres me dévisagent avec tendresse. Elle me tient toujours la main. De l’autre, elle replace délicatement une mèche de mes cheveux, derrière mon oreille. Puis ses longs doigts s’attardent sur ma joue, la caressant, la frôlant. Je suis bouleversée par tant de tendresse, mais, comme pour rajouter encore à mon émoi, son pouce maintenant, glisse sur mes lèvres.
« Je ne pense pas que ce soit une bonne idée ! »
« Chuuuuuuuuuttttttt ! »
Le léger souffle que produit sa bouche me fait fermer les yeux. Je sens sa poitrine frôler la mienne, au rythme de nos respirations. Bien que dans un trouble immense, je perçois les pointes des mes seins se durcir et se dressées, ce qui ne fait qu’augmenter mon désarroi. Mes jambes sont molles et ont bien du mal à me soutenir. Ses longs doigts fins glissent vers ma nuque, se perdent dans mes cheveux et poussent doucement ma tête pour mettre en contact nos deux bouches. Je ne peux que céder à ce moment si voluptueux. Sa langue fouille délicatement entre mes lèvres ouvertes. Elle me serre, à présent, tout contre elle. Je sens son ventre se soulever, se contracter contre le mien. Une de ses cuisses monte et descend sur la mienne. Nos lèvres parfois, se détachent, mais restent reliées par des fils d’argents. Je suis emportée dans un tourbillon de sensations. Sa respiration, bruyante, résonne dans ma bouche et la mienne dans la sienne. Ma chaleur est sa chaleur, mon corps est son corps. Nous ne sommes plus qu’une.
Elle se détache lentement de la porte et, tout en continuant à me donner de fabuleux baisers, elle me pousse doucement, me faisant reculer, reculer et encore reculer, jusqu'à atteindre le bord du lit. Celui-ci, plis mes genoux, me faisant perdre l’équilibre, et je m’écroule sur le lit. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, mon string se retrouve à terre et Valérie enfouie déjà son visage entre mes cuisses. Elle croque mon intimité comme elle croquerait un fruit d’été. Je sens ses dents glisser et écarter mes grandes lèvres, sous la douce pression de sa mâchoire qui se referme lentement. J’explose et libère une quantité impressionnante de mouille, qui inonde sa bouche et ses lèvres. Et tout comme elle le ferrait avec ce même fruit d’été trop mur, elle entreprend de lécher avec application, le jus, pour ne pas en perdre une goutte. Puis sa bouche remonte, s’attarde sur mon clito gonflé et provoque une nouvelle grande et belle jouissance. Chacun de ses gestes, chacune de ses caresses ou de ses baisers, sont emprunt de douceur, de passion. Rien n’est fait au hasard. Tous est là pour m’emporter sur un grand nuage de voluptés. Moi, appuyée sur mes avant bras, je laisse exploser mon plaisir, mais afin qu’elle ne puisse voir ma honte sur mes joues, je jette ma tête en arrière, ne lui laissant ainsi aucune chance d’apercevoir mon visage. Je ne sais pas quand, ni comment, mais je viens de me rendre compte que ma petite jupe écossaise ainsi que ma ceinture de métal, ont déjà étés rejoindre mon string, par terre. Valérie continue son ascension. Elle embrasse maintenant mon ventre, soulevé par le plaisir. Les boutons de mon chemisier, sautent, les uns après les autres. Pour être un soupçon sexy, je n’ai pas mise de soutien gorge, mais dans cette situation toute particulière, je me sens un peu salope. Lorsque mon chemisier s’ouvre en glissant sur le coté, mes seins nus se dévoilent, durs et tendus, ils attendent les douces caresses de Valérie. Mais, elle les délaisse. Elle se redresse sur ses genoux et entreprend de se débarrasser de son tee-shirt moulant, ainsi que de son soutien gorge. Sa poitrine est magnifique. Plus imposante que la mienne, mais très ferme. Elle perçoit les rougeurs sur mes joues. Elle se penche vers moi et passe ses mains dans mes cheveux pour dégager mon front.
« Tu a chaud ? ». Me dit elle d’une voix douce.
« Non, ça vas. Merci ». Je sens bien que je ne suis pas très convaincante.
« Allons ! Je ne suis pas née de la dernière pluie. Je vois bien que tu es gênée. Il ne faut pas. ». Un grand sourire illumine son visage. Un sourire qui se veut rassurant, accompagné par de longues et douces caresses sur mon visage. J’acquiesce timidement, essayant de lui faire croire que je vais mieux.
« Tu semble tellement fragile, ma petite Cécile. Tu sais je n’en suis pas à ma première expérience avec une femme. Tu es entre de bonnes mains. Tu aimes ce que je te fais au moins ? ». Me dit elle en riant.
« Ho oui, Val. Beaucoup. Ce n’est pas ça. Mais c’est si soudain, si inattendue. Et puis… »
« Et puis quoi ? »
« Tu es ma tante tout de même. ». Je baisse les yeux.
« Quelle importance que je soit ceci ou cela. Fabrique toi un beau souvenir pour tes dix huit ans. Apprend, grandie et goutte aux plaisirs que je te donne. Ils te serviront peut être plus tard. Et je suis fière d’être celle qui t’éduque à ce genre de choses. Se sera notre secret, rien qu’à nous. D’accord ? »
Elle relève ma tête pour que je croise son regard. Il y a tellement de tendresse et d’amour dans ses yeux. Je craque et c’est moi qui l’attire pour l’embrasser. Notre corps à cœur reprend de plus belle à la différence que maintenant je participe. Les jouissances s’enchaînent. Les baisers, les caresses, les coups de langues ne se comptent plus et c’est naturellement que nos minous se recherchent. C’est ainsi que nous nous retrouvons face à face, les jambes entrelacées, cherchant la meilleure position pour mettre nos sexes en contact. En appuies sur nos avant bras, nous tendons nos chattes bouillantes, l’une vers l’autre. Nos chairs se touchent enfin. Nous partageons notre chaleur, notre humidité. Nos clitos gonflés se frottent, tentent de pénétrer l’autre. Les lèvres glissent les unes contre les autres. Les bruits de succions se mélangent à la musique de nos soupirs.
Brusquement la porte s’ouvre et Guillaume, mon frère, fait irruption dans la chambre. Nous restons pétrifiées et honteuses de se faire surprendre ainsi. Ce grand gaillard de vingt trois ans, n’a jamais su frapper à une porte. Mais, cette fois ci, il doit se dire qu’il aurait peut être dut. Nous nous asseyons sur le bord du lit, cachant maladroitement nos poitrines de nos mains. Sa réaction me glace, tant elle est violente.
« Salope ! Tu n’avais pas le droit de faire ça ! Elle était pour moi ! Tu n’avais pas le droit ! »
Et il sort en claquant la porte.
Je m’effondre en larmes. Comment aurais je pus imaginer qu’il avait des vues sur notre tante. Je suis perdue et j’ai peur pour la suite. Je me rhabille en pleurant. Valérie fait de même, puis elle me prend dans ses bras, mais je la repousse, trouvant que j’ai suffisamment faite de bêtises pour aujourd’hui.
« Ma pauvre Cécile. Je suis confuse, j’aurais due vérifier que la porte était bien fermée. Ne soit pas fâchée après moi, je ne voulais pas te mettre dans l’embarras. Je vais aller lui parler et essayer d’arranger les choses. D’accord ? »
« Je ne suis pas en colère après toi. J’assume ce qui vient de se passer, et je te remercie pour cette fantastique expérience. Mais je crois qu’il est préférable que se sois moi qui lui parle. Il vaut mieux que tu disparaisses pour ce soir. Je te téléphone demain. »
Elle essuie mes larmes de ses doigts.
«Comme tu veux. Ne pleure plus, tout cela n’est pas si grave, crois moi. »
Elle me donne un dernier baiser et sort de la chambre. J’y reste encore un moment afin de retrouver mon calme et de sécher mes larmes.
Je descends l’escalier, scrutant les visages qui s’amusent et qui rient. Mais, je ne le vois pas. Un ami me renseigne.
« Ton frère ? Oui, je l’ai vus sortir dans le jardin. »
Je l’aperçois par la fenêtre. Il est au bout du jardin, les mains dans les poches, tête baissée, appuyé contre la remise. Je prend mon courage à deux mains et vais le rejoindre.
« Tu dois être très déçu de ma conduite. »
« Moins que de la sienne. »
« Pardonne moi Guillaume. J’ai été faible. Peut être l’alcool. Il ne faut pas m’en vouloir. »
« Ce n’est pas à toi que j’en veut, mais à elle. C’est une belle salope. »
« Tu dis cela parce que tu est en colère .elle est très gentille. »
« Elle n’avait pas le droit de faire ça ! »
« J’ignorais qu’elle te plaisais autant !? »
Il me regarde d’un air déconcerté et éclate de rire.
« Quoi ? Qu’est ce que j’ai dis ? »
« Ma pauvre Cécile, tu n’a rien compris. Ha ! Ha ! Ha ! »
Puis il s’en vas, remontant vers la maison et la fête, en riant aux éclats. Je le rattrape et me plante devant lui.
« Bon ! Maintenant ça suffit. Explique moi ce qui te rend si euphorique ! »
Son visage reprend un air sérieux.
« Ce n’est pas de Valérie dont il s’agit. »
« Désolée, Guillaume, je ne comprend toujours pas !? »
« Valérie est ma maîtresse depuis déjà un bon bout de temps »
« Quoi ? »
Secouée par cette révélation, je dois précipitamment m’asseoir dans un fauteuil de jardin, pour ne pas tomber. Mais je ne comprends toujours pas.
« Mais quand tu es entré dans la chambre, tu m’a dis que je n’avais pas le droit, qu’elle était pour toi ? »
« Ce n’était pas à toi que je parlais. »
Le disque dur de mon cerveau tourne en rond, cherche, et disjoncte. De grosses larmes remontent à mes yeux et c’est d’une voix chevrotante que lui demande de s’expliquer, une bonne fois pour toute.
« Ca fait quatre ans que je te regarde grandir. Quatre ans que je te regarde prendre des formes. J’ai vus ta poitrine se développer, tes fesses se dessiner, tes reins se creuser. Quatre ans que je te désire comme un fou en secret, que je me masturbe le soir dans ma chambre, imaginant te serrer dans mes bras. Quatre ans, que je souffre quand je te vois avec d’autres types. Quand Valérie est devenue ma maîtresse, je lui ai avoué, lui demandant de garder le secret. Et cette salope… »
Il pousse un cri de rage et disparaît dans la maison, en me laissant plantée là, à décrypter seule, les aveux que je viens d’entendre.
Des tas d’images remontent à mon esprit et prennent une tout autre signification. Je vois mon frère, rentrant dans ma chambre sans frapper, ou trafiquant la serrure de la salle de bain, pour me surprendre sous la douche, ou encore, insistant pour entrer avec moi dans les cabines d’essayage, sous prétexte de m’aider à enfiler les robes que j’essayais. Moi, pauvre idiote, qui ne croyais que se n’était qu’un jeu. Je comprend également, pourquoi tout mes petits amis étaient cons et débiles à ses yeux. Est il amoureux de moi, ou désire t’il juste mon corps ? Pense t’il vraiment, qu’un jour, j’aurais pu accepter de coucher avec lui ? Et cette chère tata. A-t-elle fait ça pour rendre jaloux Guillaume, ou parce que ça l’excitait de se faire la nièce, après de s’être tapée le neveu ?
Je reste encore une heure dehors, à tourner milles questions dans ma pauvre caboche. Quand je décide enfin de réapparaître à la fête, je constate que grand nombre de mes amis sont déjà partis. Il reste encore beaucoup de monde, mais je ne les connais pratiquement pas. J’attrape une bouteille de champagne et je bois au goulot.
« Hé ! Arrête, tu vas être bourrée. Viens plutôt danser ! »
C’est un type d’une vingtaine d’année qui viens de me retirer doucement la bouteille des mains et qui s’accroche à mes hanches pour me faire danser un slow langoureux. J’étais prête à l’envoyer promener, quand, dans un coin de la pièce j’aperçois mon frangin, affalé dans un canapé, en compagnie d’une « Barbie pouffiasse » qui lui mange les lèvres. Tout en embrassant goulûment la fille, il me dévisage, épiant tout mes gestes. Son regard est provocateur, voir haineux ou peut être tout simplement envieux. Que dois je faire ? Cesser de danser pour ne pas le faire souffrir ? Ne plus m’amuser ? Rentrer au couvent ?
En fait, je suis très énervée et décide de le rendre jaloux pour de bon, pour me venger de ses mauvaises pensées. Je passe mes bras autour du cou de mon cavalier et me laisse porter par la musique. A chaque passage, je le vois me regarder. Il a maintenant attrapé la poitrine de la fille et la malaxe sans ménagement. Au tour suivant, sa main est passée sous le tee-shirt moulant, et elle, lui caresse l’entre cuisse au travers de son pantalon, que je vois gonflé par l’envie. Encore un tour et à la lumière tremblotantes des bougies, je vois la fille penchée sur lui, lui pratiquant une fellation gourmande, sans gêne, devant tout le monde. Mon frère, les bras en croix sur le dossier du canapé, rythme l’action en se soulevant à chaque succion. Son regard plonge dans le mien. Il veut me rendre jalouse ou est ce moi qui l’excite ? Ce qui est sur, c’est qu’il me provoque. Intérieurement, je me dis « tu veux jouer à ça, frangin ? Ok ! Jouons ! ». Je regarde mon partenaire et lui souri. Puis, je me serre un peu plus à lui. Je sens son sexe se coller à mon bas ventre. J’augmente le mouvement de mon bassin. Désormais, je me frotte comme une salope contre le type. Le résultat ne se fait pas attendre et une chose énorme est désormais entre nous. Mon frère n’en perd pas une miette et semble très en forme. Je descends ma main et tout en embrassant le type. Je défais sa braguette, sort son sexe et le glisse sous ma jupe contre mon string. Je danse maintenant, avec une bonne queue qui glisse entre les jambes. La sensation est terriblement enivrante. Mon string est trempé de moi et de lui. Guillaume surenchéri. La « petite pute » est maintenant assise sur lui, empalée sur son sexe. Il continu à me dévisager par-dessus son épaule. L’ardeur avec laquelle il pénètre cette fille, est à la hauteur de la fièvre que je dois lui transmettre. Je prends conscience que je commence à aimer cette situation. Plus question de le rendre jaloux, plus question de me venger. Je perd pied et me jette corps et âme dans la luxure. Je tombe à genoux devant mon cavalier et aspire sa queue entre mes lèvres. Je le suce avec ferveur, excitée à la pensée que mon frère m’observe. Dans ce tourbillon de folie, j’en ai oubliée où j’étais. A cette pensée et sans interrompe ma fellation, je jette un oeil aux alentours. Six hommes m’entourent, sexe à la main. Derrière une fille se fait prendre en levrette tout en suçant la chatte d’une autre. Une fièvre sexuelle s’est emparée du groupe et mon anniversaire s’est transformé en une gigantesque partie de jambes en l’air. Peut être n’est t’il pas trop tard pour faire machine arrière. Mon honneur est encore sauf. Je ne suis pas encore souillée. Je me relève et me dirige vers le champ de ruines du buffet. J’avale une coupe de champagne. La tête me tourne, mais qu’importe. J’en prends une seconde, mais avant que d’avoir le temps de la porter à mes lèvres, une avalanche de mains s’abat sur moi. Mes seins, ma chatte, mon cul, mon ventre, mes jambes, tout est touché, malaxé, caressé. En moins d’une minute, je suis mise nue et couchée sur la table au milieu des restes de petits fours. Un homme se présente face à moi et me pénètre sans ménagement. C’est le début d’une longue série d’orgasmes qui commence. Je sombre dans une espèce de douce folie, qui me pousse à en vouloir toujours plus. Chaque jet de sperme en moi, provoque une intense jouissance et je veux être de nouveau remplie tout de suite, sans attendre. Le plaisir est si fort, que j’en pleure et c’est dans une vision troublée par mes larmes, que j’aperçois Guillaume jouir sur le visage de sa « poupée », le regard toujours tourné vers moi. Je le vois remonter son pantalon, avaler un verre et sortir de la maison, me laissant à mon hystérie et à mes hommes en ruts.
Le soleil me réveille en traversant les rideaux mal fermés. Je suis au sol, sur la moquette, nue, enroulée dans une nappe dégueulasse et ma jupe me sert d’oreiller. J’ai très mal à la tête et j’ai beaucoup de mal à retrouver une vision normale, tant mes yeux sont gonflés. Ma bouche est sèche et salée. Mes cheveux sont poisseux et de grandes traces blanches sur mon corps, me laisse à penser que j’ai du être copieusement arrosée, mais pas par du jus d’orange, ça… c’est sur. Ma petite chatte aussi est poisseuse et plutôt mal odorante. Le constat est clair. Je n’ai aucun souvenir de ce qui a put se passer, après le départ de mon frère. C’est le trou noir. Je me lève, lentement, m’aidant de la table. Ma tête tourne encore. L’alcool n’a pas encore totalement disparu de mon organisme. Je suis seule au milieu d’un champ de bataille. Il va pourtant falloir que je range tout, avant le retour de mes parents ce soir. Mais une priorité s’impose…la douche.
La douce chaleur de l’eau sur mon corps me réveille, peu à peu. Je fais mousser le gel douche et me caresse doucement le corps, faisant glisser mes mains sur mes courbes.
« Cécile !....Cécile, tu es là, »
C’est la voix de ma tante Valérie.
Apres lui avoir crié ou je me trouvais, elle viens me rejoindre.
« Il est plus de midi, et tu ne m’a pas téléphonée. J’étais inquiète. »
Je sors de la cabine. Elle prend une grande serviette et me frotte délicatement le dos. Sans attendre plus longtemps, je l’inonde d’un flot de questions.
« Pourquoi ne pas m’avoir dis que tu étais la maîtresse de Guillaume ? Pourquoi, m’avoir cachée qu’il me désirait à s’en rendre malade ? Pourquoi a tu couchée avec moi ? »
Je me retourne face à elle. Ses yeux caressent mon corps de haut en bas et de bas en haut. Un frisson me parcoure. J’enfile un peignoir, afin de me cacher d’elle. Je m’assoie face à un grand miroir. Elle prend ma brosse et tout en me coiffant, commence à me donner quelques explications.
« Oui, Guillaume est mon amant. Et alors ? Il est jeune, beau et pas farouche. Il ne me fut pas difficile de le mettre dans mon lit. De plus, c’est un excellent baiseur, alors pourquoi m’en priver ? Tu sais, je suis ce qu’on pourrait appeler une grosse coquine. J’aime les hommes, le sexe et je n’ai pas de tabou particulier et le fait qu’il soit mon neveu ne m’a pas dérangée plus que ça. Très rapidement, il m’a avouée avoir de gros fantasmes à ton sujet. Que veux tu que j’y fasse, ou que je lui dise ? Je ne suis pas très bien placée pour dire quoi que ce soit. Mais pourtant, je l’avoue, je lui ai promise de l’aider si je le pouvais. Alors, évidemment, quand il m’a vu avec toi, il a pensé à une trahison de ma part. »
Elle prend ma place sur la chaise et m’invite à m’asseoir sur ses genoux. Je le fais. Elle m’entoure de ses bras et je pose ma tête dans son cou. Je suis bien, détendue. Il me semble être une petite fille qui se fait câliner, juste pour le plaisir.
« Et moi ? Pourquoi ? »
« Il y a des choses que l’on a bien du mal à expliquer, parfois. Pour toi, rien n’était prémédité. Tu es belle, ta main était chaude, mon cœur c’est emballé. C’est tout. Je suis désolée. »
« Non, ne le soit pas. Tu avais raison, il n’y a rien de grave dans tout ça. »
Il nous a fallu trois heures pour tout remettre en état. Sans elle, je n’y serrais pas parvenue. Nous buvons un thé bien mérité et nous nous écroulons dans le canapé, épuisée.
« Val, dis moi. Pense tu que je doive coucher avec Guillaume ? »
« Bien sur que non. Ce sont ses fantasmes, c’est à lui de les assumer, pas à toi de les réaliser. »
« Oui, mais…. »
« Mais quoi ? Petite fille ! »
Elle me prend dans ses bras en souriant. J’attrape un coussin et cache mon visage dedans.
« Oui, mais si maintenant j’en avais envie aussi ? »
Elle essaye de m’enlever le coussin du visage, mais je m’y accroche comme une folle, pour qu’elle ne puisse pas lire la honte inscrite sur mes joues. Alors comme deux enfants qui chahutent, elle commence à me chatouiller, à me bousculer et me sauter dessus. Au milieu de nos éclats de rire, je l’entends dire.
« Alors, je tiendrais la promesse faite à ton frère. »
« Doucement !doucement ! Je n’ai pas dis que j’en serrais capable. J’ai juste dis que j’en avais envie. »
« J’ai bien compris. Alors je vous aiderais tout les deux. J’ai une petite idée. Donne moi un peu de temps et je vais vous organiser une petite soirée dont vous vous souviendrez longtemps. »
«Hum ! Tout ça me fait peur. Mais je veux bien te faire confiance. »
Trois semaines se sont écoulées. Je n’ai pas revu mon frère, ni ma tante. Ce matin, à ma grande surprise, j’ai reçue une courte lettre de celle-ci.
Chère Cécile.
Si le désir de ton frère est ton désir.
Si son envie est ton envie.
Je t’attends samedi à 21 heures précises.
Valérie
Nous sommes samedi. Pour un peu je recevais sa lettre trop tard. Milles questions et milles doutes envahissent mon esprit. Il va être l’heure de me mettre en route. Mon cœur bas la chamade et j’ai bien du mal à contrôler les tremblements de mes mains.
J’arrive devant la grande maison de ma tante. C’est une vieille demeure tout en pierre, avec une sorte de petite tour à un angle, qui m’a toujours fascinée. Petite, je rêvais que j’étais princesse de ce petit château, et ma tante me laissait courir partout. Il y a bien longtemps que je n’y suis pas revenue. Je n’ai pas le temps de sonner, que déjà la porte s’ouvre.
« C’est bien tu es à l’heure. Entre vite. »
Elle m’emmène dans le salon et m’offre un thé. Je ne peux pas cacher très longtemps l’angoisse qui me ronge. Mes mains sont devenues incontrôlables, mes joues doivent être violettes et mes jambes ne me soutiennent plus. Même ma voix est chevrotante.
« Guillaume n’est pas là ? »
« Non, il arrivera un peu plus tard. »
« Je ne sais pas si c’est une si bonne idée. Je pense qu’il vaudrait mieux que je rentre. »
« Allons, jeune fille. Il faut apprendre à maîtriser tes émotions. Tout se passera bien et en douceur. J’ai préparée une soirée magique. Fais moi confiance, veux tu ? »
J’acquiesce de la tête et tente de finir mon breuvage sans le renverser.
« Il y a longtemps que tu n’es pas venue. J’ai refais toute la déco de ma chambre. Viens, je vais te montrer notre terrain de jeu. »
Je n’en crois pas mes yeux. Cet endroit est magique. C’est une grande pièce carrée. Aux murs, des tentures mauves, qui font ressortir de vieux tableaux et des meubles très stylés. Aux fenêtres, de lourds rideaux d’un violet plus soutenu et ornés de fines cordelettes dorée. Au plafond, des grosses poutres en chêne semblent soutenir un ciel étoilé. Mes pieds s’enfoncent dans une moquette d’une épaisseur impressionnante. Et enfin, éclairé par une cinquantaine de bougies dispersées dans la pièce, trône au centre un gigantesque lit à baldaquin, sortie tout droit des « mille et une nuits ». Les montants sont finement sculptés de petites scènes érotiques à peine visible si on ne les cherche pas. De grands voiles de soie font le tour de ce beau navire, dévoilant par transparence une énorme couette rouge, recouverte d’une multitude de coussins de toutes tailles et de toutes formes. Valérie, derrière moi, m’enlace et m’embrasse dans le cou. Je suis tellement fascinée, que je n’y prête même pas attention. Une de ses mains caresse maintenant mes seins, tandis que l’autre s’attarde sur mon ventre. Une douce chaleur commence à m’envahir.
« Ça te plait ? »
« C’est magnifique ! Je crois rêver. »
« Et ce n’est que le début. »
Elle m’emmène jusqu’au lit. Toujours émerveillée, je prend la soie et caresse mon visage avec le tissu. Dans un coin des bâtons d’encens diffusent un doux parfum exotique. Doucement, elle fait descendre la fermeture éclair de ma robe, la fait glisser sur mes épaules et la laisse tomber à terre. Ses yeux brillent, reflétant les flammes des bougies. Son sourire, rempli de tendresse, m’apaise. Je me sens bien. À mon tour, j’effeuille cette merveille, la débarrassant de son chemisier et de sa jupe. Les remparts de nos sous vêtements tombent rapidement. Nos peaux fébriles se touchent de nouveaux… enfin ! Le souvenir de nos deux corps ce caressant, m’a hantée pendant ses trois semaines. A de nombreuses reprises, je me suis masturbée comme une démente, en pensant à ses instants de bonheur. Je suis si heureuse de pouvoir de nouveau caresser sa peau satinée et goutter ses lèvres chaudes. Nos doigts s’égarent dans nos intimités, nous buvons nos jouissances, clitos et tétons sont triturés, tirés, branlés. C’est mon corps couché sur celui de Val qui se libère le premier. Un doux et long orgasme traverse mon ventre, mes tripes. Mes jambes se tendent, mes fesses se contractent puissamment et je sens ma chatte s’emplir de ma liqueur. C’est au tour de Val d’exploser et comme deux femmes serpents, nous ondulons de longues minutes, afin que nos sexes se frottant l’un contre l’autre, mélangent bien leurs amours. Nos baisers sont fougueux, presque sauvages, tout comme nos caresses qui sont plus prononcées, plus directs, plus franches. C’est avec un sentiment de plénitude que je glisse sur le coté et tenant la main de Val, nous restons ainsi couchée cote à cote durant de longues minutes.
« Cécile…c’est l’heure. Reste ainsi, je vais devoir te laisser un petit moment. »
Elle lâche ma main, me donne un doux baiser sur le front et sort de la chambre sans bruit. Je me sens un peu perdue. Je m’assoie à genoux au milieu du lit. J’écoute le moindre bruit, mais rien. Rien que ma respiration et mon cœur qui tape dans ma poitrine, à s’en décrocher. J’ignore totalement ce qui m’attend. Peut être aurait elle dut m’en dire plus ? Trop tard. Il me faut maintenant lui faire une confiance aveugle.
Lorsque la porte s’ouvre, j’attrape un gros coussin et le presse contre ma poitrine. Valérie entre, suivit de cinq hommes. Je n’en crois pas mes yeux. Ils sont nus. Où plutôt quatre d’entre eux le sont. Ils encadrent un cinquième homme, qui lui, porte une longue cape noir et un bandeau sur les yeux. Arrivé à un mètre du lit, je le reconnais. C’est Guillaume. Je m’apprête à dire quelque chose, mais Valérie, guettant toutes mes réactions, me pose un doigt sur les lèvres pour m’en empêcher. Les quatre hommes l’aident à monter sur le lit, debout, puis ils l’adossent à un des montants du lit. Valérie défait le nœud qui retient la cape et mon frère m’apparaît nu. Ses mains sont attachées, dans son dos, au montant du baldaquin. Puis, comme une chorégraphie bien réglée, deux hommes se placent debout sur la droite du lit et les deux autres font la même chose sur la gauche. Je n’ai jamais été aussi troublée, d’autant plus que ces messieurs qui me dévisagent, ne peuvent cacher leurs « sentiments » à mon égard. Mon frère, lui, semble être au repos total.
Valérie, s’est agenouillée derrière moi. Tout en me chuchotant à l’oreille, elle me retire le coussin que j’agrippe depuis tout à l’heure. D’un coup et presque ensemble, j’aperçois les quatre membres se redresser d’un cran, à la vue de mon corps qui leur est enfin dévoilé.
« Ne parle pas, ne dis rien surtout. Guillaume ignore encore que tu es là. »
Elle prend mon poignet et tend mon bras vers lui. J’ai trop peur, je recule. Val n’insiste pas, et me laisse contempler mon frère. Puis, hésitante, je m’approche de ce corps offert. Je pose timidement mes mains sur ses cuisses et anxieuse, je caresse ses jambes, jusqu’aux mollets. Elles sont fermes, musclées et recouvertes d’une douce couche de poils souples. Quand je relève la tête, je me retrouve face à son membre, qui me laisse penser qu’il a apprécié mes caresses. Forte de cet encouragement, je m’attaque maintenant à son torse, malaxant sa poitrine, pinçant légèrement ses tétons. Puis, je les lèche, les suce, les aspire. Sa respiration s’accélère. Je colle sa queue entre mes seins, appuie sur ses fesses pour le plaquer contre moi et le masturbe de ma poitrine. J’embrasse et lèche son ventre en salivant. Son sexe est désormais gonflé et dur. Son gland frappe avec force mon menton. Je penche la tête et le fait glisser entre mes lèvres. Puis, descendant de plus en plus, je finie par engloutir son membre tout entier. Tout en suçant guillaume, deux hommes me place en position de levrette. L’instant d’après, un énorme braquemart me pénètre, me remplissant semble t’il le ventre tout entier. Les puissantes mains de l’homme, agrippées à mes hanches, donnent désormais le rythme de ma fellation. Guillaume, gémit de satisfaction. Je fais frétiller ma langue le long de sa queue et gobe tour à tour ses couilles grossies par l’excitation, puis, je remonte doucement vers le gland violacé. Je sens sa queue vibrer, tressaillir et avant que je puisse réagir, un jet de liqueur m’explose en plein visage. Dans ma chatte aussi, je sens la libération de l’homme qui me prend en levrette. De puissantes éruptions de foutre s’écrasant sur mes parois, rendent mon sexe encore plus chaud, plus lisse, plus bruyant aussi. Une onde de plaisir me parcoure l’échine et j’ai beaucoup de mal à ne pas crier mon plaisir. J’ouvre grande ma bouche pour recevoir les décharges suivantes. Je suce, j’aspire et bois mon frère avec avidité. Il pousse de longs râles qui en disent long sur le degré de sa jouissance. Le jus chaud qui coule dans ma gorge, à un goût de victoire, peut être le goût d’une liberté nouvelle. Son sexe se ramolli et je le presse des deux mains pour faire sortir les dernières gouttes de se nectar. Mais, Val me tire légèrement en arrière, m’obligeant à délaisser l’objet. Elle me couche sur le dos et toujours en chuchotant à mon oreille, elle s’allonge sur moi.
« Alors ! Tu es contente ? ça n’a pas été si difficile, non ? »
Son sourire est radieux. Elle aussi, doit penser avoir gagnée une victoire. Doucement, du bout de sa langue, elle entreprend le nettoyage de mon visage, souillé de semence. Sa langue descend dans mon cou, s’égare entre mes seins, glisse sur mon ventre et enfin titille mon clito. Un homme, sûrement plus excité que les autres, saute sur le lit, se place derrière ma tante, et s’enfonce, non sans mal, dans le fondement de celle-ci. Elle relève la tête un instant. Les yeux fermés, elle se mord la lèvre inférieure avec un rictus de douleur. Puis, ses traits se détendent. Elle ouvre les yeux, me regarde et me sourie avant de replonger entre mes cuisses. Elle fouille de sa langue, tous les recoins de mon sexe, aspirant tout le sperme qu’elle trouve. La vision de mon frère, toujours attaché, de cet homme qui sodomise ma tante, de celle-ci qui me fouille et des trois autres types qui me caresse en se masturbant, me propulse une fois de plus dans un océan de plaisir et sans pouvoir me retenir, je lâche un long cri de jouissance. Aussitôt, Guillaume redresse la tête. A-t-il reconnu ma voix ? Valérie aussi, pousse un long gémissement, tandis que son partenaire vide ses couilles au fond de son ventre. Apres quelques minutes de repos, Valérie me fais m’asseoir sur mes talons, au milieu du lit, et se penche à mon oreille.
« Écoute moi bien, Cécile ! Je vais te bander les yeux et j’enlèverais le bandeau de Guillaume. Il ignore si il vient de se faire sucer par moi, ou par toi. Mais même si il s’en doute, te voyant les yeux bandés, il supposera que toi, tu ne sais pas qui tu a sucée. En aucun cas, tu ne dois retirer ton bandeau. »
Je plonge dans le noir. Mon corps est glacé. J’entends ma tante murmurer, mais ce n’est plus à moi qu’elle parle. Pétrifiée, je reste ainsi, les mains sur mes genoux, essayant de décoder les sons, les mouvements autour de moi. J’ai senti mon frère bouger, peut être même descendre du lit, mais je ne peux en être sur. Des lèvres chaudes se posent sur les miennes. Je répond au baiser et entrouvre ma bouche. Tandis que deux mains caressent doucement mes seins, une autre se fraye un passage entre mes cuisses. Je les entrouvre et me redresse pour donner libre accès à ma vulve bouillante. Mes fesses s’en trouvent accessibles et deux autres mains entrent en action et me les écartes. Ma bouche toujours prise d’assaut par une langue fougueuse, laisse échapper quelques gémissements, quand un pouce force le passage de mon anus et disparaît en moi. Mes soupirs redoublent de puissance, lorsque deux doigts écartent mes grandes lèvres et me pénètrent en frétillants. Une première jouissance un peu timide, me fait pousser un petit « ouiii ! » de contentement. La bouche s’éloigne, les doigts libèrent mes orifices. Les deux mains ne caressent plus ma poitrine. Elles sont remontées à mes épaules et appliquent une pression sur celles-ci, me faisant comprendre qu’on désire que je m’allonge. Ce que je fais. Deux hommes me prennent sans trop d’égard, chacun leur tour, mes jambes levées bien haut au dessus de leurs épaules et leurs mains écrasant et pétrissant mes seins. Tout en me faisant baiser, je masturbe deux énormes pénis, que l’on m’a mis dans les mains. Bientôt, mon con se remplis de foutre, et mon corps reçoit plusieurs giclées de ce chaud sirop. La levrette prend le relais et c’est tour à tour que l’on gicle dans mon anus ou dans ma chatte. Devant moi, sans relâche, il se trouve toujours une queue à sucer et à boire. Je suis comme une folle et ne compte plus mes spasmes de plaisirs. Mes orgasmes s’enchaînent à une cadence insensée. Je sens un corps s’allonger près de moi. On m’aide à l’enjamber et à m’empaler sur lui. Je pose mes mains sur son torse, espérant reconnaître la poitrine de mon frère, mais je n’en sais rien. Je commence à onduler pour bien frotter mes parois à toute la circonférence du sexe. Une queue vient une fois de plus, s’inviter dans ma bouche, alors que mes mains retrouvent deux candidates à la branlette. D’ondulations en succions, les quatre dards jouissent pratiquement en même temps, me noyant, m’aspergeant et me remplissant, dans la même minute. L’homme épuisé entre mes jambes, se retire et est instantanément remplacé par un étalon tout neuf. Ma chatte inondée, se remplie sans effort de se nouveau membre vigoureux. Je me prépare à une énième jouissance lorsque deux mains me poussent en avant et me plie en deux. Mes seins s’écrasent sur le torse velu et deux bras puissants m’entourent, m’interdisant tout mouvement. Sans me laisser le temps de réagir et sans aucun ménagement, mon cul se trouve sollicité et emplis d’une queue énorme. Déjà souillée, la douleur est moins forte. Seul la surprise est douloureuse. C’est la première fois que l’on m’inflige une double pénétration. Le choc passé, mon corps s’enflamme et j’explose en même temps que mes compagnons du moment. Un bien être immense m’envahie. Je suis bien, heureuse. Dégoulinante d’amour, je me laisse glisser sur le coté, extenuée. J’entends les respirations essoufflées des hommes qui m’entourent. Les yeux bandés, je compense mes sens par l’odorat. La sueur et le sperme forme un cocktail merveilleux et excitant. Soudain, il y a du mouvement autour de moi, suivis d’un grand silence. Plus un bruit. Je reste ainsi quelques minutes et n’y tenant plus, je retire doucement mon bandeau. Ma vue est trouble, mais suffisante pour voir que je suis seule. Je me frotte les yeux. Sur le lit, une feuille de papier ou est griffonné « Bravo. Signé Val ». Je me laisse retomber sur le lit et épuisée, je m’endors. Mon sommeil est agité par mille questions. Quelle fut la réaction de mon frère en me découvrant nue sur le lit ? M’a-t-il touchée, prise, embrassée ? A-t-il jouis en moi ou sur moi ? Est t’il resté ? N’est t’il pas partie de suite en m’apercevant ? Que pense t’il de moi à présent ? A-t-il… ? A-t-il… ? A-t-il… ?
J’ignore combien de temps j’ai dormie, mais suffisamment pour que les traînées de sperme sur mon corps, aient eu le temps de sécher. Je me lève et sort de la chambre, à l’affût du moindre bruit. Mais je dois me rendre à l’évidence…je suis seule. Je reste sous la douche une bonne demie heure. Puis, je me rhabille. Sur la porte, un papier. « Claque la porte en sortant. Valérie ». Je rentre chez moi à pied, histoire de me ressourcer et de prendre le temps de trouver des réponses à mes interrogations. Comme d’habitude, la maison est vide. Depuis que mon frère a quitté la cellule familiale, je suis très souvent seule, mes parents préférant sortir de leur coté, sans moi. Ceci dit, je ne m’en plains pas. C’est très agréable, à dix huit ans, d’avoir une baraque rien qu’à soit. Je monte à l’étage et je rentre dans ma chambre. Je n’en crois pas mes yeux. Elle est remplie de roses rouges. Il y en a partout, dans tous les coins. Tous les vases de la maison ont été réquisitionnés. Des bouquets de dix, vingt roses, et plein d’autres éparpillées un peu partout. C’est splendide. Sur mon lit, déposée sur l’oreiller, il y a une enveloppe sous une rose blanche. Je la prend et l’ouvre en tremblant.
Petite sœur
Je ne sais pas si je dois te dire merci ou pardon.
Alors je te dis merci et pardon.
Guillaume qui t’aime.
§§§O§§§
Nous nous voyons souvent, Guillaume et moi. Mais jamais nous n’avons reparlé de tout cela. L’expérience était bonne, mais ne doit rester que souvenir.
Pour ce qui est de Tante Valérie, elle ne m’a jamais dévoilée se qui c’était vraiment passé, quand j’avais les yeux bandés. C’est peut être mieux ainsi. Je la vois régulièrement, seule ou en compagnie de ses nombreux amis. Nos après midi et nos soirées sont torrides, pleines de douceur, d’amour et de sexe.
D’ailleurs, je vous laisse, elle m’attend.
« Joyeux anniiiiversaireeeeee, joyeux anniiiiversaireeeee… »
La lumière de la salle c’est éteinte. Une lueur tremblotante arrive du couloir.
« Joyeux anniiiversaireee…. Cécile…. joyeux anniiiiversaireeeeee…………. »
Dans les cris et les applaudissements, un magnifique gâteau est déposé sur la table. Dix huit petites bougies, disposées en forme de cœur, font briller les yeux de mes amis et scintiller leurs verres de champagne. Je prend une grande inspiration et…
« Pfffffffffffffffffffffffff !!!!!!! »
…souffle toutes les flammes d’un coup. Les applaudissements reprennent, la lumière revient et la musique recommence à jouer. Je suis couverte de cadeaux et de bisous. Une cinquantaine de personnes sont présentent, mais je n’en connais que la moitié. Les autres, sont des amis de mes amis. Plus on est de fou… Mes parents sont partis pour le week-end et m’ont donnée carte blanche pour organiser ma petite fête, dans le petit pavillon de banlieue. Mon grand frère est là aussi. Ca me fait plaisir, car ayant quitté la maison, je le vois moins souvent.
J’entame la découpe de l’immense gâteau, remplissant un nombre incalculable d’assiettes. Une main saisie mon poignet.
« Viens, on vas se refaire une beauté. »
C’est Valérie. Une magnifique plante de quarante ans, que j’aime beaucoup et qui compte énormément dans ma vie. Elle m’entraîne dans la salle de bain du premier, en riant. Devant le miroir, nous retouchons mutuellement nos maquillages, débitant des âneries qui ne peuvent faire rire que nous. Je recoiffe ses longs cheveux noirs. Ils sont lisses, fins et soyeux. Elle me donne un bisou sur la bouche et voyant ma surprise, recommence à rire aux éclats.
« Aller ! Viens danser ma belle. »
Me reprenant la main, elle me tire et nous sortons en sautillant dans le couloir, comme deux enfants. Nous passons devant ma chambre, mais au moment où nous atteignons l’escalier, Valérie s’arrête et me regarde d’une façon étrange. Puis, sans lâcher ma main, elle fait demi tour et se dirigeant vers ma chambre, elle me dit.
« Viens. »
Nous entrons, elle referme promptement la porte et s’y adosse. Tout vas si vite, que je manque de tomber et me retrouvant face à elle, je me retiens à son épaule tout en riant.
« Tu es folle ? Qu’est ce que tu fabrique ? »
Mais Valérie ne rie plus. Ses grands yeux sombres me dévisagent avec tendresse. Elle me tient toujours la main. De l’autre, elle replace délicatement une mèche de mes cheveux, derrière mon oreille. Puis ses longs doigts s’attardent sur ma joue, la caressant, la frôlant. Je suis bouleversée par tant de tendresse, mais, comme pour rajouter encore à mon émoi, son pouce maintenant, glisse sur mes lèvres.
« Je ne pense pas que ce soit une bonne idée ! »
« Chuuuuuuuuuttttttt ! »
Le léger souffle que produit sa bouche me fait fermer les yeux. Je sens sa poitrine frôler la mienne, au rythme de nos respirations. Bien que dans un trouble immense, je perçois les pointes des mes seins se durcir et se dressées, ce qui ne fait qu’augmenter mon désarroi. Mes jambes sont molles et ont bien du mal à me soutenir. Ses longs doigts fins glissent vers ma nuque, se perdent dans mes cheveux et poussent doucement ma tête pour mettre en contact nos deux bouches. Je ne peux que céder à ce moment si voluptueux. Sa langue fouille délicatement entre mes lèvres ouvertes. Elle me serre, à présent, tout contre elle. Je sens son ventre se soulever, se contracter contre le mien. Une de ses cuisses monte et descend sur la mienne. Nos lèvres parfois, se détachent, mais restent reliées par des fils d’argents. Je suis emportée dans un tourbillon de sensations. Sa respiration, bruyante, résonne dans ma bouche et la mienne dans la sienne. Ma chaleur est sa chaleur, mon corps est son corps. Nous ne sommes plus qu’une.
Elle se détache lentement de la porte et, tout en continuant à me donner de fabuleux baisers, elle me pousse doucement, me faisant reculer, reculer et encore reculer, jusqu'à atteindre le bord du lit. Celui-ci, plis mes genoux, me faisant perdre l’équilibre, et je m’écroule sur le lit. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, mon string se retrouve à terre et Valérie enfouie déjà son visage entre mes cuisses. Elle croque mon intimité comme elle croquerait un fruit d’été. Je sens ses dents glisser et écarter mes grandes lèvres, sous la douce pression de sa mâchoire qui se referme lentement. J’explose et libère une quantité impressionnante de mouille, qui inonde sa bouche et ses lèvres. Et tout comme elle le ferrait avec ce même fruit d’été trop mur, elle entreprend de lécher avec application, le jus, pour ne pas en perdre une goutte. Puis sa bouche remonte, s’attarde sur mon clito gonflé et provoque une nouvelle grande et belle jouissance. Chacun de ses gestes, chacune de ses caresses ou de ses baisers, sont emprunt de douceur, de passion. Rien n’est fait au hasard. Tous est là pour m’emporter sur un grand nuage de voluptés. Moi, appuyée sur mes avant bras, je laisse exploser mon plaisir, mais afin qu’elle ne puisse voir ma honte sur mes joues, je jette ma tête en arrière, ne lui laissant ainsi aucune chance d’apercevoir mon visage. Je ne sais pas quand, ni comment, mais je viens de me rendre compte que ma petite jupe écossaise ainsi que ma ceinture de métal, ont déjà étés rejoindre mon string, par terre. Valérie continue son ascension. Elle embrasse maintenant mon ventre, soulevé par le plaisir. Les boutons de mon chemisier, sautent, les uns après les autres. Pour être un soupçon sexy, je n’ai pas mise de soutien gorge, mais dans cette situation toute particulière, je me sens un peu salope. Lorsque mon chemisier s’ouvre en glissant sur le coté, mes seins nus se dévoilent, durs et tendus, ils attendent les douces caresses de Valérie. Mais, elle les délaisse. Elle se redresse sur ses genoux et entreprend de se débarrasser de son tee-shirt moulant, ainsi que de son soutien gorge. Sa poitrine est magnifique. Plus imposante que la mienne, mais très ferme. Elle perçoit les rougeurs sur mes joues. Elle se penche vers moi et passe ses mains dans mes cheveux pour dégager mon front.
« Tu a chaud ? ». Me dit elle d’une voix douce.
« Non, ça vas. Merci ». Je sens bien que je ne suis pas très convaincante.
« Allons ! Je ne suis pas née de la dernière pluie. Je vois bien que tu es gênée. Il ne faut pas. ». Un grand sourire illumine son visage. Un sourire qui se veut rassurant, accompagné par de longues et douces caresses sur mon visage. J’acquiesce timidement, essayant de lui faire croire que je vais mieux.
« Tu semble tellement fragile, ma petite Cécile. Tu sais je n’en suis pas à ma première expérience avec une femme. Tu es entre de bonnes mains. Tu aimes ce que je te fais au moins ? ». Me dit elle en riant.
« Ho oui, Val. Beaucoup. Ce n’est pas ça. Mais c’est si soudain, si inattendue. Et puis… »
« Et puis quoi ? »
« Tu es ma tante tout de même. ». Je baisse les yeux.
« Quelle importance que je soit ceci ou cela. Fabrique toi un beau souvenir pour tes dix huit ans. Apprend, grandie et goutte aux plaisirs que je te donne. Ils te serviront peut être plus tard. Et je suis fière d’être celle qui t’éduque à ce genre de choses. Se sera notre secret, rien qu’à nous. D’accord ? »
Elle relève ma tête pour que je croise son regard. Il y a tellement de tendresse et d’amour dans ses yeux. Je craque et c’est moi qui l’attire pour l’embrasser. Notre corps à cœur reprend de plus belle à la différence que maintenant je participe. Les jouissances s’enchaînent. Les baisers, les caresses, les coups de langues ne se comptent plus et c’est naturellement que nos minous se recherchent. C’est ainsi que nous nous retrouvons face à face, les jambes entrelacées, cherchant la meilleure position pour mettre nos sexes en contact. En appuies sur nos avant bras, nous tendons nos chattes bouillantes, l’une vers l’autre. Nos chairs se touchent enfin. Nous partageons notre chaleur, notre humidité. Nos clitos gonflés se frottent, tentent de pénétrer l’autre. Les lèvres glissent les unes contre les autres. Les bruits de succions se mélangent à la musique de nos soupirs.
Brusquement la porte s’ouvre et Guillaume, mon frère, fait irruption dans la chambre. Nous restons pétrifiées et honteuses de se faire surprendre ainsi. Ce grand gaillard de vingt trois ans, n’a jamais su frapper à une porte. Mais, cette fois ci, il doit se dire qu’il aurait peut être dut. Nous nous asseyons sur le bord du lit, cachant maladroitement nos poitrines de nos mains. Sa réaction me glace, tant elle est violente.
« Salope ! Tu n’avais pas le droit de faire ça ! Elle était pour moi ! Tu n’avais pas le droit ! »
Et il sort en claquant la porte.
Je m’effondre en larmes. Comment aurais je pus imaginer qu’il avait des vues sur notre tante. Je suis perdue et j’ai peur pour la suite. Je me rhabille en pleurant. Valérie fait de même, puis elle me prend dans ses bras, mais je la repousse, trouvant que j’ai suffisamment faite de bêtises pour aujourd’hui.
« Ma pauvre Cécile. Je suis confuse, j’aurais due vérifier que la porte était bien fermée. Ne soit pas fâchée après moi, je ne voulais pas te mettre dans l’embarras. Je vais aller lui parler et essayer d’arranger les choses. D’accord ? »
« Je ne suis pas en colère après toi. J’assume ce qui vient de se passer, et je te remercie pour cette fantastique expérience. Mais je crois qu’il est préférable que se sois moi qui lui parle. Il vaut mieux que tu disparaisses pour ce soir. Je te téléphone demain. »
Elle essuie mes larmes de ses doigts.
«Comme tu veux. Ne pleure plus, tout cela n’est pas si grave, crois moi. »
Elle me donne un dernier baiser et sort de la chambre. J’y reste encore un moment afin de retrouver mon calme et de sécher mes larmes.
Je descends l’escalier, scrutant les visages qui s’amusent et qui rient. Mais, je ne le vois pas. Un ami me renseigne.
« Ton frère ? Oui, je l’ai vus sortir dans le jardin. »
Je l’aperçois par la fenêtre. Il est au bout du jardin, les mains dans les poches, tête baissée, appuyé contre la remise. Je prend mon courage à deux mains et vais le rejoindre.
« Tu dois être très déçu de ma conduite. »
« Moins que de la sienne. »
« Pardonne moi Guillaume. J’ai été faible. Peut être l’alcool. Il ne faut pas m’en vouloir. »
« Ce n’est pas à toi que j’en veut, mais à elle. C’est une belle salope. »
« Tu dis cela parce que tu est en colère .elle est très gentille. »
« Elle n’avait pas le droit de faire ça ! »
« J’ignorais qu’elle te plaisais autant !? »
Il me regarde d’un air déconcerté et éclate de rire.
« Quoi ? Qu’est ce que j’ai dis ? »
« Ma pauvre Cécile, tu n’a rien compris. Ha ! Ha ! Ha ! »
Puis il s’en vas, remontant vers la maison et la fête, en riant aux éclats. Je le rattrape et me plante devant lui.
« Bon ! Maintenant ça suffit. Explique moi ce qui te rend si euphorique ! »
Son visage reprend un air sérieux.
« Ce n’est pas de Valérie dont il s’agit. »
« Désolée, Guillaume, je ne comprend toujours pas !? »
« Valérie est ma maîtresse depuis déjà un bon bout de temps »
« Quoi ? »
Secouée par cette révélation, je dois précipitamment m’asseoir dans un fauteuil de jardin, pour ne pas tomber. Mais je ne comprends toujours pas.
« Mais quand tu es entré dans la chambre, tu m’a dis que je n’avais pas le droit, qu’elle était pour toi ? »
« Ce n’était pas à toi que je parlais. »
Le disque dur de mon cerveau tourne en rond, cherche, et disjoncte. De grosses larmes remontent à mes yeux et c’est d’une voix chevrotante que lui demande de s’expliquer, une bonne fois pour toute.
« Ca fait quatre ans que je te regarde grandir. Quatre ans que je te regarde prendre des formes. J’ai vus ta poitrine se développer, tes fesses se dessiner, tes reins se creuser. Quatre ans que je te désire comme un fou en secret, que je me masturbe le soir dans ma chambre, imaginant te serrer dans mes bras. Quatre ans, que je souffre quand je te vois avec d’autres types. Quand Valérie est devenue ma maîtresse, je lui ai avoué, lui demandant de garder le secret. Et cette salope… »
Il pousse un cri de rage et disparaît dans la maison, en me laissant plantée là, à décrypter seule, les aveux que je viens d’entendre.
Des tas d’images remontent à mon esprit et prennent une tout autre signification. Je vois mon frère, rentrant dans ma chambre sans frapper, ou trafiquant la serrure de la salle de bain, pour me surprendre sous la douche, ou encore, insistant pour entrer avec moi dans les cabines d’essayage, sous prétexte de m’aider à enfiler les robes que j’essayais. Moi, pauvre idiote, qui ne croyais que se n’était qu’un jeu. Je comprend également, pourquoi tout mes petits amis étaient cons et débiles à ses yeux. Est il amoureux de moi, ou désire t’il juste mon corps ? Pense t’il vraiment, qu’un jour, j’aurais pu accepter de coucher avec lui ? Et cette chère tata. A-t-elle fait ça pour rendre jaloux Guillaume, ou parce que ça l’excitait de se faire la nièce, après de s’être tapée le neveu ?
Je reste encore une heure dehors, à tourner milles questions dans ma pauvre caboche. Quand je décide enfin de réapparaître à la fête, je constate que grand nombre de mes amis sont déjà partis. Il reste encore beaucoup de monde, mais je ne les connais pratiquement pas. J’attrape une bouteille de champagne et je bois au goulot.
« Hé ! Arrête, tu vas être bourrée. Viens plutôt danser ! »
C’est un type d’une vingtaine d’année qui viens de me retirer doucement la bouteille des mains et qui s’accroche à mes hanches pour me faire danser un slow langoureux. J’étais prête à l’envoyer promener, quand, dans un coin de la pièce j’aperçois mon frangin, affalé dans un canapé, en compagnie d’une « Barbie pouffiasse » qui lui mange les lèvres. Tout en embrassant goulûment la fille, il me dévisage, épiant tout mes gestes. Son regard est provocateur, voir haineux ou peut être tout simplement envieux. Que dois je faire ? Cesser de danser pour ne pas le faire souffrir ? Ne plus m’amuser ? Rentrer au couvent ?
En fait, je suis très énervée et décide de le rendre jaloux pour de bon, pour me venger de ses mauvaises pensées. Je passe mes bras autour du cou de mon cavalier et me laisse porter par la musique. A chaque passage, je le vois me regarder. Il a maintenant attrapé la poitrine de la fille et la malaxe sans ménagement. Au tour suivant, sa main est passée sous le tee-shirt moulant, et elle, lui caresse l’entre cuisse au travers de son pantalon, que je vois gonflé par l’envie. Encore un tour et à la lumière tremblotantes des bougies, je vois la fille penchée sur lui, lui pratiquant une fellation gourmande, sans gêne, devant tout le monde. Mon frère, les bras en croix sur le dossier du canapé, rythme l’action en se soulevant à chaque succion. Son regard plonge dans le mien. Il veut me rendre jalouse ou est ce moi qui l’excite ? Ce qui est sur, c’est qu’il me provoque. Intérieurement, je me dis « tu veux jouer à ça, frangin ? Ok ! Jouons ! ». Je regarde mon partenaire et lui souri. Puis, je me serre un peu plus à lui. Je sens son sexe se coller à mon bas ventre. J’augmente le mouvement de mon bassin. Désormais, je me frotte comme une salope contre le type. Le résultat ne se fait pas attendre et une chose énorme est désormais entre nous. Mon frère n’en perd pas une miette et semble très en forme. Je descends ma main et tout en embrassant le type. Je défais sa braguette, sort son sexe et le glisse sous ma jupe contre mon string. Je danse maintenant, avec une bonne queue qui glisse entre les jambes. La sensation est terriblement enivrante. Mon string est trempé de moi et de lui. Guillaume surenchéri. La « petite pute » est maintenant assise sur lui, empalée sur son sexe. Il continu à me dévisager par-dessus son épaule. L’ardeur avec laquelle il pénètre cette fille, est à la hauteur de la fièvre que je dois lui transmettre. Je prends conscience que je commence à aimer cette situation. Plus question de le rendre jaloux, plus question de me venger. Je perd pied et me jette corps et âme dans la luxure. Je tombe à genoux devant mon cavalier et aspire sa queue entre mes lèvres. Je le suce avec ferveur, excitée à la pensée que mon frère m’observe. Dans ce tourbillon de folie, j’en ai oubliée où j’étais. A cette pensée et sans interrompe ma fellation, je jette un oeil aux alentours. Six hommes m’entourent, sexe à la main. Derrière une fille se fait prendre en levrette tout en suçant la chatte d’une autre. Une fièvre sexuelle s’est emparée du groupe et mon anniversaire s’est transformé en une gigantesque partie de jambes en l’air. Peut être n’est t’il pas trop tard pour faire machine arrière. Mon honneur est encore sauf. Je ne suis pas encore souillée. Je me relève et me dirige vers le champ de ruines du buffet. J’avale une coupe de champagne. La tête me tourne, mais qu’importe. J’en prends une seconde, mais avant que d’avoir le temps de la porter à mes lèvres, une avalanche de mains s’abat sur moi. Mes seins, ma chatte, mon cul, mon ventre, mes jambes, tout est touché, malaxé, caressé. En moins d’une minute, je suis mise nue et couchée sur la table au milieu des restes de petits fours. Un homme se présente face à moi et me pénètre sans ménagement. C’est le début d’une longue série d’orgasmes qui commence. Je sombre dans une espèce de douce folie, qui me pousse à en vouloir toujours plus. Chaque jet de sperme en moi, provoque une intense jouissance et je veux être de nouveau remplie tout de suite, sans attendre. Le plaisir est si fort, que j’en pleure et c’est dans une vision troublée par mes larmes, que j’aperçois Guillaume jouir sur le visage de sa « poupée », le regard toujours tourné vers moi. Je le vois remonter son pantalon, avaler un verre et sortir de la maison, me laissant à mon hystérie et à mes hommes en ruts.
Le soleil me réveille en traversant les rideaux mal fermés. Je suis au sol, sur la moquette, nue, enroulée dans une nappe dégueulasse et ma jupe me sert d’oreiller. J’ai très mal à la tête et j’ai beaucoup de mal à retrouver une vision normale, tant mes yeux sont gonflés. Ma bouche est sèche et salée. Mes cheveux sont poisseux et de grandes traces blanches sur mon corps, me laisse à penser que j’ai du être copieusement arrosée, mais pas par du jus d’orange, ça… c’est sur. Ma petite chatte aussi est poisseuse et plutôt mal odorante. Le constat est clair. Je n’ai aucun souvenir de ce qui a put se passer, après le départ de mon frère. C’est le trou noir. Je me lève, lentement, m’aidant de la table. Ma tête tourne encore. L’alcool n’a pas encore totalement disparu de mon organisme. Je suis seule au milieu d’un champ de bataille. Il va pourtant falloir que je range tout, avant le retour de mes parents ce soir. Mais une priorité s’impose…la douche.
La douce chaleur de l’eau sur mon corps me réveille, peu à peu. Je fais mousser le gel douche et me caresse doucement le corps, faisant glisser mes mains sur mes courbes.
« Cécile !....Cécile, tu es là, »
C’est la voix de ma tante Valérie.
Apres lui avoir crié ou je me trouvais, elle viens me rejoindre.
« Il est plus de midi, et tu ne m’a pas téléphonée. J’étais inquiète. »
Je sors de la cabine. Elle prend une grande serviette et me frotte délicatement le dos. Sans attendre plus longtemps, je l’inonde d’un flot de questions.
« Pourquoi ne pas m’avoir dis que tu étais la maîtresse de Guillaume ? Pourquoi, m’avoir cachée qu’il me désirait à s’en rendre malade ? Pourquoi a tu couchée avec moi ? »
Je me retourne face à elle. Ses yeux caressent mon corps de haut en bas et de bas en haut. Un frisson me parcoure. J’enfile un peignoir, afin de me cacher d’elle. Je m’assoie face à un grand miroir. Elle prend ma brosse et tout en me coiffant, commence à me donner quelques explications.
« Oui, Guillaume est mon amant. Et alors ? Il est jeune, beau et pas farouche. Il ne me fut pas difficile de le mettre dans mon lit. De plus, c’est un excellent baiseur, alors pourquoi m’en priver ? Tu sais, je suis ce qu’on pourrait appeler une grosse coquine. J’aime les hommes, le sexe et je n’ai pas de tabou particulier et le fait qu’il soit mon neveu ne m’a pas dérangée plus que ça. Très rapidement, il m’a avouée avoir de gros fantasmes à ton sujet. Que veux tu que j’y fasse, ou que je lui dise ? Je ne suis pas très bien placée pour dire quoi que ce soit. Mais pourtant, je l’avoue, je lui ai promise de l’aider si je le pouvais. Alors, évidemment, quand il m’a vu avec toi, il a pensé à une trahison de ma part. »
Elle prend ma place sur la chaise et m’invite à m’asseoir sur ses genoux. Je le fais. Elle m’entoure de ses bras et je pose ma tête dans son cou. Je suis bien, détendue. Il me semble être une petite fille qui se fait câliner, juste pour le plaisir.
« Et moi ? Pourquoi ? »
« Il y a des choses que l’on a bien du mal à expliquer, parfois. Pour toi, rien n’était prémédité. Tu es belle, ta main était chaude, mon cœur c’est emballé. C’est tout. Je suis désolée. »
« Non, ne le soit pas. Tu avais raison, il n’y a rien de grave dans tout ça. »
Il nous a fallu trois heures pour tout remettre en état. Sans elle, je n’y serrais pas parvenue. Nous buvons un thé bien mérité et nous nous écroulons dans le canapé, épuisée.
« Val, dis moi. Pense tu que je doive coucher avec Guillaume ? »
« Bien sur que non. Ce sont ses fantasmes, c’est à lui de les assumer, pas à toi de les réaliser. »
« Oui, mais…. »
« Mais quoi ? Petite fille ! »
Elle me prend dans ses bras en souriant. J’attrape un coussin et cache mon visage dedans.
« Oui, mais si maintenant j’en avais envie aussi ? »
Elle essaye de m’enlever le coussin du visage, mais je m’y accroche comme une folle, pour qu’elle ne puisse pas lire la honte inscrite sur mes joues. Alors comme deux enfants qui chahutent, elle commence à me chatouiller, à me bousculer et me sauter dessus. Au milieu de nos éclats de rire, je l’entends dire.
« Alors, je tiendrais la promesse faite à ton frère. »
« Doucement !doucement ! Je n’ai pas dis que j’en serrais capable. J’ai juste dis que j’en avais envie. »
« J’ai bien compris. Alors je vous aiderais tout les deux. J’ai une petite idée. Donne moi un peu de temps et je vais vous organiser une petite soirée dont vous vous souviendrez longtemps. »
«Hum ! Tout ça me fait peur. Mais je veux bien te faire confiance. »
Trois semaines se sont écoulées. Je n’ai pas revu mon frère, ni ma tante. Ce matin, à ma grande surprise, j’ai reçue une courte lettre de celle-ci.
Chère Cécile.
Si le désir de ton frère est ton désir.
Si son envie est ton envie.
Je t’attends samedi à 21 heures précises.
Valérie
Nous sommes samedi. Pour un peu je recevais sa lettre trop tard. Milles questions et milles doutes envahissent mon esprit. Il va être l’heure de me mettre en route. Mon cœur bas la chamade et j’ai bien du mal à contrôler les tremblements de mes mains.
J’arrive devant la grande maison de ma tante. C’est une vieille demeure tout en pierre, avec une sorte de petite tour à un angle, qui m’a toujours fascinée. Petite, je rêvais que j’étais princesse de ce petit château, et ma tante me laissait courir partout. Il y a bien longtemps que je n’y suis pas revenue. Je n’ai pas le temps de sonner, que déjà la porte s’ouvre.
« C’est bien tu es à l’heure. Entre vite. »
Elle m’emmène dans le salon et m’offre un thé. Je ne peux pas cacher très longtemps l’angoisse qui me ronge. Mes mains sont devenues incontrôlables, mes joues doivent être violettes et mes jambes ne me soutiennent plus. Même ma voix est chevrotante.
« Guillaume n’est pas là ? »
« Non, il arrivera un peu plus tard. »
« Je ne sais pas si c’est une si bonne idée. Je pense qu’il vaudrait mieux que je rentre. »
« Allons, jeune fille. Il faut apprendre à maîtriser tes émotions. Tout se passera bien et en douceur. J’ai préparée une soirée magique. Fais moi confiance, veux tu ? »
J’acquiesce de la tête et tente de finir mon breuvage sans le renverser.
« Il y a longtemps que tu n’es pas venue. J’ai refais toute la déco de ma chambre. Viens, je vais te montrer notre terrain de jeu. »
Je n’en crois pas mes yeux. Cet endroit est magique. C’est une grande pièce carrée. Aux murs, des tentures mauves, qui font ressortir de vieux tableaux et des meubles très stylés. Aux fenêtres, de lourds rideaux d’un violet plus soutenu et ornés de fines cordelettes dorée. Au plafond, des grosses poutres en chêne semblent soutenir un ciel étoilé. Mes pieds s’enfoncent dans une moquette d’une épaisseur impressionnante. Et enfin, éclairé par une cinquantaine de bougies dispersées dans la pièce, trône au centre un gigantesque lit à baldaquin, sortie tout droit des « mille et une nuits ». Les montants sont finement sculptés de petites scènes érotiques à peine visible si on ne les cherche pas. De grands voiles de soie font le tour de ce beau navire, dévoilant par transparence une énorme couette rouge, recouverte d’une multitude de coussins de toutes tailles et de toutes formes. Valérie, derrière moi, m’enlace et m’embrasse dans le cou. Je suis tellement fascinée, que je n’y prête même pas attention. Une de ses mains caresse maintenant mes seins, tandis que l’autre s’attarde sur mon ventre. Une douce chaleur commence à m’envahir.
« Ça te plait ? »
« C’est magnifique ! Je crois rêver. »
« Et ce n’est que le début. »
Elle m’emmène jusqu’au lit. Toujours émerveillée, je prend la soie et caresse mon visage avec le tissu. Dans un coin des bâtons d’encens diffusent un doux parfum exotique. Doucement, elle fait descendre la fermeture éclair de ma robe, la fait glisser sur mes épaules et la laisse tomber à terre. Ses yeux brillent, reflétant les flammes des bougies. Son sourire, rempli de tendresse, m’apaise. Je me sens bien. À mon tour, j’effeuille cette merveille, la débarrassant de son chemisier et de sa jupe. Les remparts de nos sous vêtements tombent rapidement. Nos peaux fébriles se touchent de nouveaux… enfin ! Le souvenir de nos deux corps ce caressant, m’a hantée pendant ses trois semaines. A de nombreuses reprises, je me suis masturbée comme une démente, en pensant à ses instants de bonheur. Je suis si heureuse de pouvoir de nouveau caresser sa peau satinée et goutter ses lèvres chaudes. Nos doigts s’égarent dans nos intimités, nous buvons nos jouissances, clitos et tétons sont triturés, tirés, branlés. C’est mon corps couché sur celui de Val qui se libère le premier. Un doux et long orgasme traverse mon ventre, mes tripes. Mes jambes se tendent, mes fesses se contractent puissamment et je sens ma chatte s’emplir de ma liqueur. C’est au tour de Val d’exploser et comme deux femmes serpents, nous ondulons de longues minutes, afin que nos sexes se frottant l’un contre l’autre, mélangent bien leurs amours. Nos baisers sont fougueux, presque sauvages, tout comme nos caresses qui sont plus prononcées, plus directs, plus franches. C’est avec un sentiment de plénitude que je glisse sur le coté et tenant la main de Val, nous restons ainsi couchée cote à cote durant de longues minutes.
« Cécile…c’est l’heure. Reste ainsi, je vais devoir te laisser un petit moment. »
Elle lâche ma main, me donne un doux baiser sur le front et sort de la chambre sans bruit. Je me sens un peu perdue. Je m’assoie à genoux au milieu du lit. J’écoute le moindre bruit, mais rien. Rien que ma respiration et mon cœur qui tape dans ma poitrine, à s’en décrocher. J’ignore totalement ce qui m’attend. Peut être aurait elle dut m’en dire plus ? Trop tard. Il me faut maintenant lui faire une confiance aveugle.
Lorsque la porte s’ouvre, j’attrape un gros coussin et le presse contre ma poitrine. Valérie entre, suivit de cinq hommes. Je n’en crois pas mes yeux. Ils sont nus. Où plutôt quatre d’entre eux le sont. Ils encadrent un cinquième homme, qui lui, porte une longue cape noir et un bandeau sur les yeux. Arrivé à un mètre du lit, je le reconnais. C’est Guillaume. Je m’apprête à dire quelque chose, mais Valérie, guettant toutes mes réactions, me pose un doigt sur les lèvres pour m’en empêcher. Les quatre hommes l’aident à monter sur le lit, debout, puis ils l’adossent à un des montants du lit. Valérie défait le nœud qui retient la cape et mon frère m’apparaît nu. Ses mains sont attachées, dans son dos, au montant du baldaquin. Puis, comme une chorégraphie bien réglée, deux hommes se placent debout sur la droite du lit et les deux autres font la même chose sur la gauche. Je n’ai jamais été aussi troublée, d’autant plus que ces messieurs qui me dévisagent, ne peuvent cacher leurs « sentiments » à mon égard. Mon frère, lui, semble être au repos total.
Valérie, s’est agenouillée derrière moi. Tout en me chuchotant à l’oreille, elle me retire le coussin que j’agrippe depuis tout à l’heure. D’un coup et presque ensemble, j’aperçois les quatre membres se redresser d’un cran, à la vue de mon corps qui leur est enfin dévoilé.
« Ne parle pas, ne dis rien surtout. Guillaume ignore encore que tu es là. »
Elle prend mon poignet et tend mon bras vers lui. J’ai trop peur, je recule. Val n’insiste pas, et me laisse contempler mon frère. Puis, hésitante, je m’approche de ce corps offert. Je pose timidement mes mains sur ses cuisses et anxieuse, je caresse ses jambes, jusqu’aux mollets. Elles sont fermes, musclées et recouvertes d’une douce couche de poils souples. Quand je relève la tête, je me retrouve face à son membre, qui me laisse penser qu’il a apprécié mes caresses. Forte de cet encouragement, je m’attaque maintenant à son torse, malaxant sa poitrine, pinçant légèrement ses tétons. Puis, je les lèche, les suce, les aspire. Sa respiration s’accélère. Je colle sa queue entre mes seins, appuie sur ses fesses pour le plaquer contre moi et le masturbe de ma poitrine. J’embrasse et lèche son ventre en salivant. Son sexe est désormais gonflé et dur. Son gland frappe avec force mon menton. Je penche la tête et le fait glisser entre mes lèvres. Puis, descendant de plus en plus, je finie par engloutir son membre tout entier. Tout en suçant guillaume, deux hommes me place en position de levrette. L’instant d’après, un énorme braquemart me pénètre, me remplissant semble t’il le ventre tout entier. Les puissantes mains de l’homme, agrippées à mes hanches, donnent désormais le rythme de ma fellation. Guillaume, gémit de satisfaction. Je fais frétiller ma langue le long de sa queue et gobe tour à tour ses couilles grossies par l’excitation, puis, je remonte doucement vers le gland violacé. Je sens sa queue vibrer, tressaillir et avant que je puisse réagir, un jet de liqueur m’explose en plein visage. Dans ma chatte aussi, je sens la libération de l’homme qui me prend en levrette. De puissantes éruptions de foutre s’écrasant sur mes parois, rendent mon sexe encore plus chaud, plus lisse, plus bruyant aussi. Une onde de plaisir me parcoure l’échine et j’ai beaucoup de mal à ne pas crier mon plaisir. J’ouvre grande ma bouche pour recevoir les décharges suivantes. Je suce, j’aspire et bois mon frère avec avidité. Il pousse de longs râles qui en disent long sur le degré de sa jouissance. Le jus chaud qui coule dans ma gorge, à un goût de victoire, peut être le goût d’une liberté nouvelle. Son sexe se ramolli et je le presse des deux mains pour faire sortir les dernières gouttes de se nectar. Mais, Val me tire légèrement en arrière, m’obligeant à délaisser l’objet. Elle me couche sur le dos et toujours en chuchotant à mon oreille, elle s’allonge sur moi.
« Alors ! Tu es contente ? ça n’a pas été si difficile, non ? »
Son sourire est radieux. Elle aussi, doit penser avoir gagnée une victoire. Doucement, du bout de sa langue, elle entreprend le nettoyage de mon visage, souillé de semence. Sa langue descend dans mon cou, s’égare entre mes seins, glisse sur mon ventre et enfin titille mon clito. Un homme, sûrement plus excité que les autres, saute sur le lit, se place derrière ma tante, et s’enfonce, non sans mal, dans le fondement de celle-ci. Elle relève la tête un instant. Les yeux fermés, elle se mord la lèvre inférieure avec un rictus de douleur. Puis, ses traits se détendent. Elle ouvre les yeux, me regarde et me sourie avant de replonger entre mes cuisses. Elle fouille de sa langue, tous les recoins de mon sexe, aspirant tout le sperme qu’elle trouve. La vision de mon frère, toujours attaché, de cet homme qui sodomise ma tante, de celle-ci qui me fouille et des trois autres types qui me caresse en se masturbant, me propulse une fois de plus dans un océan de plaisir et sans pouvoir me retenir, je lâche un long cri de jouissance. Aussitôt, Guillaume redresse la tête. A-t-il reconnu ma voix ? Valérie aussi, pousse un long gémissement, tandis que son partenaire vide ses couilles au fond de son ventre. Apres quelques minutes de repos, Valérie me fais m’asseoir sur mes talons, au milieu du lit, et se penche à mon oreille.
« Écoute moi bien, Cécile ! Je vais te bander les yeux et j’enlèverais le bandeau de Guillaume. Il ignore si il vient de se faire sucer par moi, ou par toi. Mais même si il s’en doute, te voyant les yeux bandés, il supposera que toi, tu ne sais pas qui tu a sucée. En aucun cas, tu ne dois retirer ton bandeau. »
Je plonge dans le noir. Mon corps est glacé. J’entends ma tante murmurer, mais ce n’est plus à moi qu’elle parle. Pétrifiée, je reste ainsi, les mains sur mes genoux, essayant de décoder les sons, les mouvements autour de moi. J’ai senti mon frère bouger, peut être même descendre du lit, mais je ne peux en être sur. Des lèvres chaudes se posent sur les miennes. Je répond au baiser et entrouvre ma bouche. Tandis que deux mains caressent doucement mes seins, une autre se fraye un passage entre mes cuisses. Je les entrouvre et me redresse pour donner libre accès à ma vulve bouillante. Mes fesses s’en trouvent accessibles et deux autres mains entrent en action et me les écartes. Ma bouche toujours prise d’assaut par une langue fougueuse, laisse échapper quelques gémissements, quand un pouce force le passage de mon anus et disparaît en moi. Mes soupirs redoublent de puissance, lorsque deux doigts écartent mes grandes lèvres et me pénètrent en frétillants. Une première jouissance un peu timide, me fait pousser un petit « ouiii ! » de contentement. La bouche s’éloigne, les doigts libèrent mes orifices. Les deux mains ne caressent plus ma poitrine. Elles sont remontées à mes épaules et appliquent une pression sur celles-ci, me faisant comprendre qu’on désire que je m’allonge. Ce que je fais. Deux hommes me prennent sans trop d’égard, chacun leur tour, mes jambes levées bien haut au dessus de leurs épaules et leurs mains écrasant et pétrissant mes seins. Tout en me faisant baiser, je masturbe deux énormes pénis, que l’on m’a mis dans les mains. Bientôt, mon con se remplis de foutre, et mon corps reçoit plusieurs giclées de ce chaud sirop. La levrette prend le relais et c’est tour à tour que l’on gicle dans mon anus ou dans ma chatte. Devant moi, sans relâche, il se trouve toujours une queue à sucer et à boire. Je suis comme une folle et ne compte plus mes spasmes de plaisirs. Mes orgasmes s’enchaînent à une cadence insensée. Je sens un corps s’allonger près de moi. On m’aide à l’enjamber et à m’empaler sur lui. Je pose mes mains sur son torse, espérant reconnaître la poitrine de mon frère, mais je n’en sais rien. Je commence à onduler pour bien frotter mes parois à toute la circonférence du sexe. Une queue vient une fois de plus, s’inviter dans ma bouche, alors que mes mains retrouvent deux candidates à la branlette. D’ondulations en succions, les quatre dards jouissent pratiquement en même temps, me noyant, m’aspergeant et me remplissant, dans la même minute. L’homme épuisé entre mes jambes, se retire et est instantanément remplacé par un étalon tout neuf. Ma chatte inondée, se remplie sans effort de se nouveau membre vigoureux. Je me prépare à une énième jouissance lorsque deux mains me poussent en avant et me plie en deux. Mes seins s’écrasent sur le torse velu et deux bras puissants m’entourent, m’interdisant tout mouvement. Sans me laisser le temps de réagir et sans aucun ménagement, mon cul se trouve sollicité et emplis d’une queue énorme. Déjà souillée, la douleur est moins forte. Seul la surprise est douloureuse. C’est la première fois que l’on m’inflige une double pénétration. Le choc passé, mon corps s’enflamme et j’explose en même temps que mes compagnons du moment. Un bien être immense m’envahie. Je suis bien, heureuse. Dégoulinante d’amour, je me laisse glisser sur le coté, extenuée. J’entends les respirations essoufflées des hommes qui m’entourent. Les yeux bandés, je compense mes sens par l’odorat. La sueur et le sperme forme un cocktail merveilleux et excitant. Soudain, il y a du mouvement autour de moi, suivis d’un grand silence. Plus un bruit. Je reste ainsi quelques minutes et n’y tenant plus, je retire doucement mon bandeau. Ma vue est trouble, mais suffisante pour voir que je suis seule. Je me frotte les yeux. Sur le lit, une feuille de papier ou est griffonné « Bravo. Signé Val ». Je me laisse retomber sur le lit et épuisée, je m’endors. Mon sommeil est agité par mille questions. Quelle fut la réaction de mon frère en me découvrant nue sur le lit ? M’a-t-il touchée, prise, embrassée ? A-t-il jouis en moi ou sur moi ? Est t’il resté ? N’est t’il pas partie de suite en m’apercevant ? Que pense t’il de moi à présent ? A-t-il… ? A-t-il… ? A-t-il… ?
J’ignore combien de temps j’ai dormie, mais suffisamment pour que les traînées de sperme sur mon corps, aient eu le temps de sécher. Je me lève et sort de la chambre, à l’affût du moindre bruit. Mais je dois me rendre à l’évidence…je suis seule. Je reste sous la douche une bonne demie heure. Puis, je me rhabille. Sur la porte, un papier. « Claque la porte en sortant. Valérie ». Je rentre chez moi à pied, histoire de me ressourcer et de prendre le temps de trouver des réponses à mes interrogations. Comme d’habitude, la maison est vide. Depuis que mon frère a quitté la cellule familiale, je suis très souvent seule, mes parents préférant sortir de leur coté, sans moi. Ceci dit, je ne m’en plains pas. C’est très agréable, à dix huit ans, d’avoir une baraque rien qu’à soit. Je monte à l’étage et je rentre dans ma chambre. Je n’en crois pas mes yeux. Elle est remplie de roses rouges. Il y en a partout, dans tous les coins. Tous les vases de la maison ont été réquisitionnés. Des bouquets de dix, vingt roses, et plein d’autres éparpillées un peu partout. C’est splendide. Sur mon lit, déposée sur l’oreiller, il y a une enveloppe sous une rose blanche. Je la prend et l’ouvre en tremblant.
Petite sœur
Je ne sais pas si je dois te dire merci ou pardon.
Alors je te dis merci et pardon.
Guillaume qui t’aime.
§§§O§§§
Nous nous voyons souvent, Guillaume et moi. Mais jamais nous n’avons reparlé de tout cela. L’expérience était bonne, mais ne doit rester que souvenir.
Pour ce qui est de Tante Valérie, elle ne m’a jamais dévoilée se qui c’était vraiment passé, quand j’avais les yeux bandés. C’est peut être mieux ainsi. Je la vois régulièrement, seule ou en compagnie de ses nombreux amis. Nos après midi et nos soirées sont torrides, pleines de douceur, d’amour et de sexe.
D’ailleurs, je vous laisse, elle m’attend.
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C'est dommage, ce texte m'a tellement excitée que je n'ai pas pu me retenir de jouir avant la fin...