Dix manches, pour mon lundi

- Par l'auteur HDS ERIC64 -
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Dix manches, pour mon lundi Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(8.0 / 10)

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Dix manches, pour mon lundi
En fait, mais je n'ose pas lui dire, je ne pense qu'à une chose, me faire défoncer par de nombreuses queues. Ma première expérience m'a révélé des plaisirs à venir, des plaisirs auxquels je n'avais osé accédé, et je veux rattraper le temps perdu.
Je veux repartir au sex-shop dès le lendemain, dans la salle, et m'offrir à tous les clients du ciné, comme la dernière des salopes. Alors, autant que je sois en forme.
Je ne pense qu'à ça, et dors très mal, trop excité à imaginer mon lendemain. Je me lève pour me taper une queue, me faire jouir, et espérer dormir un peu.
J'ai un horaire variable, et quitte en début d'après midi. J'ai trouvé une place dans le parking du sex-shop , et je me change avant d'entrer, juste un teeshirt et un pantalon de jogging sans rien dessous.
J'avais pour habitude d'aller dans ce lieu le samedi, pensant que c'est le jour où il y a le plus de monde. Mais un client m'avait informé sur les joies du lundi; beaucoup de boutiques sont fermées ce jour là, et nombre de commerçants, ou leurs employés, en profitent pour venir. C'est une faune différente mais qui présente beaucoup d'intérêts.
J'entre, le patron sourit en me voyant, et me promets sa queue si je ne fais pas affaire. Je lui dis de ne pas y compter, je suis trop motivé pour ne pas prendre mon pied.

Je suis dans la salle, ou plutôt les salles, et fais un tour rapide pour voir l'ambiance. C'est calme comme souvent. Seuls quelques rares mecs n'hésitent pas à s'envoyer en l'air, mais la majorité reste coincée. Ils restent isolés, à mater les autres, et très peu osent sortir leur sexe pour se branler. J'ai la confirmation, de ce que j'ai imaginé dans la nuit, qu'il va falloir que je prenne les choses en mains.
Je relève l'avant de mon teeshirt pour le passer par dessus ma tête, je baisse mon jogging jusqu'aux genoux, sans rien dessous, et je pars en chasse. Je me suis juré de prendre un max de plaisir, peu importe la manière.
J'ai repéré des mecs qui se branlent en solitaire et je les accoste sans perdre de temps. Le premier veux bien que je le suce, mais me repousse vite pour ne pas jouir trop vite. Le deuxième refuse mes avances, et je revois mes ambitions à la baisse. Heureusement le troisième me redonne le moral.
Il n'est pas sur une banquette comme les autres, mais adossé à un mur, et se masturbe en exhibant sa queue. Je m'approche de lui et me penche sur sa queue pour le pomper. Il me laisse faire, et je sens sa main glisser sur mon dos, mes reins, ma raie, et me fouiller le cul. Je le laisse faire à mon tour et il a compris à qui il a à faire.
Il me saisit par les cheveux et me redresse pour me parler à l'oreille:
- Tu m'as l'air d'une bonne salope, tu veux que je t'encule?
- Oui, elle trop belle ta queue. Mais tu ne jouis pas dans mon cul, si tu veux décharger je t'offre ma bouche.
- Pas de soucis, ça va pour moi. Viens dans une petite salle, on sera plus tranquille.
- Non, je veux que tu me prennes ici, devant tout le monde, qu'ils sachent que je suis une grosse pute bonne à baiser.
J'ai senti son désir de m'enfiler, et il accepte de me défoncer à la vue de tous. Je me retourne pour m'offrir et il me pénètre d'un coup sec, brutalement, et m'arrache un petit cri. Il s'en fout, et me lime vigoureusement. Ma douleur vite passée, ce n'est plus que du plaisir.
Un mec s'approche pour mieux nous regarder. Je lui fais comprendre avec mes gestes et ma langue que je veux le sucer, tout en me faisant casser le cul. Il déballe son attirail et vient dans ma bouche.
Ooohhhhh, putain que c'est bon, aussi bien que dans mes pensées. Mon premier amant me ramone comme un dieu, puis il me redresse par les cheveux:
- Tourne toi fumier, si tu ne veux pas que je t'inonde le cul.
J'ai compris le message, et me retourne, après avoir demandé à celui que je suce de bien vouloir m'enculer à son tour, sans jouir lui non plus.
Je suce la bite toute chaude sortie de mon cul. Je la gobe toute, et le mec me maintiens contre lui pour décharger. J'avale tout, le nettoie, et il s'éloigne.
L'autre mec m'encule toujours, et un nouveau venu vient dans ma bouche. J'ai à peine fini de le pomper à fonds, que mon baiseur se retire et finit lui aussi dans ma bouche.
Hummmmm, ça démarre super bien, et j'espère bien ne pas en rester là.

Je tourne dans les salles, et aperçois deux têtes côte à côte, et qui dépassent des banquettes du premier rang. Je m'approche, et vois deux mecs qui se branlent réciproquement; je n'ose pas les déranger.
Je suis en chasse, en quêtes de queues. Des mecs refusent mes avances, mais heureusement quelques un veulent bien une pipe, mais pas me sodomiser. Je suce tout ce qu'on m'offre, à fonds ou pas, suivant leurs désirs.
Il n'y a plus qu'une tête au premier rang. Je m'approche croyant le client tout seul, mais son voisin est toujours là, penché sur lui pour le sucer. Je les regarde en me masturbant doucement, les vois inverser les rôles pour se sucer chacun son tour, et je comprends qu'ils n'ont pas besoin de moi.
J'ai un petit passage à vide, et me décide pour un truc que je n'ai jamais fait.

Les salles sont plus ou moins éclairées, on se devine de près dans certaines, dont la plus grande, on se voit assez bien dans d'autres, et puis il y une salle, ou un recoin je ne sais pas, complètement noir. C'est glauque, je n'ai jamais osé y pénétrer, mais je sais que des clients y vont, et je tente ma chance.
J'avance à tâtons en suivant le mur, et je sens une main sur ma cuisse puis sur ma queue. En fait la pièce est comme un large couloir avec une banquette d'un côté. Le type est là pour sucer en cachette, et est déçu de mon refus. J'avance encore de deux pas et touche une autre personne, debout celle là. Il me tourne le dos, je pose ma main sur son cul nu, et contourne son bassin pour me saisir de son sexe. Peine perdue, il y a un autre gars devant lui, contre lui, et nul doute qu'il l'encule.
J'avance ma main. Le mec du fonds se branlent en se faisant baiser, et il retire sa main pour me laisser m'emparer de sa queue. Il bande bien ce salaud, ça lui fait du bien de se faire enfiler. Je me penche sur sa queue et la prends en gorge profonde.
Je sens une grosse paluche sur mon dos. C'est le mec qui encule l'autre. Il remonte sa main jusque sur ma tête pour voir ce que je fais, puis il prend la main de son partenaire et la pose sur moi pour faire aller et venir ma bouche sur son manche. Il me maintient penché sur sa queue, et l'autre revient sur mon dos, mes reins, mon cul, et mes couilles pour s'assurer que je suis un mâle. Il remonte sur mon cul, et me doigte, me fouille sauvagement. Je suis pris par les deux trous, c'est trop bon.
Celui qui se fait mettre et que je pompe me relève pour me demander si je suce à fonds. Il est satisfait de ma réponse affirmative, me saisit la tête à deux mains, et se sers de moi comme d'un trou à bites, un vide couilles. Il ne tarde pas à venir, et je me régale de sa sauce épaisse. Il me relâche, je le suce encore pour ne rien perdre . Il se dégage, de moi et de l'autre, nous dit qu'il s'en va et espère nous revoir le lundi suivant.

On est contre le mur, pour le laisser passer dans ce lieu étroit. J'ai toujours ses doigts dans mon cul, et je cherche sa queue dans le noir. Je la trouve sans problème, grosse, chaude, bien dressée. Je le félicite pour son engin, et il me propose aussitôt de me le fourrer dans le cul. Je lui donne mes conditions, toujours les mêmes, ne pas jouir dans mon fion, mais dans ma bouche. Ca lui convient, et il me met en position me disant de ne pas être pressé pour bouffer son sperme, qu'il a l'intention de me baiser longuement. Je pense qu'il se vante, mais je réalise bientôt que c'est un super queutard.
Il me défonce de sa grosse trique, et de son gland hyper gonflé. Il alterne les cadences, me ramonant à grands coups de reins, puis pour se reposer me prenant par les hanches pour me faire coulisser sur son manche. Il me redresse quand il me pénètre, caresse ma poitrine, me chuchote des insultes et obscénités à l'oreille. Il me dit que je suis une belle salope, trop bonne à enculer, sa meilleure pute. Il doit dire ça à tous ceux qu'il monte, mais peu importe, ça fait plaisir à entendre. Il me fait des bisous dans le cou, sur la joue, puis me demande de l'embrasser. Je tourne la tête, et sa bouche s'empare de la mienne. On échange des pelles voraces, aussi chaudes que ses coups de queue entre mes reins.
Il n'en finit pas de me casser le cul, d'échanger des patins goulus, de me faire aller sur sa hampe.
Il pourrait me baiser longtemps encore, mais doit partir pour ne pas que sa femme s'inquiète. Il se retire et je me retourne pour lui offrir ma bouche. Je réalise alors la grosseur de sa queue, et surtout de son gland. Je ne vois rien dans le noir, mais je le devine gros comme un œuf. Je le suce passionnément, et suis fier d'avoir pris son gros calibre dans le cul. Il sent son plaisir venir, et il me baise la bouche, décharge en abondance. J'avale tout et le nettoie. Il est ravi de mes services, me dit qu'il est là tous les lundi à la même heure, et s'en va.
Je reste quelques instant pour me remettre de cette méga baise, puis repars vers les salles.

Les mecs du premier rang ont disparus, mais il y a en deux autres debout, face aux banquettes. Je m'avance, ils se branlent en solitaire, chacun pour soi, et je comprends ce qui les excite. En fait les deux mecs que j'ai repéré sont toujours là, et je me branle moi aussi en les regardant.
Ils sont entièrement à poil ces salauds, super beaux. Ils ont dans les 25 ans, minces, musclés, avec des bites superbes, longues et fines. Il y en a un allongé sur le dos, les jambes relevées et coincées sous ses bras. Il est souple, relève la tête, et parvient à se lécher le gland. Son copain est à quatre pattes dans son prolongement, et il lui doigte le cul, lui broute la rondelle.
J'ai toujours envie de m'envoyer en l'air, et je propose aux deux mecs debout de les sucer et me faire enfiler. Ils refusent, et je n'en peux plus, je vais tenter de m'amuser avec les jeunes, espérant qu'ils ne me jettent pas. Je m'agenouille près d'eux, et pose ma main sur les couilles du mec allongé. Il ne dit rien, et je les lui caresse, puis avance ma bouche pour les embrasser, les lécher, les gober. Il me saisit par les cheveux, non pour me repousser, mais pour me tirer vers lui, et planter sa queue dans ma bouche. Génial, ils veulent bien de moi.
Je m'applique à bien le pomper, engloutis entièrement ses 20 cm. Son copain lui bouffe le cul, et on se retrouve les yeux dans les yeux. Il engage un petit dialogue, et on met au point un plan chaud, où j'accepte tout dans le feu de l'action.
Il se relève et son pote se met à quatre pattes, les reins cambrés, attendant sa saillie. L'autre a une queue au moins aussi longue, et elle disparait sans problème entre les miches de son chéri. Il le lime quelques secondes, puis se retire pour venir dans ma bouche, jusque dans ma gorge. Il fait plusieurs fois la navette entre nos deux trous à bites, puis finit par moi, et me remplit de son foutre que j'avale comme par réflexe.
C'est maintenant lui qui est à quatre pattes, et qui va se faire bouffer puis ramoner le cul. Comme son copain il le défonce sévèrement en alternance avec ma bouche, puis m'offre son sperme.
On est les trois debout, et je les suis, comme prévu dans notre plan, dans la salle avec un lit.

Il y a déjà trois mecs, les frocs baissés, trop occupés pour s'inquiéter de notre présence. Deux mecs dans la quarantaine, un assis au coin du lit, et l'autre debout face à lui. Puis il y a un petit minet d'à peine vingt ans entre les deux, qui se fait sucer par le mecs assis, et sodomiser par l'autre.
C'est chaud, et ça va devenir torride. Mes deux copains d'un jour sont à un âge où on peut jouir plusieurs fois sans débander. C'est prévu qu'ils m'enculent, et je l'ai suce d'abord pour durcir leurs queues, bien qu'elles soient déjà raides. Je lève les yeux pour leur montrer ma soumission et mon plaisir, mais ils ne me voient; ils se caressent et s'embrassent langoureusement.
Ils me relèvent, me retournent, et me penchent en avant. Deux secondes plus tard j'ai un des deux entre les reins. Il me matraque de toute la longueur de sa jolie bite, puis se retire pour laisser la place à son ami. Ils me prennent deux ou trois fois chacun, puis ça va être l'instant de vérité.
J'ai accepté lors du plan une double anale, sans savoir si j'en suis capable. Mais c'est le jour ou jamais, et je n'aurais peut-être plus l'occasion d'avoir deux magnifiques sexes, jeunes, longs et fins.
Un des deux s'allonge sur le lit, et je me met à poil pour venir le chevaucher. Je l'enfourche, face à lui, et je sens son gland chercher mon ouverture, puis s'y engager au plus profond. Je me penche en avant, et je sens un deuxième gland forcer le passage. Je serre les dents, crains d'être déchiré, mais mon œillet se révèle très élastique, très accueillant, et je les sens les deux en moi. Ils me laissent quelques secondes tranquille, s'assurent que tout va bien, puis se mettent en mouvement. C'est trop bon, et je gémis, je miaule comme une chatte.
L'enculeur d'à côté semble intéressé, et ils décident de changer de place avec celui qui me prend debout, sans nous demander notre avis, ni à moi ni au jeune; ils nous traitent comme de vulgaires morceaux de viande bonne à embrocher. Sa queue est plus grosse, mais tellement dure qu'il parvient à l'enfiler. Mon cul est ouvert au maximum, et il est coincé entre ma paroi et la bite de l'autre, ne peux plus bouger aisément, et se retire. Ils reprennent leur place, et mon jeune amant s'active à me faire reluire l'anus avec la bite de son copain qui se frotte à la sienne. Ils me liment copieusement, puis changent eux aussi de place, et c'est au tour de celui qui était allongé de me matraquer, pour mon plus grand plaisir.
Ca s'active à côté, et le mec prévient le jeune qu'il va décharger, lui remplir son cul de petite salope, puis qu'il devra le sucer pour le nettoyer. Ils font comme prévu, et le mec assis se retrouve avec le cul du jeune face à lui. Il n'hésite pas une seconde, écarte ses fesses, et fourre sa gueule dans sa raie. On entend des sluuuppp, sluupp, qui ne laissent aucun doute sur ce qu'il fait.
L'enculeur nous quitte, et le jeune revient se faire sucer. Il a encore du foutre qui dégouline entre ses miches, et il passe ses doigts pour les sucer ensuite. Il jouit à son tour, et le mec assis bouffe tout, sans surprise. Le jeune s'en va.
Le dernier des trois fait alors signe qu'il veut encore sucer. Les deux mecs qui se branlaient en nous regardant dans l'autre salle nous ont rejoint, et c'est à eux qu'il s'adressent. Ils se laissent enfin tenter, un vient dans sa bouche, et l'autre dans la mienne. Deux bites dans le cul, une dans la gueule, je suis aux anges. Ils jouissent rapidement, nous abreuvent de leur sauce, et s'en vont.
Le mec se retrouve seul, et il s'allonge sur le lit, et se branle en nous regardant. Un de mes deux enculeurs lui propose une partie à quatre. Il nous propose de se faire un 69 tous les deux, pendant que lui et son copain nous enculent. On accepte sans hésiter, et je prévient mon futur partenaire qu'excité comme je suis je vais jouir très vite. C'est la même chose pour lui, et ça ne nous pose aucun problème, sinon de se prévenir pour ne rien laisser perdre de nos éjaculations.
On s'installe tête bèche sur le côté. Je reste scotché à la vue de son entre cuisses; il a une belle queue, grosse, longue, et molle comme je les aime; il a surtout de très grosses couilles, une paire énorme qui me fait rêver. Je suis dans mes pensées, quand une bite dans mon cul, et l'ordre de sucer me ramène à la réalité. Le jeune qui me sodomise veut me voir pomper. Je m'exécute sans rechigner. Nos amants nous matraquent, nous insultent, nous incitent à jouir dans la bouche de l'autre. Je ne peux plus me retenir et préviens d'un geste convenu que je vais tout lâcher. Mon suceur accélère ses mouvements de bouche, et je décharge sans retenue. Il bouffe tout, continue à me sucer, et me fait signe qu'il vient lui aussi. Ses grosses couilles sont aussi pleines que possible, et il jouit, jouit, jouit encore, jouit toujours. J'ai du mal à tout avaler, mais il faut que j'assure, que je montre que je suis un super vide couilles.
Les jeunes se remplacent, pour nous sodomiser tous les deux, nous voir sucer. C'est trop bon cette séance à quatre qui n'en finit pas. Nos amants sont très performants, infatigables, et on rebande à nouveau . Nos bites semblent les intéresser.
Ils nous proposent d'inverser les rôles, de les embrocher pendant qu'ils se sucent. Ils nous ont trop bien baisés, et méritent qu'on leur rende la pareille, même si ce n'était pas prévu dans mes plans.
On se détache les uns des autres, pour s'emboiter selon leur désir, en se foutant complètement des voyeurs qui nous observent, éberlués par autant de débauche affichée.
On les enfile de notre mieux, en changeant les partenaires de temps en temps pour les prendre tous les deux, et aussi les voir se sucer. Ils sont super beaux ces salauds, et je m'éclate à les baiser bien sûr, mais aussi à les observer, les caresser partout où je peux. On finit par fatiguer, et on va finir par un 69 à quatre, en carré sur le lit, les jeunes occupant deux côtés opposés pour que l'on profite d'eux deux, et eux de nous. On s'attend pour jouir, et on décharge tous ensemble, dans nos bouche, comme un feu d'artifice final.
Je suis épuisé, en ai pris plus qu'espéré, et me rhabille pour rentrer chez moi. Je fais un dernier tour des salles, les jeunes sont à nouveau au premier de la grande salle, toujours à poil, ils se branlent et bandent à nouveau.
Je suis sur le parking, prêt de ma voiture, et j'entends qu'on m'appelle. C'est un de mes partenaires de la dernière séance, celui aux grosses couilles.
Il me propose de terminer la soirée chez lui.
A suivre...

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