Docteur Jekyll et Mister Love. 4 - histoire érotique

Docteur Jekyll et Mister Love.
Le faune peut aussi être un amant très attentionné.



Il a pris ma main et l’a posée sur son entrejambe où commence à s’épanouir « LA BETE ».
Puis il me prend dans ses bras, mourant d’envie de m’embrasser. Je me laisse faire puis je le prends par la main pour l’amener à sa chambre, il se laisse faire. Lentement, je me déshabille pour me retrouver en string et soutien-gorge et plaque mon corps contre le sien.

Suite : Je caresse ses bras, dépose des petits baisers sur son cou. Il se laisse faire, je m’enhardie et lui retire son tee-shirt puis lui caresse sensuellement le torse, descendant ensuite jusqu’à ses abdominaux encore bien dessinés pour un homme de cet âge.
Ma bouche prend la place de mes mains et lèche langoureusement toutes les parties de la peau découverte de cet homme. A la déformation du devant de son short, « LA BETE » est de plus en plus à l’étroit. Je baisse son short et son slip et c’est seulement à ce moment là qu’il décide de participer. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, nous nous retrouvons tous les deux complètement nus.

J’ai un bassin bien large, des cuisses musclées et au milieu une fente bien rasée. Il se met à genoux devant moi et met ma jambe droite sur son épaule pour que je lui offre ma chatte baveuse. Je frémis quand il dépose des baisers sur mes cuisses, sentant son souffle chaud sur mon entre-jambe.
Après quelques coups de langues qui me font m’agiter dans tous les sens, il me bouffe littéralement la chatte avec passion et envie. Sa langue fouille mon intimité déjà dégoulinante de cyprine, il glisse ses doigts très vite trempés dans ma fente et la branle comme un fou. Puis il les ressort pour les lécher, en appréciant apparemment le goût. Jouant de sa langue et de ses doigts, la brute d’hier me masse le clito et profite de mes petits gémissements de plaisir. Je mouille déjà abondamment et inonde son visage. Il ne me faut que cinq minutes pour jouir de ses caresses, je resserre mes cuisses autour de sa tête et en poussant un long râle de plaisir, tout mon corps tétanisé.

- Oooohhh...AAHH...Oouuii !…, je baragouine en m’accrochant à son abondante chevelure.

Il me lèche encore un peu, mais je vois qu’il n’a plus qu’une envie, c’est de me biner avec son gros plantoir au plus profond d’une nouvelle terre. Il me sourit, se relève et m’embrasse sur les seins en les malaxant doucement. Sa bouche remonte vers la mienne pour me faire goûter mon parfum intime. Mais il attaque aussitôt la suite.

Il présente son gland mafflu devant l’entrée de mon vagin. Je m’attends à ce qu’il donne un si grand coup de reins que j’en ais le souffle coupé tellement sa bite est dure, épaisse, mais non…Contrairement à son comportement avec les filles, il me prend avec une infinie douceur après avoir plusieurs fois caressé son gland sur ma fente, butant sur mon petit bouton.

-Tu voulais toi aussi goûter de ma queue ! J’espère que tu vas être comblée !

Je coule comme une fontaine, il n’a plus les propos vulgaires qu’il tenait avec les filles et ça m’excite d’autant plus. Il me prend, collée contre le mur pendant un temps infini avec une douceur insoupçonnée de sa part, il faut que ce soit moi qui le pousse à lâcher un peu les chevaux.

-Hummm… Tu es un merveilleux amant, mais je ne reconnais plus l’homme que j’ai vu hier.

Que n’ais-je pas dis là ? En bon amant à l’écoute de ma demande, maintenant il me défonce littéralement comme une chienne, ses couilles venant taper contre mon cul. La puissance folle de ses coups de reins semble me perforer le vagin, s’écrasant sur le col de l’utérus malmené. Je me rends compte de ce qu’on subi mes filles, il n’y va pas de main morte.
Je sens l’orgasme monter. Je me cramponne à ses épaules, lui criant tout mon plaisir, je jouis mais lui maintient la cadence.
Il ne me laisse même pas apprécier mon orgasme, il me fait mettre à genoux et me met sa teub dans la bouche et lâche de longs jets de sperme épais entre mes lèvres. Je n’ai même pas le temps de déglutir que sa lance a quitté ma bouche et se représente devant ma chatte. Et c’est reparti pour un tour…C’est une bite sur pattes, cet homme, ma parole !!!

Restée à genoux, je suis comblée, ma chatte démolie à nouveau, trempée d’une cyprine abondante, et la bouche encore pleine de son sperme. Je déglutis enfin pour pouvoir geindre sous son nouvel assaut. J’ai la chatte en feu mais je n’ai pas le choix. Il se libère enfin après une longue cavalcade d’une deuxième dose de sa semence dans mon vagin. Les contractions de mon sexe expulsent le trop plein, Il s’en enduit les doigts et les passent sur mon anus.
Je ne suis pas une fana de ce coté là, mais je crois que je n’ai pas le choix, et je dois dire que ça m'excite grave avec un tel amant.
Il me glisse deux doigts dans le cul, j’hurle sur le coup.

- Eh ! Vas-y mollo… j'aime, mais stp, ne m’en mets plus d’autres dans le cul !

J’ai hurlée si fort que cela a résonné dans toute la maison, j’ai sans le vouloir ameuté les filles et je les vois l’une après l’autre se pointer et regarder de la porte leur coach se faire troncher à son tour par l’étalon de la maison. On dirait qu’elles admirent le fait que je me fasse sodomiser par un tel braquemard.
Il ressort son pal, me lèche la chatte et l’anus, et comme réponse aux regards envieux de mes filles, il me plante à nouveau d'un coup sec son pieu dans le cul pour une nouvelle et longue cavalcade avant d’y larguer sa semence.

La séance est finie. Je suis si épuisée que je m’écroule quelques minutes plus tard dans mon lit.

Notre minibus est réparé, mais après en avoir discuté avec les filles et avec l’accord de notre hôte, nous avons décidées à l’unanimité de rester chez lui pour une cure de sexe.
Que des avantages, nous économisons beaucoup d’argent, une piscine pour nous toutes seules, et surtout, deux mâles dans un seul corps, il y en a pour tous les goûts, du hard ou du soft suivant les humeurs de cet homme si exceptionnel…
Nous lui avons quand même demandé de ne pas diffuser ce qu’il a filmé. En gentleman, il nous fait des copies pour nous et efface devant nos yeux les dossiers de son ordi.

Un vrai gentleman, je vous dis……
Fin.