Domine-moi si tu peux ! (2) - histoire érotique

Après quelques minutes de repos, le mâle avait envie de jouer davantage avec Julie, pas étonnant vu qu'il n'avait quasiment pas débandé face à cette beauté de la nature.
Il se mit sur elle et l'embrassa vigoureusement alors qu'elle lui caresser le dos et les fesses musclées. Il frottait sa queue contre la chatte afin de se remettre au garde-à-vous. Une fois prêt, il la pénétra avec tendresse et commença les vas et viens. Julie aimait cette position car le mâle faisait un maximum d'effort pour la satisfaire. Elle eu plusieurs orgasmes avant que l'étalon sentit que ça montait. Ses testicules frappaient fortement sur le magnifique fessier pour son plus grand plaisir. Elle lui demanda de jouir en elle. Lui voulait plutôt la voir se régaler comme avec la première éjaculation et c'est à ce moment là que le combat psychologique et physique commença pour savoir qui des deux dominera l'autre durant cette longue nuit.
Au moment ou il voulu se retirer pour éjaculer, Julie l'entoura de ses jambes et serra fort afin de l'en empêcher. Il commença à se débattre pour y parvenir mais Julie était bien plus forte que lui malgré qu'il soit puissamment musclé. Ses mouvements continuaient la stimulation de son sexe bien dur au fond du vagin jusqu'à ce qu'il entre dans un orgasme à le faire hurler. Julie sentait la grosse bite gonfler encore plus en elle ainsi que les jets puissants en elle. Elle eu simultanément un orgasme à couper le souffle. Après l'avoir complètement vidé, elle relâcha l'étalon pour qu'il puisse enfin retirer sa queue bien sensible et bien trempée de sperme mixé à la mouille. Julie contractait son bassin afin de faire sortir le sperme qu'elle avait recueilli et s'en délecta avec enthousiasme. Le mâle voyait dans le regard de Julie qu'elle aimait dominer et la force qu'elle avait l’inquiétait au plus au point. Il décida alors de s'en aller car il ne savait plus trop dans quoi il s'était engagé et les objets qui l'entouraient ne le mettaient plus du tout en confiance après ça.
Il avait peur. Et il avait raison car Julie ne comptait pas en rester là.
Lorsqu'il se lava pour remettre son jeans (rappelons que Julie lui a déchiré le slip), Julie lui demanda ce qu'il faisait. Il lui dit qu'il était trop fatigué pour continuer et qu'il devait se lever tôt le lendemain mais qu'il avait passé une excellente soirée.
Elle ne comptait pas laisser un tel mâle viril et si puissant lui glisser entre les doigts (enfin ça dépend comment lol). Elle arrêta de jouer et se mit debout face à lui, attrapa les couilles et serra fort, ce qui le fit hurler et reculer vers l'arrière jusqu'au mur. Il mit ses mains sur celle de Julie comme pour tenter de l’arrêter mais il ne pouvait plus rien. Elle tira vers le bas pour qu'il ait son visage face à elle. Elle le regarda dans les yeux et lui dit qu'elle allait lui extraire sa délicieuse semence jusqu'à ce qu'elle n'ai plus soif. Difficile de ne plus avoir soif avec un étalon pareil !!!

Julie ne lâcha pas la pression sur les couilles du mâle.
Elle avait un contrôle total sur lui. Elle le fit monter sur le lit et lui dit d’écarter les jambes.
Elle commençait alors à le sucer. Il avait le gland très sensible et la sensation avec celle des couilles broyées ne l'aidaient pas. Il avait pris conscience qu'il allait se faire dévorer comme jamais personne ne s'était fait dévorer auparavant et qu'elle ne s’arrêterait que lorsqu'elle aurait fini.
Malgré la fatigue qu'il ressentait, la bouche experte de Julie le fit bander et il regrettait déjà car qui peut bander peut jouir inéluctablement. L'étalon gémissait de douleur tandis que Julie gémissait de plaisir et se régalait avec la grosse queue bien dur et très raide. Elle le savourait en variant les rythmes pour ne pas le faire jouir trop vite et voulait en profiter un maximum. Parfois, elle mordillait le gland pour le faire souffrir et lui rappeler qu'il était désormais son esclave et qu'il lui appartenait.
Après de longues minutes d'agonie, le mâle sentit du sperme monter jusqu'au gland. Il n'avait pas envie de souffrir davantage car l'orgasme en lui-même est magnifique mais la sensibilité qui suit est atroce, surtout après plusieurs éjaculations intenses. Julie sentait qu'il allait éjaculer et s’arrêta de stimuler le frein. Elle se concentra sur le gland et la verge pour le maintenir à la limite de l'orgasme. Cela accentue la pression et plus ça dur, plus l'éjaculation est puissante et abondante et plus le gland devient sensible après. Elle le força ainsi à produire plus de sperme.
Il n'en pouvait plus et la supplia de le faire éjaculer. Il était résigné à lui obéir faute de pouvoir s'échapper.
Julie lâcha les couilles et lui agrippa les fesses pour l’empêcher de reculer. Elle attrapa le gland et avec la langue elle frotta sur le frein et avec une seule pression, elle le fit plonger dans un orgasme si intense qu'il ne s'était pas rendu compte qu'il avait les testicules libres. Il hurlait et tremblait, sa queue avait de grosses contractions à la base et Julie se faisait un plaisir de recevoir la semence bien chaude, généreuse et épaisse de ce beau motard musclé. Lorsqu'elle aspira les dernière goutte de sperme, le mâle supplia Julie et demanda s'il pouvait maintenant s'en aller mais elle lui répondit qu'elle était satisfaite mais qu'elle en voulait encore, bien plus que ça. Elle lui saisit alors le pénis et fit des vas et viens sur le gland super sensible mais avec les dents. C'était si violent qu'il trembla tellement qu'il ne pu tenir plus longtemps debout et tomba sur le dos en parfaite position pour le prochain jeux !
Julie se mit alors en 69 en serrant la tête du beau mâle avec ses cuisses puissantes. Il avait du mal à respirer et il ne pouvait que sentir la chatte bouillonnante et vorace. Julie attaqua sans plus attendre la grosse queue qu'elle dominait complètement. L'étalon souffrait du gland et avait des spasmes violents. Pour l’empêcher de bouger, Julie enroula ses bras aux cuisses du mâle tout en pausant sa grosse poitrine sur ses abdos magnifiques. Cela lui laissait les mains libres pour jouer avec les belles couilles qui tombaient presque sur le lit mais aussi avec le périnée et toute cette zone sensible que les hommes négligent. Seuls les bras musclés et les jambes puissantes du bel étalon se débattaient sans qu'il ne puisse rien faire. Elle le pris en fond de gorge et pompa sans ménagement. Elle enfonça la queue si profonde que son nez tapait sur les testicules. Elle ouvra encore plus la bouche et engloutit les couilles qui se trouvaient désormais sous le palais de cette salope. Tout l'appareil génital avait disparu. Elle pouvait tenir comme ça pendant très longtemps sans respirer. Le mâle souffrait encore plus car son gland se trouvait compressé dans la gorge de Julie. Toutefois, le frein s'y trouvait également et cela l'a amené rapidement à l'orgasme. L'étalon tenait fortement alors la tête de Julie en hurlant et gémissant intensivement. Cette sensation était la meilleure qu'un mâle puisse connaître alors que pour lui c'était plutôt mitigé. Meilleure qu'une chatte, une sodo, une main ou même une bouche. Elle le faisait jouir avec la gorge !
Il éjacula directement dans l’œsophage de Julie. Sa délicieuse semence se déversait en elle et elle adorait ça. Elle sentait les grosses giclées de sperme dans sa gorge couler dans son estomac. Elle était gavée comme une oie. L'éjaculation dura presque une minute ce qui montra à quel point c'était intense et surtout incontrôlable. Elle se retira finalement en lui provocant d'effroyables spasmes. Après quoi, le mâle qui n'avait plus d’énergie et les couilles complètement sèches, ne bougeait plus sur le lit jambes écartées.
Julie se retourna vers lui et lui dit que dès qu'elle aurait envie de passer une nuit de folie elle le contacterai et qu'il avait intérêt, s'il voulait rester un mâle, de répondre à son appel et de se précipiter pour la satisfaire.
Elle lécha le beau corps sculpté et l'embrassa tendrement pour le remercier de lui avoir donné généreusement ce doux nectar que seul un mâle peut produire.