Dominique - histoire érotique

La genèseC’est lors d’une retraite chrétienne que je fis la connaissance d’Hélène celle qui partage ma vie actuellement, une jeune fille assez timide, mais avec le caractère bien affirmé. Après un léger flirt, on s’échangea nos adresses, mais elle refusa de me donner son téléphone, (il n’y avait pas encore les portables à cette époque bénies), prétextant qu’elle voulait d’abord me présenter à sa famille.
On se revit une semaine plus tard, où j’avais sorti mon 31 pour la rencontre. Elle était particulièrement fébrile. Tout se passa bien et trois mois plus tard, je lui passais la bague au doigt.
(Et moi la corde au cou.)Comme il fallait s’y attendre, la première nuit fut particulièrement laborieuse. Il y a un monde entre toucher les seins et abaisser la culotte, garante de la pudeur. Que de persuasion n’a-t-il pas fallu amener sur la table des négociations pour enfin voir du fond du lit, un soutien-gorge sur la chaise et la paire de bas sur le tapis. Même Nougaro y aurait perdu son latin. Bien sûr, le cuni de préparation n’était pas encore rentré dans ses mœurs et ce fut un long travail manuel que de l’amener à concupiscence. Elle me fit promettre de ne jamais dire à personne ce que nous allons faire. J’ai beau eu lui expliquer qu’à part Jésus, tous les enfants de la terre ont été faits de la même manière, il faut que l’homme introduise son pistil dans la fleur de la femme pour créer ce miracle.
Rien à faire, c’était sale de chez sale. Pourtant, son corps répondait favorablement à mon empressement.
Quand ma main flattait son entre-jambe, ses reins se mettaient en mouvement ce qui reflétait le combat interne qui s’y livrait. Ce qui déclencha son acceptation, ce fut lorsque je lui embrassai le petit buisson qu’elle avait sous les bras. Elle ne put résister à l’appel de son corps et elle écarta les défenseurs de son moi intime, dit autrement, elle écarta les cuisses en me permettant de prendre possession de sa fleur, non sans mal au passage de l’hymen. Elle voulut à ce moment-là, m’éjecter, mais je continuais à la clouer de plus en plus profond que finalement elle abandonna.
Je savais qu’il était hors de question de prendre mon plaisir avant qu’elle ne revienne à de meilleurs sentiments et en serrant les dents pour éviter une éjaculation trop précoce, je continuais à manœuvrer dans son pot à délice. Lentement elle se détendit et commença à répondre à mon action, de plus en plus, de mieux en mieux jusqu’à un dernier coup de rein et frémissant de tout son être et retombe essoufflée et vaincue. Alors je me déversais dans son cratère en fusion pour éteindre l’incendie que j’avais provoqué.
Le lendemain, c’est elle qui tout de suite est venue en curieuse visiter mon service trois pièces, mais de la main. Quand elle a vu l’effet, elle me fit promettre de ne plus lui faire mal quand je lui mettrais mon pipi dans le sien. Je la rassurais que c’est au premier passage que cela se produit, mais que je devais un peu chauffer la place. C’est ainsi qu’elle a eu droit à son premier cuni, cette source pure où j’étanchais ma soif de luxure. Après une première jouissance, à mon tour, je l’ai prise en bon missionnaire pour un second round.
Le surlendemain, elle me fit une surprise au matin, après avoir sorti mon calibre de sa prison nocturne, curieuse, elle commença à son tour à me sucer la trique. Je m’aperçus alors qu’il faut se méfier des eaux qui dorment.
Dominique.
C’est au bal de la mi-août que l’on a rencontré la première fois Dominique. Bien qu’elle soit une très belle fille, elle restait seule dans son coin. Après avoir apprécié nos duo de danse, mon Hélène qui s’en donnait à cœur joie, me suggéra de l’inviter aussi à danser et de l’amener à table, elle voulait un peu se reposer.
Je suivis son conseil et allais m’incliner vers la belle, qui avec un grand sourire, ne refusa pas mon invitation. Après une première danse assez animée où je remarquais qu’elle dansait très bien, on en arriva à un slow qui me permit d’ouvrir la conversation. Elle m’apprit qu’elle s’était enfuie de chez ses parents qui ne la comprenaient pas. Du coup, je l’invitais à notre table plutôt que de rester toute seule à se morfondre.
À la fin de la danse, je fis les présentations et depuis ce moment-là, le courant a passé mieux que bien entre elles. Hélène était enchantée, me disant qu’elle avait enfin la sœur qu’elle n’avait pas eu. Il n’était plus question qu’on la lâcha. C’est ainsi qu’elle a intégré notre ménage.
Notre premier enfant ainsi trouva une nounou toute désignée, le second aussi. Avec le second, je sentais qu’Hélène se détachait doucement de moi pour reporter toute son affection sur Dominique.
Il lui arrivait dans notre rapport hebdomadaire, (hé ! Oui, la fréquence avait singulièrement chuté au deuxième enfant) elle me fasse une chose un peu bizarre, elle me mettait son doigt dans le cul, comme quoi il faut dire qu’elle a bien évolué. Je n’ai rien vu venir, si ce n’est que Dominique et elle devenaient vraiment inséparables. J’avais l’impression que le couple, c’était plus Dominique et Hélène que moi et Hélène, toujours à se bécoter, se caresser. Enfin, il semblait que c’était dans les mœurs entre femmes et elle nous aidait bien à tenir le ménage, jamais un mot de travers et aussi très affectueuse avec moi, donc je laissais la situation lentement se détériorer dans mes rapports avec Hélène. Après l’anniversaire du deuxième fils, on passa à une fois toutes les deux semaines, sans trop d’enthousiasme. Bien que frustré, je freinais ma déception avec le travail et le reste de la famille. Hélène s’intéressait de plus en plus à mon cul. On ne pouvait plus baiser sans qu’elle me mette les doigts dans le cul, mais quand j’essayais de faire de même, il n’en était pas question.

Au mois de juin, lors de mon anniversaire, Dominique nous annonce tout de go qu’elle va nous quitter. On lui demande mais pourquoi ? Et où vas-tu aller ?
Elle nous répond qu’elle sent un mal aise dans la famille que je ne l’aime pas assez.
— Au contraire, nous t’aimons tous les deux. Que va faire Hélène si tu pars ? Je t’en supplie reste !

La surpriseC’est à la mi-août de l’année suivante que je me suis aperçu que j’avais oublié mon porte-document à la maison et que je suis revenu pour le reprendre. Je m’attendais à voir tout le monde, mais personne dans la cuisine, ni dans le salon et les enfants dormaient encore.
J’ai pensé «  Tiens Hélène doit faire la grâce matinée, elle qui se plaint d’être en perpétuelle fatigue quand j’essaye de l’entreprendre pour commander le troisième, je vais voir ce qu’il en est. » Doucement j’entrouvre la porte et tombe sur un tableau que je n’oublierai jamais de ma vie. Dans notre lit, deux femmes complètement à poil dans les bras l’une de l’autre, enfin quand je dis deux femmes, une femme et demi, car dans le bas, Dominique était diablement pourvu d’une très belle bite. C’est un flash dans ma tête, je comprends tout, la fatigue, les embrassades et bécotages à longueur de journée. Je ne les ai pas réveillées, mais ça secoue, je me retire doucement quand j’entends Hélène :— Reste, il est temps qu’on s’explique.
Les explications de Hélène.
à suivre