Donner du bonheur à un SDF
Récit érotique écrit par Généreux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2020 dans la catégorie Plus on est
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Donner du bonheur à un SDF
Ce récit relate un après-midi de sexe tout récent puisqu'il s'agit d'une rencontre ayant eu lieu le samedi 14 novembre 2020.
Ma copine était partie vers les achats de la semaine dans la grande surface (je ne sais si on peut citer le nom du magasin ?). Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'elle revint, car elle n'était pas seule !
Je la cite:
- "Chéri, voici Emile, le SDF à qui je donne 5 euros chaque semaine devant le magasin. Je lui ai proposé devenir chez nous afin qu'il prenne une douche et partage notre repas ce soir".
Emile est effectivement un SDF que j'ai déjà vu lorsque, rarement, j'accompagne ma coquine faire les courses.
Il doit avoir aux alentours de 65/70 ans et, malgré qu'il soit négligé, a encore belle allure. +- 1m75, dans les 90kgs et on devine qu'il a de l'éducation.
Mais son odeur n'était pas très agréable, donc rapidement ma chérie l'a conduit à notre salle d'eau et lui a donné tout ce dont il avait besoin pour redevenir propre. Dans le même temps elle lui a offert un boxer et une paire de chaussettes neuves et non-utilisées de mon tiroir, ainsi qu'un de mes peignoirs (j'ai pas apprécié) pour qu'il soit présentable lorsque nous dînerions.
Alors qu'Emile prenait sa douche, ma coquine me demanda de ranger les achats et s'en alla dans la chambre.
Lorsqu'elle me rejoignit elle avait changé de tenue ! Elle avait revêtu une petite jupette ultra-courte, ainsi qu'un top minimaliste.
Quand je l'ai vue ainsi j'ai cru comprendre et lui ai demandé: "Tu veux te faire ce gars ?", "c'est un SDF !".
"Et alors ? Il a bien le droit de baiser ! Et il sera propre maintenant".
Moi cela ne me plaisait qu'à moitié, et si il avait une maladie, ce dont je lui fit part.
- "Ne t'inquiètes pas, je lui ferai mettre un préservatif et ne l'embrasserai pas".
N'empêche que cela ne me plaisait vraiment pas, mais je n'avais le droit de dire non vu qu'il fallait que je me fasse pardonner une soirée hot avec sa cousine il y a quelques semaines et que je ne lui avais avouée que quelquesjours plus tôt. Pour précision elle déteste sa cousine, jalousie féminine.
J'étais sur la terrasse à fumer (on ne fume pas à l'intérieur) quand Emile est redescendu au salon.
Je cite ma copine:
- "Asseyez-vous, que puis-je vous servir à boire ?". (Il demanda un verre d'eau pétillante, ce qui fut un bon pointet nous laissa supposer qu'il n'était pas un alcoolique invétéré.)
Ayant terminé ma cigarette, je suis rentré au moment où elle s'exprimait ainsi (ma copine ne tourne jamais autour du pot et est très directe quand elle veut quelque-chose):
- "Vous êtes vraiment charmant avec le peignoir de mon copain, et comment trouvez-vous la tenue que je viens tout spécialement de mettre pour vous ?".
Emile la regarda puis me regarda, je lui fit un clin d'oeil approbateur.
- "Vous êtes magnifique, chaque semaine j'attends le moment où vous aller venir au magasin".
Elle: "Je suis contente de vous plaire, après le repas je vous offrirai ce qui vous est encore caché pour le moment".
Et, tout en disant ça, elle lui tourna le dos et partit vers la cuisine en soulevant sa jupe, lui dévoilant son petitcul.
Seul avec Emile, je lui ai dit qu'elle avait envie de lui et que je n'y voyais aucun problème (mouais), mais que je serai présent tout du long de la soirée.
Il n'en revenait pas, croyant qu'on se moquait de lui. Alors j'ai appelé ma copine et lui ai demandé de venir présenterses fesses aux mains d'Emile.
Elle s'est mise de dos devant lui et je l'ai encouragé à toucher, ce qu'il a fait. Je crois qu'il aurait passé des heures à lui peloter le fessier, je voyais qu'il appréciait vraiment beaucoup ça.
Ma chérie est repartie en cuisine pour préparer les pâtes (tous les samedis) pendant que je me suis entretenu avec Emile.
J'en ai appris un peu sur son parcours de vie, sur la raison de sa déchéance, mais je ne vais pas épiloguer là-dessus.
Vers 19h nous sommes passés à table, ma coquine avait pris place à son côté et j'ai bien remarqué qu'à certains momentsune main d'Emile restait un certain temps sous la table, nul besoin de faire un dessin.
Après le repas nous avons bu un petit digestif, toujours de l'eau pour Emile, puis ma coquine lui a dit qu'elle lui avaitapprêté une brosse à dans sur l'évier de la salle d'eau. Elle l'enjoignit à y aller et lui précisa qu'elle l'attendrait dans la pièce juste à droite de la salle d'eau (la chambre d'amis).
Elle et moi y sommes vite allés et, dans la pénombre, j'ai pris place dans mon fauteuil de voyeur situé sur le côté droit du lit, tandis qu'elle a retiré sa jupe et son top et s'est allongée sur le lit vêtue de son seul string.
Emile est entré, petit coup d'oeil sur moi puis yeux gourmands sur elle. Il hésitait, alors je l'ai encouragé:
- "Je t'en prie, elle est toute à toi et soumise à tous tes caprices, je dis bien TOUS".
Il a ôté le peignoir et, stupidement, me l'a donné. Ensuite il s'est allongé à côté d'elle et l'a embrassée tout en la caressant.
Elle se laissait embrasser alors qu'elle m'avait dit qu'elle ne le ferait pas. Tsss !
Je râlais un petit peu, mais malgré tout j'étais terriblement excité de voir ce gars parcourir le corps de ma femelle.
Tout en l'embrassant il a commencé à lui descendre son string, en jouant de ses jambes elle l'a retiré entièrement.
Sa main entre les cuisses de ma coquine, j'entendais le clapotis provoqué par la masturbation, elle mouillait déjà copieusement !
Elle gémissait, je voyais ses pieds qui tremblotaient, signe qui chez elle est signe de grande jouissance.
A un moment donné elle a poussé un petit cri, je me suis levé et approché afin de mieux voir. Emile avait son pouce dans le vaginet son majeur avait pénétré le trou arrière, son cul!
Il avait ouvert une porte, je savais que maintenant elle voudrait être prise en double. Ma coquine apprécie autant, si ce n'estplus, être enculée que pénétrée. Et 9 fois sur 10, quand un partenaire doigte son anus, elle veut qu'il assume ou me demande de participer afin de se régaler d'une double pénétration.
Le moment était chaud, je la regardais tressauter de plaisir, elle se cambrait puis ses jambes se raidissaient, Emile savait yfaire avec ses doigts !
Où je fus sidéré, c'est quand ils se mirent tête-bêche. J'ai pu découvrir l'énormité du sexe à Emile !
Incroyable ! Si la vie avait été mesquine avec lui, la nature avait été sacrément généreuse !
Si je compare avec le mien (19) je pense que sa queue doit au moins faire 24 cm. Et que dire de la grosseur ! Je pense que, même si il avait voulu, il n'aurait su sodomiser ma copine. Elle n'est pas grosse, elle est énormissime !
Je crois que c'est le plus gros engin que j'aie vu, ma copine est du même avis.
J'ai eu envie de le sucer, mais sa situation (SDF) m'en a empêché. Je sais c'est discriminatoire.
Par contre, elle ne s'en ai pas privée. Pas la moitié n'est entrée dans la bouche, mais je distinguais qu'elle arrivait malgrétout à la flatter. Emile a ensuite entamé des vas et vient, mais quand il s'enfonça un peu trop elle le repoussa "par peur de vomir" m'a-t-elle dit par la suite.
Alors qu'elle le suçait, je me suis assis sur le lit et lui ai donné la fessée. C'est un moment qu'elle adore et qui, parfois, déclenche la femme-fontaine qu'elle peut être. Mais pas ce jour-là.
Je voyais Emile qui la masturbait avec plusieurs doigts et qui, en même temps, lui dévorait le clito.
A voir ça, et à l'entendre jouir, j'aurais presque voulu être une femme et à sa place.
Tout à coup !: "Arrête" s'exclama Emile.
Il ôta son obus de la bouche de ma salope et, après quelques secondes, expliqua qu'il avait presque éjaculé.
- "Mais c'est trop tôt, je voudrais d'abord bien vous baiser" dit-il.
Il enleva le préservatif et en demanda un autre (je crois qu'il avait "perlé" dans le premier).
Malgré le petit temps de repos dû à cet échange de protection, Emile est resté au garde-à-vous.
Je ne pouvais quitter ce pieu du regard, il s'en aperçut et me dit en riant: " "Il" fait toujours le même effet".
Heureusement que nous recevons beaucoup et que nous sommes outillés de différents modèles de capotes, c'est laplus grande taille qu'il utilisa et j'ai même eu peur qu'elle soit trop juste.
Je vous écrirai la suite dans quelques jours, désolé mais je n'ai plus le temps aujourd'hui.
Amitié sexuelle à tous et toutes.
Ma copine était partie vers les achats de la semaine dans la grande surface (je ne sais si on peut citer le nom du magasin ?). Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'elle revint, car elle n'était pas seule !
Je la cite:
- "Chéri, voici Emile, le SDF à qui je donne 5 euros chaque semaine devant le magasin. Je lui ai proposé devenir chez nous afin qu'il prenne une douche et partage notre repas ce soir".
Emile est effectivement un SDF que j'ai déjà vu lorsque, rarement, j'accompagne ma coquine faire les courses.
Il doit avoir aux alentours de 65/70 ans et, malgré qu'il soit négligé, a encore belle allure. +- 1m75, dans les 90kgs et on devine qu'il a de l'éducation.
Mais son odeur n'était pas très agréable, donc rapidement ma chérie l'a conduit à notre salle d'eau et lui a donné tout ce dont il avait besoin pour redevenir propre. Dans le même temps elle lui a offert un boxer et une paire de chaussettes neuves et non-utilisées de mon tiroir, ainsi qu'un de mes peignoirs (j'ai pas apprécié) pour qu'il soit présentable lorsque nous dînerions.
Alors qu'Emile prenait sa douche, ma coquine me demanda de ranger les achats et s'en alla dans la chambre.
Lorsqu'elle me rejoignit elle avait changé de tenue ! Elle avait revêtu une petite jupette ultra-courte, ainsi qu'un top minimaliste.
Quand je l'ai vue ainsi j'ai cru comprendre et lui ai demandé: "Tu veux te faire ce gars ?", "c'est un SDF !".
"Et alors ? Il a bien le droit de baiser ! Et il sera propre maintenant".
Moi cela ne me plaisait qu'à moitié, et si il avait une maladie, ce dont je lui fit part.
- "Ne t'inquiètes pas, je lui ferai mettre un préservatif et ne l'embrasserai pas".
N'empêche que cela ne me plaisait vraiment pas, mais je n'avais le droit de dire non vu qu'il fallait que je me fasse pardonner une soirée hot avec sa cousine il y a quelques semaines et que je ne lui avais avouée que quelquesjours plus tôt. Pour précision elle déteste sa cousine, jalousie féminine.
J'étais sur la terrasse à fumer (on ne fume pas à l'intérieur) quand Emile est redescendu au salon.
Je cite ma copine:
- "Asseyez-vous, que puis-je vous servir à boire ?". (Il demanda un verre d'eau pétillante, ce qui fut un bon pointet nous laissa supposer qu'il n'était pas un alcoolique invétéré.)
Ayant terminé ma cigarette, je suis rentré au moment où elle s'exprimait ainsi (ma copine ne tourne jamais autour du pot et est très directe quand elle veut quelque-chose):
- "Vous êtes vraiment charmant avec le peignoir de mon copain, et comment trouvez-vous la tenue que je viens tout spécialement de mettre pour vous ?".
Emile la regarda puis me regarda, je lui fit un clin d'oeil approbateur.
- "Vous êtes magnifique, chaque semaine j'attends le moment où vous aller venir au magasin".
Elle: "Je suis contente de vous plaire, après le repas je vous offrirai ce qui vous est encore caché pour le moment".
Et, tout en disant ça, elle lui tourna le dos et partit vers la cuisine en soulevant sa jupe, lui dévoilant son petitcul.
Seul avec Emile, je lui ai dit qu'elle avait envie de lui et que je n'y voyais aucun problème (mouais), mais que je serai présent tout du long de la soirée.
Il n'en revenait pas, croyant qu'on se moquait de lui. Alors j'ai appelé ma copine et lui ai demandé de venir présenterses fesses aux mains d'Emile.
Elle s'est mise de dos devant lui et je l'ai encouragé à toucher, ce qu'il a fait. Je crois qu'il aurait passé des heures à lui peloter le fessier, je voyais qu'il appréciait vraiment beaucoup ça.
Ma chérie est repartie en cuisine pour préparer les pâtes (tous les samedis) pendant que je me suis entretenu avec Emile.
J'en ai appris un peu sur son parcours de vie, sur la raison de sa déchéance, mais je ne vais pas épiloguer là-dessus.
Vers 19h nous sommes passés à table, ma coquine avait pris place à son côté et j'ai bien remarqué qu'à certains momentsune main d'Emile restait un certain temps sous la table, nul besoin de faire un dessin.
Après le repas nous avons bu un petit digestif, toujours de l'eau pour Emile, puis ma coquine lui a dit qu'elle lui avaitapprêté une brosse à dans sur l'évier de la salle d'eau. Elle l'enjoignit à y aller et lui précisa qu'elle l'attendrait dans la pièce juste à droite de la salle d'eau (la chambre d'amis).
Elle et moi y sommes vite allés et, dans la pénombre, j'ai pris place dans mon fauteuil de voyeur situé sur le côté droit du lit, tandis qu'elle a retiré sa jupe et son top et s'est allongée sur le lit vêtue de son seul string.
Emile est entré, petit coup d'oeil sur moi puis yeux gourmands sur elle. Il hésitait, alors je l'ai encouragé:
- "Je t'en prie, elle est toute à toi et soumise à tous tes caprices, je dis bien TOUS".
Il a ôté le peignoir et, stupidement, me l'a donné. Ensuite il s'est allongé à côté d'elle et l'a embrassée tout en la caressant.
Elle se laissait embrasser alors qu'elle m'avait dit qu'elle ne le ferait pas. Tsss !
Je râlais un petit peu, mais malgré tout j'étais terriblement excité de voir ce gars parcourir le corps de ma femelle.
Tout en l'embrassant il a commencé à lui descendre son string, en jouant de ses jambes elle l'a retiré entièrement.
Sa main entre les cuisses de ma coquine, j'entendais le clapotis provoqué par la masturbation, elle mouillait déjà copieusement !
Elle gémissait, je voyais ses pieds qui tremblotaient, signe qui chez elle est signe de grande jouissance.
A un moment donné elle a poussé un petit cri, je me suis levé et approché afin de mieux voir. Emile avait son pouce dans le vaginet son majeur avait pénétré le trou arrière, son cul!
Il avait ouvert une porte, je savais que maintenant elle voudrait être prise en double. Ma coquine apprécie autant, si ce n'estplus, être enculée que pénétrée. Et 9 fois sur 10, quand un partenaire doigte son anus, elle veut qu'il assume ou me demande de participer afin de se régaler d'une double pénétration.
Le moment était chaud, je la regardais tressauter de plaisir, elle se cambrait puis ses jambes se raidissaient, Emile savait yfaire avec ses doigts !
Où je fus sidéré, c'est quand ils se mirent tête-bêche. J'ai pu découvrir l'énormité du sexe à Emile !
Incroyable ! Si la vie avait été mesquine avec lui, la nature avait été sacrément généreuse !
Si je compare avec le mien (19) je pense que sa queue doit au moins faire 24 cm. Et que dire de la grosseur ! Je pense que, même si il avait voulu, il n'aurait su sodomiser ma copine. Elle n'est pas grosse, elle est énormissime !
Je crois que c'est le plus gros engin que j'aie vu, ma copine est du même avis.
J'ai eu envie de le sucer, mais sa situation (SDF) m'en a empêché. Je sais c'est discriminatoire.
Par contre, elle ne s'en ai pas privée. Pas la moitié n'est entrée dans la bouche, mais je distinguais qu'elle arrivait malgrétout à la flatter. Emile a ensuite entamé des vas et vient, mais quand il s'enfonça un peu trop elle le repoussa "par peur de vomir" m'a-t-elle dit par la suite.
Alors qu'elle le suçait, je me suis assis sur le lit et lui ai donné la fessée. C'est un moment qu'elle adore et qui, parfois, déclenche la femme-fontaine qu'elle peut être. Mais pas ce jour-là.
Je voyais Emile qui la masturbait avec plusieurs doigts et qui, en même temps, lui dévorait le clito.
A voir ça, et à l'entendre jouir, j'aurais presque voulu être une femme et à sa place.
Tout à coup !: "Arrête" s'exclama Emile.
Il ôta son obus de la bouche de ma salope et, après quelques secondes, expliqua qu'il avait presque éjaculé.
- "Mais c'est trop tôt, je voudrais d'abord bien vous baiser" dit-il.
Il enleva le préservatif et en demanda un autre (je crois qu'il avait "perlé" dans le premier).
Malgré le petit temps de repos dû à cet échange de protection, Emile est resté au garde-à-vous.
Je ne pouvais quitter ce pieu du regard, il s'en aperçut et me dit en riant: " "Il" fait toujours le même effet".
Heureusement que nous recevons beaucoup et que nous sommes outillés de différents modèles de capotes, c'est laplus grande taille qu'il utilisa et j'ai même eu peur qu'elle soit trop juste.
Je vous écrirai la suite dans quelques jours, désolé mais je n'ai plus le temps aujourd'hui.
Amitié sexuelle à tous et toutes.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci, très bon récit, j'attends la suite avec impatience !
Vivement la suite !!!