Double effet baise cool (2ème partie) - histoire érotique

Après une première partie de soirée passée avec un homme seul dans un très bel hôtel parisien, nous étions partis poursuivre notre soirée chez un autre homme seul grand organisateur de soirée. Sa particularité : il recevait ses nombreux amis libertins dans un grand appartement qui était aussi son bureau d’expert-comptable. Dans une belle rue du 16ème arrondissement ses voisins d’en face attendaient avec impatience chacune de ses soirées sachant, surtout en juin comme cette soirée-là, qu’ils verraient des femmes dénudées s’approcher des fenêtres. En résumé il savait recevoir, était charmant bien que tout sauf sexy avec son mètre 65 et ses 52 kilos.
Mais pour l’instant Chrystèle avait de toutes autres idées en tête et surtout une belle bite dans la chatte. Derrière lui un habitué des lieux : Erwan, compagnon d’une Japonaise aux seins spectaculairement gros que Léopold baise avec fougue. Les deux couples se sont retrouvés et ont vite sympathisé au bord du buffet. Erwan a donné le signal des festivités en entrainant Chrystèle dans une pièce encore vierge de couples en ce début de soirée. Avec application il la baise en levrette et malaxe son superbe cul de « salope blonde aux seins de compétition » comme il aime à l’appeler. 1m75, 95C de stupre que tout le monde a envie de baiser mais qui prend plutôt Erwan comme un dérivatif en espérant surtout que Léopold baise longuement sa compagne.
Ce que fait Léopold. Après avoir vu Chrystèle se faire prendre à l’hôtel il avait follement envie de baiser et Naomie est bien tombée. Pour une Japonaise elle a décidément des seins d’une taille exceptionnelle qu’il a longtemps léchés. Et maintenant il profite de la prendre également en levrette, à l’autre bout de l’appartement car Naomie « n’aime pas voir Erwan baiser une autre ». Mais elle aime ce que lui fait Léopold, ses 30 ans et son visage d’ange qu’elle préfère voir la prendre par devant : « Embrasse-moi. » Il lui fait remonter les jambes très haut et ne peut s’empêcher de toucher ses seins qui le fascinent tant.
Mais ils sont interrompus par leurs conjoints respectifs. « Elle m’a eu », signifie Erwan pour indiquer qu’il a joui, ce que déteste tout libertin expérimenté comme lui, vexé de ne pas tenir toute la nuit. « Elle va m’avoir », hurle Léopold en jouissant à son tour après que Naomie ait eu l’idée de lui pincer longuement les seins, une caresse qui le fait bander à mort, mais aussi de lui prendre les fesses à pleines mains, ce qui l’a fait partir.

Quelques minutes plus tard ils discutent avec un acteur assez connu qui demande l’autorisation à Chrystèle de lui « lécher les seins ». Ce à quoi elle se résout. Un peu frustrée de ne pas avoir encore trouvé d’amant à sa mesure. Un peu jalouse d’avoir vu Léopold prendre son pied avec la belle Japonaise. Quant à l’acteur il n’est pas trop à son gout.

C’est là qu’elle voit David. David qui l’a déjà baisée. David dont elle est secrètement amoureuse. David que Léopold déteste car il le sait. David ce superbe brun qui l’a fait si bien jouir et qui arrive tout sourire l’embrasser. D’un coin de l’œil elle valide que Léopold est en pleine discussion avec un couple d’Italiens. Elle très belle mais juste « venue pour voir ». Il va être déçue.
« Viens avec moi qu’on soit tranquille. » David l’entraine dans une pièce discrète pleine de dossier jusqu’au plafond. Il l’embrasse, lui touche les seins, descend sa robe pour les prendre à pleine main, lui met un doigt dans la chatte – « Tu n’as pas de culotte, salope, tu t’es déjà faite prendre ce soir ?
- Ca ne te regarder pas. Tu n’avais qu’à arriver avant si tu veux être le proprio. » Elle l’embrasse, lui sort la bite du pantalon, se penche pour le sucer. Elle le veut dur. Très dur. Elle se retourne et il la prend debout contre une pile de dossier. Il s’acharne sur ses seins dont il pince les bouts avec délectation. Il l’a baise de son long sexe un peu recourbé sur la droite. Pour la troisième fois de la soirée elle se fait prendre. Le premier était très bien monté mais il n’y avait pas de sentiment entre eux. Le deuxième était sans intérêt. Là c’est le bonheur. De la baise et des sentiments. Oh elle se doute bien qu’il se fiche d’elle au fond mais elle a besoin d’y croire pour aller jusqu’au bout de sa jouissance. Elle hurle de bonheur quand il décide de la sodomiser. Il lui faut être incroyablement excitée pour apprécier une pénétration qu’elle refuse dans 99% des cas. Pas à David : c’est son cadeau.

« Tu étais passée où ?
- Discuter avec un couple.
- Je t’ai cherchée partout.
- Tu n’a pas du me voir ; il y avait beaucoup de monde ce soir. »