Double fistage
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Double fistage
Enfin la villa en construction voisine de la mienne est terminée. Fini les bruits du
chantier, fini les cris et engueulades entre ouvriers. Les voisins aménagent sans
bruit. Le seul désagrément est le départ en trombe du nouveau voisin sous les matin
vers 7 heures. Sa femme ne travaille pas, enfin dehors, j’ignore ce qu’elle fait après
son bain, l’après midi dans leur piscine où il me semble qu’elle est toujours nue. En
tout cas ils sont bien polis: ils disent toujours bonjour aux voisins. Je la rencontre
souvent au centre du village quand, au lieu d’aller faire mes courses en ville, je me
sert chez les commerçants du coin. Je suis ce qu’on appelle un capitaliste: je vis de
mes rentes tout simplement. Je semble inoccupé, alors que j’ai une foule d’activité,
entre autre l’amour. J’aime bien jouir. C’est la chose la plus normale chez un homme.
Bon an mal an j’arrive tout de même à me farcir une bonne trentaine de femmes; jeunes
femmes célibataires et souvent des femmes mariées que je préfère: elle savant bien
faire l’amour simplement pour le plaisir.
Un jour, sans chercher à le regarder je vois ma nouvelle voisine se dirigeant vers la
piscine. Elle porte un genre de peignoir de bain ouvert. La pudeur ne doit pas être
son fort. J’aperçois sa poitrine avec des seins extraordinairement beaux. Je reste
pour voir la suite: elle enlève son peignoir pour montrer le reste. Elle porte un
genre de string, disons un bébé string tellement il ne cache rien. A vue de nez il
couvre simplement le début des lèvres de son sexe. Quand elle se tourne je peux voir
que ce « vêtement » est retenu par deux ficelles qui semblent maintenir le peu de
tissu. Sa vue seule, aussi peu habillée me donne la trique. S’en est même gênant
tellement je bande. Tans pis, même si elle me voit je ne peux m’empêcher de sortir mon
vit pour me toucher.
Ma bite se régale dehors, on dirait qu’elle a sa vie propre. Je la prends dans ma main
droite et fais les aller et venue normales. Je ne tiens pas longtemps: j’éclabousse la
terre en face de moi. J’ai à peine le temps de me rebrailler quand j’entend la voix de
la voisine:
- Venez si vous voulez prendre un bain;
- Maintenant ?
Je n’ose pas lui dire que je viens de me branler en la regardant, j’invente une
occupation:
- Non, merci pas maintenant, j’ai un rendez vous, demain si vous voulez.
- Je compte sur vous demain vers 15 heures.
- D’accord.
Ouf, je me sens soulagé. Je n’allais pas aller chez elle la bite en berne. Demain tout
sera OK, à condition que cette nuit je ne me branle pas trop.
Ca commence mal, dès le diner avalé je bande en pensant à demain. Tant pis j’ai trop
envie de me caresser. Je me mets nu, totalement nu et pense à son corps. J’aimerais la
lécher, la baiser, l’enculer. Je lui ferai en plus tous ce qu’elle voudra. Je jouis
quand je suis assis sur ma chaise, la bite qui gicle dans un verre pour que je vois la
quantité de sperme que je fabrique. Je le laisse dans le frigo pour ne pas qu’il
sèche. Avant de me coucher j’ai encore envie: je vais passer mon érection sous la
douche froide. J’arrive péniblement à me calmer. Par contre le lendemain matin je fais
comme un ado: je bande dès mon réveil. Je file à nouveau sous la douche, cette fois
j’ai mis l’eau chaude, je la fait couler sur la queue qui n’a toujours pas débandé. Le
plaisir est instantané, ma pine bande encore plus, le prépuce vers le bas le jet coule
directement sur le gland. Je le fait aller et venir jusqu’au pubis pour revenir
s’attarder sur ma bite. Je ralenti mes mouvements, je veux faire durer le premier
orgasme de la journée. Jour long aujourd’hui. Ce n’est pas possible elle m’a envouté
tellement j’ai envie de son corps contre le mien.
Je sors de chez moi pour aller sonner chez elle. Elle ouvre très vite. Je l’attendais
habillée; elle ne porte que son string mini. En femme d’intérieur accomplie, elle
m’invite pour prendre un café. Je suis sur un divan, je peux la voir dans la cuisine,
préparer le café: ses fesses sont parfaites. Elle vient nous servir, ses seins sont
presque contre mon visage. J’aurais pu les embrasser au passage. Elle s’installe dans
un fauteuil, juste en face de moi. Je la détaille des pieds à la tête: beau brin de
fille. Une paire de seins qui est montant, des aréoles brunes sans plus. Elle se tient
très mal les jambes écartées. Si je ne vois pas le début de sa chatte, je peux voir le
reste, il me semble apercevoir son petit cul.
Elle remarque bien sur que je bande encore.
- Vous êtes plus excités qu’hier ?
- Oui c’est vrai.
Elle m’a vu quand je me branlai les yeux fermés.
- J’avais envie de vous.
- Tu crois que je n’ai pas envie de toi et de ta bite ?
- Et ton mari ?
- Laisse le où il est, en se moment il dit se payer sa secrétaire, une belle garce.
Je le sais parce qu’il me l’a dit. On ne sa cache rien.
- Si on baise tu le lui dira ?
- Bien sur on ne se cache jamais nos plaisirs. Et puis assez parlé.
Elle se lève pour venir contre moi. Je sens son corps chaud contre le mien. Je me
penche à peine pour prendre sa bouche. Nos langues et nos salives se mélangent
allègrement. Je pose une main sur sa cuisse, elle ouvre immédiatement ses jambes.
Elle a la peau douce: je monte vers son string: je sens sa cyprine avant d’y être.
Elle se soulève pour être nue. Je trouve facilement son bouton, bouton aussi chaud
que le reste de sa chatte. Je la masturbe en voulant la faire jouir. Sans l’abandonner
je pose ma langue sur la chatte. Je vais entrer dans son con. C’est un délice de goût
et d’odeur. J’oublie son clitoris pour me consacrer à son vagin. J’y entre les doigts
les uns après les autres. Elle écarte complètement son compas.
- Oui, vas-y fistes moi.
- Là où je suis ?
- Oui, pourquoi te voudrais mettre ta main en entier dans le cul. ? Je n’ai jamais
fais par derrière.
- Il faut essayer.
- Pas les deux à la fois.
- Tu n’a jamais baiser avec une bite dans le con et l’autre dans le cul ?
- Si, c’est pas pareil.
- Essaye avant.
Elle se résout à le subir. Je me déshabille, elle prend ma bite dans la bouche. J’ai
rarement eu une fellation aussi bien faite, avec sa langue, ses lèvres et ses mains,
elle emploi toutes ses connaissances. Je ne lui dit rien jusqu’à la fin. Tout le
sperme économisé depuis ce matin part dans sa bouche. Elle lâche ma colonne, tire sa
langue pour monter ma semence, elle l’avale en une seule gorgée, avant de m’embrasser
sur le bouche. Nos goûts se mélangent dans nos bouches.
Je lui demande si elle a ne solution huileuse, j’en ai besoin pour le fistage double.
J’enduite mes doigts de salive, j’y ajoute sa cyprine bien abondante:
- Vite entre tes mains dans mes trous.
- Doucement princesse. J’arrive, je commence par le premier.
J’entre à ma façon, le poing fermé, formant une sorte de bite avec le pouce replié sur
l’index plié, les autres doigts touchant la paume de la main. J’ouvre son entrée avec
son aide. J’entre très doucement, petit à petit ma main pénètre entièrement dans son
vagin. Je l’ai à peine mise qu’elle commence à gémir de plus en plus fort. Je force un
peu pour entrer le reste; J’en suis au poignet, ma main a totalement disparu dans son
ventre: elle ne gémit plus, elle commence à crier:
- C’est bon, mon dieu que c’est bon, continue, même si je jouis, n’arrête pas, oui,
c’est bon, même si j’ai mal. Je jouis. Je vais encore jouir.
- Attends ce n’est que le début, je ne te l’ai pas encore mis dans le cul.
- Tu ne vas pas oser, tu vas me défoncer l’anus.
- C’est justement ce que je vais te faire.
Je fais couler un peu d’huile sur son anus. Ma main est bien graissée. Je dispose mes
doigts comme tout à l’heure. Je lui demande de bien ouvrir son cul, elle écarte les
fesses à deux mains. J’ai juste la place pour deux doigts. Je commence par mettre le
début du pouce pour ouvrir encore un peu son anus. Je sens qu’il s’ouvre gentiment.
Elle doit se faire enculer souvent. Je force encore plus que pour son con. J’arrive
après un bon moment de patience (comment ferait-on l’amour sans patience) enfin je
suis en elle jusqu’à mon poignet. Je resta immobile un moment avant d’aller et venir.
J’arrive doucement à lui mettre ma main et la moitié de mon avant bras. Alliée à mon
autre main, elle la fait jouir longuement. Pour elle c’est une bonne découverte. Elle
cri sans arrêt son bonheur d’être ainsi pénétrée.
Je suis bien obligé de sortir de son ventre. Elle en voudrai encore. Comme je ne veux
pas aller en elle une autre fois; je préfère attendre que tout entre dans l’ordre.
Elle prend ma bite pour me donner une bonne sensation. Elle me branle encore mieux que
moi.
Un dernier baiser pour la route (j’habite à 30 mètres) et rendez vous demain plus tôt:
elle veut jouir d’avantage. Je suis à sa disposition entière. Demain je commencerais
chantier, fini les cris et engueulades entre ouvriers. Les voisins aménagent sans
bruit. Le seul désagrément est le départ en trombe du nouveau voisin sous les matin
vers 7 heures. Sa femme ne travaille pas, enfin dehors, j’ignore ce qu’elle fait après
son bain, l’après midi dans leur piscine où il me semble qu’elle est toujours nue. En
tout cas ils sont bien polis: ils disent toujours bonjour aux voisins. Je la rencontre
souvent au centre du village quand, au lieu d’aller faire mes courses en ville, je me
sert chez les commerçants du coin. Je suis ce qu’on appelle un capitaliste: je vis de
mes rentes tout simplement. Je semble inoccupé, alors que j’ai une foule d’activité,
entre autre l’amour. J’aime bien jouir. C’est la chose la plus normale chez un homme.
Bon an mal an j’arrive tout de même à me farcir une bonne trentaine de femmes; jeunes
femmes célibataires et souvent des femmes mariées que je préfère: elle savant bien
faire l’amour simplement pour le plaisir.
Un jour, sans chercher à le regarder je vois ma nouvelle voisine se dirigeant vers la
piscine. Elle porte un genre de peignoir de bain ouvert. La pudeur ne doit pas être
son fort. J’aperçois sa poitrine avec des seins extraordinairement beaux. Je reste
pour voir la suite: elle enlève son peignoir pour montrer le reste. Elle porte un
genre de string, disons un bébé string tellement il ne cache rien. A vue de nez il
couvre simplement le début des lèvres de son sexe. Quand elle se tourne je peux voir
que ce « vêtement » est retenu par deux ficelles qui semblent maintenir le peu de
tissu. Sa vue seule, aussi peu habillée me donne la trique. S’en est même gênant
tellement je bande. Tans pis, même si elle me voit je ne peux m’empêcher de sortir mon
vit pour me toucher.
Ma bite se régale dehors, on dirait qu’elle a sa vie propre. Je la prends dans ma main
droite et fais les aller et venue normales. Je ne tiens pas longtemps: j’éclabousse la
terre en face de moi. J’ai à peine le temps de me rebrailler quand j’entend la voix de
la voisine:
- Venez si vous voulez prendre un bain;
- Maintenant ?
Je n’ose pas lui dire que je viens de me branler en la regardant, j’invente une
occupation:
- Non, merci pas maintenant, j’ai un rendez vous, demain si vous voulez.
- Je compte sur vous demain vers 15 heures.
- D’accord.
Ouf, je me sens soulagé. Je n’allais pas aller chez elle la bite en berne. Demain tout
sera OK, à condition que cette nuit je ne me branle pas trop.
Ca commence mal, dès le diner avalé je bande en pensant à demain. Tant pis j’ai trop
envie de me caresser. Je me mets nu, totalement nu et pense à son corps. J’aimerais la
lécher, la baiser, l’enculer. Je lui ferai en plus tous ce qu’elle voudra. Je jouis
quand je suis assis sur ma chaise, la bite qui gicle dans un verre pour que je vois la
quantité de sperme que je fabrique. Je le laisse dans le frigo pour ne pas qu’il
sèche. Avant de me coucher j’ai encore envie: je vais passer mon érection sous la
douche froide. J’arrive péniblement à me calmer. Par contre le lendemain matin je fais
comme un ado: je bande dès mon réveil. Je file à nouveau sous la douche, cette fois
j’ai mis l’eau chaude, je la fait couler sur la queue qui n’a toujours pas débandé. Le
plaisir est instantané, ma pine bande encore plus, le prépuce vers le bas le jet coule
directement sur le gland. Je le fait aller et venir jusqu’au pubis pour revenir
s’attarder sur ma bite. Je ralenti mes mouvements, je veux faire durer le premier
orgasme de la journée. Jour long aujourd’hui. Ce n’est pas possible elle m’a envouté
tellement j’ai envie de son corps contre le mien.
Je sors de chez moi pour aller sonner chez elle. Elle ouvre très vite. Je l’attendais
habillée; elle ne porte que son string mini. En femme d’intérieur accomplie, elle
m’invite pour prendre un café. Je suis sur un divan, je peux la voir dans la cuisine,
préparer le café: ses fesses sont parfaites. Elle vient nous servir, ses seins sont
presque contre mon visage. J’aurais pu les embrasser au passage. Elle s’installe dans
un fauteuil, juste en face de moi. Je la détaille des pieds à la tête: beau brin de
fille. Une paire de seins qui est montant, des aréoles brunes sans plus. Elle se tient
très mal les jambes écartées. Si je ne vois pas le début de sa chatte, je peux voir le
reste, il me semble apercevoir son petit cul.
Elle remarque bien sur que je bande encore.
- Vous êtes plus excités qu’hier ?
- Oui c’est vrai.
Elle m’a vu quand je me branlai les yeux fermés.
- J’avais envie de vous.
- Tu crois que je n’ai pas envie de toi et de ta bite ?
- Et ton mari ?
- Laisse le où il est, en se moment il dit se payer sa secrétaire, une belle garce.
Je le sais parce qu’il me l’a dit. On ne sa cache rien.
- Si on baise tu le lui dira ?
- Bien sur on ne se cache jamais nos plaisirs. Et puis assez parlé.
Elle se lève pour venir contre moi. Je sens son corps chaud contre le mien. Je me
penche à peine pour prendre sa bouche. Nos langues et nos salives se mélangent
allègrement. Je pose une main sur sa cuisse, elle ouvre immédiatement ses jambes.
Elle a la peau douce: je monte vers son string: je sens sa cyprine avant d’y être.
Elle se soulève pour être nue. Je trouve facilement son bouton, bouton aussi chaud
que le reste de sa chatte. Je la masturbe en voulant la faire jouir. Sans l’abandonner
je pose ma langue sur la chatte. Je vais entrer dans son con. C’est un délice de goût
et d’odeur. J’oublie son clitoris pour me consacrer à son vagin. J’y entre les doigts
les uns après les autres. Elle écarte complètement son compas.
- Oui, vas-y fistes moi.
- Là où je suis ?
- Oui, pourquoi te voudrais mettre ta main en entier dans le cul. ? Je n’ai jamais
fais par derrière.
- Il faut essayer.
- Pas les deux à la fois.
- Tu n’a jamais baiser avec une bite dans le con et l’autre dans le cul ?
- Si, c’est pas pareil.
- Essaye avant.
Elle se résout à le subir. Je me déshabille, elle prend ma bite dans la bouche. J’ai
rarement eu une fellation aussi bien faite, avec sa langue, ses lèvres et ses mains,
elle emploi toutes ses connaissances. Je ne lui dit rien jusqu’à la fin. Tout le
sperme économisé depuis ce matin part dans sa bouche. Elle lâche ma colonne, tire sa
langue pour monter ma semence, elle l’avale en une seule gorgée, avant de m’embrasser
sur le bouche. Nos goûts se mélangent dans nos bouches.
Je lui demande si elle a ne solution huileuse, j’en ai besoin pour le fistage double.
J’enduite mes doigts de salive, j’y ajoute sa cyprine bien abondante:
- Vite entre tes mains dans mes trous.
- Doucement princesse. J’arrive, je commence par le premier.
J’entre à ma façon, le poing fermé, formant une sorte de bite avec le pouce replié sur
l’index plié, les autres doigts touchant la paume de la main. J’ouvre son entrée avec
son aide. J’entre très doucement, petit à petit ma main pénètre entièrement dans son
vagin. Je l’ai à peine mise qu’elle commence à gémir de plus en plus fort. Je force un
peu pour entrer le reste; J’en suis au poignet, ma main a totalement disparu dans son
ventre: elle ne gémit plus, elle commence à crier:
- C’est bon, mon dieu que c’est bon, continue, même si je jouis, n’arrête pas, oui,
c’est bon, même si j’ai mal. Je jouis. Je vais encore jouir.
- Attends ce n’est que le début, je ne te l’ai pas encore mis dans le cul.
- Tu ne vas pas oser, tu vas me défoncer l’anus.
- C’est justement ce que je vais te faire.
Je fais couler un peu d’huile sur son anus. Ma main est bien graissée. Je dispose mes
doigts comme tout à l’heure. Je lui demande de bien ouvrir son cul, elle écarte les
fesses à deux mains. J’ai juste la place pour deux doigts. Je commence par mettre le
début du pouce pour ouvrir encore un peu son anus. Je sens qu’il s’ouvre gentiment.
Elle doit se faire enculer souvent. Je force encore plus que pour son con. J’arrive
après un bon moment de patience (comment ferait-on l’amour sans patience) enfin je
suis en elle jusqu’à mon poignet. Je resta immobile un moment avant d’aller et venir.
J’arrive doucement à lui mettre ma main et la moitié de mon avant bras. Alliée à mon
autre main, elle la fait jouir longuement. Pour elle c’est une bonne découverte. Elle
cri sans arrêt son bonheur d’être ainsi pénétrée.
Je suis bien obligé de sortir de son ventre. Elle en voudrai encore. Comme je ne veux
pas aller en elle une autre fois; je préfère attendre que tout entre dans l’ordre.
Elle prend ma bite pour me donner une bonne sensation. Elle me branle encore mieux que
moi.
Un dernier baiser pour la route (j’habite à 30 mètres) et rendez vous demain plus tôt:
elle veut jouir d’avantage. Je suis à sa disposition entière. Demain je commencerais
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