Double malentendu - Dialogues interdits -
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 208 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Double malentendu - Dialogues interdits -
« Dialogues Interdits » : seule série littéraire d’histoires sulfureuses… uniquement constituées de dialogues. Au-delà de cette lecture, pour en savoir beaucoup plus sur mon univers, RDV sur mon site :
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Double malentendu
— C’était un dating organisé à la va-vite. On avait matché sur l’appli de rencontres, à peine échangé quelques mots, et hop rendez-vous.
— En mode plan cul ou bien pour faire connaissance ?
— J’étais même pas sûr ! L’idée était… de boire un verre. Donc, au moins faire connaissance. Et ça démarre, et très vite elle me parle de blocages de fac et de défense des migrants.
— Aïe…
— Oui, aïe, clairement. Car à chaque phrase qu’elle prononçait je comprenais que cette farouche opposante était mon opposé.
— Vous seriez aller baiser tout de suite, rien serait arrivé. A la rigueur vous auriez discuté après.
— Possible. Et moi dans ma tête je m’interroge. La laisser parler ? Jouer un rôle pour parvenir à mes fins ? …Et puis non, elle était trop agaçante : je lui ai répondu pourquoi j’étais pas du tout d’accord. Elle s’est arrêtée net : je me suis demandé si elle allait pas tenter de me gifler, ou si elle partirait en courant. Je crois qu’elle s’est posée la même question ! Mais… non, elle m’a répondu. Et moi de même, et elle de même, et…
— Et un vrai débat s’est engagé ?
— Un vrai de vrai ! Virulent, presque « viril » en un sens, et pourtant respectueux. Pas de réelle agressivité, juste de la fougue, de chaque côté. Une nana exceptionnelle : n’importe quelle fille d’extrême-gauche aurait quitté les lieux avec pertes et fracas depuis longtemps. Mais elle tenait bon… Me tenait tête ! Sans me prendre la tête. Sans que je lui prenne la tête. En tout cas visiblement.
— Ça a duré longtemps ?
— Parole : plusieurs heures. Ça n’en finissait pas ! Tous les sujets y passaient, on était okay sur rien. Intellectuellement c’était au top. Intérieurement j’avais renoncé depuis longtemps à tout espoir de la toucher.
— Et elle ?
— C’est là qu’elle s’est montrée plus singulière encore. A la toute fin de la soirée, je m’attends à ce qu’on se quitte avec la ferme intention de plus jamais se revoir. Mais non, elle m’invite chez elle ! Mine de rien, elle s’était arrangée pour qu’on marche jusqu’à devant son immeuble. Bien sûr j’étais d’accord. Mais je lui ai fait part de mon étonnement. Et elle de me répondre : « Enfin, évidemment que j’ai envie de te pomper ! Et que tu me défonces ! ».
— La longue conversation était déjà une manière pour elle de se faire défoncer ?
— Peut-être. En tout cas c’était l’atmosphère. Elle à quatre pattes, adorant que je la pénètre brutalement en lui tenant la tignasse, me disant même « vas-y venge-toi de la petite gaucho ». Finalement je lui ai pris la tête… mais littéralement, pas au sens figuré.
— Aucun doute t’as eu du bol. Mais… je crois aussi que cette nana a réalisé ce qui bout au fond d’elles toutes ! Sans se l’avouer les extrêmes s’attirent.
–––––––––––––––––––––––-
A une lettre près
— Non, c’est pas du tout parce que j’ai des infos sur mon voisin qui gruge ses impôts que je vais aller le dire.
— T’en es bien certaine ?
— Sûre et certaine. La délation c’est pas mon truc, sauf si on remplace le son « D » par autre chose.
…
A très vite pour de nouveaux Dialogues Interdits. Suivez-les ici, et découvrez tout le reste sur mon site :
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Double malentendu
— C’était un dating organisé à la va-vite. On avait matché sur l’appli de rencontres, à peine échangé quelques mots, et hop rendez-vous.
— En mode plan cul ou bien pour faire connaissance ?
— J’étais même pas sûr ! L’idée était… de boire un verre. Donc, au moins faire connaissance. Et ça démarre, et très vite elle me parle de blocages de fac et de défense des migrants.
— Aïe…
— Oui, aïe, clairement. Car à chaque phrase qu’elle prononçait je comprenais que cette farouche opposante était mon opposé.
— Vous seriez aller baiser tout de suite, rien serait arrivé. A la rigueur vous auriez discuté après.
— Possible. Et moi dans ma tête je m’interroge. La laisser parler ? Jouer un rôle pour parvenir à mes fins ? …Et puis non, elle était trop agaçante : je lui ai répondu pourquoi j’étais pas du tout d’accord. Elle s’est arrêtée net : je me suis demandé si elle allait pas tenter de me gifler, ou si elle partirait en courant. Je crois qu’elle s’est posée la même question ! Mais… non, elle m’a répondu. Et moi de même, et elle de même, et…
— Et un vrai débat s’est engagé ?
— Un vrai de vrai ! Virulent, presque « viril » en un sens, et pourtant respectueux. Pas de réelle agressivité, juste de la fougue, de chaque côté. Une nana exceptionnelle : n’importe quelle fille d’extrême-gauche aurait quitté les lieux avec pertes et fracas depuis longtemps. Mais elle tenait bon… Me tenait tête ! Sans me prendre la tête. Sans que je lui prenne la tête. En tout cas visiblement.
— Ça a duré longtemps ?
— Parole : plusieurs heures. Ça n’en finissait pas ! Tous les sujets y passaient, on était okay sur rien. Intellectuellement c’était au top. Intérieurement j’avais renoncé depuis longtemps à tout espoir de la toucher.
— Et elle ?
— C’est là qu’elle s’est montrée plus singulière encore. A la toute fin de la soirée, je m’attends à ce qu’on se quitte avec la ferme intention de plus jamais se revoir. Mais non, elle m’invite chez elle ! Mine de rien, elle s’était arrangée pour qu’on marche jusqu’à devant son immeuble. Bien sûr j’étais d’accord. Mais je lui ai fait part de mon étonnement. Et elle de me répondre : « Enfin, évidemment que j’ai envie de te pomper ! Et que tu me défonces ! ».
— La longue conversation était déjà une manière pour elle de se faire défoncer ?
— Peut-être. En tout cas c’était l’atmosphère. Elle à quatre pattes, adorant que je la pénètre brutalement en lui tenant la tignasse, me disant même « vas-y venge-toi de la petite gaucho ». Finalement je lui ai pris la tête… mais littéralement, pas au sens figuré.
— Aucun doute t’as eu du bol. Mais… je crois aussi que cette nana a réalisé ce qui bout au fond d’elles toutes ! Sans se l’avouer les extrêmes s’attirent.
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A une lettre près
— Non, c’est pas du tout parce que j’ai des infos sur mon voisin qui gruge ses impôts que je vais aller le dire.
— T’en es bien certaine ?
— Sûre et certaine. La délation c’est pas mon truc, sauf si on remplace le son « D » par autre chose.
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