Double Pénétration : série Les Talons Rouges (épisode n° 14)
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2014 dans la catégorie Plus on est
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Double Pénétration : série Les Talons Rouges (épisode n° 14)
Double pénétration - série Les talons rouges (épisode N°14)
Agathe, Gaëlle et Jacques ont entrepris de dépraver Gilles notaire de la famille et Virginie son épouse plantureuse en les initiant au Strip Poker. Puis l'innocente Virginie après avoir été initiée aux amours de groupe est dépucelée de son petit cul de bourgeoise par le beau Jacques, puis...
Plus tard, les partouzeurs se retrouvent tous dans la chambre d'Agathe après avoir fait chacun un brin de toilette, alors que les femmes se sont en outre remaquillées. Ils ne se sont pas rhabillés et sont entièrement nus, Virginie n'éprouvant plus aucune pudeur à côtoyer l'homme et les deux femmes qui l'ont entraîné dans leurs turpitudes. Elle n'a aucun sentiment de jalousie, car étant la plus jeune des trois femmes, elle a le sentiment de supériorité que toute femme plus jeune détient sur ses condisciples plus âgés. Pourtant, elle reconnaît que les deux aristocrates sont bien foutues.
Agathe possède un corps presque parfait, plantureux à souhait, sa poitrine n'envie rien à celle de Virginie qui a tout de même treize ans de moins, elle est un peu moins lourde d'ailleurs, quant à Gaëlle, cette étonnante presque quinquagénaire lui paraît étonnamment jeune, alors que de toute évidence, son corps n'a jamais subi le bistouri d'un chirurgien. Elle n'est toujours pas revenue des petits seins graciles et fermes ainsi que des globes durs des fesses et du minuscule vagin de la comtesse, qui par contre possède un anus qui s'ouvre facilement, conséquence certaine d'une pratique habituelle. Et puis, l'homme qui les accompagne est très bel homme, grand, musclé et bronzé, il possède en plus une forte belle verge dont il sait se servir, sans exclure ses doigts, sa bouche et sa langue qui ont si bien solliciter ses sens exacerbés.
C'est alors que des chuchotements attirent son attention. Gaëlle vient de se harnacher avec le phallus artificiel dont s'est servi Agathe pour la baiser. Elle contemple l'altière comtesse s'introduire le sexe de silicone dans son vagin et attacher les sangles autour de ses cuisses et de sa taille, faisant apparaître l'autre pénis de même matière qui se dresse orgueilleusement contre son pubis. Puis s'allongeant sur l'immense lit de sa sœur, elle attire celle-ci qui, s'écartant son entrecuisse, s'enfonce immédiatement sur le phallus dressé qui plonge dans la chatte béante. Les deux femmes se mettent sur le côté tandis que Jacques, se disposant derrière Gaëlle et écartant ses fesses, force la porte de son anus, plongeant jusqu'à ce que ses couilles se bloquent contre le postérieur altier. Alors, ses yeux s'écarquillant de stupeur, Virginie voit son mari faire de même avec le derrière d'Agathe, s'enfournant sans mal dans l'arrière-train rebondi de la quadragénaire. Dans l'instant, elle s'imagine prendre part à un film pornographique, prenant enfin conscience de la lubricité de la scène à laquelle elle assiste. Attentivement, elle fouille du regard les verges des deux hommes qui s'enfoncent et se retirent alternativement des croupes aux orifices dilatés, alors qu'elle découvre les fausses verges qui ressortent alternativement des vulves béantes et gluantes de mouille. Virginie ne peut comprendre comment elles peuvent accepter ainsi cette double ou même maintenant quadruple intromission, ayant l'illusion que les vraies et fausses verges ainsi que les vagins ne font qu'un ensemble : des bites et des cons imbriqués les uns dans les autres, la mouille et le foutre se mélangeant dans les cavités exagérément dilatées.
Éprouvant une stimulation de tous ses sens, trop sollicités durant cette soirée extraordinaire, Virginie ne se rend même pas compte que ses mains se sont enfouies dans sa grotte naturelle et qu'elle astique avec violence sa chatte et son clitoris, dans une symbiose étonnante avec les participants de l'orgie à laquelle elle participe, voyeuse et adhérente à la fois du désir sexuel exacerbé de la communauté. Encore plus tard, alors que les cinq partenaires reprennent leurs forces en sablant du champagne pour se donner de l'énergie afin de continuer la soirée, Gilles demande à la vénérable société la permission de baiser sa femme, car dit-il, ce sera la première fois de la soirée, tout le monde l'a fait sauf lui qui a dû se contenter du joli croupion de son épouse. Virginie rougit encore des mots orduriers que les instigateurs de cette partie de plaisir lâchent avec intention, décuplant ainsi leurs désirs les plus secrets. Par contre, toute pudeur envolée, elle s'étend sur le lit ouvrant toutes grandes ses cuisses et découvrant ainsi la jolie vulve dont elle est fière. Son époux après lui avoir léché les replis de ses grandes lèvres et avoir sucé son clitoris s'enfourne sans hésiter dans le vagin marital, se calant bien au fond de la matrice avant de faire des va-et-vient qui ravissent son épouse qui a croisé ses jambes autour de son dos. Gilles, après un bon moment de coït, se retourne sur le dos tout en tenant fermement Virginie qui adore aussi cette position où elle fait l'homme. Malheureusement pour elle, Jacques s'étant mis d'accord avec son mari au préalable, celui-ci vient derrière elle et salivant dans la raie du cul, il enduit la rosette fraîchement dépucelée de sa salive. Virginie comprend immédiatement ce que l'homme veut lui faire, mais elle ne veut pas, il est impossible que son petit derrière supporte le gros sexe de Jacques, beaucoup plus gros que celui de son mari qui se trouve déjà engagé dans son vagin. Elle ne pourra jamais supporter cette double intromission.
- Non ! Je vous en prie ! Pas ça ! Gilles. Dis-lui que tu ne veux pas. Pas vos deux sexes ! Arrêtez !.... Sanglote-t-elle. Vous allez m'éventrer. Je vous en supplie - arrh.....
Néanmoins, tandis que son mari la tient fermement afin qu'elle ne puisse s'échapper, Jacques n'ayant cure de ses supplications, réussi à entrer deux doigts dans l'adorable lune, malgré le sphincter qui se contracte fermement sous ses doigts, voulant de toute évidence les expulser. Toutefois, il enduit le conduit rectal avec du lubrifiant dont il a eu la précaution de se munir, graissant bien les parois, puis, approchant son vit du cul qu'il va se complaire à sodomiser, il appuie son gland contre l'œillet encore trop serré, essayant de forcer la pastille anale qui se contracte fermement. Gilles écarte pourtant avec ses mains les fesses de son épouse pour faciliter la tâche de son complice. Enfin, il fait pénétrer son gland en partie dans ce cul qui se refuse. Puis il s'arrête, caressant les globes charnus des fesses de Virginie. Celle-ci ne proteste plus embrassant son mari furieusement. Jacques reprend sa progression creusant le goulet étroit jusqu'à ce que son gland soit entièrement engagé ; puis sans s'arrêter, d'une seule poussée, il s'engouffre jusqu'au fond dans les entrailles de la plantureuse notairesse. Jacques se garde bien de bouger, voulant que la belle enculée s'habitue aux deux verges qui obturent complètement ses deux trous.
- Oh ! Mon Dieu, gémit-elle, d'une voix brisée étouffée par les sanglots. Oh ! Jacques ! Retirez-vous, je vous en supplie ! Gilles dis-lui ! Je t'en supplie !
Son mari se garde bien de répondre, il sèche ses larmes avec sa langue et caresse ses seins qui ballottent devant ses yeux. À ce moment, Jacques se soulève légèrement, retirant sa verge de quelques centimètres et la renfonçant aussitôt, faisant encore gémir Virginie. Les deux bites, en cadence, percent et transpercent la muqueuse vaginale et le tube anal, se frottant l'une contre l'autre, espacées seulement par la mince cloison qui sépare les deux conduits, se masturbant toutes deux dans les entrailles féminines, et glissant parfaitement dans les gaines lubrifiées, devenues tout à fait élastiques. Virginie ne gémit plus, elle pleure encore un peu, mais des sensations assez étranges envahissent ses deux ventres. Elle se laisse porter par une volupté incompréhensible, prenant à présent plaisir à se faire coïter par les deux hommes qui l'embrochent par ses deux orifices, on ne peut plus intimes. Elle embrasse son mari, soufflant dans son oreille.
- Je jouis mon chéri, merci de me faire connaître toutes ces sensations, tu es adorable, je t'aime, je t'aime.
La bête à trois dos se poursuit durant un laps de temps interminable, les deux hommes ont tellement copulé ce soir, que bien que leurs verges soient bien dures, leur éjaculation se trouve retardée. C'est pour cette raison bien simple, que Virginie se révèle toute pantelante d'épuisement, lorsque enfin, presque ensemble, ils crachent leur semence, qui dans sa chatte, qui dans son cul, mettant fin définitivement à cette soirée très exceptionnelle.
Tout de même, songe la plantureuse Virginie un peu plus tard, lorsque son époux dort du sommeil du juste et qu'elle n'arrive pas à trouver le sommeil. Ce soir, elle a découvert les amours lesbiens, puis pour la première fois elle s'est faites sodomiser alors que plus tard, son mari et son amant d'un jour l'ont prise en sandwich, toutes ces pratiques impensables et condamnables pour elle il y a seulement quelques heures. Ce qui la sidère, c'est qu'elle y a pris beaucoup de plaisir et qu'elle se sente prête à recommencer.
Agathe, Gaëlle et Jacques ont entrepris de dépraver Gilles notaire de la famille et Virginie son épouse plantureuse en les initiant au Strip Poker. Puis l'innocente Virginie après avoir été initiée aux amours de groupe est dépucelée de son petit cul de bourgeoise par le beau Jacques, puis...
Plus tard, les partouzeurs se retrouvent tous dans la chambre d'Agathe après avoir fait chacun un brin de toilette, alors que les femmes se sont en outre remaquillées. Ils ne se sont pas rhabillés et sont entièrement nus, Virginie n'éprouvant plus aucune pudeur à côtoyer l'homme et les deux femmes qui l'ont entraîné dans leurs turpitudes. Elle n'a aucun sentiment de jalousie, car étant la plus jeune des trois femmes, elle a le sentiment de supériorité que toute femme plus jeune détient sur ses condisciples plus âgés. Pourtant, elle reconnaît que les deux aristocrates sont bien foutues.
Agathe possède un corps presque parfait, plantureux à souhait, sa poitrine n'envie rien à celle de Virginie qui a tout de même treize ans de moins, elle est un peu moins lourde d'ailleurs, quant à Gaëlle, cette étonnante presque quinquagénaire lui paraît étonnamment jeune, alors que de toute évidence, son corps n'a jamais subi le bistouri d'un chirurgien. Elle n'est toujours pas revenue des petits seins graciles et fermes ainsi que des globes durs des fesses et du minuscule vagin de la comtesse, qui par contre possède un anus qui s'ouvre facilement, conséquence certaine d'une pratique habituelle. Et puis, l'homme qui les accompagne est très bel homme, grand, musclé et bronzé, il possède en plus une forte belle verge dont il sait se servir, sans exclure ses doigts, sa bouche et sa langue qui ont si bien solliciter ses sens exacerbés.
C'est alors que des chuchotements attirent son attention. Gaëlle vient de se harnacher avec le phallus artificiel dont s'est servi Agathe pour la baiser. Elle contemple l'altière comtesse s'introduire le sexe de silicone dans son vagin et attacher les sangles autour de ses cuisses et de sa taille, faisant apparaître l'autre pénis de même matière qui se dresse orgueilleusement contre son pubis. Puis s'allongeant sur l'immense lit de sa sœur, elle attire celle-ci qui, s'écartant son entrecuisse, s'enfonce immédiatement sur le phallus dressé qui plonge dans la chatte béante. Les deux femmes se mettent sur le côté tandis que Jacques, se disposant derrière Gaëlle et écartant ses fesses, force la porte de son anus, plongeant jusqu'à ce que ses couilles se bloquent contre le postérieur altier. Alors, ses yeux s'écarquillant de stupeur, Virginie voit son mari faire de même avec le derrière d'Agathe, s'enfournant sans mal dans l'arrière-train rebondi de la quadragénaire. Dans l'instant, elle s'imagine prendre part à un film pornographique, prenant enfin conscience de la lubricité de la scène à laquelle elle assiste. Attentivement, elle fouille du regard les verges des deux hommes qui s'enfoncent et se retirent alternativement des croupes aux orifices dilatés, alors qu'elle découvre les fausses verges qui ressortent alternativement des vulves béantes et gluantes de mouille. Virginie ne peut comprendre comment elles peuvent accepter ainsi cette double ou même maintenant quadruple intromission, ayant l'illusion que les vraies et fausses verges ainsi que les vagins ne font qu'un ensemble : des bites et des cons imbriqués les uns dans les autres, la mouille et le foutre se mélangeant dans les cavités exagérément dilatées.
Éprouvant une stimulation de tous ses sens, trop sollicités durant cette soirée extraordinaire, Virginie ne se rend même pas compte que ses mains se sont enfouies dans sa grotte naturelle et qu'elle astique avec violence sa chatte et son clitoris, dans une symbiose étonnante avec les participants de l'orgie à laquelle elle participe, voyeuse et adhérente à la fois du désir sexuel exacerbé de la communauté. Encore plus tard, alors que les cinq partenaires reprennent leurs forces en sablant du champagne pour se donner de l'énergie afin de continuer la soirée, Gilles demande à la vénérable société la permission de baiser sa femme, car dit-il, ce sera la première fois de la soirée, tout le monde l'a fait sauf lui qui a dû se contenter du joli croupion de son épouse. Virginie rougit encore des mots orduriers que les instigateurs de cette partie de plaisir lâchent avec intention, décuplant ainsi leurs désirs les plus secrets. Par contre, toute pudeur envolée, elle s'étend sur le lit ouvrant toutes grandes ses cuisses et découvrant ainsi la jolie vulve dont elle est fière. Son époux après lui avoir léché les replis de ses grandes lèvres et avoir sucé son clitoris s'enfourne sans hésiter dans le vagin marital, se calant bien au fond de la matrice avant de faire des va-et-vient qui ravissent son épouse qui a croisé ses jambes autour de son dos. Gilles, après un bon moment de coït, se retourne sur le dos tout en tenant fermement Virginie qui adore aussi cette position où elle fait l'homme. Malheureusement pour elle, Jacques s'étant mis d'accord avec son mari au préalable, celui-ci vient derrière elle et salivant dans la raie du cul, il enduit la rosette fraîchement dépucelée de sa salive. Virginie comprend immédiatement ce que l'homme veut lui faire, mais elle ne veut pas, il est impossible que son petit derrière supporte le gros sexe de Jacques, beaucoup plus gros que celui de son mari qui se trouve déjà engagé dans son vagin. Elle ne pourra jamais supporter cette double intromission.
- Non ! Je vous en prie ! Pas ça ! Gilles. Dis-lui que tu ne veux pas. Pas vos deux sexes ! Arrêtez !.... Sanglote-t-elle. Vous allez m'éventrer. Je vous en supplie - arrh.....
Néanmoins, tandis que son mari la tient fermement afin qu'elle ne puisse s'échapper, Jacques n'ayant cure de ses supplications, réussi à entrer deux doigts dans l'adorable lune, malgré le sphincter qui se contracte fermement sous ses doigts, voulant de toute évidence les expulser. Toutefois, il enduit le conduit rectal avec du lubrifiant dont il a eu la précaution de se munir, graissant bien les parois, puis, approchant son vit du cul qu'il va se complaire à sodomiser, il appuie son gland contre l'œillet encore trop serré, essayant de forcer la pastille anale qui se contracte fermement. Gilles écarte pourtant avec ses mains les fesses de son épouse pour faciliter la tâche de son complice. Enfin, il fait pénétrer son gland en partie dans ce cul qui se refuse. Puis il s'arrête, caressant les globes charnus des fesses de Virginie. Celle-ci ne proteste plus embrassant son mari furieusement. Jacques reprend sa progression creusant le goulet étroit jusqu'à ce que son gland soit entièrement engagé ; puis sans s'arrêter, d'une seule poussée, il s'engouffre jusqu'au fond dans les entrailles de la plantureuse notairesse. Jacques se garde bien de bouger, voulant que la belle enculée s'habitue aux deux verges qui obturent complètement ses deux trous.
- Oh ! Mon Dieu, gémit-elle, d'une voix brisée étouffée par les sanglots. Oh ! Jacques ! Retirez-vous, je vous en supplie ! Gilles dis-lui ! Je t'en supplie !
Son mari se garde bien de répondre, il sèche ses larmes avec sa langue et caresse ses seins qui ballottent devant ses yeux. À ce moment, Jacques se soulève légèrement, retirant sa verge de quelques centimètres et la renfonçant aussitôt, faisant encore gémir Virginie. Les deux bites, en cadence, percent et transpercent la muqueuse vaginale et le tube anal, se frottant l'une contre l'autre, espacées seulement par la mince cloison qui sépare les deux conduits, se masturbant toutes deux dans les entrailles féminines, et glissant parfaitement dans les gaines lubrifiées, devenues tout à fait élastiques. Virginie ne gémit plus, elle pleure encore un peu, mais des sensations assez étranges envahissent ses deux ventres. Elle se laisse porter par une volupté incompréhensible, prenant à présent plaisir à se faire coïter par les deux hommes qui l'embrochent par ses deux orifices, on ne peut plus intimes. Elle embrasse son mari, soufflant dans son oreille.
- Je jouis mon chéri, merci de me faire connaître toutes ces sensations, tu es adorable, je t'aime, je t'aime.
La bête à trois dos se poursuit durant un laps de temps interminable, les deux hommes ont tellement copulé ce soir, que bien que leurs verges soient bien dures, leur éjaculation se trouve retardée. C'est pour cette raison bien simple, que Virginie se révèle toute pantelante d'épuisement, lorsque enfin, presque ensemble, ils crachent leur semence, qui dans sa chatte, qui dans son cul, mettant fin définitivement à cette soirée très exceptionnelle.
Tout de même, songe la plantureuse Virginie un peu plus tard, lorsque son époux dort du sommeil du juste et qu'elle n'arrive pas à trouver le sommeil. Ce soir, elle a découvert les amours lesbiens, puis pour la première fois elle s'est faites sodomiser alors que plus tard, son mari et son amant d'un jour l'ont prise en sandwich, toutes ces pratiques impensables et condamnables pour elle il y a seulement quelques heures. Ce qui la sidère, c'est qu'elle y a pris beaucoup de plaisir et qu'elle se sente prête à recommencer.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore le style, la richesse et le rythme de vos histoires. Je vais dévorer le reste en profitant des vacances !
Elea
Elea
Bonjour "Vieux loup", heureux de vous retrouver en forme, toi et tes "condisciples", consœurs aurait peut-être été de meilleur aloi puisque sœur de "con" ! sourire
Bonne continuation !!
Didier
Bonne continuation !!
Didier
ha quel belle surprise a ton epouse de lui fait connaitre une autre jouissance avec une double penetration :) elle va surement vouloir reessayer :)
c'est bon pour un début. On aimera bien connaitre la suite des aventures.
Comme ella a bien apprécié, c'est sur que ce ne sera pas la derniére fois.
Attendant aven impatience la suite.
Comme ella a bien apprécié, c'est sur que ce ne sera pas la derniére fois.
Attendant aven impatience la suite.