Double surprise

- Par l'auteur HDS Kester -
Récit érotique écrit par Kester [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Double surprise Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2005 dans la catégorie Plus on est
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Double surprise
La vie nous réserve bien souvent des surprises. Tout n’est que mécanisme et habitude. Chaque journées se suivent et se ressemblent. Pour ma part celle qui m’attendait ce jour là était loin de répondre à ce critère.



Je mène une vie tout ce qu’il y a de plus simple et routinière. J’ai un job peu passionnant, quelques amis distrayants et une femme au corps superbe un peu pudique sur les bords. Jour après jour, tout n’est que routine.

Bien qu’étant du genre calme et timide avec les autres, je cache un vice comme beaucoup d’homme : celui du sexe.

Ma femme m’apporte ce dont j’ai besoin et ma passion pour elle me fait adorer chaque moment passé ensemble.



Ce jour là, je sortais du boulot et tombais nez à nez avec mon meilleur ami. Le genre de gars de qui l’on peut dire qu’il connaît tout de nous et avec qui nous avons fait les quatre cents coups. Rencontre impromptue et plaisir des retrouvailles, je l’invitais chez moi.

Sur la route nous discutâmes de choses et d’autre et comblions le retard des quelques semaines perdues pour cause de déplacement professionnel.



Il est 18h30 et nous arrivons au bas de l’immeuble. Comme toujours je sonne et attends avec impatience la voix de ma tendre qui m’invite à monter ! Petit rituel qui a première vue pourrait paraître superflue mais fort agréable après une journée morose. La voix de ma douce m’invitant dans notre petit nid douillet à toujours eu le don de me faire oublier le goût amer d’une journée morose.

Il ne faut que quelques minutes pour gravir les quelques étages et je trouve la porte entrouverte. J’entre et mon ami me suit.

Les rideaux étaient tirés, la musique douce et apaisante et l’encens embaumait la pièce d’un parfum envoûtant. Je tombais en plein dans l’une des folles journées durant laquelle ma femme imaginait pour moi toutes formes de drague pour maintenir notre passion. Gêné mon ami me laissa avancer et je la vois qui m’attendait dans son fauteuil. A la vue de mon invite elle se leva gênée à son tour et vient nous recevoir.

Déçus d’avoir gâché cette petite mise en scène je m’excusa à son oreille. Elle n’était pas mauvaise joueuse et m’embrassa le plus naturellement du monde.

« Ce sera pour la prochaine »me murmura t-elle en retour.

Puis nous invitant à nous installer, elle partit chercher trois verres. L’apéritif nous semblant bien à propos nous prenâmes un whisky alors qu’elle se prépara son cocktail fétiche. Cette formalité remplie, elle rejoint sa place dans le fauteuil d’en face et la discussion battit très vite son plein. Les verres se remplissaient et se vidèrent et quelques effets secondaires se firent ressentir.

Bien qu’appréciant la présence de mon ami, je songeais à cette surprise qui m’attendait. L’ambiance était demeurée feutrée et je me surpris plusieurs fois à imaginer ce qui aurait dut se passer.



Plus je tentais de refouler mes pensées, plus je les sentais ressurgir. Mon esprit se perdait, revenait tout comme mon regard. Je perdais le fil de la discussion et fixais ma femme. Je remarquais alors les détails de sa tenue. Chemisier blanc, jupe courte, soutien-gorge blanc en fine dentelle. Une beauté. De plus que je reconnaissais cet ensemble pour être celui que je lui avais offert pour son anniversaire quelques semaines plus tôt. Je n’oubliais donc pas que le string qu’elle portait mettait ses formes en valeur comme aucun autre auparavant. Mon regard s’attardait de plus en plus sur son décolleté. Les détails m’apparaissaient de plus en plus nettement et je constatais que l’ambiance l’avait décontractée. Elle ne prenait plus autant soin de se tenir droite et s’enfonçait plus confortablement dans son fauteuil. Les deux premiers boutons de son chemisier étaient retirés offrant suffisamment de bâillement pour distinguer la base de ses seins fermes et rond. Sa jupe quant à elle était agréablement remontée sur ses cuisses. Ses jambes étaient sublimes et ses cuisses étaient une invitation aux caresses. De temps en temps elle s’avançait pour prendre un verre ou un biscuit apéritif offrant a mon regard un décolleté profond et excitant au possible.



La coupelle se vidant rapidement elle se proposa pour aller faire le plein et se leva. Sa tenue légère me transportait de plaisir. Le mouvement de sa jupe dans ses déplacements offrait eux aussi une vue superbe sur ses fesses.

C’est sur cette constatation que je pris conscience que ce délicieux spectacle était lui aussi partagé. Le regard de mon ami ne décollait pas plus que le mien des courbes sensuelles et des mouvements excitant de ma tendre.

Très vite elle revint et nous offrit bien involontairement son entre jambe lorsqu’elle s’assit. Je pouvais ressentir l’envie grandir en moi.



Ambiance feutrée alcool agissant et hormones en ébullitions, les esprits s’échauffaient et la discussion glissa innocemment sur le célibat, le couple puis le sexe.



Les idées philosophiques se confrontèrent très vite au vécus et les exemples fusèrent.

Cette situation m’excitait de plus en plus et moi jaloux confirmé prenait goût à entendre ma femme parler à quelqu’un d’autre de ses envies, de ses fantasmes et de ses goûts. Je sentais mon sexe gonfler dans mon pantalon et machinalement je ne pouvais que portait tout d’abord discrètement puis beaucoup moins ma main sur ce qui devenait gênant.

Il n’était pas difficile de deviner aussi le sexe dressé de mon ami qui avait également autant de mal que moi de trouver une position confortable.



Ma femme me manquait et me paraissait si loin malgré la vue qu’elle m’offrait que je lui demandais de venir me rejoindre sur le fauteuil. Sans hésiter, elle s’exécuta nous offrant encore une fois son entre jambe engageant. Elle vint s’assoire entre nous et je pus enfin la sentir auprès de moi.



Brûlant de désir je passais ma main sur ses jambes remontant doucement jusqu’a ses cuisses. Mes doigts passaient sous le tissu et sentaient la chaleur d’une chatte en feu. Un regard suffit pour constater que ses seins pointaient. La situation l’excitait autant que moi.

Mon compagnon regardait de plus en plus fréquemment mes mains passer sur sa peau, et je prenais de plus en plus de plaisir à remonter toujours un peu plus haut la jupe à chaque passage. Pour seule réaction ma femme se retourna et vint caler son dos sur mon torse. Je la reçu dans mes bras et l’enlaça. Mes lèvres commencèrent à passer sur son cou et elle venait de temps en temps chercher un baiser sur ses lèvres humides.



Une main sur sa cuisse et l’autre sous ses seins, je la sentais frémir de plus en plus. La discussion se tarit pour être remplacée par des baisers de plus en plus fougueux.

Pris par la passion, mes mains devenaient de plus en plus baladeuse. Ma douce quant à elle se collait contre moi s’allongeant un peu plus à chaque mouvement. Elle ne se souciait plus de se tenue et ne se préoccupait pas le moins du monde de ses jambes presque écartées devant mon meilleur ami.

Je le voyais bandant devant ma femme. Excité par ses cuisses ouvertes devant lui. Sa main passa sur sa queue et je sentais son malaise. Ma femme était exhibée et mon excitation s’en voyait accrue.



N’en tenant plus une phrase fusa brisant le baisé sensuel dans lequel nous nous étions investit depuis de longues minutes. Baiser soutenu par quelques passages furtifs sur ses seins.

« Arrêtez, vous me faites bander comme un fou vous deux ! »

La remarque ne me choqua pas le moins du monde.

Par contre la réponse spontanée de ma femme si timide en temps normal m’étonna.

« Branle-toi si tu veux ! »

Un regard franc et perçant accentua ses dires.

Provocante, elle déboutonna encore plus son chemisier nous offrant ses seins durcis par l’excitation. Elle était redressée devant moi aguichante, bandante. Ma main passa soudainement sous sa jupe et alla chercher sa petite chatte humide. Je sentit au passage ses fesses douces. J’entrepris alors de la masturber glissant mon doigt entre ses lèvres et lui titillant la base de sa vulve brûlante. Mes doigts étaient humides de plaisir. Elle revint alors sur moi la langue prometteuse et je sentis sa main sur ma queue. Très vite mes boutons furent ôtés et mon sexe offert, droit et dur à ses coups de langue. Je sentais mon membre se perdre au fin fond de sa bouche. Jamais auparavant elle ne m’avait sucée comme çà, jouant avec mon gland, le suçant et l’aspirant. Moi qui croyais avoir connu l’excitation, je mesurais à ce moment l’étendu de mon ignorance.



A la vue de ce spectacle inhabituel, mon compagnon se senti prit d’un regain d’assurance et sorti à son tour son membre dressé.

Se délectant de la vue imprenable qu’il avait sur ma femme, mon ami entreprit de se masturber, bien décidé à profiter du moment et de cette situation.

Afin de lui offrir une meilleure vue d’ensemble, ma femme descendît du fauteuil s’agenouilla devant moi et me branla doucement, jetant de temps a autre un regard sur mon voisin. Elle regardait sa main passer sensuellement sur son gland pour redescendre tout aussi lentement. Son pantalon était à bas et sa grosse queue gonflée à en exploser.



Au bout de quelques douces minutes elle me fit me redresser et nous nous retrouvâmes l’un et l’autre côte à côte bandant tous les deux devant cette femme si désirable. Sa tête se rabaissa et je sentit ses lèvres me recouvrir. Mon sexe bien profond dans sa bouche je me laissais aller au rythme des ses délicats coups de langue. L’occasion pour elle de doubler son plaisir se faisait de plus en plus fort et profita de notre proximité pour glisser sa main jusqu’a cette seconde queue offerte. Elle en chassa la main du propriétaire et entreprit de le branler sans ménagement. C’était plus fort que moi, cette situation me faisait durcir un peu plus.. Ma main voyageait sur ses seins qui se retrouvèrent rapidement délivrés de leurs vêtements. Je n’avais imaginé ma femme dans une pareille situation que dans mes fantasmes les plus fous. Je prenais conscience de l’impact de cette scène sur notre sexualité. Il ne s’agissait plus de voir un film porno comme il nous arrivait souvent d’en voir, mais bien de voir la main de celle que j’aimais s’appropriant une queue inconnue. L’impact émotionnel était donc à ce moment là bien plus puissant que du simple voyeurisme.



En toute justice une seconde main vint rejoindre la mienne et pour la première fois ma femme se faisait peloter par deux mecs. Nous la caressions à la fois sensuellement et vivement selon la personne. Pour ma part c’était le désir et l’amour qui me poussait à caresser ses seins aussi doucement. Pour mon ami, il s’agissait du plaisir de la baise sans autres sentiments que le respect et l’amitié qu’il portait à l’objet de son désir.



Sa bouche changea soudainement de queue et je la regardais enfourner mon voisin. Je matais quelques instants, savourant son plaisir. Elle s’acharnait sur ce membre puissamment gonflé. Je voyais sa bouche lui aspirait la queue puis la ressortit à un rythme affolant. Elle non plus n’avait pas avec lui la même tendresse mais bien l’envie de sexe à l’état pur. Mon ami était transcendé de bonheur. Je poursuivais ma masturbation devant ce succulent spectacle. Cette séance dura une petite dizaine de minutes avant que de concert nous la prime et la retournâmes sur le fauteuil. Une fois sur le dos, elle ressaisit le premier gland qui passait et le ressuca goulûment. Ayant échappé à cette langue tentante, j’entrepris de lui écarter son string et de glisser ma langue jusqu’à sa douce intimité. Je prenais un plaisir débordant à passer mes lèvres sur sa petite chatte qui s’ouvrait à moi à la moindre de mes pressions. Je goûtais encore et toujours à son délicat plaisir. Ma langue la fourragea un peu plus profondément et me pris à lui aspirer son clitoris gonflé lui aussi comme jamais. Je l’entendais gémir de plaisir et il n’était pas difficile de sentir qu’a chaque convulsion de son corps, elle tirait un peu plus sur la queue de mon partenaire qui n’en pouvait plus. Je commençais à me demander si elle n’allait pas goûter à sa semence si cette situation devait s’attarder plus longtemps. Cette idée m’excité un peu plus encore.



Elle commençait à passer de la position dominatrice à celle de victime. Je savais qu’elle aimait être soumise et l’avait répétée plusieurs fois au cours de la soirée. Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd et déjà son amant lui prenait les seins à pleines mains, jouant avec leurs bouts durcis par le plaisir.



Ma femme allongée sur le divan, avalant profondément ce membre puissant, offerte aux caresses de deux hommes et à la langue de son mari offrait un spectacle grandiose.

Mouillée à souhait j’entrepris de lui glisser un doigt. Il entra sans aucun problème. Je sentis ses lèvres s’ouvrir sur mon passage pour se refermer aussitôt. Elle jouie et se contracta.

Lâchant enfin sa proie elle se redressa un peu plus et écarta ses cuisses.

Mon compagnon de fortune passa derrière elle et entreprit de lui prendre les seins. Sa queue collée dans son cou, il la caressa pendant que je lui enfonçais toujours plus de doigts. Elle s’ouvrait de plus en plus et je la masturbais plus rapidement. Ses allaitements me surprenaient. Jamais je ne l’avais entendu jouir aussi fort. Un doigt l’effleura derrière et je vis son regard agréablement surpris.



Il m’était arrivé de tenter de la prendre par derrière lors de nos ébats, mais sans succès. Pourtant ce soir la, elle m’invita à la posséder. Je la branlais donc des deux côtes. Son plaisir en était décuplé.



Nos ébats prenaient de l’ampleur et le canapé devenait trop petit. Nous nous rabattâmes donc sur la chambre à coucher. L’allongeant sans ménagement sur le lit nous en reprîmes là où nous en étions restés. Les rôles furent inversés et elle découvrit de nouveaux doigts et ses fesses s’écartèrent à nouveau sur un autre homme. Mon ami appréciait de toute évidence cet échange de rôle et pris un grand soin à lui apporter le maximum de plaisir. Nous étions tous trois dans une osmose totale.



Son excitation arrivait à son comble et il lui fallait une queue. Elle nous demanda donc de la baiser. Son corps était enfin prêt à recevoir la puissance de nos queues déchaînées.

Alors que je passais entre ses cuisses, nous vîmes l’hésitation de notre ami. Hésitation légitime. Il revint alors sagement sa branler à côté de nous.



Quelques secondes suffirent pour tirer une capote de la table de nuit.

« Ce soir j’ai deux hommes, ce n’est pas pour que tu te branles dans ton coin non ? »

En un clin elle s’agenouilla me redonnant des cuisses bien écartées. Une queue dans la bouche l’autre dans la chatte elle jouissait et trouva le moyen de passer la capote avec érotisme et sensualité.. Son cul était superbe. Ouvert et prêt à être possédé. Je connaissais sa réticente et pourtant je sortis mon membre et le glissa jusqu’entre ses fesses. Je la sentais bien et je faisais pression de plus en plus m’attendant à un refus.

Elle bougea et se colla plus fort. Je la sentis s’ouvrir et je la prit par derrière. C’était la soirée de tous les phantasmes. C’était le soir ou je prenais ma femme avec un autre homme et le soir ou je la dépucelais pour de bon.

Plus vite que je ne l’aurais souhaité, je me retirais pour laisser la place libre. Ma belle subissait à présent les assauts puissants de celui qui en une soirée était passé du stade d’ami à celui d’amant.



Ses coups étaient puissants et réguliers. Chaque pénétration la faisait jouir. C’était de toute beauté. Je pouvais voir ma femme comblée. Jamais je n’aurais imaginé découvrir ce genre de comportement chez elle. Jamais également je n’aurais imaginé pouvoir accepter de la voir baiser avec un autre homme.

Puis vint l’invitation suprême. Assise sur cette queue, elle m’amena jusqu’à elle et m’invita à la reprendre encore une fois. Elle voulait ses deux hommes et les avait. Nous entreprîmes alors à la prendre à deux de concert rythmant nos coups de buttoir pour ne lui laisser aucun temps mort. Prise ultime elle atteignis l’orgasme rythmé par nos éjaculations. La contraction de mon ami lui arracha encore quelques cris alors que toujours prisonnier de sa capote il laissait déverser sa semence en ma femme. Pour ma part, je me retirais de son petit cul et lui déversa dans de longues traînées de plaisir blanc mon sperme sur ses fesses douces et rebondies.



Un véritable ami connaît tout de vous ? C’est pourquoi après un tendre baiser, il sortit de la chambre, s’habilla et partit nous laissant blotti dans les bras l’un de l’autre savourant notre amour.

Aujourd’hui je peux le dire, je l’aime et jamais je ne pourrais aimer quelqu’un aussi fort. Nos expériences nous forgent, celle ci plus que les autres.

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