Double vie - histoire érotique

Je prends le train en direction de Paris pour rentrer chez moi et reprendre ma vie parisienne parmi les fous.

Je laisse, sur le quai, une belle jeune femme éplorée qui me lance des baisers par les airs. Je la trouve attendrissante dans sa petite robe printanière volant au gré du mouvement d’air fait par les passages des wagons à côté d’elle.

Dire qu’à peine 30 minutes de cela, j’étais encore en elle, le sexe dure. La vie est étrange et surprenante.

J’ai dragué cette nana lors d’une soirée chez une copine, juste avant de partir faire ma vie à Paris. Une drague des plus classique pour moi, donc une suite de vents avec une certitude que j’allais me prendre une volée avant la fin de la soirée.

Finalement, j’étais en concurrence avec un pote et j’ai appelé dès le lendemain pour inviter la belle au restaurant afin de faire plus amples connaissances.

A la fin du repas, je savais qu’elle sortait d’un clash sentimental et qu’elle n’était pas encore prête à s’engager de nouveau. Pour sceller la soirée, elle me donna un bon baiser sur la bouche, avec la langue, juste avant de me demander de patienter, le temps qu’elle se refasse une santé morale.

4 mois sont passés et je me suis installé dans un studio à Boulogne, près de Paris.

Seul, j’ai appelé un ancien amour qui habitait à Savigny et, chance, elle accepta de me revoir.

Après seulement deux rendez-vous, l’amour renait et j’ai le plaisir de faire l’amour avec une jeune femme très gourmande du sexe.

Aujourd’hui, la situation est simple. Je vis seul dans mon studio. J’ai une amoureuse qui me rejoint, chez moi, régulièrement pour passer de très bons moments. J’ai un boulot qui me promène en France pour faire des missions qui me plaisent à merveille.

Jusqu’à ce jour où une certaine Françoise me dit qu’elle veut bien me revoir, si je veux. Me voilà donc en route sur Reims pour retrouver l’amourette qui m’invite à venir dans sa ville et dans son studio.

Le week-end commence par une visite de la ville, continue par un petit repas dans le studio avant qu’elle me propose de partager le lit avec elle.

Dans le lit, je la vois sortir nue de la salle de bain et j’ai le plaisir de lui faire l’amour.

A la fin de ce week-end, j’ai possédé cette jeune femme 4 à 5 fois et j’ai même failli rater mon train tellement nous ne pouvions pas nous séparer.

Et maintenant ? Me voilà avec deux femmes en parallèle. Que dois-je faire ? Double vie et un choix pour en évincer une des deux ?

J’ai le voyage en train pour réfléchir.
Paris s’approche et je n’ai pas de réponse.
Mon studio est en vue et la réponse n’est toujours pas évidente.
J’ouvre ma porte, Ludivine se jette à mon cou, ce qui ne m’aide pas à trouver la réponse.

A peine mon sac posé que mon amoureuse me force à la rejoindre dans la salle de bain.

L’eau coule dans la baignoire et nous sommes vite nus dans le bain chaud. Quelques caresses avant que la soirée se termine avec une culbute durant laquelle Ludivine m’avale le sexe et le jet de sperme qui lui explose en bouche.

Ludivine est une gourmande des plaisirs sexuels et elle en demande toujours plus. Je ne la force pas à m’avaler et elle prend plaisir à faire glisser mon sexe entre ses seins bien ronds.

Je passe la soirée à comparer entre Françoise et Ludivine. A chaque comparaison, le mélange des images des filles m’aide à garder une forme très virile.

La semaine passe avec le travail et Françoise m’appelle pour me revoir dès le week-end suivant. Je décline l’invitation et décale au week-end suivant avec un pont pour passer 4 jours entiers ensemble.

Françoise me promet 4 jours extraordinaires et j’ai hâte d’y être.

D’ici le voyage à Reims, je profite de Ludivine et nous faisons l’amour souvent, avec toujours autant de fougue.

Françoise m’avait promis 4 jours splendides et c’est vrai que je suis gâté. Un joli 69 gourmand avec l’amour dans des endroits particulier comme en pleine nature ou une belle masturbation dans le cinéma.

A la fin des 4 jours, Françoise me demande de venir chez moi mais je temporise car je dois faire le tri dans ma vie.

Nouveau voyage en train pour faire une tentative de point entre mes deux vies. Nouvel échec et nouvelle soirée à marteler le vagin de Ludivine avant de l’arroser.

Je réussis à survivre à cette double vie pendant 2 mois mais rien à faire, je ne peux pas choisir entre les deux nanas.

A leur faire l’amour régulièrement, je les ai dans la peau.

Quand je suis avec une, je pense à l’autre et vice-versa. De ce principe, j’ai un appétit sexuel très fort et elles sont comblées. Loin de me vanter, ce sont elles qui le disent.

Je sais que ça va s’arrêter car je suis de plus en plus mal de profiter de cette situation.

Quand je trouve Françoise, sur le quai de la gare, avec un visage fermé, je suis presque soulagé même si je sais que je vais peut-être mourir.

Au moment où j’arrive à son niveau, elle s’avance vers moi et je l’a voit prendre son élan pour me balancer une gifle à me décalquer sur le mur du bâtiment. J’arrive à stopper le bras et lui dis le plus sérieusement possible :
- « Non ! Je t’explique et ensuite tu feras ce que tu veux ! »
- « Salaud ! »

Je reprends le train le soir même sans avoir eu l’occasion de toucher à la moindre parcelle de la peau de Françoise. J’ai quand même eu mon temps de parole pour lui expliquer que je n’arrive pas à choisir entre elles.

Autant un côté de moi profitait de la situation, l’autre était profondément mal dans cette situation où je devais choisir à faire mal à une des deux femmes de ma vie.

Françoise ne m’accompagne pas à la gare et mes explications n’ont pas eu l’air de lui faire comprendre mon point de vue… Je ne la blâme pas !

Arrivé chez moi, je m’attends à la même scène mais, à part mon appart retourné complètement et toutes mes affaires cassées, rien de particulier ne m’indique que Ludivine a mal pris la chose !

Quelques tentatives pour joindre Ludivine ont pour résultat autant d’échecs. Je fais un courrier à Ludivine et Françoise pour m’expliquer et leur dire que je les aime autant l’une et l’autre.

Je fais deux lettres, une par fille. Sur le coin de la table de cuisine, l’encre coule à flot pour sortir 4 feuilles où j’étale mes sentiments de culpabilité avec qui j’ai vécu durant les 3 mois passés. J’étale aussi l’amour que j’éprouve pour elles. En final, je donne les numéros pour qu’elles s’appellent si elles veulent des explications ou des vérifications.

Pendant 2 mois, ma vie reprend sans saveur avec un vide énorme. A ne pas savoir choisir, j’ai tout perdu. Même là, je ne trouve pas de solution à mon problème passé.

Je m’attendais à une réponse à mes courriers mais rien. Je tente d’oublier mais ce n’est pas facile et le week-end, j’erre, l’âme en peine dans les rues de paris.

Rien ne m’intéresse et j’ai un blues gigantesque.

Chez moi, j’ai toujours les photos de Ludivine et de Françoise autour de mon écran de télévision. C’est une façon personnelle de me punir en mettant les visages des deux femmes de ma vie en face de ma solitude. Auto-flagellation d’un gars incapable de se décider pour faire sa vie !

Pour vider mon mal-être, je me mets à écrire un genre de journal intime sur ma vie partagée avec Ludivine et Françoise. Rien de vulgaire, juste tous mes souvenirs dans un texte que je ne relis pas. C’est un genre de thérapie pour purger mes souvenirs, mes idées du moment, mes culpabilités et mes regrets… Ca ne fonctionne pas totalement !

Un soir, j’ai l’énorme surprise de recevoir un coup de fil de Ludivine qui me donne rendez-vous dans un café du Boulevard Saint-Michel. Avant que je puisse dire un seul mot, elle a déjà raccroché.

Le lieu de rendez-vous, l’heure de rendez-vous et seul à une table en terrasse.

Je vois Ludivine arrivée et j’ai le cœur qui s’emballe. Je la trouve magnifique mais je suis incapable de sourire avec l’esprit léger. Elle s’installe sans prendre la peine de me dire bonjour. Elle reste froide et distante.

C’est la première fois que je la revois depuis qu’elle a détruit mon appart et le malaise est perceptible entre nous.

Je lui demande si elle a reçu ma lettre. Pour seule réponse, elle dépose devant moi un petit paquet en papier kraft. Sans répondre, elle me dit :
- « Réfléchis bien avant de prendre ta décision… T’es vraiment con ! »

Elle se lève, toujours autant magnifique et retourne vers la bouche de métro qui l’avale d’un coup.

Je prends le paquet et je me promène un long moment le long de la Seine en le portant contre mon cœur. Qu’y a-t-il dedans ? Il est épais et semble contenir du papier à profusion.

Je finis par trouver un coin tranquille loin des clodos et des amoureux qui me donnent le bourdon.

Le paquet ouvert, je découvre une quinzaine de pages manuscrites avec l’écriture de Ludivine et celle de Françoise. Je préfère refermer les feuilles et les emporter chez moi pour les lire tranquillement.

Le chemin en métro me secoue et mes idées dodelinent dans ma tête sans trouver de base pour se poser.

Arrivé chez moi, je mets une petite musique douce et je lis le petit roman offert par les femmes qui ont partagé ma vie.

On entre directement dans le sujet avec de la colère et de la déception envers moi. Chacune, à tour de rôle, a vidé son sac et une grosse moitié de la lettre, c’est des reproches à la pelle.

La deuxième partie, c’est un échange entre Ludivine et Françoise qui discutent des souvenirs et des découvertes faites avec moi. Le ton est plus léger et elles comparent les week-ends avec celle qui se retrouvait seule pendant que l’autre faisait l’amour à quelques cent kilomètres.

Je suis content qu’elles aient gardé de bons souvenirs de nos moments ensemble et je me rends compte que j’abandonnais une de mes amoureuses pour en combler une autre. La double vie, c’est contenter uniquement la moitié de sa vie avec un sentiment d’incomplétude impossible à résoudre.

Les deux dernières pages me demandent ce que je pense faire de mon avenir. Si la manipulation de la gente féminine est mon objectif premier ou si les sentiments priment. Bref, je suis presque heureux de cette réponse collégiale car ça signifie que ma lettre a été lue et que les filles sont entrées en contact.

Le deuxième paquet est un ensemble de bouts de tissu avec un petit mot : « Si ma décision est claire et correspond à la franchise en toute situation avec des sentiments sincères, je peux résoudre l’énigme de cette enveloppe. Sinon, adieu ! »

Lors de la soirée, je relis deux à trois fois la lettre et je cherche à comprendre ce que je dois comprendre.

Sur ma petite table de salon, j’étale les nombreux bouts de tissu et je tente de trouver les concordances. Après deux heures, j’ai à peine trouvé une dizaine de bouts s’accordant.

La nuit me donne à réfléchir et au matin, j’ai la, presque, certitude que les filles me propose de vivre une double vie avec elles mais en toute transparence. Je dois me faire un film ! La seule solution, c’est de résoudre le puzzle en tissu pour aller à l’étape suivante et avoir la suite de l’histoire.

Le dimanche est studieux et ça commence par prendre forme. Si j’oublie le courant d’air qui fait se mélanger les formes classées, j’ai bien avancé.

Chaque soir, à coup de colle blanche, le puzzle avance et je devine un rendez-vous inscrit.

La réponse arrive jeudi soir, vers minuit où les derniers détails trouvent place. Une date, une heure, une ville et une adresse ! C’est le week-end suivant à Brest, à l’adresse d’un hôtel dans un village à l’extrême pointe de la Bretagne.

Je dois relire deux fois pour être sûr de ne pas me tromper. J’hésite à appeler Ludivine ou Françoise mais je décide de jouer le jeu et je prends un billet de train pour rejoindre l’adresse.

Dans le train qui m’emmène vers Brest, je repense à ce puzzle. Je me demande si les filles ne se vengent pas de moi pour me mener par le bout du nez à faire n’importe quoi !

Le taxi me dépose au pied de l’adresse qui n’est rien d’autre qu’un hôtel-restaurant dans un petit village de pêcheur perdu entre une petite plage et la côte rocheuse.

A l’accueil, je demande s’il y a une chambre réservée pour moi. Non ! Rien ! J’hésite à en prendre une mais maintenant que je suis sur place, je vais eu moins passer un week-end en Bretagne !

Effectivement, je passe un week-end entre les ballades sur la côte de Bretagne et la bonne bouffe de l’hôtel où je suis presque le seul client.

Mon retour au soir m’offre le bourdon de m’être fait punir par les filles. Je ne comprends pas vraiment le sens de la punition à part le fait que je me suis défoncé à faire un puzzle et que j’ai dépensé plus de 400 euros à me peler sur la côte bretonne.

En entrant dans mon studio, je vois immédiatement le paquet sur la table de salon.

Evidemment, Ludivine a toujours mes clefs et elle peut entrer chez moi quand elle veut !

Dans le gros paquet, je trouve un ensemble de vêtements féminins. Deux culottes, deux soutifs, une paire de collants, deux chemisiers, un pantalon, une jupe, une chemise de nuit et un genre de body ou caraco. Un mot dessus me demande de trier ce qui va pour Françoise et pour Ludivine. « Test pour savoir si je sais reconnaître le style et les proportions ».

Je ne peux m’empêcher de pouffer en regardant les fringues. Avant de passer à ce deuxième test, je range mes affaires et je passe à table.

De temps en temps, je regarde les fringues et je trouve ça marrant comme jeu. Entre le fromage et le yaourt, je me lève et je regarde les tailles.

Je sais que Ludivine à une poitrine plus lourde que celle de Françoise mais en taille et bonnet, je suis sec. Heureusement que j’avais eu la curiosité de regarder les étiquettes une fois sur le soutif de Françoise. Donc 90B pour Françoise et 95C pour Ludivine.

Ensuite, l’amour que j’ai pour les filles m’a permis d’apprendre leurs goûts et je n’ai aucune difficulté pour trier. La culotte me pose un petit problème car si je me fie à la taille, c’est la bleue pour Ludivine et l’imprimée pour Françoise. Si je me fie au style, c’est le string imprimé pour Ludivine et la forme classique pour Françoise. Après une petite hésitation, je classe par taille.

Je plie les vêtements et je pose deux sacs à côté de l’entrée.

Les sacs disparaissent dans la journée du mercredi et je dois attendre deux semaines pour trouver dans la boite aux lettres une invitation pour une promenade en bateau mouche.

L’avantage, c’est que je n’ai plus à prendre le train et le taxi.

Je retrouve Ludivine en compagnie de Françoise au pied du bateau. L’ambiance est lourde et je n’ose prendre les devants. En fait, je suis coincé entre mon désir de les prendre dans mes bras pour les serrer et leur dire à quel point je les aime, et le désir d’avancer le temps de quelques heures, voire quelques jours pour savoir ce que sera la suite.

Le bateau démarre avec peu de monde, ce qui nous permet d’être assez tranquille. Françoise me demande si la Bretagne m’a plu. Je souris en disant que l’air était vif mais qu’il faudrait y retourner ensemble. Ma réponse n’est pas accueillie facilement et je dois ajouter immédiatement : « C’est sincère ! ».

Ludivine commence à expliquer qu’elles ont été trahies par moi et que je leur ai fait beaucoup de peine. Françoise ajoute que c’était dégueulasse de les tromper de la sorte. Bref, je passe un moment à en prendre pour mon grade avant que le sujet dévie sur autre chose.

Ludivine m’explique que la lettre que j’ai faite était très bien même s’il a fallu du temps pour comprendre tous les détails et en accepter certains.

Françoise ajoute en disant que cela ne m’excuse pas pour autant. Après un silence que je ne romps pas, elle ajoute : « Les meilleurs moments de ma vie, c’est avec toi que je les ai eues. T’es un salaud mais c’est comme ça ! »

Avant que je puisse répondre, Ludivine ajoute : « C’est bien là le problème, t’es un salaud mais on t’a dans la peau ! »

Je tente un : « Je n’ai jamais voulu vous faire du mal » mais le silence qui s’en suit n’est pas de bon augure.

Ludivine me félicite pour les épreuves et me demande ce que je veux faire pour l’avenir.

Je lui dis que je ne sais pas car ma problématique de choisir entre une d’elles est impossible pour moi.

Françoise et Ludivine me propose alors un truc inimaginable :
- « Si tu veux, on peut refaire comme avant mais sans les cachoteries. On en a discuté ensemble et on est prêtes à tenter l’expérience. J’imagine que t’es d’accord ! »

Coincé entre le désir et le fantasme, je réponds : « Si tout le monde est d’accord, ça me va. L’idée de quitter l’une de vous me peine énormément… En plus, vous le savez l’une comme l’autre, vous me motivez. »

Ludivine sourit et dit à Françoise : « Tu vois, quand je te disais dans quel état je le récupérais le dimanche soir ! »

La discussion se fait plus légère et, à la descente du bateau, je tiens la main des deux filles. Avant la fin de la journée, je retrouve les câlins des filles et j’ai plaisir de pouvoir les prendre dans les bras à nouveau.

Françoise prend le métro avec Ludivine car elle dort chez elle. Il n’est pas question encore que l’une ou l’autre revienne chez moi pour quoi que ce soit. Cette journée était, pour elles, une journée de retrouvailles et de vérification de mes intentions.

Sur le quai, Ludivine me félicite pour la nouvelle déco de mon studio. Je tique et Françoise ajoute qu’elle a trouvé très mignon les photos autour de la télé. Sans aller plus loin dans la conversation, elles prennent le métro et je me retrouve de nouveau seul.

Malgré tout, j’ai le cœur léger quand je rentre chez moi et j’espère pouvoir retrouver mes amours bientôt.

Je tiens le coup et je n’appelle personne car je pense que c’est aux filles de reprendre le contact quand elle le désir. J’ai quand même la grande surprise de trouver une lettre de Françoise un soir en rentrant du travail. Petite lettre de 3 feuilles, rédigée dans le train le dimanche soir et envoyée dès son arrivée à Reims.

Elle reprend par raconter comment elle a vécu ma trahison et comment elle a subi la colère, la honte et une énorme tristesse dans une idylle qu’elle adorait et qui lui avait donné une dimension dans sa vie sans commune mesure avec tout ce qu’elle connaissait jusqu’à présent. Ensuite, elle me raconte sa rencontre avec Ludivine après que celle-ci l’ait appelée. Un premier contact entre rivales puis, rapidement, une connivence entre femmes trahies par le même homme.

Françoise m’explique que j’ai de la chance que ni l’une, ni l’autre n’ait de la méchanceté car elles auraient pu me rendre la vie infernale. A contrario, avec Ludivine, elles se sont très vite entendues et une amitié est très vite apparue entre elles. Au début, la jalousie d’être avec une femme qui a partagé le même homme a été dure à vivre mais, à son grand étonnement, ce sentiment a été remplacé par une jalousie de ne pas avoir eu les mêmes attentions et les mêmes occasions que l’autre.

En conclusion, elle dit qu’elle m’aime et qu’elle espère retrouver mes bras dans un gros câlin coquin.

Je suis tout guilleret et la fin de semaine est tranquille jusqu’au dimanche où Ludivine m’appelle pour savoir si je peux la retrouver pour faire les boutiques. Euhh… ce n’est pas mon passe-temps favori mais j’accepte pour lui faire plaisir. Bien m’en a pris car nous passons une bonne partie de la journée à faire des boutiques de lingerie et je suis dans un état proche de l’implosion à force de voir Ludivine essayer des dessous.

A chaque essayage, elle parle de Françoise pour savoir si j’aimerais tel ou tel dessous sur elle, si ses seins sont en valeur ou non, si on ne voit pas trop sa toison, et j’en passe de plus cru. L’apothéose est atteinte quand une vendeuse entre dans la cabine avec nous pour conseiller Ludivine sur le choix de soutif afin de soutenir correctement sa poitrine lourde. La vendeuse doit être lesbienne car elle porte les seins de Ludivine tout en parlant. Ludivine m’a fait des yeux ronds et je vois clairement ses tétons pointer sous le contact chaud des mains de la vendeuse. On n’achète rien dans cette boutique mais Ludivine est toute retournée après ce qu’elle a considéré comme des caresses érotiques.

Peut-être grâce à cette vendeuse, Ludivine veut venir chez moi pour me retrouver. A peine arrivée à mon appart, Ludivine me saute dessus et elle me chevauche pour me faire glisser en elle au plus profond. Avec la journée et le manque de sexe qui me taraude l’esprit depuis un bon moment, je lui explose immédiatement en elle. La soirée ne s’arrête pas et je ne quitte pas son sexe. Elle est déchaînée et elle s’offre sans retenue en m’offrant des positions très érotiques. Nous nous effondrons dans un sommeil réparateur. De plus, je crois que je me suis endormi avec le sexe encore en elle !

Le week-end suivant, c’est Françoise qui vient sur Paris pour un week-end prolongé de 4 jours. Je l’accueille dès la sortie du train et nous allons à mon appart qu’elle ne connaît pas. Enfin, elle le connaît car Ludivine l’avait invité quand j’étais en Bretagne. Françoise est moins extravertie que Ludivine et elle ne se jette pas sur moi comme une bête de sexe enragée. Il y a comme une danse entre nous et chacun désir l’autre sans vouloir être celui ou celle qui fait le premier pas. Finalement, Françoise me demande si c’était bien avec Ludivine le week-end dernier.

Gêné, je réponds sans m’étaler sur les détails hormis le coup de la vendeuse qui a peloté Ludivine dans la cabine d’essayage. Françoise est outrée mais je lui dis que Ludivine comme moi étions super excités par cette situation. Pour la comparaison, je lui dis que si elle se faisait peloter par une autre femme, je serais prêt à éjaculer sans aucune autre action. Françoise me regarde avec un léger étonnement dans le regard.

Après un moment, elle me demande si je veux qu’on aille dans la même boutique pour qu’elle se fasse peloter. A la question, je reste sur le cul car je suis surpris que Françoise me propose une telle chose. A croire que les événements de ces derniers mois l’ont énormément changé. Je bande quand même à la pensée de la voir se faire caresser par une autre nana mais puisqu’elle semble bien s’entendre avec Ludivine, autant qu’elles le fassent entre elles.

Comment lui dire ? Je lui propose de faire les boutiques avec elle si elle veut. Maintenant, si elle veut se faire caresser par une autre femme pour m’exciter, je lui dis qu’elle peut demander à Ludivine plutôt que faire ça avec une inconnue. Elle s’approche alors de moi en me regardant droit dans les yeux et en me demandant : « Tu veux que Ludivine me caresse ou tu veux que je la caresse ? »

Ouf ! C’est chaud !

J’attrape Françoise par la taille et nous nous embrassons. Nos corps se collent l’un contre l’autre et mon sexe s’écrase contre son ventre. Après le baiser, je baisse mon regard pour voir son décolleté. Je tends le tissu entre les seins pour regarder sa poitrine prise dans son soutif. La vue est belle et Françoise baisse la fermeture de sa robe. Le tissu se relâche doucement et la robe commence à glisser. Je résiste à la tentation de lui embrasser les seins et je laisse Françoise décider du rythme de notre engagement.

La robe résiste et s’accroche à la poitrine de Françoise, à mon grand désespoir ! Françoise m’embrasse en fermant les yeux et elle se presse contre moi.

Mes mains glissent vers ses hanches et je la serre contre moi pour lui faire sentir mon sexe dur. Je lui caresse les fesses quand la porte d’entrée s’ouvre doucement. Sur le coup, ni Françoise, ni moi n’y faisons attention mais quand, dans le coin du regard, je m’aperçois d’un mouvement dans la pièce, je m’écarte de Françoise comme si j’étais en faute. Françoise se retourne avec un petit cri en croisant ses mains sur son torse pour retenir la robe.

Ludivine est là à nous regarder et s’amuse à nous avoir mis la trouille. Françoise ose dire un « Merde ! Tu m’as foutu la peur de ma vie ! » et commence à remettre la fermeture de sa robe. Je vois que Ludivine ne sait que faire si elle reste ou non. Je lui demande ce qu’elle vient faire.
- « Je savais que Françoise venait ce week-end alors je m’invite »
- « C’est gentil mais on allait commencer un truc à deux ! »
- « Et alors, ne vous gênez pas pour moi… »

Je ne me sens pas l’envie de l’exhibitionnisme devant Ludivine avec Françoise. J’aurais l’impression d’être une bête de foire subissant les jugements et les critiques sur mes performances. Par contre, j’ai l’impression que Ludivine ne serait pas contre !

Françoise va faire la bise à Ludivine et, pour combler ma gêne d’être ici avec les deux nanas, je trouve un sujet intéressant :
- « J’ai dis à Françoise que tu avais été pelotée par une vendeuse de lingeries. »
Ludivine se tourne vers Françoise.
- « Oh oui ! Elle m’a pris les seins et les a caressés pendant qu’elle parlait comme si de rien n’était. Ca m’a mis dans un état ! On a dû rentrer pour faire l’amour toute la nuit. »
- « Ouais, j’imagine ! Quand Pascal m’en a parlé tout à l’heure, il était prêt à retourner dans la boutique avec moi… C’est dingue quand même ! »
- « Super dingue ! Mais je t’assure que j’ai adoré…et pourtant, je ne suis pas du genre à aimer les femmes ! »
- « Tu m’étonnes ! Tout à l’heure, j’ai carrément proposé à Pascal qu’on se caresse tous les deux tellement je le voyais à baver sur la scène. »

Ludivine chuchote un truc dans l’oreille de Françoise. Je fais celui qui s’occupe mais je sais qu’elles me préparent une spécialité de leur cru. A les voir comme ça, je bande en imaginant les voir ensemble dans un jeu de caresses.

Françoise me demande de passer à la douche pendant qu’elle parle tranquillement avec Ludivine. En passant à côté d’elles, je reçois une claque sur le cul.

Je prends ma douche avec le sexe raide du début à la fin. Je dois me finir à l’eau froide pour me calmer. Je prends des fringues propres et je sors rejoindre les filles. Aussitôt, elles disparaissent dans la salle de bain. Je reste dans la grande salle et je mets de la musique. De loin, j’entends les filles discuter sous la douche.

Elles réapparaissent avec les mêmes vêtements, soit une robe pour Françoise et jupe-chemisier pour Ludivine. A y regarder de plus prêt, je vois par transparence la couleur sombre des tétons de Ludivine ainsi que le mouvement libre de sa poitrine. Pour Françoise, je ne vois plus les bretelles du soutien-gorge.

Ludivine me prend la main et m’entraine vers le canapé. Je m’assois entre Françoise et Ludivine. Ludivine demande à Françoise par quoi elle veut commencer. Devant l’absence de réponse, elle lui propose de débrider la bête. Sans attendre d’explication, elle me baisse la braguette et plonge la main pour sortir mon sexe raide. Françoise hésite un peu avant de déboutonner mon pantalon pour pouvoir être plus à l’aise.

Je lève mes fesses pour libérer un peu mon ventre et laisser mon sexe libre de sortir plus. Ludivine se met à genoux et demande à Françoise de venir la rejoindre : « C’est ton week-end ! A toi de commencer ! »

Dans les secondes qui suivent, je vois Françoise m’embrasser le gland puis le lécher avant de l’avaler par petits gestes. Je suis sur des braises et je tente de me contrôler pour ne pas éjaculer de suite. Autant Ludivine aime recevoir le sperme dans la bouche que Françoise ne l’a jamais fait.

Ludivine tient toujours mon sexe en main pendant que Françoise me suce. Après un court instant, Ludivine rejoint Françoise et mon sexe change de bouche. L’excitation est beaucoup trop grande pour que je résiste plus et j’alerte les filles que je vais exploser. Ludivine demande vite à Françoise si elle veut mais Françoise hoche la tête. Aussitôt Ludivine enfonce mon sexe au fond de sa gorge et je gicle en elle. Elle me pompe et m’aspire.

Françoise me regarde crispé dans l’orgasme. Je lui demande de me donner son sexe à boire mais elle semble hésiter. Ludivine me relâche le sexe et Françoise la rejoint. Elles s’activent sur mon sexe avec beaucoup d’énergie. Je reste sur le canapé sans pouvoir profiter des filles. Je suis frustré !

Après un moment, pendant que Françoise me lèche toute la hampe avant de m’envelopper le gland entre les lèvres, Ludivine attrape sa fermeture éclair et la baisse jusqu’à la taille. Françoise ne s’arrête pas de me sucer et laisse Ludivine faire glisser la bretelle de la robe pour découvrir un sein.

Je la regarde faire avec envie. Quand Ludivine attrape le sein de Françoise pour lui caresser, Françoise ne peut s’empêcher de gémir de plaisir. Je regarde Ludivine peloter Françoise et attraper le deuxième sein. De profil, je vois le bassin de Françoise osciller au rythme de mon sexe qu’elle fait entrer dans sa bouche.

J’imagine le sexe de Françoise ouvert et trempé de cyprine tellement je la sens excitée. Je redemande à Françoise de me donner son sexe. Ce deuxième appel est le bon et Françoise se redresse pour mettre ses genoux sous mes bras pour m’offrir sa croupe. Je m’allonge sur le canapé et Ludivine tire pour retirer la robe. Françoise se retrouve nue au-dessus de moi avec son sexe devant mon visage.

Je vois le sexe de Françoise écarté et luisant de mouille. Françoise ne s’arrête pas de me prendre en bouche. Ludivine se met nue et me rejoint au moment où je passe ma langue sur la fente ultra sensible de Françoise. Ludivine n’en rate pas une miette et me regarde lécher le sexe rose de Françoise.

Françoise se recule pour plaquer son sexe contre ma bouche. Ludivine se masturbe et je vois, de temps en temps, ses seins sautiller à son rythme.

Entre deux gémissements, Françoise dit à Ludivine de venir car elle a trop mal à la mâchoire. Tout en continuant de lécher Françoise, je ressens mon sexe se glisser entre les cuisses de Ludivine.

Je l’ai su après cette séance mais Françoise a peloté les seins de Ludivine pendant qu’elle se masturbait avec mon sexe en elle.

A partir de ce moment, j’ai très souvent eu le privilège de faire l’amour aux filles ensemble. Sans être attirées par les femmes, Ludivine et Françoise se caressent mutuellement pendant les actes amoureux à trois. Quand elles sont toutes les deux, elles sont copines sans plus.

Françoise m’a avalé une fois mais ce n’est pas son truc. A chaque fois que mon sperme sort, c’est Ludivine qui m’avale avec gourmandise. J’ai réussi à faire en sorte que les filles se lèchent mais il faut vraiment que l’ambiance soit extrême pour qu’elles le fassent.

Ludivine est retournée dans le magasin de lingerie pour retrouver la vendeuse. Elle n’était plus là. Ludivine ne m’a jamais dit pourquoi elle voulait la revoir.

En relisant ce texte, Françoise a voulu que je retire les descriptions de ce qu’elle fait quand elle est en plein délire amoureux. C’est dommage car elle est splendide et d’une excitation très forte.

Ludivine aurait voulu que je fasse des dessins pour expliquer les positions que nous arrivons à faire.

Moi, je désire seulement que ma vie avec ces deux femmes dure le plus longtemps possible.