Double vie... ou plus 1 : Ma collègue est une “bombe”

- Par l'auteur HDS Yan Loutort -
Auteur homme.
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Récit libertin : Double vie... ou plus 1 : Ma collègue est une “bombe” Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Double vie... ou plus 1 : Ma collègue est une “bombe”
Marié à une femme qui n'a plus de désir après la naissance de son fils, il collectionne les maîtresses , y compris dans sa famille, il mène une double vie qui se complique mais qui apporte bien des joies.
Les liens familiaux sont de plus en plus nombreux et parfois surprenants.



***


Depuis la naissance de notre fils, ma femme refuse les rapports sexuels. Déjà un peu avant d'accoucher, nos relations s'étaient espacées. Je travaille en région bordelaise, mais je me déplace souvent dans toute la France. Je quitte le domicile le lundi matin tôt, parfois même dès le dimanche soir, pour ne revenir que le vendredi soir, tard. Il m'arrive aussi de rester le week-end sur Bordeaux, où je passe parfois voir ma belle-sœur et mon beau-frère qui y habitent.
Bref, je suis marié, mais je vis “à côté” de ma femme, aussi je me suis fabriqué une vie en parallèle. Je subviens aux besoins de la famille, gagnant bien ma vie, mais je profite de mon éloignement de la maison pour retrouver des bras accueillants.
Depuis quelques temps j'entretiens une relation avec une collègue. Formatrice comme moi dans la société informatique, grâce à la complicité de la responsable du planning, nous faisons maintenant souvent équipe lors de nos interventions en entreprises. Elle se charge de la partie comptabilité et paye, de mon côté je travaille sur la partie technique du logiciel dédié aux e,ntreprise du BTP.
C'est au cours d'une mission commune que tout a commencé. Nous étions partis pour deux semaines pour installer une grosse société dans l'est de la France. Vu la longueur et le coût élevé du déplacement, le patron nous avait demandé d'y passer le week-end, moyennant une belle prime. Nous allions y travailler dix jours pleins au lieu des huit habituels quand nous ne partions que pour une semaine. Les frais du week-end étaient également pris en charge par la société.
Ma collègue, au delà de ses excellentes compétences, est une très jolie femme. Grande, élancée, avec des jambes interminables, toujours mises en valeur par des jupes courtes, elle était le fantasme de bien des collègues et l'atout charme de la société. Le patron - par ailleurs homosexuel notoire - en connaissait les attraits envers les clients et lui avait offert quelques tenues assez sexy faisant d'elle une “bombe”.
L'un de nos collègues formateurs, aurait bien aimé participer à cette mission avec elle, mais ses compétences techniques n'étaient pas aussi importantes que les miennes. Nous étions ainsi la « force de frappe » de la société, dont la réussite de la mission devait servir à développer notre implantation dans cette partie de la France, éloignée de notre siège avec peu de clients. De plus, l'entreprise où nous intervenions était une référence importante dans la région, son patron étant président régional du principal syndicat des entreprises du bâtiment.
Départ le dimanche après-midi après un week-end en famille écourté. Je rejoins ma collègue chez elle, direction l'aéroport et un vol vers Paris. Là, voiture de location et cinq heures de route vers Hayange, en Moselle. La nuit est tombée à notre arrivée. Nous dînons et rejoignons nos chambres qui sont voisines.
Le lundi matin, nous installons les programmes dans le serveur et connectons les terminaux dans tous les bureaux. A midi tout est en place. Le directeur nous invite à déjeuner, d'une part pour faire connaissance et nous briefer, mais surtout parce qu'il a « flashé » sur Sylvie, ma collègue, qui en ce premier jour avait revêtu un bel ensemble mettant en valeur sa silhouette et bien sûr ses longues jambes.
L'après-midi, nous dirigeons une réunion avec tous les services, afin de coordonner les codifications et expliquer l’environnement du logiciel. Après notre présentation, nous expliquons que Sylvie sera en charge de la comptabilité, de la paye et de la facturation, alors que je m'occuperai de la partie devis et suivi des coûts. Quelques techniciens sont un peu déçus, même s'ils sont intimidés par la prestance de ma collègue.
Pendant toute la semaine, nous travaillons dur. Nous restons même jusqu'à dix neuf heures le soir, de façon à bien avancer le projet. Après le départ des employés nous passons une bonne heure tous les deux afin de paramétrer et personnaliser certains modules des programmes. De retour à l,'hôtel douche, dîner et retour dans la chambre.
Vendredi midi, c'est le grand patron qui déjeune avec nous. Lui aussi trouve Sylvie à son goût. Après le repas très convivial et délicieux, nous faisons le point avec lui de l'avancement du projet. Sylvie a un problème avec la comptabilité qui renâcle à s'adapter. Le blocage vient en fait du chef, vieillissant et allergique à l'informatique. Elle n'ose pas le dénigrer, aussi, c'est moi qui m'y colle.
• “Ma collègue a un petit problème avec la comptabilité. Il semblerait qu'il y ait un blocage. Peut-être est-ce dû au fait que ce soit une jeune femme...
• Je ne pense pas que cela en soit la cause. Vous savez, je connais mon personnel. Je sais bien d'où vient ce sentiment. Monsieur Durand ne comprend pas l'utilité de l'informatique. Le souci est qu'il est un associé important dans la société et un relais essentiel vers nos clients les plus importants. Je ne crois pas qu'il mette véritablement en doute vos compétences, mademoiselle, même s'il peut le faire sentir. Il va vous falloir faire preuve de diplomatie.
• Vous savez, dit alors Sylvie maintenant rassurée, ses collaboratrices en rient derrière son dos, mais elles sont bien obligées de subir. Je pense qu'à terme, c'est improductif et c'est dommage de ne pas utiliser le produit au mieux.
• Oui, je comprends. Déclare le PDG. C'est un peu délicat. Il faudrait trouver un moyen de...
• Je pense que j'ai une idée pour débloquer la situation,dis-je alors.
• Que voulez-vous faire?
• Dans mon ordinateur portable, j'ai le dossier comptable d'une entreprise sur lequel nous travaillons depuis un moment. Je suis en train de programmer les tableaux de synthèse pour préparer le bilan et le compte d'exploitation. Je vais le présenter à monsieur Durand et je pense qu'il va changer d'opinion.
• Allez-y ! Je vous fais confiance. Je n'ai pas envie de perdre notre investissement, ni de prendre du retard.
• Vous pouvez le faire venir ? Nous allons le lui présenter avec vous. Je pense qu'après, il verra l'informatisation de la comptabilité d'une autre manière.
Le PDG demande alors au chef comptable de venir le retrouver dans son bureau pour une information spéciale. Il est un peu surpris de nous y voir et est assez réticent au départ. Je prends la parole.
• “Voilà, monsieur Durand. Nous avons pensé que certaines options du programme ne concernent pas directement vos collaboratrices, mais vous, vous allez en comprendre aussitôt l'intérêt.
Nous voudrions vous montrer le dossier d'une entreprise similaire à SOTRAX, qui utilise notre programme depuis quelques temps. Nous avons justement mis en place des états permettant de préparer, de simuler, d'optimiser vos bilans et les comptes d'exploitation.
• Je ne sais pas si...
• Guillaume - intervient le patron – J'aimerais que vous regardiez ce point avec ces messieurs-dames. Je n'ai pas toutes vos compétences en matière comptable et j'aimerais votre œil d'expert.
• Bon...D'accord mais.. Je ne vois pas...
• Vous allez voir dis-je. Sylvie Peux-tu nous montrer le pré-bilan?
• Oui, bien sûr !”
J'ai volontairement mis ma collègue en avant. C'est elle la pro de la comptabilité et elle va le démontrer rapidement. Après quelques minutes, monsieur Durand est captivé. Il pose des questions. Demande des précisions. Veut aller plus loin. Il fait modifier des paramètres et trouve aussitôt une réponse à sa problématique.
Le PDG s'est reculé, il me regarde et me fait un clin d’œil. Il sort de son bureau sans que son comptable ne s'en rende compte, tant celui-ci est captivé. Une heure plus tard, le comptable est conquis et il demande à Sylvie de programmer une réunion dès le lundi matin avec son service, pour mettre en place des méthodes de saisie qui permettent ces projections. Le blocage est levé. Nous avons marqué un point important.
A dix sept heures le vendredi, les bureaux se vident pour le week-end. Nous suivons la troupe. La semaine a été chargée et la prochaine le sera aussi.
Nous rentrons à l'hôtel. Je propose à Sylvie d'aller au cinéma ou au théâtre en fonction du programme, puis d'aller dîner et se trouver une boite pour finir la soirée. Rendez-vous dans une heure pour se doucher et se changer avant de sortir. Il faut bien ce temps à une femme pour se préparer et je sais que le matin, ma collègue prend du temps, aussi je précise : “ Tenue décontractée. C'est le week-end ! OK ?”
Une heure plus tard, je frappe à la porte de la chambre de Sylvie. Quand elle ouvre, je suis scotché ! Elle a revêtu un caraco qui dégage ses épaules et s'arrête au niveau du nombril. Ses cheveux sont détachés, alors qu'elle arbore toujours un chignon strict. Ses paupières et ses lèvres sont légèrement maquillés faisant ressortir ses yeux bleus. Elle porte un short vraiment mini qui allonge encore ses jambes et dévoile ses cuisses fuselées et aux pieds, des sandales nouées. Elle paraît moins grande et est ainsi, de la même taille que moi. Une bombe !
Elle paraît fière de son effet et sourit en prenant la pose devant la porte.
• “Tu... Tu es magnifique !
• Tu es gentil, mais... tu as dis décontractée.
• J'ai l'air d'un pingouin avec ma veste et ma chemise. Je prends un coup de vieux là !
• Pas du tout ! Je trouve que tu es chic... et décontracté. N'ai pas peur, tu me plais bien comme ça. On y va ?”
Nous nous dirigeons vers le centre ville qui est assez triste. Il semble qu'à dix neuf heures en été et dix huit en hiver, tout s'arrête dans cette ville sidérurgique. Nous trouvons tout de même un bistrot ouvert et nous installons en terrasse.
Assise ainsi au soleil, Sylvie fait un effet « boeuf » sur les passants, dont les coups d’œils sur les jambes de ma compagne, sont égrillards. Que dire du garçon de café qui va multiplier les allées et venues sous n'importe quel prétexte, afin d'admirer sa cliente. Il va finir par s'appuyer contre la porte en faisant semblant d'attendre des clients. Je ne sais pourquoi, mais peu à peu, les tables se garnissent autour de nous avec une clientèle essentiellement masculine. Je fais des envieux ou des jaloux !
• « Dis-donc, tu es l'attraction du coin ! Tu vas déclencher des crises cardiaques ou une émeute si ça continue.
• Tu es fou !
• Regarde un peu autour de toi. Les mâles de la ville sont en rut. Il semble qu'il n'aient pas vu une aussi belle fille depuis longtemps.
• Arrête un peu !
• Bon, bon. Je dis ça pour toi. Moi je suis plutôt flatté d'être à tes côtés. » A une table voisine, un homme interpelle Sylvie.
• Mademoiselle, vous auriez du feu s'il vous plaît  ? » Amusée, Sylvie lui tend le briquet «  Merci ! Vous êtes charmante !
• Elle est canon oui ! » s'exclame un autre.
• « Vous faites quoi ce soir  ?
• Je vais dîner avec mon mari. Vous connaissez une bonne adresse  ?
• Ah ! C'est votre... Vous savez, ici, il n'y a pas grand chose. Il faut aller à Metz ou à Luxembourg.
• Merci bien monsieur. Vous êtes bien aimable. On y va chéri ? »
Sur ce, elle se lève, déclenchant un murmure de dépit dans l'assistance. Elle me prend le bras et en se retournant lance « bonne soirée messieurs ! » Elle me chuchote « Quels cons ! Ils sont lourds ! »
Nous nous éloignons en riant. Les hommes doivent la traiter de pute, mariée à un vieux pour son pognon. J’ai en effet, dix ans le plus qu’elle et Sylvie paraît jeune.
A Metz, nous optons pour un restaurant japonais (pourquoi pas ?) Sylvie découvre cette cuisine et se régale des sashimis. De là, nous trouvons une discothèque. Sur le « dancefloor » ma collègue s'éclate au son de la musique. Parfois je la rejoins et je l'entraîne pour des rocks endiablés. Là aussi des regards envieux et des dragueurs maladroits ne la lâchent pas. Elle boit des mojitos et je me contente de coca, car c'est moi qui conduis pour le retour.
Il est un peu plus de deux heures du matin lorsque nous rentrons à l'hôtel. Tout est silencieux et la coursive qui mène à nos chambres est à peine éclairée. Arrivés devant la porte de la chambre de Sylvie, je me tourne vers elle pour lui souhaiter une bonne nuit et lui faire la bise et c'est là que tout bascule !
Se lèvres cherchent mes lèvres et Sylvie se colle à moi. « J'ai envie ! » murmure-t-elle. Ces mecs m'ont excitée, mais c'est toi que je veux. Tu es le plus séduisant et le mieux élevé. Elle me prend le bras et m'entraîne dans sa chambre.
Une fois la porte refermée, on se jette l'un sur l'autre pour un baiser profond. J'agrippe son caraco et lui passe par dessus la tête. Je découvre ses seins. Pas très gros mais bien ronds, avec des aréoles brunes et des tétons qui pointent. J'enlève ma veste et ma chemise et viens plaquer ma peau contre la sienne. Elle frotte sa poitrine contre la mienne. Mes poils rappent ses tétons et les électrise.
Je la veux nue contre moi, aussi je défais et baisse son mini short entraînant le string sur ses jambes. Je me recule pour admirer sa silhouette. Elle est magnifique ! Je me défais rapidement de mon pantalon et me retrouve nu face à elle. On se serre à nouveau et elle peut sentir mon érection contre son ventre. Dans ma bouche elle murmure un « mmhh » de contentement.
Nous restons ainsi un moment, collé l'un à l'autre, puis elle me tire vers le lit où elle s'étend bras et jambes écartées. Je m'agenouille au bord du lit et plonge mon visage dans sa fente. Sylvie est une vrai blonde et sa toison finement taillée, sublime encore si besoin, son corps sculptural. En effet, elle est musclée et son ventre plat trahit une gymnastique régulière.
Longtemps je m'abreuve de son suc. Ma langue découvre un clitoris étonnant. Je connaissais celui de ma belle-mère qui était bien gros, mais celui de Sylvie ressemble à une petite bite, avec un gland bien développé et une petite hampe. Je le suce et je lui procure des frissons. Bientôt elle tremble et se lâche une première fois en soupirant. Je continue mon léchage en règle mais elle en veut plus. Elle repousse ma tête, me tire sur elle et dit :
• « Viens ! Prend-moi !
• Je n'ai pas de préservatif. Ils sont dans ma chambre.
• Ne t'inquiète pas j'en ai. »
Elle se tourne vers son sac et ressort une pochette.
• « Attend ! Je vais te le mettre. »
Elle déchire le sachet, se penche sur ma queue dressée et me suce le gland avant d'avaler ma tige déjà bien dure. Comme un pro, elle enfile le condom sur la hampe et se recouche en ouvrant ses bras. Je me mets sur elle et quasiment sans me guider, je pointe ma bite sur son vagin.
Lentement, je pénètre l'antre humide. Sylvie noue ses jambes autour de moi et en les serrant, me propulse dans sa chatte qui m'avale sans problème.
Commence alors la danse des amants. Dressé sur mes bras, tout en la limant, je me régale de voir son corps superbe, maintenant couvert de transpiration. Je n'en reviens pas d'être l'amant de cette belle et jeune femme, objet des fantasmes de plusieurs collègues, des clients et des rencontres de la soirée.
Très vite, elle jouit une nouvelle fois. Je sens mon plaisir monter et en criant, je me vide dans la capote tout en me couchant sur elle.
Le coït a été bref mais intense pour tous les deux. On se retrouve enlacés sur le lit. Essoufflés et heureux, le temps que les battements de nos cœurs retrouvent un rythme normal.
• « Mon salaud ! C'était bon !
• Merci. Mais pour moi aussi.
• Tu es doué. J'ai jouis avec ta langue. Il y a longtemps que cela ne m'était pas arrivé. J'aime ta queue. Elle est belle et m'a bien remplie.
• Si on m'avait dit !
• Quoi  ? Tu es surpris  ?
• Un peu oui. Il y a tellement de mecs plus jeunes et plus beaux que moi qui te tournent autour.
• C'est des petits cons ! Je préfère les hommes plus mûrs.
• Si j'avais su !
• Quoi  ? Tu m'aurais draguée  ?
• Non. Je te rappelle que je suis marié.
• C'est vrai ! Mais... c'est la première fois que tu la trompes  ?
• Oui... enfin presque...
• Tu regrettes  ?
• Oh non ! Pas du tout ! Tu es superbe et je ne m'y attendais pas, c'est tout. J'ai pris beaucoup de plaisir moi aussi.
• Et... tu veux... continuer  ?
• Bien sûr !... Enfin, si toi tu veux.
• Tu es fou ! Bien sûr ! D'ailleurs, je vois que je te fais de l'effet. Dis-donc toi, tu es vite de nouveau en forme “pour un vieux” !
• Il faut dire qu'en te regardant c'est facile.Viens sur moi ! C'est toi qui vas me baiser.
• Oh oui ! J'ai jamais fais comme ça !
• C'est pas vrai ! Tu en as des choses à apprendre !
• Avec toi je sens que je vais en découvrir. Tu m'as l'air d'un sacré coquin !
• C'est le privilège de l'âge.
Sylvie m'enjambe et vient s'empaler sur ma bite dressée. Je n'ai qu'à me guider et elle se laisse descendre sur ma queue. Elle est magnifique ainsi. Son buste dressé, ses seins s'agitent alors qu'elle monte et descend sur moi. Je triture ses mamelons. En appui ses cuisses sur les miennes, elle se baise en choisissant son rythme.
Sylvie s'essouffle et transpire sous l'effort, change de rythme, puis fini par s'effondrer sur moi, après une nouvelle jouissance. Elle reprend son souffle avec difficulté couchée sur mon torse, je sens son cœur qui bat fort.
Peu à peu elle se calme et enfin, un grand sourire aux lèvres, prend ma bouche pour un baiser passionné.
• « FFFh ! Tu m'as crevée ! Je te sentais bien en moi comme çà.
• Moi aussi. J'avais l'impression que ton sexe me massait la bite.
• C'était involontaire. Mon corps réagissait tout seul, pardon !
• Tu es folle ! Au contraire, c'était génial et puis tu m'as bien arrosé !
• Oh c'est vrai ! Cela ne te gêne pas  ?
• Au contraire ! Cela prouve tout le plaisir que tu as pris.
• Ah ça oui ! Mais toi tu n'as pas jouis  ?
• Je te rappelle que je n'avais pas de capote et puis dans cette position je peux résister longtemps.
• Oh c'est vrai. On a oublié de se protéger ! Tu penses à tout.
• J'ai eu un peu de mal, il faut dire. Heureusement que tu as jouis. Je n'aurais pas tenu bien longtemps.
• Tu sais, je suis... saine.
• Moi aussi.
• Alors on peut s'en passer. C'est vrai que je t'ai mieux senti sans le préservatif... J'ai encore envie... Tu veux ?
• Bien sûr ! Tourne-toi. Je vais te prendre par derrière.
• Co... Comment  ? Tu ne vas pas me...
• T'enculer  ? Te sodomiser  ? Pas encore, mais tu as un beau cul et je veux le voir en te baisant.
• Salaud ! » Dit-elle en riant. « Viens ! Prend-moi comme la chienne que je suis !
• Une belle chienne ! »
Sylvie bondit et se met à quatre pattes sur le lit. Dans cette position, avec ses longues cuisses, sa chatte est à la hauteur idéale de mon sexe. Sans plus attendre, je l'embroche. Je saisi ses hanches et d'un rythme soutenu je baise cette belle femme qui se donne à fond. Je sens à nouveau son vagin se serrer sur ma bite comme pour la pomper. Je ne cherche pas à la ménager. Je veux jouir en elle. Sa silhouette longiligne et ses fesses musclées lui donnent dans cette position, un air androgyne, mais c'est bien une femme, avec sa capacité à jouir plusieurs fois. Elle se redresse en appui sur ses bras et déclenche mon orgasme. Je gicle en elle alors que sur mes derniers coups de rein, elle s’effondre dans une ultime jouissance.
Nous avons besoin de repos et l'un comme l'autre, nous sombrons dans le sommeil.
Je me réveille le premier. A mes côtés, Sylvie est lovée. Je me redresse et j'admire le corps sans défaut de ma maîtresse. Eh oui, j'ai une maîtresse sans l'avoir cherché. Ce sont les circonstances qui ont décidé pour moi. Qui aurait pensé qu'une jolie fille comme elle puisse s'intéresser à moi  ? Je suis un chanceux, mais à ce moment là je me dis que les choses vont se compliquer. Non pas pour mon couple dont les liens sont assez distendus, mais dans notre travail. Comment va-t-on pouvoir continuer, sans que notre relation ne perturbe le service. Pour le moment, j'ai un week-end à passer avec cette belle femme. Il sera bien temps ensuite de décider quelque chose.
Sylvie remue un peu et finalement ouvre un œil que j'aperçois sous ses mèches blondes. Elle me sourit, relève sa tête et vient me quémander un baiser. On se retrouve serrés dans les bras l'un de l'autre. On se bécote. On se caresse. Heureux !
Il y a plus de deux heures que nous nous sommes retrouvés devant sa porte et les premières lueurs de ce jour de juin commencent à poindre. Malgré cette courte nuit, je n'ai pas sommeil et ma compagne non plus. Quand sa main trouve ma pine bandée, elle relève son visage vers le mien.
• « Tu es encore en forme mon salaud ! Tu vas me tuer à ce rythme !
• On n'est pas obligés de recommencer tout de suite.
• Non. Mais j'ai envie de te sucer ! Oh ! Je te choque  ?
• Pas du tout, au contraire.Tu sauras qu'il m'en faut beaucoup pour l'être. »
Sylvie plonge sur ma queue et l'avale, puis relève la tête.
• « Elle sent... ma chatte... et ton sperme !
• Cela te gêne  ?
• Pas du tout. Mais je me trouve très salope !
• J'aime que tu sois salope !
• C'est vrai  ? Avec toi, je n'ai pas peur de le paraître. Je suis rassurée. Je fais souvent peur aux mecs... pardon !
• Pas de problème. Je ne suis pas jaloux, puisque en ce moment c'est moi qui profite de tes charmes.
• Tu es un salaud ! Mais j'aime !
• Allez, salope ! Reprend ton travail et suce-moi bien !
• Tu... »
Elle se tait et reprend sa fellation. Appliquée elle suçote mon gland, puis le lèche avant de descendre jusqu'à mes bourses qu'elle prend entre ses lèvres tout en me branlant. Je suis déjà bien dur. Elle descend sucer mes bourses, puis remonte avant d'avaler ma tige. Je n'en peux plus. J'ai moi aussi envie de lécher sa chatte qui doit bien juter. Je me relève, me retourne et plonge entre ses cuisses qui s'ouvrent aussitôt.
• « Oh oui ! Mange-moi cochon ! Bouffe-moi la chatte ! Je vais te faire cracher et te boire ! Donne-moi ton jus et je vais t'arroser salaud ! »
Plus le temps de parler. Nous sommes trop occupés à donner du plaisir à l'autre. Sylvie coule déjà beaucoup et je me régale. Deux doigts dans son vagin la font décoller. Je sens moi aussi que je vais bientôt jouir. Elle se cambre en gémissant et vite après elle, je me lâche dans sa bouche qui m'avale.
Chacun continue de lécher et boire le jus de l'autre en laissant le plaisir redescendre doucement. Enfin on se retrouve bouche contre bouche, pour échanger nos fluides. Je crois que je ne suis plus opérationnel pour un moment.
• « J'ai faim ! » Manifeste alors ma compagne.
• Le restaurant n'est pas encore ouvert ! On a plus de deux heures à attendre !
• Il y a des biscuits sur la table. Je vais faire du café.
• On devrait aussi prendre une douche.
• Non. Attends. J'aime sentir le foutre ! C'est pas bien peut-être mais c'est tellement bon ! Ne me regarde pas comme çà ! Je suis un peu bizarre !
• Pas du tout ! J'adore ! Tu sens la femelle chaude. La salope repue. Tu pues le sexe ! Quel bon parfum !
• Salaud ! Avec toi j'aime être salope. Et puis, j'aime ta queue. Tu es rasé  ? J'avais jamais vu et c'est drôlement agréable de ne pas bouffer des poils ! J'ai faim !»
Elle se dégage, met la bouilloire en route et prépare le nescafé mis à disposition dans chaque chambre. J'en profite pour aller dans ma chambre voisine, toujours nu et je vais chercher les biscuits qui s'y trouvent. En effet il n'y en a pas beaucoup et moi aussi j'ai faim.
Après ce petit déjeuner improvisé, on fume une cigarette. C'était encore permis à ce moment là dans les hôtels. C'est Sylvie qui aborde alors le sujet de notre relation. Elle aussi a pensé à la suite.
• « Tu crois qu'on peut continuer comme ça... enfin... si tu veux bien continuer avec moi.
• J'y ai pensé aussi quand je te regardais dormir. Je me suis dis que nous avions ce week-end et la semaine à venir pour y penser. Profitons du moment. Après, je ne sais pas vraiment. De mon côté, je suis marié.
• Oui, c'est vrai, pardon !
• Non. Ce n'est pas un problème. Depuis la naissance de mon fils, nos liens se sont distendus.
• Et... tu crois que vous allez...
• Divorcer  ? Pas encore. Dans sa famille ça ne se fait pas. Cela fait plus de dix ans qu'on est ensemble et puis je crois qu'il faut qu'on se laisse une chance. Ce n'est pas cela qui m'inquiète. Il arrivera ce qui doit arriver. C'est plutôt dans la boîte.
• On peut rester discrets.
• Cela ne durera peut-être pas longtemps.
• Quoi ? Nous deux ou....
• Déjà nous deux.Tu es jeune et...
• Je m'en fous de ton âge. Tu me baises comme jamais je ne l'ai été.
• N'exagère pas tout de même !
• Non ! C'est vrai ! Tu me fais jouir chaque fois. Tu penses à moi avant de penser à toi.
• C'est comme cela que je le conçois.
• Et j'adore !
• Non mais, vis à vis des autres dans l'entreprise.
• Je m'en fous des autres.
• Tu dis ça maintenant, mais ils ne seront peut-être pas très gentils avec nous.
• Ça te dérange  ?
• Pas vraiment.
• Bon écoute. On verra ce qui se passera. Si on fait notre boulot et pour l'instant j'ai l'impression qu'on le fait assez bien, il n'y aura pas de problème.
• Tu as raison. On essayera de rester discrets et si on doit continuer... advienne que pourra. Allez ! On va à la douche  ?
• Tous les deux... en même temps  ?
• Tu n'as jamais fait  ?
• Noon ! Mais oui ! J'ai envie ! Tu es un salaud !
• Je t'avertis. Je suis plutôt vicieux et j'aime faire des choses un peu coquines !
• Apprend-moi ! Je te fais confiance. »
Dans la grande salle d'eau on se découvre pour la première fois nus côte à côte dans l'immense miroir. Cela fait drôle. On a des têtes de déterrés, mais nos yeux brillent et manifestent le plaisir de se voir ainsi.
Sous la douche on se savonne mutuellement. Prétexte à des caresses et des baisers. Après le rinçage. Sylvie me demande de la laisser pour qu'elle fasse pipi. Je refuse et lui dis que c'est extrêmement érotique de voir pisser une femme.
• « Ça me gêne tout de même ! J'ai jamais..
• Encore une nouveauté. Je t'ai dis que j'étais vicieux . Je vais le faire devant toi. Si tu es choquée, tu peux sortir, mais tu me priveras d'un autre plaisir.
• Salaud ! » Dit-elle en riant « tu crois que je vais me dégonfler  ?
• Je suis sûr que non. »
Je me place devant la cuvette. J'ai un peu de mal à me lâcher, car je bande.
• « En plus ça t'excite mon cochon !
• J'adore quand tu me traites de cochon !
• Tu es un vieux cochon mon... chéri ! »
Je fini par lâcher quelques gouttes puis ma miction commence enfin. Sylvie est très intéressée.
• « C'est la première fois que je vois un mec pisser ! C'est beau !
• Tu comprends que ça me plaise aussi de te voir. »
Quand je termine, je tire la chasse et Sylvie prend place sur la cuvette. Elle aussi a un peu de mal à se lâcher. Pour la décontracter, je me penche et je l'embrasse. Quand j'entends le bruits de sa cataracte, je me recule pour l'admirer. Le spectacle est magnifique. Troublée, elle évite mon regard et voit ma bite au garde à vous. Elle tend la main et la saisit.
• « Moi aussi ça m'excite de le faire devant toi. C'est énorme ! Je me sens tellement salope !
• Une magnifique salope ma chérie !
• C'est toi qui me fais devenir comme ça ! »
Nous passons ensuite un moment sur le lit et puis nous décidons d'aller faire un tour au Luxembourg et de profiter de ce week-end en amoureux qui nous est offert.
La nuit suivante et le dimanche, nous alternerons entre sexe, visites et bouffe. Nous nous promenons main dans la main ou enlacés comme sont tous les amoureux du monde.
Sylvie a l'air gênée. Lorsque je lui demande ce qui la tracasse, elle se défile, mais j'insiste.
• « Je vois bien que tu as quelque chose qui ne va pas. Dis-moi.
• Je... Tu n'as pas fais de réflexion quand tu m'as... léchée.
• Qu'est-ce que j’aurais du dire  ? J'ai adoré tu veux dire.
• C'est pas çà. C'est... mon... clito... Il est énorme !
• C'est ça qui te tracasse  ?
• O... Oui. Tu sais, je t'ai dis que c'était la première fois qu'on me faisais jouir comme ça. En fait, j'ai toujours empêché mes amants de me lécher, parce que j'avais honte de...
• Pourquoi tu m'as laissé faire alors  ?
• Je n'ai pas réfléchi. J'étais si excitée, que je n'y ai pas pensé. Avec toi mes barrières se sont baissées. J'avais confiance en toi et tu me rassurais. Depuis, j'y pense tout le temps. Je croyais que tu allais partir et me laisser au cause de ça.
• Tu es folle ! J'adore ton clito, ta petite bite, appelle-le comme tu veux. J'en avais vu des gros mais jamais comme le tien et j'espère pouvoir encore te le pomper.
• C'est vrai  ? Tu ne dis pas ça pour me faire plaisir  ?
• Puisque tu insistes, je vais te le bouffer tout de suite, parce que j'en ai très envie et que j'ai envie de te faire jouir comme ça.
• Tu sais, j'ai toujours cru que j'étais une sorte de moitié homme, moitié femme, même si je me sens femme et que j'aime les hommes.
• Tu es une vraie femme ma chérie. Tu n'as jamais eu de rapport avec des femmes  ?
• Non ! Je ne suis pas... gouine !
• Ce n'est pas parce que tu baiserais avec une fille que tu serais gouine. Heureusement que tu ne l'as pas fait.
• Pourquoi tu dis ça  ? Je te dégoûterais  ?
• Pas du tout, au contraire ! Mais si une fille avait connu ta particularité, tu serais peut-être devenue gouine intégrale et je ne t'aurais jamais découverte. Elle t'aurait gardée pour elle.
• Salaud !
• Allez, viens me donner ta petite bite à sucer, ma chérie, viens jouir dans ma bouche.
• Tu me baiseras quand même  ?
• Bien sûr ! »
Cette soirée du dimanche a changé sa vie. Bien sûr elle m'a donné son clito à bouffer, mais même si je m'en suis particulièrement occupé. Je l'ai aussi baisée et enculée. Je l'ai obligée à se mettre devant la glace en lui montrant son clito dardé. Je le branlais comme une véritable queue en lui disant toute l'admiration que j'avais de sa silhouette et de son beau clito.
La semaine suivante chez le client, était consacrée aux formations. Nous étions séparés, sauf pendant le déjeuner, au cours duquel face à face, tout en discutant avec le client, nos pieds sous la table et quelques regards maintenaient le contact. Sans s'en rendre compte, nous n'étions pas très discrets. Monsieur Durand, maintenant subjugué par Sylvie nous déclare un jour.
• « C'est pratique pour vous de travailler ensemble et vous faites un joli couple. En plus très compétent !
• Je... » Je ne sais quoi dire.
• J'ai gaffé peut-être  ? Vous n'êtes pas mariés  ?
• N... Non, mais
• Excusez-moi. Je n'aurais pas dû, mais je pense vraiment que votre... collègue est... superbe...pardon !
• Il n'y a pas de mal ! »
Cet épisode nous fera redoubler de prudence au retour dans notre entreprise. Tout du moins pendant quelques temps.
***
Changement de statut


La réussite de notre mission va modifier quelque peu notre situation dans la société. Le patron de la SOTRAX, ravi de nos prestations, va d'abord féliciter notre patron et ensuite recommander notre société auprès des adhérents de son syndicat. Notre patron, à partir de là, va nous confier d'autres missions en binôme auprès des grandes entreprises. Nous allons également avoir une promotion en tant qu'ingénieurs, faisant quelques jaloux auprès de nos collègues formateurs.
Notre « proximité » ne va pas échapper longtemps à la responsable des plannings qui va remarquer que non seulement nous faisions nos missions communes, mais que nous nous arrangions pour être dans la même zone et que nous descendions dans les mêmes hôtels. Par la suite, nous ne nous cachions plus avec elle et prenions même une chambre commune ce qui arrangeait la société qui faisait ainsi des économies.
J'ai rapidement averti le patron de la situation afin qu'il ne soit pas surpris. « Tant que votre travail est bien fait et c'est le cas, le reste ne me regarde pas. » me répondit-il « En plus je n'ai qu'à me féliciter de votre... complicité et nos clients également si j'en crois ce qu’il se dit. » L'affaire était close de ce côté-là.
Lorsque je passais une semaine au bureau, quand Sylvie y était aussi ou qu'elle était dans une entreprise proche, je logeais chez elle. Le reste du temps de prenais une chambre à l'hôtel voisin du bureau. Il lui est arrivé de venir m'y retrouver lorsqu'elle rentrait dans la semaine. La chambre en effet était de la même chaîne que celle qui nous avait hébergés en Lorraine et ça nous excitait particulièrement de nous retrouver dans ce cadre.
Les liens familiaux se resserrent.

Depuis quelques temps, lorsque parfois je reste au bureau pour la semaine et que Sylvie est en déplacement, il m'arrive de passer le soir, voir ma belle-sœur qui habite dans la région. Parfois, ma femme ou ma belle-mère me demandent de lui apporter quelque chose.
Après avoir eu un fils, elle est aussi séparée de son compagnon qui n'avait jamais voulu se marier et qui l'a quittée pour se marier avec une autre. Depuis, elle déprime un peu et travaillant de nuit, elle a du mal à avoir des relations, prise entre son travail et la garde de son fils en alternance.
Après mon travail, certains soirs ou elle ne travaille pas la nuit, je me rends chez elle pour dîner, ou parfois je l'invite au restaurant pour qu'elle sorte un peu de son environnement familial pesant.
Alors que nous nous retrouvons chez elle un soir, Nelly, ma belle-sœur est d'humeur morose. Nous prenons l'apéritif, et l'alcool aidant, elle s'épanche.
• « Tu vois, quand nous étions jeunes, on s'amusait bien. Maintenant tu es avec ma sœur, tu as une belle situation, tu te promènes et te connaissant tu ne dois pas manquer d'occasion, alors que moi..
- Je...
• Ttt ttt. Je connais bien ma sœur et je sais qu'elle n'est pas trop portée « sur la chose ». Oh bien sûr, vous avez fait un gosse. Pour elle, c'est le summum. Elle est avant tout une mère. Ne me dis pas que passant toutes ces semaines loin de chez toi, tu n'as pas mis quelques coups de canifs dans ton contrat de mariage. Je te connais assez et rappelle-toi quand tu étais avec moi...
- C'est du passé ça.
- Ne me prends pas pour une conne ! »
Le Martini a libéré sa parole et dans ces cas-là on ne l'arrête pas. C'est vrai qu'avant de connaître sa sœur aînée, c'est avec elle que j'étais « sorti ». Elle était très « chaude » et précoce, mais elle m'avait trouvé trop vieux et était tombée amoureuse d'un autre garçon avant de rencontrer celui qui serait le père de son fils. J'étais amoureux d'elle et ne m'en étais finalement pas complètement remis. C'est sûrement pour cela que je m'étais ensuite tourné vers sa sœur.
Plus tard, malgré quelques relances quand elle était esseulée, je m'étais gardé de reprendre quoi que ce soit avec elle, même s'il n'aurait pas fallu grand chose pour que je succombe.
• «  Rassure-toi, continue-t-elle, je n'irai rien raconter à ma sœur. De toutes façons je m'en fous. C'est ta vie. Je te dirais même mieux, si c'est le cas, grand bien te fasse. On sait tous les deux qu'il faut en profiter quand c'est possible. Après tu te retrouves comme une vieille conne comme moi, seule avec un gosse sur les bras et aucun mec entre.
• Tu ne fais pas abstinence quand même  ?
• A ton avis  ? Comment veux-tu que je fasse  ? Les trois quart du temps, je dors dans la journée et le soir je m'occupe de Jérémy. Il n'y a pas beaucoup de place pour s'éclater et puis à mon âge...
• Je te signale que tu es encore jeune. Tu as à peine trente ans et franchement tu es superbe ! Je trouve même que tu es mieux qu'avant.
• Petit coquin va !
• Euh ..! Pardonne-moi. Je sais bien que tu ne veux pas que je te parle comme-ça mais franchement, tu es bandante !
• Tu sais, j'ai évolué tout de même depuis le temps. Je te rappelle que quand on était ensemble, enfin, quand on « s'amusaient » ensemble, tu avais deux fois mon âge. Je te trouvais vieux et je savais que tu étais amoureux de moi, alors j'en profitais. Tu voulais attendre mes quinze ans pour me faire l'amour, alors j'ai trouvé ailleurs. C'est vrai que maintenant, la différence entre nous est moindre. Après tout, quinze ans, ce n'est pas beaucoup ! »
Je suis un peu étonné de son discours. Quand elle boit un peu, Nelly dit n'importe quoi. Bien sûr, quelque part, je l'aime toujours et ne l'ai jamais oubliée. Elle porte sur elle un érotisme puissant, mais aujourd'hui je suis marié avec sa sœur.
• « Attend, me dit-elle. Il faut que j'aille aux toilettes. »
Son départ me permet de me reprendre un peu, même si le bruit de sa mixtion qui me parvient, a tendance à m'exciter. Je nous ressers un verre en me disant que l'alcool lui permettra de continuer à s'épancher.
Quand elle réapparaît, je suis sous le choc. Nelly s'est déshabillée et se présente nue devant moi. Elle prend la pose. Les mains derrière la tête, une jambe pliée, comme les pin-up des années 60.
Elle est splendide. Son corps a changé. Sa poitrine est plus grosse et ses tétons, comme des petits dés à coudre virent au noir, au milieu de grandes aréoles brunes. Ses hanches se sont évasées suite à sa grossesse. Elle est pulpeuse. Je vois le corps de sa mère avec trente ans de moins.
C'est vrai que j'ai eu une relation avec sa mère avant de me marier, mais c'est une autre histoire. C'est du passé. Depuis qu'elle est officiellement ma belle-mère, nous avons cessé tout rapport, mais ce passé me saute à la figure aujourd'hui en voyant Nelly.
Elle s'approche de moi et je respire immédiatement le parfum de sa peau de femme chaude.
• « Je ne me suis pas essuyée. Tu vas le faire avec ta langue. Si je me rappelle bien, tu aimais ça autrefois ! »
Nous avions effectivement joué à des jeux de pipi à l'occasion de nos rapports, notamment dans la nature. C'était arrivé la première fois lorsque qu'après un bon moment passé dans la voiture au milieu des bois, Nelly avait eu besoin de se soulager. Nue et accroupie dans l'herbe, elle n'avait pas de quoi s'essuyer. Après avoir passé mes doigts sur la chatte mouillée, j'avais léché mes doigts à son grand effroi - elle n'avait pas quinze ans à l'époque –. Choquée au départ, elle avait très vite apprécié cette pratique perverse. Nous avions pris l'habitude à ce que je participe à sa toilette intime avec ma bouche..
Ce soir-là donc, je me précipite à genoux entre ses jambes et je plonge mon visage sur son abricot totalement épilé. Ma langue retrouve le goût légèrement amer de ses dernières gouttes. Il est vite remplacé par celui plus onctueux de sa jute qui perle.
• « Je savais que tu aimerais ! » ajoute Nelly. « Je t'en ai gardé un peu pour que tu te régales mon salaud ! »
Elle plaque ma tête sur son entre jambes, comme si j'avais l'intention de me refuser et très vite, lâche son urine sur ma langue tendue et dans ma bouche qui avale. Je reprend ensuite mon léchage en règle de sa chatte liquoreuse. Elle ne résiste pas et m'autorise ce plaisir qu'elle m'a longtemps refusé.
J'ai passé mes mains sur ses fesses pour la maintenir. Elle fléchit légèrement les jambes pour me donner le plein accès à sa vulve. En levant les yeux je la voie, les bras relevés, mains derrière la tête renversée, elle se laisse dominer par le plaisir et coule dans ma bouche.
A peine remise de son premier orgasme, rendu rapide par la situation, elle lance :
• « Viens salaud ! Viens me baiser ! J'ai trop envie ! »
Je me relève, la pousse contre la table. En trois secondes je tombe pantalon et caleçon et guidé par sa main, je la pénètre enfin.
Extraordinaire ! Je revois à nouveau sa mère, la première fois où nous avions baisé. C'était contre la table de la cuisine et elle avait guidé ma queue dans sa chatte ! La même chose se reproduit avec la fille ! Une jambe passée dans mon dos, elle m'enlace et me donne sa bouche pour couvrir ses cris. Son fils dort dans sa chambre à quelques mètres. Elle repart dans une nouvelle jouissance. Je n'ai pas jouis et je veux profiter le plus possible de ce moment où je baise ma belle-sœur après tant d'années d'attente. Je la retourne, pousse les verres de dessus la table où elle pose son buste.
• « Prends-moi le cul ! » crie-t-elle. Mets la moi ! »
Alors je m'agenouille et écartant ses fesses, je lèche son anus.
• « Mais arrête ! C'est sale !
• Laisse-toi faire ! Tu vas adorer et il faut bien que je prépare le passage.
• Ne t'en fais pas. J'ai l'habitude ! Mais c'est bon ce que tu me fais là, salaud ! Mmmh !
• Tu vois que tu aimes déjà ! Je te promets de recommencer quand tu voudras ! »
Je me relève. Je mouille ma queue avec de la salive. Je guide ma bite sur son trou qui s'est ouvert et sans problème, signe de sa pratique de la sodomie, je m'enfonce dans ses lombes.
• « Oh oui ! C'est bon ! Vas-y salaud ! Encule-moi bien ! »
Je ne cherche plus son plaisir. Je veux jouir comme ça en elle. J'agrippe ses hanches pleines et je la besogne comme un fou. Je suis tendu depuis trop longtemps. Alors qu'elle feule, la bouche dans ses bras, je me lâche dans son cul en grognant.
Vidé dans tous les sens du terme, je me couche sur son dos en cherchant à reprendre mon souffle. Elle n'est pas mieux que moi. Je ne sais si elle a jouit à nouveau, mais elle aussi est vannée.
Peu à peu malgré tout et l'inconfort de la position aidant, je me relève. Je retourne Nelly et nous échangeons à nouveau un profond baiser.
Elle va s'asseoir. J'ai toujours le pantalon sur les chevilles. Je m'en débarrasse rapidement. Je la rejoins et nous nous retrouvons dans les bras l'un de l'autre pour nous caresser et nous bécoter.
• « Mon dieu, c'était bon ! Tu m'a bien baisé salaud !
• Disons que tu l'as bien cherché, en arrivant toute nue !
• C'est vrai ! Je savais que tu étais un pineur. On a fait ma sœur cocue, mais c'était bon ! Maintenant tu es infidèle !
• C'est ce que tu voulais  ?
• Je n'ai pas réfléchi.
• Bon. Si ça peut te consoler, tu n'es pas la première.
• Salaud ! Je m'en doutais !
• Tu m'as longtemps interdit de t'approcher après m'avoir relancé avant que je me marie.
• Après c'était compliqué et puis, j'avais quelqu'un.
• Et tu étais amoureuse.
• O... Oui, c'est vrai aussi.
• Qu'est-ce qu'il t'a pris ce soir  ?
• Je sais pas. J'étais...
• En manque  ?
• Salaud ! Oui ! Tu sais, je ne t'ai jamais oublié, mais dis-moi, tu as une... régulière  ?
• Si on veut oui.
• Mais... que vas tu faire  ?
• Comment ça  ? Avec ta sœur  ? Ou avec toi  ?
• Avec... les deux...
• Avec ta sœur, depuis qu'elle est mère, le sexe ne l'intéresse plus.
• Qu'elle est con !
• Bon... c'est pour ça que... à force... j'ai... comme on dit, fauté !
• Bien fait pour elle !
• C'est ta sœur tout de même !
• D'accord, mais avec un queutard comme toi, on en profite.
• Elle n'est pas comme toi, le sexe n'a jamais été sa priorité, à part pour faire un enfant.
• Pourquoi tu l'as épousée alors  ?
• Je ne sais pas... c'est un peu compliqué...
• Et...comment va-t-on faire maintenant  ?
• Ça dépend...
• De quoi  ?
• Ben, d’abord de savoir si tu veux recommencer ...
• T'es con ! Bien sûr... enfin.... si tu veux toi...
• Tu ne vas pas culpabiliser  ?
• Et toi, tu ne vas pas divorcer  ?
• Pour me mettre avec toi  ? C'est un peu compliqué non  ?
• Je... Non... Enfin... officiellement, on ne peut pas. C'est sûr que ça poserait quelques problèmes dans la famille.
• C'est sûr, même si ma vie est plutôt ici maintenant, ça finirait par se savoir et bonjour l'ambiance !
• On est bien pareil tous les deux !
• Comment ça  ?
• Et bien... On pense au cul et pas trop à « bien penser »
• C'est sûr !
• Mais avec ta... « maîtresse »  ?
• laquelle  ?
• Pourquoi ? Tu en as plusieurs  ?
• Ben... Il y a toi maintenant.
• Tu n'en loupes pas une, toi. Non mais, dis-moi. Tu vas continuer avec elle  ? Tu l'aimes ?
• On est bien ensemble.
• Elle est d'où  ? D'ici  ?
• C'est une collègue de travail.
• Ben mon salaud ! Elle est jeune  ?
• Ton âge.
• C'est vrai que tu aimes les femmes jeunes !
• Pas que..
• Comment ça ?
• J'ai eu des femmes plus âgées que moi aussi.
• Ça ne m'étonne pas ! Même en étant avec ma sœur  ?
• Avant de me marier, oui.
• Putain ! Tu es affreux toi !
• J'ai du mal à refuser quand une belle femme me fait des avances.... comme toi ce soir.
• Tout de même, tu étais fiancé et tu te tapais des gonzesses  ?
• Ça m'est arrivé.
• Chez nous  ? Je les connais  ?
• N...Non, je ne crois pas (je ne peux pas tout lui dire quand même, surtout que sa mère en fait partie) Une cliente, sur un chantier une fois et une autre chez qui j'allais...
• Finalement ma sœur était cocue avant de se marier...
• C'est ça !
• Tu es quand même incroyable ! Pourquoi tu l'as épousée alors  ?
• Ça marchait tout de même assez bien entre nous au départ et puis elle est jolie je te rappelle. C'est plutôt depuis qu'on est mariés que ça a changé. Elle ne voulait faire l'amour que pour avoir un enfant et maintenant qu'elle en a un, ça ne l'intéresse plus.
• Bon. On ne vas pas passer la soirée là dessus quand même.
• Comment  ? Sur le canapé  ?
• T'es con toi ! Sur le cas de ma sœur.
• Mais oui. J'avais compris ! Je préférerais la passer dans ton lit, mais je travaille demain matin.
• Reste un peu quand même.... j'ai envie....
• Salope !
• Salaud toi-même ! Beau-frère indigne !
• Cochonne de belle-sœur !
• On fait bien la paire tous les deux
• Je crois, oui.
• C'est moi que tu aurais dû épouser !
• Je te rappelle que tu étais amoureuse et que tu me trouvais trop vieux.
• Ce... Ce n'est pas ça ! Enfin, au début oui. Mais bon, c'est vrai que j'étais amoureuse, mais après... je crois que j'ai toujours été un peu amoureuse de toi.
• C'est gentil, mais tu n'en a rien fait paraître.
• Tu étais avec ma sœur et puis...
• Bon. On a dit qu'on arrêtait ça.
• Ok ! On va dans ma chambre  ? J'ai envie que tu me prennes dans mon lit... normalement.
• Normalement  ?
• Oui... enfin... Tu vois ce que je veux dire !
• Non ! Tu ne veux plus que je t'encule  ?
• Salaud ! Bien sûr que oui ! J'adore ça ! Mais... on peut aussi..
• D'accord. Je vais te baiser à la missionnaire et si tu le permets en levrette.
• Mais quel voyou ! Obsédé ! Queutard ! Vicieux ! Allez viens me baiser dans mon lit ! Attend ! Je passe voir si mon fils dort.
• Il n'a pas eu l'air de se réveiller.Allez ! Va te rassurer, mauvaise femme !
• Mauvaise femme peut-être mais pas mauvaise mère. »

Après un rapide passage par la chambre de son fils, Nelly m'entraîne dans la sienne. Son lit n'est pas fait et j'y retrouve son divin parfum.
Tendrement, nous allons faire l'amour. Comme promis, pour la première fois, je me couche sur elle, non sans avoir léché un peu sa chatte. Dressé sur mes bras, j'ai admiré son corps brûlant d'odalisque, au moment de sa jouissance avant de jouir à mon tour. Il n'y a pas eu de troisième round ce soir là. J'étais et nous étions tous les deux fatigués autant nerveusement que physiquement après cette soirée.
Je me réveillais en sursaut le lendemain matin. Je posais mes lèvres sur les siennes. Lui disais que je l'appellerai dans la journée et je me précipitais au travail après être passé à mon hôtel pour prendre rapidement une douche et me changer.
***

Les avis des lecteurs

Une situation particulierement complexe. Le texte est bien rédigé

Tout une histoire!
Pourquoi ne pas avoir une bonne discussion avec sa femme. Le chemin emprunté et la direction choisi sont l’idéal pour un échec éventuel et ce à tout les niveaux , familial et personnel.



Texte coquin : Double vie... ou plus 1 : Ma collègue est une “bombe”
Histoire sexe : Une rose rouge
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